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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 Voici l’histoire écrite par deux auteurs de talent, Miss K. et Gérard le Matou, qui ont rédigé à tour de rôle cette splendide histoire... Elle sera publiée en deux fois. Bonne lecture, et ne soyez pas trop sage !

 

CAROLINE

 

Je suis une jeune femme de trente ans, ayant récemment fini mes études dentaires. je viens de m'installer dans un cabinet avec une de mes camarades d'université. Notre cabinet trouve petit à petit sa clientèle et nous commençons à nous faire une jolie réputation. Je soupçonne certains hommes de ne venir nous voir que parce que nous sommes plutôt charmantes. Marielle est une belle brune pulpeuse, que quelques kilos superflus rendent appétissante. Pour ma part, je suis plutôt longiligne, blonde. Dotée d'une jolie poitrine, j'aime la mettre en valeur et m'en servir d'anesthésiant pour les patients qui ont souvent le regard posé dessus.

 

Marielle est mariée à un médecin qu'elle a rencontré pendant nos études. Femme fidèle, elle n'a jamais été portée sur la bagatelle. Je la soupçonne même de n'avoir aucune imagination sexuelle et préférer les relations classiques avec son mari.

 

Quand à moi, on peut dire que je suis sexuellement très délurée. J'ai la réputation d'être une fille facile mais je m'en moque. Oui, la plupart de mes professeurs et des étudiants ont eu les honneurs de mes faveurs. Et alors ? Il n'y a pas de mal à se faire du bien. J'aime le sexe et ne m'en cache pas. Je multiplie les conquêtes masculines, parfois féminines aussi et j'aime participer à des soirées libertines où les hommes m'utilisent à leur guise.

 

Il y a deux mois, lors d'une de ces soirées, j'ai rencontré un couple, Serge et Amélie. Le courant est vite passé entre nous. Charmants, j'aime la virilité de Serge qui n'hésite pas à faire de moi une vraie petite chienne, et la douceur d'Amélie qui bien souvent calme, de ses caresses, le feu provoqué par la rudesse de son époux. Serge sait que j'aime que les hommes me dominent, qu'ils fassent de moi tout ce qu'ils veulent. Il ne s'en prive d'ailleurs jamais.

 

Il y a trois semaines, je suis allée en leur compagnie dans une soirée libertine chez un de leurs amis. Après les présentations d'usage, un convive m'a emmenée dans une chambre. Alors qu'il me prenait, il m'a attachée au lit. Les hommes et les femmes se sont alors succédé entre mes cuisses, entre mes fesses, dans ma bouche, parfois même en même temps. Je remarquais une femme assise dans un fauteuil dans un coin de la chambre. Immobile, elle m'observait sans rien dire. Il me semblait qu'elle filmait toute la scène, mais je n'en suis pas certaine. Très vite, je l'oubliais au profit du plaisir de me faire prendre. Au bout de quelques heures de ce traitement, épuisée, je prenais congé de la soirée, soutenue par Serge et Amélie. Cette superbe femme blonde ne m'a pas quittée des yeux jusqu'à ce que nous franchissions la porte de l'appartement.

 

 

 

 

 

LOUIS

 

A bientôt quarante-cinq ans, je suis, sans vouloir me flatter, un bel homme de haute stature, mince sans être maigre mais aux épaules larges, mat de peau, j’ai les cheveux ondulés noirs. Depuis mon adolescence, j’ai toujours aimé les femmes et je ne me suis jamais privé d’en conquérir de nouvelles, pour une nuit, une semaine, un mois… jusqu’à ce que je rencontre Ingrid lors d’un diner. Quelques mois plus tard, je l’épousais par amour certes, mais aussi parce que comme moi, elle aimait le libertinage… Cela étant convenu, nous avons organisé notre vie pour satisfaire nos envies, chacun se racontant les expériences sexuelles faites hors du couple en toute confiance puisqu’il s’agissait uniquement de sexe, sans attachement sentimental.

 

Puis, à l’invitation d’un couple de libertins comme nous, nous avons participé à une soirée au cours de laquelle nous avons rencontré deux autres couples. Puis les choses se sont enchainées, et depuis, nous organisons Ingrid et moi, une soirée par trimestre où des couples et parfois des partenaires solitaires triés sur le volet se retrouvent pour se livrer en toute quiétude au libertinage le plus complet.

