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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

3. Comment j’ai sauté le pas

 

Vous me connaissez déjà. Je continue de raconter ma vie de femme épanouie, mère de famille libertine qui aime le sexe, chaude comme la braise et qu’un rien excite au plus haut point !

 

Je suis Lydia, celle qui,  à près de  trente-cinq ans, a découvert les joies du saphisme dans les bras d’une coquine dans le club que je fréquente régulièrement avec mon mari depuis plus de trois ans. Comment en sommes nous arrivés à fréquenter ainsi ces endroits coquins ? Tout simplement parce que nous avions envie de pimenter un peu notre vie de couple. Dans des revues spécialisées, nous avons passé des annonces pour rencontrer des couples ayant les mêmes envies. Pour plus de facilités, nous nous sommes donné rendez-vous dans ce club où nous faisions plus ample connaissance.

 

Les premières fois, nous ne sommes pas allés plus loin dans ces rencontres pour différentes raisons. Mais, avec Patrick (mon homme) nous avons profité des installations et plus spécialement du hammam et du jacuzzi que j’apprécie particulièrement. C’est tellement bon de sentir les remous masser mon corps aux formes quelque peu généreuses, de sentir les bulles courir entre mes cuisses, remonter le long de ma vulve, agiter le petit bijou de mon nombril et s’épanouir entre mes seins ! Lorsque nous étions bien détendus, nous passions dans la salle des massages où après nous être séchés, Patrick enduisait mon corps d’huiles odorantes avant de me faire l’amour.

 

Longtemps, nous avons rencontrés des couples qui comme nous préféraient le mélangisme à l’échangisme. Le cadre accueillant de l’établissement avec ses coins coquins discrets, son grand salon avec la perche de pole dance, la cage dorée, le lit podium, la salle de massages, tout cela était fait pour nous satisfaire dans une ambiance conviviale. De voir un couple se caresser auprès de nous, cela nous excitait au plus haut point et quand Patrick me baisait je prenais un pied d’enfer tant j’étais chaude ! Progressivement nous nous sommes enhardis, nous avons commencé à échanger des caresses avec un autre couple, d’abord des attouchements aux endroits sensibles, des baisers sur les seins, etc. mais il n’y a jamais eu d’échanges de partenaires. Cela nous suffisait.

 

Puis il y a environ un an, j’ai découvert le saphisme dans les bras de Céline, une grande et belle femme blonde aux longs cheveux frisés. Âgée d’environ 40 ans, c’est elle qui m’a initiée ce soir là. Je n’avais pas précisément envie de faire une rencontre. Avec Patrick, nous voulions profiter du hammam et du jacuzzi et nous prenions un verre au bar avant d’y aller quand un homme est arrivé près de nous en disant que sa compagne me trouvait très excitante !

 

Puis une autre fois, nous sommes allés plus loin. J’étais dans la salle de massage avec mon mari quand une femme et deux hommes sont arrivés pour se joindre à nous. Là, je me suis montrée plus entreprenante avec la femme en l’embrassant et en la caressant aux endroits sensibles. Nos compagnons nous ont prises toutes les deux en levrette, nous étions face à face de part et d’autre de la table de massages et nous nous embrassions sur la bouche ou dans le cou. Au final, nous avons sucé les hommes à deux bouches pour les faire gicler sur nos seins. Le troisième homme s’était contenté de nous mater en se masturbant.

 

Mais il y a quelques semaines, nous avons rencontré au bar, peu de temps après notre arrivée, une couple très sympathique avec lequel nous nous sommes tout de suite sentis bien. Karine et Serge devaient avoir sensiblement le même âge que Patrick et moi, autour des 35 ans.

 

Ce soir-là je portais pour la première fois une tenue très légère de couleur rose fuchsia faite d’un bandeau de tissu couvrant tout juste mes seins opulents et une jupette ultra courte. Les deux étaient réunis par une large bande de filet à mailles serrées. Je portais des bas de même couleur. Bien que la tenue comportât également un string, je ne l’avais pas mis.

