Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Un weekend au Cap d’Agde
Je m’appelle Harmonie, trente ans, assez jolie, et je vis en couple avec Rémi
depuis huit ans. Nous avons
officialisé notre union il y a cinq ans. Depuis pas mal de temps, Rémi a un fantasme, celui de me voir faire l’amour avec un autre homme, devant lui. Proposition
que j’ai évidemment toujours refusée. Je suis une femme bien, moi !
Hier soir, par exemple, on fêtait mes trente ans. Après une soirée bien arrosée, mon coquin de mari demande à un de ses potes de rester à la maison cette nuit. Certainement pour assouvir son éternel rêve de candaulisme...
Je préfère les mettre en garde, pour éviter tout malentendu :
« Ne vous méprenez pas les gars, ne tirez pas de plans sur la comète ! »
Après cette mise au point, je vais dans la salle de bains pour me démaquiller. En sortant, je surprends une conversation qui me surprend et me choque :
« Ouah, putain, ta femme comme elle est canon. Tu lui as parlé de ma proposition ? L’autre soir, ma femme n’a pas fait d’histoire quand on a fait cette partie à trois. Tu l’as bien baisée. Elle s’est régalée en plus !
- Je sais bien, répond mon mari, moi aussi je me suis régalé… putain, comme elle suce bien ta femme ! En plus, elle avale ! Ma femme n’est toujours pas décidée… je n’y peux rien, hélas. »
Complètement sonnée, je m’appuie contre la cloison. Je viens de recevoir un coup de massue, en entendant ça ! Comment a-t-il pu me tromper de cette façon ? Oser me faire ça, avec ma meilleure copine, en plus !
Les larmes aux yeux, je regagne ma chambre. Malgré ma tristesse, j’ouvre les enveloppes que nos amis nous ont offertes. Une particulièrement attire mon attention. Elle nous offre un weekend dans un hotel de naturistes, au Cap d’Agde. Je m’endors, à la fois très en colère contre mon mari, et vaguement excitée par cette invitation…
Au matin, sans faire allusion à sa tromperie, j’en fais part à mon mari, qui trouve l’idée géniale. Il faut dire que j’ai une idée derrière la tête.
Une semaine plus tard, nous prenons la route pour profiter de notre cadeau… Il fait un temps superbe quand nous arrivons au Cap. Nous posons donc nos valises à l’hôtel, et sans plus attendre, nous nous engageons sur le chemin qui mène à la plage. Après quelques minutes, nous tombons sur un panneau indiquant plusieurs directions :A gauche « Plage aux loisirs, jeux, boissons fraiches » et à droite « Plage aux plaisirs, érotisme garantie, échangisme. »
Avec aplomb, je propose à mon mari de suivre le panneau de droite. Il me regarde,
médusé, et finit par articuler :
« Toi, sur une plage d’échangisme ? Je n’y crois absolument pas… bloquée comme tu es, j’aimerai bien voir ça !
- On peut essayer, pour me tester, m’étalonner. Ne serait-ce pour voir si je peux encore séduire… Mais attention, tu n’interviens pas, quoi qu’il arrive.
- Ok, me dit-il, l’ai toujours aussi surpris, promis, je prends le risque. »
Je m’allonge sur ma serviette, entièrement nue. Mon mari s’installe à quelques mètres de moi, nu lui aussi, couché sur le ventre. Nous nous envoyons un sourire coquin. Autour de moi, des couples s’enlacent, se caressent, sans aucune pudeur… Je suis ahurie de tout ce spectacle de sexe torride à ciel ouvert. Pas très loin de moi, une brune embrasse un homme à pleine bouche, tout en lui branlant lentement la bite. Une jeune blonde se fait bouffer la chatte par un quinquagénaire bien musclé Je vois son corps se cambrer sous les coups de langues vigoureux et incessants de ce vicieux. Je l’entends gémir de plaisir. Je ne peux détacher mes yeux de ce spectacle, jusqu’à ce qu’elle jouisse en hurlant… Etonnamment, ses cris ne choquent personne… Des hommes vont et viennent, s’arrêtent pour les regarder, se branlent à pleines mains, et parfois, vont même jusqu’à toucher les femmes offertes.
Toute chamboulée, je me détourne de ces scènes qui m’excitent pourtant au plus haut point. Je sens m petit chatte trempée de désir de sexe, pur, abrupt et immédiat. C’est là que mon regard croise celui d’un beau jeune homme, d’une trentaine d’années. Il est vêtu d’un short et d’un tee-shirt qui moule son torse. Sur celui-ci, une inscription me saute aux yeux : « Secouriste ».
L’œil coquin, il m’interpelle :
« Ça va madame ? Je vous sens bien seule.
