Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Pendant cette vague de chaleur que connût le pays, j’avais pris l’habitude de me réfugier dans le bois voisin, en bordure d’une rivière, pour profiter de sa fraîcheur. Les lieux étaient habituellement déserts, seul, de temps à autre, un promeneur croisait mon chemin, m’interrogeant du regard pour savoir ce que faisait seule dans un bois une jeune fille de mon âge. Il faut dire que je n’ai que 21 ans, et suis quand même un peu timide.
J’avais découvert un endroit isolé, que j’avais pris garde de ne révéler à quiconque, une sorte de cul de sac où le lit de la rivière était un peu plus profond, avec un petit tourbillon pour renouveler l’eau constamment. J’y piquais presque chaque fois une tête, après m’être débarrassée de mes baskets, de ma jupe courte, et de mon tee-shirt. Je ne portais pas de soutien-gorge, car je n’aimais pas, lors de cette canicule, m’emprisonner la poitrine, que les mecs trouvaient bien faite d’ailleurs. Je me baignais avec un simple maillot de bain, ce qui parfois m’étonnait moi-même, étant pudique de nature.
Je prenais soin de cacher mes vêtements, posés sur une grosse pierre sous un buisson. Et je restais là de longs moments, je m’agenouillais sur le fond du cours du d’eau, ou, selon le niveau de l’eau, je m’asseyais. Alors, seules dépassaient mes épaules et mon visage, sur lesquels je sentais les rayons du soleil filtrés par les branches. Mes cheveux blonds étaient maintenus par un chignon, de sorte que l’eau pouvait me glacer le cou, ce qui me faisait le plus grand bien. Je patientais en me caressant les seins qui flottaient entre deux eaux, je passais la main sous mon maillot pour me masturber sous l’eau, j’adorais me faire plaisir, toujours bien plus que les jeunes blancs-becs que je fréquentais. Ces caresses étaient douces mais intenses… j’adorai !
Evidemment, je devais prendre garde, car bien qu’isolé, et en recul du sentier qui longeait la rivière, l’endroit n’en restait pas moins visible pour les passants qui, avec un peu d’attention pouvaient me remarquer. Je jouais avec eux un véritable jeu de cache-cache, sans qu’ils le sachent. Je pouvais voir à travers les buissons si quelqu’un venait, aussi bien de la droite que de la gauche, et dès qu’une personne s’approchait je plongeais la tête sous l’eau, retenant ma respiration, jusqu’à ce que je sois sûre qu’elle était passée. Parfois, je me risquais à n’enfouir ma tête qu’à moitié, lorsque je remarquais qu’il s’agissait de beaux spécimens mâles qui arrivaient à ma hauteur. Cette chaleur me donnait des envies irrésistibles de faire l’amour, de jouir sous l’étreinte d’un garçon sexy, mais ma pudeur et la raison l’emportaient quand l’occasion se présentait.
J’avais tort de me croire invulnérable à ce petit jeu, et jamais je n’aurais imaginé que le garçon, plutôt mignon, que j’avais croisé à maintes reprises dans le sentier, aurait eu un jour l’audace de me suivre au loin et de m’espionner. J’appris même par la suite qu’il m’avait pistée de nombreuses fois et qu’il me regardait, sans que je puisse douter de sa présence, lui dévoiler inconsciemment mon corps. Il en profitait pour se masturber au moment où il me voyait me caresser jusqu’à la jouissance.
Ce jour-là, vraisemblablement dans un état d’excitation intense, qui n’avait cessé de croître de jour en jour, il décida d’apparaître. Tout comme avec un autre passant, je l’avais vu au loin, je me dissimulai donc sous l’eau où j’attendais qu’il se soit éloigné suffisamment. Je laissai passer quelques secondes, et quand il me sembla que je pouvais faire à nouveau surface, je remontais à la surface. Toutefois, dès que l’eau eut quitté mes yeux, je l’aperçus, debout sur la berge, immobile, avec un léger sourire.
Je restai bouche bée, incapable d’articuler un mot. Il en profita pour m’adresser la parole : « Vous allez bien, mademoiselle ?
Euh...oui, je me baignais », articulai-je péniblement.
J’étais visiblement gênée, et en cachant tant bien que mal ma poitrine nue de mes bras, je me dirigeai vers la pierre où étaient posés mes vêtements. Sans réfléchir, j’enfilai rapidement mon tee-shirt, qui ne me fût d’aucune utilité pour protéger ma pudeur, il laissait tout transparaître, à cause de l’eau qui tapissait ma peau. Je lui tournais le dos, je n’osais pas me retourner.