 

La femme était une métisse, antillaise vraisemblablement, à la peau d’une couleur brun pale avec des cheveux coupés très courts d’un noir très dense, elle avait d’immenses yeux de biche marron et des lèvres un peu proéminentes sous un nez très légèrement épaté. Plus grande que moi de quelques centimètres, elle avait des formes sculpturales mais assez menues, des seins ronds en forme de poire, des hanches bien galbées sous une taille étroite et une cambrure des reins digne de la reine de Saba ! Elle était simplement vêtue d’un paréo aux couleurs chatoyantes drapé sur ses seins et une ceinture faite d’un cordon doré à la taille.

 

Ils allaient bien ensemble, le mec grand et brun de peau également mais visiblement sans traces négroïdes, devait être soi un sportif soi un adepte de la musculation car sous son t-shirt moulant on pouvait apercevoir sa musculature bien dessinée. C’était la première fois que nous les voyions dans le club. Ce couple était la cible de tous les regards et en moi-même, j’étais assez fière qu’ils nous aient choisis comme compagnons pour débuter la soirée.

 

Quand nous avons achevé de faire connaissance et terminé notre verre de cocktail, nous sommes passés dans le grand salon où deux filles très jeunes se trémoussaient dans la cage et se déshabillant mutuellement devant un parterre de voyeurs des deux sexes. Nous nous sommes ensuite dirigés vers le local du jacuzzi où il n’y avait personne. Nous avons achevé de nous mettre nus, les hommes ont retiré leurs t-shirts et leurs boxers pendant Karine et moi, nous nous ôtions nos derniers vêtements avant je glisser dans le bouillonnement du bassin. L’un comme l’autre nous n’avions pas de string. J’ai découvert sa chatte avec la toison épaisse et frisée taillée en ticket de métro. C’était véritablement une belle fille et même si je ne suis pas franchement bisexuelle, j’avais envie d’elle.

 

Dans le jacuzzi nous nous sommes placés côte à côte, Patrick à la gauche de Karine et Serge à ma droite. Nous étions collés les uns contre les autres bien qu’il y ait eu suffisamment de place pour accueillir encore au moins deux couples. Dans un ensemble bien réglé, nos mains se sont retrouvées dans la fourche de nos jambes. Ma main droite avait saisi le sexe déjà turgescent de Serge et ma gauche cherchait le bourgeon d’amour de Karine qui en faisait autant avec le mien. A voir l’expression de bonheur béat de Patrick, je supposais alors que l’autre main de Karine devait lui faire une gâterie. Jusqu’à ce moment-là, nous ne nous étions pas encore embrassés.

 

Soudain Karine s’est levée, à pris ma main et m’a entraînée hors de l’eau pour me guider vers un des matelas de plage épais et confortables se trouvant à proximité. Nous nous sommes séchées rapidement et là, elle m’a dit :

« Viens Lydia, tu me fais trop envie ! J’ai envie de ta chatte lisse et des tes seins. Je vais te croquer les tétons.

- Oh oui ! Cette caresse m’excite, tu ne peux pas savoir.

- Mets-toi sur le dos que je m’occupe de toi ! »

 

Elle a écarté mes cuisses et elle a commencé un cunnilingus savant, frappant mon clitoris de coups de langue rapides et répétés puis en léchant ma fente pour ensuite darder sa langue au plus profond de ma chatte qui commençait à ruisseler. Ce n’était que les prémices. Elle a abandonné ma fourche pour remonter vers mes seins qu’elle a embrassés et mordillés, faisant saillir mes tétons. Dans ce mouvement elle frottait sa fourche intime sur une de mes cuisses. Je sentais l’humidité sourdre de sa vulve. Elle a continué de ramper ainsi sur mon corps jusqu’à ce que nos bouches se rencontrent dans un baiser ardent où nos langues se sont livré une sorte de duel humide, c’était à celle qui envahirait la bouche de l’autre !

