Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Je profite des quelques jours qui me restent avant de reprendre le travail pour vous écrire et vous raconter ce qui s’est passé pour nous pendant ces dernières vacances.
Brièvement, pour nous présenter, nous sommes un jeune couple de vingt-quatre et vingt-six ans, mariés depuis trois ans, sans enfants. Nous habitons dans la région parisienne, et sommes tous les deux professeurs d’éducation physique. Je suis pour ma part une assez jolie femme, brune aux cheveux plutôt courts, de beaux seins bien fermes mêmes s’ils ne sont pas énormes et un cul très ferme et bien galbé dû à tous les exercices physiques que je fais. Et je sais que je plais aux hommes !
Gustave et moi adorons la montagne et l’escalade, et nous passons la plupart de nos vacances à parcourir les sommets européens.
Cette année, nous sommes partis deux semaines du côté d’Innsbruck en Autriche pour découvrir le Tyrol. Après quelques jours pour nous acclimater, nous avons décidé de partir à l’assaut du sommet Verpeilspitze. C’est un sommet de 3 425 mètres d’altitude, qui demande trois ou quatre jours de marche pour l’atteindre.
Au soir du deuxième jour, nous nous sommes retrouvés dans un refuge à 2 000 mètres d’altitude avec un couple d’allemands, accompagné d’un de leur ami. Ils avaient tous la trentaine et étaient très sympa. Le refuge était simple, mais très bien aménagé (rien à voir avec les refuges en France !! ). Après un bon dîner un peu arrosé tous les cinq, car nous parlons assez bien l’allemand tous les deux, nous nous sommes mis à danser au son de la radio du refuge. Rapidement Ute, l’Allemande, s’est mise à danser avec moi en me frôlant, me caressant et surtout me donnant des frissons qui m’étonnaient moi-même.
Je n’avais jamais eu d’expérience sexuelle avec une femme et jamais je n’aurais pensé pouvoir être tentée par ce type de rapport, mais plus le temps passait, plus j’étais excitée par cette femme. Les trois hommes nous regardaient avec une lueur d’excitation dans les yeux, et j’étais surtout excitée de voir Gus (c’est ainsi que je l’appelle) aussi intéressé que les autres.
Ute commença doucement à me déshabiller, et je ne fis rien pour l’en empêcher. Le feu qui brûlait dans la cheminée suffisait à créer une atmosphère surréaliste, je me croyais dans un rêve. Bientôt, je me retrouvais en culotte et soutien-gorge, savamment caressée par cette femme diabolique qui réveillait en moi une sensualité inconnue jusqu’alors...
Soudain, elle prit Gus par la main et l’amena entre nous, et nous avons commencé à le déshabiller lui aussi en le caressant à deux, tout en continuant à danser. Hans et Ludwig nous regardaient en profitant calmement du spectacle. Je vivais un rêve éveillé, sans quasiment savoir si c’était la réalité ou pas. Dire que nous avions une sexualité si sage depuis que nous nous connaissions, avec mon mari…
Une fois Gus en slip, nous avons découvert que notre petite mise en scène l’avait bien excité car sa belle queue était bien dure dans son cocon de toile. Ute enleva son slip et me tenant par les cheveux, m’obligea à me mettre à genoux et à le prendre en bouche. Je me laissais guider avec une docilité qui me surprenait encore plus que le reste ! Elle rythma ma fellation en dirigeant ma tête, et je m’efforçais de suivre ses désirs, m’appliquant comme jamais à le sucer le mieux possible.
Gus, dont les jambes tremblaient d’excitation, finit par s’asseoir sur une chaise, tandis que je me retrouvais à quatre pattes, toujours en train de le pomper sous la férule d’Ute. Elle libéra mes seins et fit disparaître ma culotte afin que je sois nue, dominée par cette déesse blonde, en train de sucer mon mari sous le regard complaisant et appréciateur des deux autres hommes. Une fois de plus, je me croyais dans un rêve, tant c’était inattendu et quasi surréaliste…
C’était pour moi une sensation étrange, je suçais mon mari, mais c’était à Ute que je voulais faire plaisir, c’est vers elle que mon esprit se tournait et peu m’importait qui était l’homme dans ma bouche. C’est pourquoi lorsqu’elle dirigea ma bouche vers la queue de Hans qui s’était approché après s’être mis nu, je ne fis aucune manière pour l’emboucher pas plus que Ludwig juste après. Les trois hommes étaient assis l’un à coté l’un de l’autre et Ute me faisait sucer leurs queues l’une après l’autre. Je pompais comme une salope experte, et j’aimais ça ! Alors que j’avais Ludwig en bouche, Hans alla chercher quelque chose dans son sac, et lorsqu’il est revenu, il mit une capote sur sa belle queue bien épaisse.