Il reprit la parole, sourire aux lèvres :
« J’ai l’impression que l’eau doit être très bonne, j’espère que cela ne vous dérange pas si je me baigne... «
Avant que je ne puisse répondre, j’entendis le bruit de son corps qui entrait dans l’eau. J’étais dans une situation vraiment très délicate, je ne pouvais pas le chasser, c’était un lieu public, et je ne pouvais me montrer. Je me demandai subitement s’il était au moins vêtu de quelque chose pour cacher son sexe...
Sa voix chaude et sensuelle retentit de nouveau à mes oreilles :
« Vous pouvez vous retourner, je ne suis pas nu, ne vous en faites pas... »
Je n’avais pas le choix, il était impossible de quitter la rivière de mon côté, je m’exécutai donc, avec appréhension. Il était à quelques pas de moi, le torse nu, musclé et viril, grand, bronzé. En le voyant ainsi, je sentais que j’allais perdre la tête, je m’en voulais d’être si ridicule dans ce tee-shirt humide.
Une fois de plus, c’est lui qui me parla en premier :
« Ne restez pas près du bord, venez par ici, l’eau y est plus profonde, n’ayez crainte... »
Subjuguée par sa bouche, son regard, je m’avançai en sa direction, je me sentais toute troublée, à la fois par la peur et le désir. Arrivée à sa hauteur, guidée par ses yeux, j’eus la terrible envie de me comporter avec lui comme avec un petit copain, j’enlevai mon tee-shirt pour le jeter vers la berge.
Et le bougre insistait :
« Tu as raison, il ne t’est d’aucune nécessité... »
Sa voix, rendue plus intime par le tutoiement, marquait la surprise, son intention était bien évidemment de me faire l’amour… Mais il ne pensait surement spas que sa cible serait si vite consentante, et encore moins qu’elle ferait le premier pas !
Comme droguée, je n’étais plus qu’à quelques centimètres de lui, ma main glissa sur son torse qui luisait au soleil, le contact de sa peau m’excitait comme une puce. A le voir surpris par mes avances, je craignis un instant qu’il n’avait en fait que des idées pures, et que peut-être je m’étais aventurée trop loin.
Mes ses mains qui se posèrent sur mes hanches me rassurèrent, il m’incitait avec ce geste à nous agenouiller au fond de la rivière. Peut-être était-il lui aussi pudique, et ne souhaitait pas me dévoiler la bosse qui commençait à déformer son maillot ?
Tel est pris qui croyait prendre, trop impatiente de jouir bientôt dans ses bras, je le devançai en lui présentant mes lèvres pulpeuses, je pris même sa tête entre mes mains pour attirer les siennes vers ma bouche. Toujours surpris de me voir aussi entreprenants, il ne savait plus que faire de ses mains, finalement, il commença à parcourir mon dos, pour les plonger ensuite sous mon maillot. Là, sans plus hésiter, il empoigna mes fesses, balayées par le courant. Ces moments de douceur, baignés de soleil et d’eau, étaient exquis.
Je ne connaissais pas la bête de sexe qui sommeillait en moi, je le surpris à nouveau quand je plongeai la main sous l’eau, pour tâter l’organe de mon bel inconnu, il était déjà rigide, dur comme du bois, et me semblait-il, d’une taille plus que respectable. Je le voulais, je le désirais en moi, et tout de suite. Jamais je n’avais ressenti une telle urgence de me faire posseder…
Je me relevai brusquement, debout devant lui, je fis alors descendre sans aucune gêne mon maillot le long de mes jambes, lui dévoilant mon pubis doré, face à ses yeux ébahis, il voulait une partie de jambes en l’air, il allait être servi ! Tandis qu’il restait figé devant mon audace, je lui lançai :
« Allez, enlève-le aussi, mets-toi à l’aise, et montre-moi ta vigueur d’étalon...
Et si on nous apercevait ? répondit-il, semblant un peu gêné.