- C’est vrai…mon époux est allé faire un tour… Sans doute mater tous ces couples qui s’envoient en l’air ! Mais pourquoi êtes-vous habillé ?
- Je suis secouriste. Il arrive que certaines femmes en détresse, s’agrippent à nos parties intimes quand elles sont en danger. On ne veut pas prendre de risques. Voulez-vous que je vous tienne compagnie en attendant votre mari ? peu de personnes se baignent, en ce moment…
- Mais bien sûr », repondis-je, fort émoustillée par ce beau jeune homme, au short si bien rempli…
L’homme s’allonge près de moi, sur le côté, sa tête maintenue par une main. Nous discutons de tout et de rien. Petit à petit, la confiance, mais surtout l’excitation, s’installe entre nous. Je le laisse faire quand il caresse ma cuisse, presque comme par mégarde. Lentement, il écarte mes jambes, et je me retrouve les cuisses écartées, sans pudeur aucune. Je sens le soleil chauffer mon intimité. Il fait courir un doigt sur ma fente. Je sens une agréable chaleur envahir mon corps, et qui m’excite encre plus.
Perdant tout sens de la réalité, je m’ouvre totalement, et m’offre aux caresses de plus en plus précises de mon secouriste.
Dans un sursaut de lucidité, je tourne le regard vers mon mari. Il me fixe, et je devine ses yeux grands ouverts derrière ses lunettes noires. Je le vois même glisser une main sous son ventre…
Avec un aplomb que je ne me connaissais pas, je m’adresse au jeune homme :
« Quittez votre short…s’il vous plait, je veux vous voir nu. »
Sans un mot, Il s’exécute. Le membre en semi érection, est impressionnant, et ne peux résister à l’envie de le prendre en main. Il poursuit ses caresses, quand soudain, il plonge sa tête entre mes jambes. Je n’ai pas le temps de réagir, que déjà sa langue force ma chatte, ses lèvres aspirent mon clitoris. Il fouille ma fleur avec avidité, m’excitant à mort. Je ne veux pas rester pas inactive, et sans hésiter, je prends sa bite en bouche, la suce avec avidité. Il n’a pas le temps de se retirer quand il éjacule dans ma bouche. Sans réfléchir, j’avale la sauce sans sourciller… Sentant que je vais jouir, je l’arrête, lui demande de se mettre sur le dos. Je m’empale sur sa queue épaisse et haute, donne de violents coups de reins. Ma respiration s’accélère. Je me cambre sur cette bite qui fouille mes entrailles sans ménagement. Mon amant du jour me caresse les seins, passe ma main dans mes cheveux. Je n’ai jamais connu une telle excitation…
Soudain, l’orgasme arrive, violent et dévastateur. Jamais je n’ai joui aussi fort ! Pour que mon mari ne perde rien du spectacle, je me suis positionnée de façon à ce qu’il voit tout de cette torride relation. Comment j’ai sucé sa queue, comme j’ai tout avalé quand il a joui dans ma bouche, comment je lui ai léché les couilles, et surtout, comme j’ai crié quand il m’a fait jouir. J’imagine la bite de mon mari forer le sable…Je m’écroule sur mon amant d’un jour, lui dévore la bouche.
Des hommes s’étaient agglutinés autour de nous, j’ai aimé leurs regards de pervers sur moi.
Le secouriste finit par me parler :
« T’as aimé, hein, petite catin ? C’était bon, hein ?
- Oh oui c’était bon, mon salaud… ta queue est tellement bonne....
- Meilleure que celle de ton mari ?
- Chut, tais-toi, il pourrait nous entendre… Tu ne connais pas un coin plus tranquille ?
- Si, me répondit-il, il y a le poste de secours, mais il y mon collègue déjà. Et puis, il n’y a qu’un matelas.
- Hum…il y a ton collègue en plus… et tu crois qu’un matelas ne suffira pas ? »
Je suis déjà trempée d’excitation, à la pensée de deux hommes vigoureux pour moi seule…
D’un regard rapide, je vois mon mari qui nous suit. Je lui envoie un baiser. Pour le faire mousser, j’entraine mon partenaire en le tirant par la queue. Comme il doit en baver, mon pauvre époux… Mais après tout, il l’a bien cherché !
Je monte les trois marches du poste de secours. Son collègue est là, en train de surveiller la météo. Il me dévisage d’un sifflement admiratif. Je suis un peu gênée de me retrouver nue devant deux inconnus. C’est Hervé, le premier secouriste qui brise le silence.
« T’en dis quoi, Jérôme, elle n’est pas belle ma nouvelle recrue ? Et comme elle est chaude, une vraie cochonne ! On va jouer tous les trois…hein que tu veux bien t’amuser avec nous ?
