Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Cécile obéit, non sans avoir encore embrassé son amant. Une fois seuls, Victor discuta un moment avec Samir. Celui-ci ouvrit la portière de sa BMW. Il en fit descendre un énorme rottweiler qui s’étira les pattes avant aussitôt descendu du véhicule. Victor remit une enveloppe à Samir qui monta dans la voiture, démarra et quitta les lieux, suivi par les trois autres BM.
Victor rejoignit ses amis en compagnie du chien. D’abord surprises, les deux femmes se mirent à caresser l’animal qui sous des dehors menaçants, était en fait, plutôt débonnaire. Jean demanda à Victor :
« Pourquoi ce chien ? »
Victor répondit :
« Pour ta femme, cher ami. Ne m’as-tu pas toujours dit qu’elle aimait les gros chiens ? Mais qu’en appartement à Paris, ce n’était pas possible. Beaucoup de femmes ont le phantasme de se faire prendre par un toutou comme celui-ci. Christelle s’est confiée à Cécile sur ce sujet. Elle n’osait pas t’en parler. Je pense qu’elle ne m’en voudra pas d’évoquer le sujet ce soir. Je te connais Jean, je sais que tu es tolérant et large d’esprit, un vrai libertin quoi. Aussi, j’ai décidé de combler le désir de Christelle ce soir. »
Jean regardait sa femme qui lui souriait timidement, comme une petite fille qui vient d’avouer une bêtise.
« Eh bien, si c’est son choix, je n’y vois pas d’inconvénient. Je suis juste un peu déçu, qu’elle ne m’en ait pas parlé avant », répliqua Jean.
Christelle s’approcha de son mari, lui déposa un baiser sur la bouche, tout en lui disant : « Merci chéri. »
Victor annonça :
« Je vous présente Grando. Il a dix-huit mois. Samir l’a éduqué pour avoir des relations sexuelles avec des femmes. Je paye Samir pour ça depuis plusieurs mois. Pour l’instant, Grando a des rapports une fois par semaine avec une prostituée qui lui a servi d’initiatrice, bien sûr contre rétribution. Jean, comme tu as vu, j’ai offert Cécile à Samir, et ceci pour toujours. Elle lui appartient désormais. Je n’ai plus le droit de la prendre. Je peux juste me branler et uniquement si Samir me l’autorise. J’avais senti que c’était un désir enfoui en elle et dont elle n’avait même pas connaissance. Ce soir, je suis heureux que Samir et ses racailles l’aient comblée. Désormais, je vais juste assurer son bien être au quotidien et la préparer comme Samir me l’aura demandé, à chaque fois qu’il voudra la voir. J’aime Cécile et c’est la meilleure manière de la garder près de moi. Jean, pour toi, c’est différent. Un chien ne sera jamais aussi exigeant qu’un être humain, mais tu devras te conformer aux désirs de Christelle. Il faut accepter les choix de nos dames. »
Victor se retourna vers Christelle :
« Ce chien est pour toi. Il a été préparé, toiletté exprès pour toi. Il est endurant et te comblera à chaque fois que tu le désireras. Il te suffira pour cela de venir à la maison, car Grando va vivre ici. Tout au moins, tant que Jean et toi serez en appartement. »
Christelle regardait fascinée le rottweiler. Toute la soirée, elle avait envié Cécile qui s’était faite baiser, piner, tringler, sauter, bouillaver, enconner, enculer. Tous ces mots lui étaient passés par la tête quand elle regardait son amie se faire prendre par Samir. Elle s’était masturbée et avais jouis plusieurs fois près de Victor et Jean, sans aucune pudeur. C’était un mot dont elle ignorait le sens, du moins en ce qui concerne la nudité et la sexualité. La pudeur, elle la réservait pour ses blessures secrètes.
Peu de monde savait qu’à l’adolescence, un proche l’avait violée. Elle en avait peu parlé, même à Jean. Toujours ce complexe de culpabilité des victimes et la peur d’être incomprise. Elle se savait belle.
Depuis toujours, les hommes la regardaient, la désiraient. Après son viol, elle avait fait très attention à ses tenues. Plus de jupes, pas de vêtement qui mettent en valeur les formes. Ce n’est que lorsqu’elle avait connu Jean que celui-ci, petit à petit réussit à lui faire reprendre confiance en elle. Il lui avait dit que tous les hommes ne se valaient pas. Qu’une fille en jupe n’est pas une salope. Qu’une belle fille a le droit de se promener sans se faire agresser. Qu’une femme peut être sexy et ne pas avoir envie de se faire draguer et encore moins se faire traiter de pute. Et quand une femme disait non, ça ne voulait pas dire peut-être et encore moins oui.