 

Quand nous nous sommes mises en 6 9, Serge et Patrick sont sortis de l’eau. D’un regard, j’ai vu que ces deux coquins bandaient comme des cerfs, certainement excités par le spectacle qui s’offrait à leurs yeux ! La surprise a été totale quand Serge a proposé à Patrick de baiser sa femme. Depuis que nous venions en club, l’un et l’autre nous avions caressé d’autres partenaires, j’avais sucé d’autres hommes, mais jamais nous n’avions été jusqu’à changer de partenaire :

« Vas-Y Patrick, je sais qu’elle te fait envie ! »

 

C’est vrai que c’était un fantasme de mon homme : faire l’amour avec une femme noire ou asiatique. Là il allait pouvoir assouvir cette envie. Karine s’est relevée en appui sur ses genoux pendant que Patrick se couvrait pour la prendre en levrette. Quand il l’a prise un peu sèchement en faisant claquer ses cuisses contre les fesses, j’ai ressenti le choc de cette pénétration virile au travers du corps de Karine qui continuait de m’embrasser. Serge s’était allongé près de nous, le bassin à la hauteur de nos bouches, offrant un sexe long et fin pour que l’une ou l’autre le suce. En fait, nous lui avons offert une pipe à deux bouches qu’il a semblé apprécier. Pendant que j’avais sa pine dans la bouche, Karine lui léchait le mat et les bourses qui battaient entre ses cuisses. Waouh ! C’était chaud ! Je continuais à sentir les coups de boutoir que Patrick assénait à sa partenaire qui soudain me dit à l’oreille :

« Je vais partir, quelle bite il a ton homme, il m’emplit la chatte ! »

 

Pourtant, je ne la trouve pas surdimensionnée, juste à la bonne taille. Elle m’avait à peine dit cela qu’elle se tétanisait, foudroyée par la jouissance qui au même moment emportait Patrick. Ce grand coquin a savouré jusqu’au bout son plaisir, restant de longues minutes dans la chatte de Karine qui reprenait son souffle. Puis ils se sont désunis, Karine roulant sur le dos d’un côté pendant que son homme s’était mis sur le dos de l’autre. Il avait la bite dressée comme un mat vers le ciel et semblait attendre, entretenant sa bandaison d’une main négligente quand Patrick m’a dit :

« Regarde ! Elle est pour toi ! Elle n’attend plus que ta chatte !

- Allez, ma belle, couvre moi la queue et empale toi en amazone ! Face à moi que je savoure la vison de tes seins ! »

 

Puisque Patrick avait baisé Karine, je n’avais aucun scrupule à me faire prendre par Serge ! Je l’ai enjambé aussitôt en me penchant vers lui pour qu’il embrasse mes seins déjà sensibilisés par les attouchements de sa femme. Lentement, j’ai guidé sa longue bite dans ma chatte et quand le gland a été introduit, je me suis laissé descendre jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son pubis. Rien qu’en sentant l’extrémité frapper ma matrice, j’ai eu plusieurs frissons qui sont remontés jusqu’entre mes épaules. Même en jouant avec mes godes, je n’étais allée si loin dans ma chatte et c’était bon ! Pendant que je montais et descendais sur ce pieu de chair qui me fouillait les entrailles Serge jouait avec mes seins, les frôlant d’une caresse enveloppante ou en triturant un bourgeon entre ses doigts. Je mouillais comme jamais, j’avais l’impression de ruisseler et d’inonder mon partenaire de mes sécrétions.

 

A côté de nous, à genoux sur le matelas, Karine nous faisait face, Patrick collé contre son dos lui caressait les seins d’une main et fouillait sa chatte de l’autre. Ces deux coquins n’en avaient pas eu assez ! Ils étaient encore en train de se chauffer. C’est vrai aussi que pour notre premier échange de partenaires, nous étions bien tombés : deux coquins très sexys qui savaient y faire pour donner du plaisir à l’autre ! Nous avons poursuivi la soirée tous les quatre en baisant encore une fois en changeant de partenaire en cours de route. Dès que Patrick est sorti de Karine, il a ôté le préservatif pour finir dans ma chatte. Pour moi, il n’y a rien de plus excitant en fin de baise que de sentir les puissants jets de sperme venir frapper le fond de mon vagin ou de mon cul ! A chaque fois, çà me faire partir dans une jouissance démente.

 

Voila comment nous sommes passés du mélangisme à l’échangisme. Il suffit parfois de trouver les bons partenaires pour sauter le pas ! Mais personnellement je préfère avoir deux hommes pour s’occuper de moi, Patrick et un autre d’une manière générale.

 

…….. à suivre.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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