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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Jean venait de garer la Mercédès dans la cour de la grande maison bourgeoise. Quatre BMW étaient déjà stationnées. Trois de ces voitures n’étaient pas de modèles récents et semblaient fatiguées. La quatrième était neuve.

« Les vitres fumées noires et les jantes en alliage chromé ne sont pas du meilleur goût »,  pensa Jean.

 

Christelle vérifia dans le miroir de courtoisie, que son maquillage ne nécessitait pas de retouche. Satisfaite du résultat, elle sourit à Jean et ouvrit la portière. L’automne commençait à devenir frais en ce mois de novembre. Christelle, simplement habillée d’une courte robe noire échancrée dans le dos et d’un simple gilet, frissonna en sortant du véhicule. Les talons de ses escarpins s’enfoncèrent dans  les graviers de l’allée.                                                                              

 

Sur le perron, leurs  hôtes les accueillirent avec sourire et sympathie. Ce n’était pas leur première soirée chez Cécile et Victor. Mais cette fois, Victor avait promis de la nouveauté et des surprises pour ses invités.

 

Au salon, un feu crépitait dans la cheminée en marbre. Cécile s’en approcha. La chaleur lui fit du bien. Victor servit du champagne. Il apportât une flute ambrée à Cécile.

« Ma chérie, tu es très en beauté, ce soir. » lui dit-il.

 

Il lui caressa le dos, et sa main descendit jusqu’à la naissance de ses fesses. Une fois encore, Christelle frissonna, mais cette fois de plaisir. Ils s’installèrent sur les deux canapés qui se faisaient face. Les femmes sur l’un, les hommes sur l’autre. Victor en levant sa coupe, déclara :

« Avant de commencer cette soirée j’aimerais, en tant que maitre de cérémonie, que ces dames nous montrent ce qu’elles portent sous leurs robes. »

 

Jean acquiesça en ajoutant : 

« Si elles portent quelques choses en  dessous ! 

- Ne sois pas cynique Jean. » répondit Cécile qui, en même temps commençait à soulever sa robe de mousseline ivoire.

 

Lentement, en prenant plaisir à voir les regards intéressés des deux hommes, elle remontait sur ses cuisses gainées de bas couleur chair,  la mini robe. Enfin, elle dévoila une fine étoffe blanche et quasi transparente qui masquait à peine son mont de Vénus. Jean demanda :

« String ou culotte ? »

 

Cécile se mit alors à genoux sur le canapé, tournant le dos aux deux hommes. Elle recommença à soulever sa robe. Elle découvrit entièrement ses fesses. Elle aimait exposait son corps callipyge aux regards concupiscents des hommes. Un minuscule triangle de satin ornait le bas de ses reins. Cécile fit glisser le string le long de ses jambes, le retira et le lança vers les deux hommes. Il atterrit sur les genoux de Victor qui le prit et le huma en envoyant un baiser à sa femme de la main. Jean exprima son contentement par un sifflet d’admiration. Satisfaite, la jeune femme aux cheveux blond platine coupés courts porta à ses lèvres son verre de champagne.  

 

Les regards des deux hommes se portèrent alors vers Christelle. Elle se mit debout, leur  tourna elle aussi le dos, puis fit glisser une à une les bretelles de sa robe. Celle-ci tomba à ses pieds. Les deux hommes restaient sans voix, devant une telle perfection  plastique. Ses jambes semblaient encore plus interminables avec ses bas gris anthracites et ses talons qui lui cambraient les reins. Ses fesses nues et galbées étaient une invitation à la luxure. Son dos, ses seins et ses épaules étaient en harmonie avec le reste.

 

 Le tout dessinait un corps parfait. Son port de tête aristocratique mettait en valeur les traits fins de son visage. Ses cheveux bruns qu’elle n’avait pas lissé, tombaient en ondulant jusqu’à sa poitrine et ses omoplates. Elle était indécente, non pas, par sa nudité mais par sa beauté. Même Jean ne se lassait pas de contempler son épouse.                                                                                             Cécile qui s’était relevée,  glissa à l’oreille de Christelle :

 « Tu es vraiment splendide petite garce.  Embrasse-moi ! »

 

Les deux femmes s’embrassèrent avec tendresse et sensualité, mélangeant à leurs salives le champagne que Cécile avait malicieusement glissé dans sa bouche avant le baiser.        