Toutes ces évidences, Jean les rappelait souvent à Christelle. Elle avait besoin de les entendre encore et encore. Il lui avait fait découvrir le monde du libertinage, et paradoxalement, elle avait trouvé beaucoup plus de respect et moins d’hypocrisie dans ce milieu que dans le monde bien-pensant de sa famille bourgeoise.
Grando appréciait les caresses de Christelle. Il la remerciait parfois d’un coup de langue sur le visage. Il commençait maintenant à tourner autour de la jeune femme. Son odorat et son instinct lui indiquaient que la femelle qui le caressait émettait des effluves qui ne laissaient aucun doute sur son état. Il commença à fouiller avec sa truffe humide et fraiche l’entre-jambe de Christelle.
Celle-ci, assise par terre, sursauta quand elle sentit la langue du chien lécher sa fente. Bien vite, elle écarta les jambes pour lui laisser le champ libre. Elle appréciait cette langue longue et puissante qui la fouillait si bien. Elle se coucha sur le dos, remontant ses jambes jusqu’à ce que ses talons touchent ses fesses, puis que ses genoux touchent sa poitrine. Grando la suçait comme jamais, elle n‘avait été sucée. Elle avait des étoiles dans la tête tellement la sensation était agréable. Il allait si loin avec sa langue. Elle ondulait son bassin pour profiter au mieux de ce cunnilingus inhabituel. Elle se mit à jouir en tenant des deux mains la tête du chien. Après quelques instants, elle voulut s’offrir à son amant à quatre pattes.
Elle lui parla, le félicita, lui dit que c’était un bon chien, et qu’elle en voulait plus. « Tu vas me prendre. Je vais être ta chienne. Fais doucement, je n’ai pas l’habitude, tu vas être le premier. » Lui dit-elle. Elle se retourna, s’appuya sur les genoux et les paumes des mains. Grando tournait autour d’elle. Il lui mettait quelques coups de langue qui la faisaient sursauter de plaisir. Mais Cécile en voulait plus maintenant. Un feu de désir brulait en elle. Elle désirait plus que tout se faire saillir, ici, tout de suite. Elle l’encourageait à la monter, en tapotant ses fesses d’une main.
Enfin, le chien mit ses pattes avant autour de la taille de Christelle. Elle savait que cette fois, elle allait connaitre le tabou ultime, le syndrome de la belle et la bête. Elle allait être une véritable chienne. La pine du chien toute rouge sortit de son fourreau de fourrure. Grando se frotta sur les fesses de Christelle quelques secondes. Il trouva le chemin vers le sexe brulant de la splendide brune. Le coït fut violent et bestial. Le rottweiler donnait de furieux coups de reins en essayant d’aller au plus profond de la chatte de Christelle. Elle se sentait inonder de semence canine.
Elle se branlait et sentait sur ses doigts le liquide spermatique qui s’écoulait en abondance de son vagin. Grando s’arrêta brusquement. Il serrait très fort Christelle de ses pattes avant. Elle le sentait gonfler en elle. Elle ressentait également l’éjaculation ininterrompue au fond de son ventre. Le chien ne bougeait plus, seul son sexe jutait en elle. Elle hurla quand l’orgasme arriva comme un tsunami de honte, de dégout et de perversité. Elle prit la secousse de plaisir en profitant de chaque millième de seconde de cette volupté interdite. Il fallut attendre dix minutes pour que Grando puisse se retirer de Christelle. Durant tout ce temps, Christelle se sentit apaisée et sût qu’elle renouvellerait l’expérience.
Cécile fut la première à embrasser Christelle. Elle le fit avec beaucoup de tendresse. Elle la remercia pour ce si beau spectacle. Elle lui avouât qu’elle avait sucé Jean pendant son accouplement avec Grando. Jean avait éjaculé une quantité impressionnante de foutre au moment, ou sa femme avait crié de jouissance. Victor lui, avait dû se contenter de se branler et avait déchargé sur le string de Cécile qu’il avait conservé dans sa poche en début de soirée.
Sur le chemin du retour, dans la voiture, Jean caressait Christelle. Elle avait la jambe droite sur la planche de bord et les cuisses écartées. Il branlait son bouton et introduisit son majeur dans sa chatte. Il sentit le foutre de Grando qui coulait encore du vagin de sa femme. Christelle gémissait, elle lui dit :
« J’aime ce chien, promets-moi qu’on va trouver une maison pour Grando, et y vivre tous les trois. »
Jean promit.
A ce moment elle se mit à jouir dans un râle de satisfaction. Après son orgasme, elle lui sourit et bercée par le léger bourdonnement du moteur s’endormit. Jean se sentait heureux, même si, il ne saurait jamais, si la jouissance de Christelle avait été provoquée par lui ou à nouveau par Grando.
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