 

Bientôt, je vais enfin découvrir Caroline, une jeune femme qu’Ingrid, mon épouse, a rencontrée lors d’une soirée privée en compagnie de nos amis Serge et Amélie, des complices de longue date qui jouent aussi un peu les rabatteurs de nouveaux talents libertins pour agrémenter nos petites réunions coquines. Ingrid ne cesse de me parler d'elle depuis maintenant trois semaines. Elle l'a filmée à mon intention lors d'une soirée libertine, sachant qu'elle serait à mon goût. Je l'ai vue se faire prendre par des hommes et des femmes, et y prendre énormément de plaisir. Caroline semble être une vraie assoiffée de sexe. Elle commence à m'obséder. Je suis si impatient de baiser Caroline que c’est ma femme qui fait les frais de cette frustration. Depuis que je l’ai découverte sur l'écran, je fais subir à mon épouse mille tourments, la soumettant encore plus que je ne l’ai jamais fait en regardant la vidéo qu’elle a ramenée de sa soirée.

 

Il y a quelques jours, je l’ai attachée sur notre lit à baldaquin avec des liens souples. Entièrement nue, elle était à ma merci, livrée à ma concupiscence et à mes caresses. Avec un petit plumeau, je caressais ses endroits sensibles comme ses seins, son entrejambe et l’orée de son vagin. Quand je sentais son plaisir arriver, je le laissais refluer jusqu’à ce qu’elle retrouve son calme. Elle ne pouvait pas parler, me supplier d’achever ce que je faisais car elle était bâillonnée. Cette nuit là, elle est restée ainsi jusqu’au matin pendant que je regardais en boucle la vidéo où je découvrais Caroline tout en caressant mon sexe dressé comme un estoc au milieu de mon bas ventre. Lorsque j’ai délivré Ingrid au petit matin, elle s’est écriée:

« Salaud ! Tu m’as laissée sur ma faim alors que plusieurs fois j’étais sur le point de jouir sous tes caresses ! Cette garce de Caroline ne perd rien pour attendre! Ma vengeance sera cinglante ! »

 

Ingrid et moi avons donc convaincu Serge et Amélie de convier Caroline à notre soirée trimestrielle. Je vais enfin pouvoir assouvir sur cette jeune femme mon goût pour les petites chiennes dans son genre. J’ai réellement hâte d’être à demain soir. Caroline ne sait pas ce qui l’attend! Pour elle, ce n’est qu’une nouvelle soirée coquine, mais pour moi, c'est l'occasion d'évacuer ma frustration. De plus, j'ai bien compris qu’Ingrid veut se venger de Caroline...

 

 

 

CAROLINE

 

Quelques semaines plus tard, je me suis retrouvée embarquée dans une soirée libertine par Serge et Amélie. C’était une soirée privée qui se déroulait dans les beaux quartiers de la capitale entre gens de bonne compagnie. Nous étions une vingtaine de personnes à peu près équitablement réparties entre les deux sexes. Dans ce grand appartement régnait une lumière atténuée qui ménageait des coins propices aux ébats les plus divers. Une douce musique permettant de danser était diffusée par une chaine stéréo, et dans un petit salon attenant à la grande pièce principale, il y avait un magnifique buffet abondamment garni de mets les plus fins et de boissons diverses. Différentes chambres étaient ouvertes, prête à accueillir des étreintes les plus folles.

 

Serge et Amélie qui semblaient bien connaitre le maître de maison m’ont présentée à lui à notre arrivée :

« Voici Caroline, la femme dont nous t’avons parlé. Vous verrez, je pense que vous serez satisfait de sa docilité. »

 

Je regarde Serge avec surprise. J'ai l'impression d'être tombée dans un traquenard.

« Enchanté, Caroline, je suis Louis, le maître des lieux. Et voici ma femme, Ingrid.''

- De même, enchantée. Très bel appartement. J'adore. »

 

Louis est un homme d’une quarantaine d’années, d’une haute stature, à l’allure décidée et autoritaire. Ses yeux gris lui font un regard perçant qui vous déshabille littéralement quand il se pose sur vous. Son épouse Ingrid est une suédoise d’origine, de quarante ans également. Grande blonde longiligne, devant son mari, elle semble effacée, je ne pouvais m'empêcher de penser que nous nous ressemblions toute les deux. Je faisais mine de rien, mais j'avais immédiatement reconnu la femme de Louis.

 

C'est elle, cette splendide créature qui m'observait l'autre soir. Que devais-je comprendre ? Amélie et Serge m'auraient-ils amenée ici dans un but précis ?