 

Victor annonça que la soirée maintenant pouvait commencer. Il les invita dans la pièce adjacente. La salle était presque obscure.  Une dizaine d’hommes, attendait sur des sofas. Eux aussi buvaient du champagne et discutaient assez bruyamment. Ils se turent quand le trio fit son entrée. Tous ces hommes étaient noirs. Victor annonça : « Mesdames, je vous présente vos mâles pour ce début de soirée. Cécile, tu connais déjà Samir. Nous avons déjà passé plusieurs soirées ensemble. »

 

Cécile acquiesça et sourit à Samir. Elle aimait se faire prendre par cet homme d’un mètre quatre-vingt-quinze aux épaules larges et au membre sur dimensionné.  Victor poursuivit : 

« Cette fois, j’ai demandé à Samir de venir avec des amis de sa cité. Christelle et toi, vous commencerez par vous gouiner et vous gamahucher devant eux pour bien les chauffer. Ensuite, Samir et ses hommes pourront  baiser Cécile et uniquement Cécile. Cela se fera sur cette table ronde que vous pouvez voir au milieu de la pièce. Quant à toi Christelle, tu seras aussi prise dans la soirée, mais plus tard et pas par eux, ni par ton mari, ni par moi. Ce sera la surprise de notre réunion. Tu nous rejoindras, Jean et moi, lorsque Cécile sera conduite sur la table. »

 

Puis s’adressant à sa femme, il lui dit : 

« Emmène Christelle sur le sofa et commencez à faire l’amour devant nos amis. Jean et moi, assisterons à tous vos ébats depuis ces confortables fauteuils en cuir. »

 

Les deux femmes s’embrassaient et se câlinaient langoureusement devant les hommes. Elles n’avaient gardé que leurs escarpins et leurs bas. Cécile caressait le clitoris humide et gonflé de Christelle. La femme de Victor s’arrangeait pour montrer ostensiblement, la chatte ouverte et trempée de sa compagne, car Christelle mouillait beaucoup, se sachant observée par tous ces mâles.

 

Elles se mirent ensuite en 69. Christelle au-dessus de Cécile qui continuait à lui écarter la chatte au maximum et plongeait sa langue au plus profond de son intimité. Les noirs se déshabillèrent. Leurs corps puissants et musclés apparurent aux deux amies. Leurs queues étaient dressées, et on sentait chez ces hommes jeunes l’impatience à venir copuler. Ils se masturbaient en regardant les amours lesbiennes de ces deux tribades déchainées. Cette situation déclencha un orgasme chez Christelle.

 

Elle jouit dans la bouche de Cécile, l’inondant de sa cyprine. Les hommes de plus en plus nerveux, se rapprochaient du sofa. Samir, chercha Victor du regard. Celui-ci lui fit un signe d’assentiment. Le grand noir prit alors dans ses bras Cécile, et la déposa sur la table ronde.                                                   

 

Il prit le temps d’enfiler un préservatif. Cécile était maintenant allongée sur le dos, les jambes relevées sur le torse du colosse. Il lui rentra sa bite énorme dans la chatte. Elle gémit de plaisir et de douleur. Elle sentait les parois de son vagin se distendre sous la poussée de ce pieu phénoménal. Elle adorait être prise à la hussarde, mais là heureusement, sa partie de galipette avec Christelle l’avait bien lubrifiée, et lui permettait le passage de cette pièce d’exception.

 

Samir la prenait sauvagement, avec de violents coups de reins. Il était debout. Un de ses bras tenait fermement les jambes de la blonde contre lui. Son autre main lui caressait les fesses et il forçait avec son pouce l’entrée du petit trou de Cécile. Il la pilonnait avec force. Elle sentit la main d’un autre homme lui tourner le visage. Il se mit à frotter son sexe sur ses lèvres. Elle le prit en bouche et se mit à le sucer avec délectation. D’autres mains se promenaient sur son corps, de son clitoris à ses seins.

 

Les hommes se relayaient dans sa bouche et entre ses doigts manucurés. Seul Samir restait dans sa chatte. C’était lui le chef, il passait donc en premier et ne cédait pas sa place. Au bout de quinze minutes, des gouttes de sueur perlaient sur le front du géant. Il fit dégager ses hommes qui s’étaient massés autour de Cécile en déclarant :

« Foutez le camp, je veux me la finir seul, cette salope. »

 

Lorsque les hommes se furent éloignés, il se retira du sexe trempé de Cécile. Samir enleva son préservatif. Incrédule, elle le vit la pénétrer à nouveau mais, à cru cette fois.  Il s’approcha du visage de Cécile et lui dit :

« Alors, ça te plait le bois d’ébène ? Tu aimes la sentir, ma bite de black dans ta chatte de bourge bien éduquée? Désormais, tu es ma pute. Je vais cracher mon foutre au fond de ton  vagin, et cela, devant ton cocu de mari. »

 

Samir ne lui avait jamais parlé comme ça. De plus, il l’avait toujours prise avec préservatif. Elle ne savait que penser. Le géant ajouta :

« Avec un peu de chance, je vais pouvoir te faire un gosse. Ton mari m’as dit que tu ne prenais plus la pilule. »

 

Cécile le regardait dans les yeux, interloquée. Comment Victor avait-il pu dire cela à Samir ?  Elle se sentait trahie. Elle voulut mettre un terme à cette situation, mais en même temps, elle était transcendée par ce que lui disait son baiseur. Il continua :

«  Je vais bien me vider les couilles en toi et ensuite je te laisserai avec mes négros. Quand ils t’auront bien envoyé leur foutre sur tout le corps, je reviendrai pour t’enculer. »

 

Malgré elle, elle sentait l’excitation redoubler. Les mots de Samir résonnaient dans sa tête. 