-Enfoirés, bien sûr que je veux… je veux être votre pute cette nuit. »
Je remarque qu’Hervé a laissé la porte entre ouverte, certainement pour que mon mari m’entende crier quand ils vont me faire jouir… Je m’allonge sur le matelas, entre les deux secouristes. Ils ont l’air pressé… Un m’ordonne d’ouvrir la bouche, il y enfonce son énorme queue, et de ses doigts, l’autre pénètre ma chatte en feu bien profond, et fait de violents va et vient. Ils me rendent folle de plaisir. Hervé se met sur le dos, m’oblige à m’empaler sur sa bite bien raide, m’attire sur son torse. Je comprends trop tard la manip. Il veut offrir le côté pile à son collègue. Jamais je n’ai accepté de sodomie !
D’un coup sec, la queue de Jérôme perfore mon petit trou. Là, je ressens une vive douleur, c’est une première pour moi. Je les supplie d’arrêter, que j’ai mal… Pour toute réponse, il s’empare d’un tube de lubrifiant, et me masse copieusement l’anus avec. Tout de suite, je me sens bien mieux, et je prends du plaisir à cette nouveauté…
Ce genre de scène se répète une grande partie de la nuit, et j’y prends de plus en plus de plaisir. Chacun son trou, chacun sa pipe ! Les orgasmes défilent à une cadence infernale. Je suis épuisée, écartelée sur le matelas, mais encore avide de sexe débridé et fou.
En fait, mon cher mari m’a rendu service, en me poussant à découvrir le sexe hard, sans limites…
Péniblement, j’articule enfin :
« Enfoirés, vous m’avez mis mon compte…vous m’avez maquée comme une salope… salauds…
- Pourquoi dis-tu ça ? C’est toi la salope, t’aimes la bite, hein ?
- Son mari ne la baise pas comme ça... poursuit Jérôme, un sourire vicieux sur le visage… c’est meilleur avec nous, n’est-ce pas ?
- Assez, taisez-vous… il doit nous écouter… mais j’avoue que ce n’est pas faux. »
Jérôme, qui a repris ses esprits, se permet de me gratter la chatte avec ses orteils, tandis qu’Hervé se branle pour la énième fois dans ma bouche.
Et moi, comme, une morte de faim, j’avale… j’avale… j’avale… Un peu honteuse, je me dis que cette nuit, j’ai joué mon rôle de pute. Cette nuit, les deux secouristes ont tout simplement vandalisé mon corps consentant. Après une dernière double pénétration d’anthologie, où j’ai encore joui à fond, je quitte le poste de secours vers six heures du matin, enveloppée dans un ciré jaune, gracieusement prêté par les secouristes.
J’ai passé une nuit torride, à me faire baiser comme une chienne, enculer, ou à tailler des pipes…. Et j’ai adoré ça !
En rentrant dans notre bungalow, je trouve mon époux assis, l’air abattu, aux pieds des marches, une serviette jetée sur l’épaule. Je suis sure qu’il m’a entendu jouir quand je me suis faite baiser, qu’il m’a entendu hurler quand j’ai eu droit à ma première double pénétration… Et encore plus, vu que j’en redemandais encore et encore…
Il m’adresse la parole, en balbutiant :
« Mais… ma chérie… qu’as-tu fais ? Pourquoi tu criais comme ça ?
- Ces salauds de secouristes, si tu savais ce qu’ils m’ont fait… De vrais bêtes de sexe ! Ils m’ont fait tout ce que je t’ai toujours refusé … Mais en aurais-tu été capable ? Ils m’ont enculée, je leur ai taillés des pipes, j’ai avalé leur sperme…ils m’ont fait jouir toute la nuit, comme jamais avant…C’est pour ça que tu m’entendais crier. Tu ne pourras jamais me donner tout ça. »
J’éprouvais une joie un peu malsaine à lui assener tout ça, après sa maudite tromperie…
Je continuai sur ma lancée :
« Ah, autre chose, tu pourras inviter tes copains à la maison, pour une bonne partouze, tu verras comme j’aime me faire baiser. Tu le voulais ? Tu l’auras, mon vieux. Evidemment, il est hors de question que tu participes à nos futures petites sauteries, tu te contenteras de m’entendre jouir. Et si tu es sage, tu pourras me regarder me faire mettre par tous tes potes !
- Allez poussin, rentrons…
- Poussin ou cocu…plutôt cocu, ça te va si bien », dis-je en riant.
De ce jour -là ; mon mari a eu plus que son compte ; lui qui voulait tant me voir être baisée par d’autres que lui… il voit ça tous les week-ends !
Et j’adore !
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