Toujours guidée par la main ferme de l’Allemande, je passais à mon mari lorsque je sentis la queue dure de Hans me pénétrer sans plus de façon, et sans caresses. J’aurai dû être outrée, mais pas du tout. Ce fut comme une délivrance, j’avais un besoin incroyable de me faire prendre, je n’étais plus qu’un sexe en ébullition et peu importait qui me comblait. Je changeais encore une fois de queue dans ma bouche lorsque Ute me lâcha les cheveux, elle me dit juste avec autorité de continuer. Je continuais donc à sucer Ludwig pendant que Hans me besognait ardemment. Elle se mit nue à son tour et embouchât Gus qui semblait heureux de ce traitement. Moi d’ordinaire si jalouse, j’appréciai le spectacle, et cela m’excitait encore plus… je finis par jouir un première fois sous les coups de boutoir de Hans, puis de Ludwig. J’étais devenue une chienne en chaleur, insatiable.
Bref, nous avons baisé une bonne partie de la soirée et une fois les hommes épuisés, Ute m’emmena avec elle dans une chambre en souhaitant aux trois hommes une bonne nuit. Je la suivis en regardant Gus dans les yeux, mais apparemment ça ne le dérangeait pas trop. Ute me fit l’amour comme jamais je ne l’avais vécu, sa langue était magique, et elle dévora mon abricot à plusieurs reprises, d’une façon magistrale. Aucun homme ne m’avait léchée ainsi… La douceur de ses caresses me fit jouir plusieurs fois et je m’endormis épuisée dans ses bras.
Le lendemain, nous nous sommes réveillés bien tard et la météo était assez moyenne, Les trois allemands nous proposèrent de faire une petite ballade à flanc de montagne vers un point de vue superbe et de continuer l’escalade le lendemain. Nous avons bien sur accepté.
Gus et moi n’avons pas du tout évoqué la soirée de la veille. C’était comme si, d’un commun accord, nous nous laissions vivre ce qui se passait et que nous verrions par la suite ce que chacun en pensait. Lors de cette balade, je fis un faux pas et me blessais un peu la cheville, rien de grave, mais l’escalade du lendemain se trouvait compromise.
En rentrant le soir au refuge, nous avons trouvé deux italiens dans la quarantaine, plutôt bien faits qui nous accueillirent de manière très sympathique. Le dîner fut très gai même si les deux nouveaux ne baragouinaient que quelques mots d’anglais et que personne parmi nous cinq n’avait de grandes notions d’italien. Très vite l’ambiance se chargea d’électricité, car Ute, qui était assise à côté de moi, n’hésitait pas à m’embrasser longuement devant tout le monde, à me caresser les seins et les fesses. Encore une fois, tout volonté évanouie, et je me laissais faire, me doutant bien de ce qui allait se passer, mais ne pouvant rien faire à l’encontre de mon amante. C’était clair pour moi que c’était elle qui avait les clés de mon plaisir, et je m’abandonnais avec bonheur à son emprise.
A peine le dessert avalé, Ute me déshabilla, et m’offrit aux cinq hommes, trop heureux d’une telle occasion…. Une femme offerte, à toutes leurs envies, qui disait oui à tout…
J’obéissais, faisais des pipes d’anthologie, sans même avoir à qui appartenaient toutes ces bites tendues devant moi.
Toute la soirée, j’ai été prise par les 5cinq hommes sous la direction d’Ute qui les guidait d’une main de fer. Gus n’était que l’un des hommes présents et rien ne pouvait faire penser qu’il était mon mari. J’étais le jouet de mon amante, et elle m’offrait à qui elle voulait.
Lorsqu’en milieu de soirée Hans voulu me sodomiser, ma réaction fit comprendre à ma maîtresse que j’étais vierge de ce coté-là.
Jamais je n’avais laissé un homme me prendre par-là car j’avais trop peur d’avoir mal. Ute pris le contrôle de la situation en repoussant un peu les hommes et en leur demandant de nous laisser seules un moment. Ils pouvaient juste regarder. Elle commença à m’embrasser, me caresser, bref me faire fondre, mon jus coulais de ma chatte encore velue (elle m’a rasée depuis), et elle commença à me doigter le sexe avec plusieurs doigts. Sa langue agile perforait ma chatte brulante. Les hommes nous regardaient, leurs yeux sortaient de leurs têtes. Ils se branlaient à qui mieux-mieux…
Allongée sur la table, les cuisses ouvertes et les genoux remontés vers ma tête, j’offrais mon intimité aux doigts experts de cette allemande qui avait tous les droits sur moi, je savais que ce soir, elle offrirait mon anus vierge aux queues massives des hommes présents. Je savais aussi que ce que je n’avais jamais accepté d’un homme, j’étais totalement heureuse de l’offrir à cette femme. Mon corps lui appartenait. Elle m’installa ensuite à quatre pattes, les épaules à terre, offrant mon cul ouvert et ma chatte de manière indécente aux regards des cinq hommes qui ne disaient mot, bien conscients de ce qui se préparait.
Tout en continuant à me doigter la chatte, elle se mit à lécher mon anus et à y introduire sa langue, je frissonnais de plaisir, c’était divin et je manquais de jouir plusieurs fois, mais avec un instinct éprouvé, elle stoppait ses caresses à chaque fois que j’approchais de l’orgasme. Je sentais mon anneau s’ouvrir et je me rendis compte que je voulais sentir ses doigts dans mon cul, j’en avais besoin, une sorte de vide envahissait mes reins, qu’il fallait combler au plus tôt.