« Me vider les couilles, te faire un gosse, foutre de noirs sur tout le corps… »  

 

La chaleur dans son ventre la taraudait. Samir reprit :

« A partir de maintenant, tu m’appartiens. Embrasse-moi petite pute pour montrer à tous comme tu es à moi. Dis-le que tu m’appartiens ! Vas-y, dis-le ! »  

 

Cécile haletait d’émotion et de contentement mélangés. Elle s’entendit dire, sans croire que ces mots pouvaient sortir de sa bouche :

« Je t’appartiens ! »  

 

Elle le répétait même, et de plus en plus fort, jusqu’à le crier pendant que Samir accélérait ses mouvements pelviens :

« Je t’appartiens, je t’appartiens, oui, je suis à toi ! Baise-moi, fais de moi, ce que tu veux, fais-moi un enfant si tu veux, donne-moi  tout ton sperme ! »

 

Elle l’embrassa fougueusement, elle s’offrit à lui totalement, comme jamais. Elle le voulait entièrement en elle. Son bassin ondulait de plus en plus rapidement. Elle contractait les muscles de son vagin autour de cette queue qu’elle désirait ardemment faire juter. Elle fut terrassée par la jouissance quand Samir, dans un dernier coup de queue, s’immobilisa et éjacula en grognant.

 

Elle sentait les flots de semence jaillir dans son ventre. L’orgasme la fit se tendre, arc boutée. Seules ses épaules touchaient la table. Son autre point d’appui étant la verge de Samir, qui la maintenait fermement contre lui.

 

Quand elle reprit ses esprits, Samir se retira d’elle. Il dit à ses hommes :

« Elle est à vous. Amusez-vous, mais interdit de lui baiser la chatte et de l’enculer. Je suis le seul à pouvoir faire cela. Vous pouvez vous branler sur elle, et décharger dans sa bouche, si vous voulez. » 

 

Aussitôt, les hommes se précipitèrent vers Cécile. Des mains parcoururent son corps à nouveau. Des bites biens raides se relayèrent dans sa bouche. Elle les accueillit presque tous. Ils jouirent pour la plupart entre ses lèvres. Ils étaient tellement excités que quelques secondes sur la langue de Cécile suffisaient à les faire juter. Son visage fût vite recouvert de foutre. Certains, trop impatient d’attendre leur tour, se branlaient au-dessus d’elle et éjaculaient sur ses seins ou son ventre. Quand le dernier se déversa dans sa bouche. Cécile qui se doigtait, jouit en sentant le sperme de Samir qui peut être, en ce moment même la fécondait.

 

Quelques temps après, Samir la fit descendre de la table.

 « Mets-toi à quatre pattes ! » lui dit-il.

 

Elle s’exécuta. Elle savait que Samir venait honorer sa promesse. Il venait la sodomiser. Il lui cracha sur le cul, lui rentra un doigt, puis deux. Il s’agenouilla derrière elle et présenta son sexe tendu à l’entrée de sa rosette. Contrairement à tout à l’heure, il prit son temps. Il la pénétra doucement, mais sans reculer. Il mettait sa main autour de sa bite pour contrôler sa pénétration. Il commença par des va et viens très lents, afin de laisser le temps au cul de Cécile de s’élargir à la dimension de son membre.

 

Au fur et à mesure, il accélérait la cadence. Cécile se sentit à nouveau emporter par une vague de plaisir. Appuyée sur les coudes, le visage encore couvert du sperme des hommes de Samir, elle se cambrait au maximum, les fesses relevées bien haut. Elle se donnait entièrement à celui qui maintenant était son maitre.

 

Les coups répétés des couilles de Samir sur ses fesses lui déclenchèrent son troisième orgasme. Il fut moins intense mais dura plus longtemps que les précédents. Elle s’écroula quand Samir eut déversé son sperme dans ses entrailles, tout en lui tenant la taille, de ses deux mains immenses.

 

Peu après Samir se rhabilla. Victor le remercia, lui et ses hommes. Il les accompagna à l’extérieur. Cécile vint dire au revoir à Samir dans un baiser passionné.

« Tu reviens bientôt ? lui demanda-t-elle.

- Victor m’a donné une clé. Je peux venir te sauter quand je veux. Je pense que je ne tarderai pas à revenir faire un tour », répondit le géant noir en lui souriant.

 

Victor dit à celle qu’il venait d’offrir :

« Rentre, ma chérie, tu vas attraper froid. » 

 

A suivre....

Par Marc F. - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme - Communauté : Couples candaulistes
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