 

Délaissant son épouse et nos amis visiblement communs, Louis m'entraînait avec lui. Après m’avoir présentée aux convives que je ne connaissais pas encore, il m’a invitée à danser pour une série de slows. Je me suis retrouvée coincée dans ses bras puissants, littéralement collée à lui. Je sentais une des ses jambes qui cherchait à s’insinuer entre mes cuisses et contre mon bas ventre l’impérieuse pression d’un sexe de forte taille bandé à fond. Je me laissais porter par la musique et guider par mon danseur.

 

Plus le temps passait, plus je sentais la pression contre mon ventre. Ses mains étaient descendues à ma taille puis, l’une d’elle a remonté le bas de ma mini-robe. J’avais les fesses à l’air, simplement barrées par le cordon de mon string. J’avais l’impression que tout le monde me regardait. Mais je crois que c’était le but poursuivi, et ce n'était pas pour me déplaire. J'aime être au centre des attentions lors de ces soirées. Je sentais les regards sur mon corps, les murmures bruissant tout autour de nous. La douceur des mains de Louis, caressant mes fesses, m'électrisait et je commençais irrémédiablement à sentir mes lèvres s'ouvrir et s'humidifier.

 

Quand la série de slow a pris fin, Louis, le maître de maison m’a guidée vers le buffet où nous avons bu une coupe de champagne. Alors que nous finissons notre breuvage, Louis me prend soudain par le bras pour me guider vers un angle du grand salon me plaquant au mur, son corps contre le mien, il insinue sa main entre mes cuisses et la plaque sur le tissu de mon string. Il me regarde en souriant et se penche à mon oreille en me disant :

« Humm, tu mouilles déjà. Ma femme avait raison, Serge aussi. Vien s! Ce soir tu vas être MA CHIENNE ! »

 

M'attrapant de nouveau par le bras, il me guide sans ménagement à travers la salle. Quand nous arrivons près d’un fauteuil de style, il me tourne assez brusquement face à lui et dit sèchement pour que tout le monde entende :

« A genoux ! Comme la petite chienne que tu es. Désormais tu vas faire tout ce je te demanderai ! »

 

Serge s'approche de moi et souriant me dit :

« Pardon Caro, j'avais oublié de te dire. Louis adore dominer surtout lorsqu’une nouvelle fille entre dans le cercle libertin de son salon. Mais je suis sûr que ça ne te dérange pas, bien au contraire. Tu aimes ça aussi ! Donne-moi ton string que je sente ton odeur de femelle en chaleur ! »

 

Excitée par la situation, je m’empresse d’obéir en faisant glisser le mince triangle de tissu le long de mes cuisses et sous mes genoux pour le lui tendre. Après l’avoir reniflé, il le met dans une de ses poches. J'ai très envie que cet homme me domine et fasse de moi ce qu'il veut.

« Retire mes chaussures et lèche mes pieds ! »

 

Je m'exécute immédiatement. Dés que ses pieds sont nus, je me penche au maximum et commence à embrasser et lécher sa peau. Dans cette position, ma robe très courte, remontée sur les fesses permet à tout le monde de voir ma fente et mon petit trou plissé. D’ailleurs, j’aperçois les jambes de plusieurs personnes, hommes et femmes qui s'approchent pour nous regarder en silence.

« Ça suffit ! Ouvre mon pantalon et suce-moi la bite ! »

 

Cet ordre claque comme un coup de fouet. Je me relève et toujours sur les genoux, je fais glisser la fermeture du pantalon puis sors du slip un membre aux dimensions plus que respectables. Ce que j’avais senti lors de la danse n’était pas un mythe. J’ouvre la bouche et je gobe immédiatement le gland rouge du sang qui y bat. Mes lèvres se referment pour caresser ce gland d'une douceur incomparable. Je ne passe pas pour avoir une petite bouche, mais j’ai un peu de mal à gober ce phallus qui ne tarde pas à être triomphant, envahissant ma bouche jusqu’au fond. Je m’applique à bien le pomper mais surtout éviter de faire sentir mes dents, ce qui aurait constitué une faute impardonnable.

 

Ma langue palpite doucement dans ma bouche. Les gémissements que Louis laisse échapper me confirment le plaisir que je lui procure. Sortant son sexe de ma bouche et le tenant fermement en main, je le lèche, le claque sur ma langue. Je caresse les testicules qui sous mes doigts se tendent. Louis semble aux anges. Je retourne à son gland que j'avale et entame un va et vient pour faire disparaître entièrement son sexe dans ma bouche.