Ça m’est complètement égal, rétorquai-je. Ccet éventuel chanceux n’aura qu’à se rincer l’œil ! »
Tout en restant agenouillé, il ôta enfin son maillot qu’il lança sur la berge. Je pris la tête de mon esclave consentant pour l’enfouir entre mes cuisses écartées, je sentis rapidement sa langue s’agiter entre mes lèvres, sur mon clitoris. Jamais un cunnilingus ne m’avait fait ressentir autant de plaisir ! Il était doué, l’animal ! Sa langue me pénétrait, me fouillait, m’envahissait délicieusement…
Je gémissais sans discontinuer…
« Mhumm, mhumm, oh le pied, t’arrête pas, je t’en supplie... mhumm… »
Il y mettait encore plus d’entrain, encore plus loin, encore plus vite, plus fort, je fus comblée, et jouissais une première fois dans sa bouche. Je défaillais quasiment de plaisir, mais il m’en fallait bien plus encore ! Je ne reconnaissais pas, tant j’etais assoiffée de plaisirs !
Je hoquetai mes ordres :
« Vas-y maintenant, prends-moi, que je sente ta belle verge me pénétrer et répandre en moi le fruit de ton plaisir... »
Je le tirai par les cheveux pour l’obliger à se lever, j’aperçus avec satisfaction sa puissante érection. Il me prit dans ses gros bras pour me déposer au bord de la rivière, les pieds dans l’eau, le corps sur la terre légèrement boueuse de la berge, chauffé par les rayons du soleil qui plongeaient au travers des arbres. J’attendais, cuisse ouvertes, offerte telle une proie volontaire, qui n’a pas envie de se débattre.
Il étendit son beau corps d’athlète sur mon corps de femme sensuelle, et enfin, nous ne formions plus qu’un. Il s’enfonça avec beaucoup -trop ? - de douceur en moi. Et toujours trop calmement à mon goût, il porta les lèvres à la hauteur de mes seins qu’ils malmenaient de ses mains. Mes mamelons durcissaient sous sa langue adroite, tandis que ses mains balayaient mon pubis et que des doigts agiles se risquaient à l’entrée de mon vagin.
« Saute moi, vas-y, baise-moi comme une bête... » criais-je, n’ayant plus aucune retenue. Je voulais du sexe, brut et sur.
Je le sentis grossir en moi, et s’enfoncer encore plus profondément. Je ne pus m’empêcher de gémir de plaisir :
« Oh oui, comme ça, mhumm... »
Il se cramponna à ma taille pour entamer une longue série de va-et-vient, les gouttes de sueur qui perlaient sur son front tombaient dans mon cou, dégoulinaient sur mes seins. Je sentais le plaisir se rapprocher de son paroxysme au fur et à mesure qu’il augmentait la cadence de ses coups de boutoir. Mon vagin était agréablement torturé par un bourreau en manque de délicatesse. Et le pire est que j’adorai ça ! Ma tête se penchait sur les côtés, les yeux clos par l’intensité de l’action, je devinais mes seins incontrôlables qui se balançaient dans toutes les directions sous ses yeux, pendant que ma main caressait frénétiquement mon clitoris en érection et que l’autre se cramponnait à la terre.
« Oh, je vais exploser... oh ! tu vas tout recevoir... » hurla-t-il dans mes oreilles.
Après avoir une ultime fois augmenté l’allure de sa chevauchée, je sentis la chaleur de sa puissante éjaculation se propager dans mon ventre, au moment où il libéra un râle de plaisir. Cela finit de m’achever, et j’explosais à mon tour dans un grand cri qui déchira le silence de cette belle journée.
Du sperme bien chaud s’écoulait de ma chatte meurtrie, de laquelle il retira sa bite déjà moins ferme. Mon dos était recouvert d’une couche de terre collée à ma peau par la sueur, je me mis assise pour mieux pouvoir savourer les quelques gouttes de cette crème onctueuse qui subsistaient sur son gland, que ma langue enveloppait avec gourmandise.
Il s’allongea au fond de la rivière pour se laver de la sueur qui enduisait son corps, je fis de même, épuisée par tant de jouissance. Puis, avec un dernier regard et un léger sourire, sans un mot, il abandonna sa maîtresse d’un jour pour disparaître dans les buissons, après avoir ramassé en hâte ses vêtements.
Je ne le revis plus, mais je crois vraiment que je pourrai encore compter sur lui, l’année prochaine, sous le soleil de l’été. Il ne le savait pas, mais il avait réveillé en moi une envie de sexe intense, et je sens que les mâles qui passeront à ma portée passeraient un sale quart d’heure !
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