Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Pour changer, un très beau poème très "hot" de notre ami Emile...
Clair de lune
Merci de ton offrande,
O Vénus callipyge,
Qui soudain dans la chambre
Ton joli cul érige
Et dévoile tes trésors,
Tête baissée, fesses en l’air,
Prête à la petite mort,
Ton joli cul ouvert.
Lucifer guide ma main
Qui soudain en perfore
Les accueillants ravins,
Bienheureux Nicéphore,
Les emplit de désir,
Les possède à l’envi,
Te bouscule à loisir
Et t’inonde de vie.
Soumise mais maîtresse
Ton plaisir tu ciselle
Et t’impose traitresse
En naïve pucelle ;
Ebloui et candide,
Je me laisse abuser ;
De ton désir avide,
Je crois tout contrôler.
Mais quelle satisfaction
De laper ton intime,
Et de ta séduction
Me sentir la victime ;
Tout ton corps est à moi,
Livré, totalement zen,
Je peux au bon endroit
Infiltrer ses avens.
J’aime tes petits seins
Et ton cul de déesse,
J’apprécie en chemin,
La douceur de ta fesse,
Tes mollets bien galbés,
Ton petit pied romain,
Tes jolis bras musclés,
La finesse de ta main.
J’aime bien le toucher
De mon sein sur ton dos
Qui sans se déplacer
Te caresse la peau.
Toujours plus agissante
La vigueur de mes doigts
Entre douce et puissante
N’ignore aucun endroit.
J’érige ton mamelon
Et masse sans vergogne
Ton petit ventre rond
Que, sans fin, je besogne ;
J’enserre ton visage
De mes mains malhabiles,
Embrasse tes lèvres sages
Et ma bouche jubile.
De tes cuisses écartées
Je perçois le langage
Et lors d’un long baiser
Mon esprit fait naufrage.
Ton petit nez mutin
ton oreille bien ourlée,
Et tes lèvres carmin
Je chéris d’embrasser.
Comme Sardanapale
Au feu de ton bucher,
Mon énergie vitale
Je te laisse consumer ;
De bonheur, il est vrai,
Je dirais même d’extase
Lorsque mon verbe haut
Se repait de l’emphase.
Signé : Emile
Derniers Commentaires