« Debout chienne ! Tu vas me déshabiller ! Et gare à toi si tu ne le fais pas dans le bon ordre ! »

 

L'ordre single toujours comme un coup de fouet, sec et impératif, dans un langage étonnant dans un milieu aussi huppé.

 

Je me lève. J’ôte en premier la veste, la cravate, la chemise puis je défais la ceinture du pantalon que je fais descendre jusque sur les chevilles. Me prosternant de nouveau aux pieds de Louis et relevant les yeux,  je m’adresse à lui, totalement entrée dans son jeu de domination.

« Levez vos pieds Monsieur, que je puisse retirer entièrement votre pantalon. »

 

Louis soulève successivement ses deux pieds. Le pantalon rejoint les autres vêtements retirés que j'ai soigneusement plié sur une chaise à portée de moi comme l'aurait fait une femme de chambre.

« Retire ta robe et ton soutif ! »

 

Je fais glisser les fines bretelles de ma robe sur mes épaules et elle tombe au sol. Passant mes mains derrière mon dos, je fais sauter l’attache et ma poitrine apparaît aux yeux de tous quand le soutien gorge s'envole. Je suis tellement excitée de ce que je suis en train de vivre que mes tétons sont dardés au milieu de mes aréoles bistre. Je sens une chaleur sourde dans mon ventre et j’ai l’impression que ma chatte dégouline de cyprine. Je termine le déshabillage de Louis en retirant son teeshirt et son boxer. Nous nous retrouvons nus tous les deux au milieu d’un cercle de convives voyeurs. L’érection de Louis n’a rien perdu de sa superbe pendant tout ce temps. Sa bite longue et d’un diamètre de près de 6 cm au moins se dresse fièrement au milieu de son pubis rasé et ses couilles battent entre ses jambes à demi écartées.

« A genoux sur le fauteuil ! Chienne ! Je vais te baiser à fond ! Mais, si tu jouis, je ne veux pas t’entendre ! »

 

Je me mets immédiatement à genoux sur l’assise du fauteuil, les bras en appui sur le dossier, mes seins ronds pendant sous mon buste. Je suis devenue le centre d’intérêt de la soirée. Presque tout le monde se regroupe en cercle autour de nous. Je sens tout d’abord des claques pas trop appuyées sur mes fesses puis de plus en plus fortes. Mes fesses me cuisent. Soudain les claques cessent et c'est l’estocade. Louis présente son gland à l’entrée de ma chatte et il y pénètre d’une seule poussée violente. Aïe ! Aïe ! Aïe ! Heureusement que je suis excitée et trempée de mouille car je l’aurais sentie passer. Mais je la voulais en moi dés lors que je l'avais eu  en bouche.

 

Ingrid s'approche de nous. Elle ne porte qu’une guêpière de dentelle noire, un string assorti et des bas fins à couture. Perchée sur des talons très hauts, elle tient en main une sorte de martinet fait de lanières de tissu assemblées sur un manche court.

« Alors salope ! Depuis le temps que Louis entend parler de toi, il peut enfin te soumettre et te baiser ! Mais moi, je vais te punir car tu l'as fait attendre trop longtemps et c'est moi qui devais subir sa domination. »

 

Elle commence par me pincer les tétons puis malaxe brutalement mes seins d'une main. Dans le même temps, les lanières de tissu me fouettent mes reins. Je n’ai pas mal et bien au contraire, être ainsi fustigée aux yeux de tous accentue encore ma soumission. Louis me pistonne à grands coups de reins, sortant parfois de ma chatte pour mieux y rentrer en force. Je sens ma chatte écartelée par ce membre impressionnant.

 

Chaque nervure glisse en moi, provoquant une vague de plaisir que je dois taire. Je me mords les lèvres pour ne pas exprimer la jouissance que je sens monter en moi. Que c’est bon d’être soumise ainsi aux caprices d’un homme. Soudain Louis colle son pubis contre mes fesses et je sens un flot de sperme envahir le fond de ma chatte. Je mords toujours mes lèvres pour ne pas exprimer l'orgasme qui me submerge au moment où l’éjaculation arrive. Waouh ! Qu’elle était généreuse !

Louis reste quelques minutes en moi. Je ne bouge pas avant qu’il m’en donne l’ordre. De lui-même il se retire :

« Nettoie ma bite ! »

 

Sans me faire prier, je quitte le fauteuil et m'agenouille léchant son sexe afin de retirer nos sécrétions. Je sens le foutre dégouliner de ma chatte, j’en ai plein le haut des cuisses.

Par Miss K. et Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Histoire érotique
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