Comme si elle lisait mes pensées, elle fit pénétrer un doigt dans ma rosace, d’une manière un peu brusque, comme en forçant le muscle, mais cela suffit à déclencher ma jouissance. Elle se mit alors aussitôt à remuer lentement son doigt alors que mes spasmes de plaisir s’éteignaient à peine et je ressentis comme un nouvel orgasme poindre dans mon ventre. Elle avait abandonné ma chatte, et se concentrait exclusivement sur mon anus, elle alternait les langues fourrées avec un doigt inquisiteur, puis deux, fouillant mon conduit de plus en plus loin. Je n’en pouvais plus, je tendais mon cul, totalement ouvert, avide d’être possédée dans cette partie du corps dont je n’aurais jamais soupçonné qu’il puisse m’apporter autant de plaisir.
Ute avait maintenant trois doigts enfouis dans mon cul et c’est moi qui bougeais d’avant en arrière avec force pour m’empaler sur sa main, je haletais en poussant des râles et des cris comme je n’en avais jamais poussé, complètement dominée par mon plaisir. Lorsque Ute retira ses doigts en stoppant mes mouvements d’une claque sèche sur mes fesses, je poussais un gémissement de frustration. Elle me demanda si je voulais la queue de Hans dans mon cul et je gémis que je n’attendais que cela…
Equipé de sa capote bien lubrifiée, il investit mon anneau avec douceur, mais fermeté. Je ressentis une douleur vive mais brève, et je jouis rapidement sous les coups de boutoir de Hans. Les hommes se succédèrent dans mon anus, sauf Gus que Ute n’autorisa pas à profiter de ce passage fraîchement ouvert. Elle marquait de cette manière sa propriété sur mon corps et à mon étonnement, Gus n’insista pas, mais il semblait très frustré. Une fois le dernier Italien sorti de mon cul, j’étais encore une fois épuisée et Ute m’emmena avec elle dans la chambre. Elle me câlina et me fit jouir encore sous ses caresses, mais lorsque je voulus lui rendre la pareille, elle me dit que ce serait pour plus tard, que pour le moment, je devais juste me laisser guider par elle. Je m’endormis encore une fois dans ses bras comme une masse. J’en ai même oublié mon mari…
Le lendemain il faisait beau, mais ma cheville ne me permettait pas de monter jusqu’au sommet sans risque. J’étais désolée pour Gus, car je sais à quel point il souhaitait monter là-haut, mais nous sommes suffisamment bons grimpeurs pour connaître nos limites. C’est alors qu’Ute proposa aux trois hommes de faire l’ascension pendant qu’elle et moi les attendrions au refuge. La décision fût vite prise, et bien qu’anxieuse de ce qui allait se passer une fois seule avec ma belle Allemande, j’étais heureuse de me retrouver avec elle. D’autant que les hommes étaient partis pour trois jours et deux nuits puisqu’ils devaient faire une halte au refuge suivant avant l’escalade finale…
Les Italiens étaient partis de leur côté et nous avons bronzé toutes les deux, nues auprès d’un petit lac. Et là encore, malgré le risque d’être surprises, Ute m’a fait l’amour comme je ne l’avais jamais ressenti. Cette fois-là j’ai, pour la première fois, pu la faire jouir à mon tour, en enfouissant ma bouche entre ses cuisses pour déguster son coquillage si parfumé.
Je me sentais comblée de ce moment de calme entre femmes et nous avons beaucoup parlé au bord de l’eau, moments entrecoupés de caresses et de sexe. Pour la première fois, j’étais fière de mon corps, de l’offrir aux rayons du soleil et à ma maîtresse. Ute me confiât qu’elle était très heureuse de m’avoir rencontrée et elle me demanda si je ne lui en voulais pas trop de m’avoir offerte comme elle l’avait fait la veille. En me lovant contre elle, je lui glissais que j’obéirais toujours à ses désirs et qu’elle pouvait m’offrir à qui elle voulait. Le soir nous sommes restées seules au refuge et nous avons encore fait l’amour toute la nuit.
Le lendemain soir, nous avons vu revenir les deux Italiens avec un groupe de trois Français du sud et la nuit a encore été chaude. Encore une fois j’ai été livrée aux appétits des cinq hommes, mais cette fois-là Ute s’est elle aussi offerte et ils ont abusé de nous une bonne partie de la nuit. Jamais je n’avais autant baisé de ma vie, et surtout, sans mon mari. Je n’arrivais pourtant pas à me sentir coupable !
Nous nous sommes bien reposées le lendemain et avons guetté le retour de nos trois hommes. En fin d’après-midi, ils étaient enfin là. Les Italiens et les Français étaient eux aussi présents et je me suis dit que la soirée allait encore être torride. Sept hommes dans le refuge ! Jamais je ne pourrai… ça virait au gang-bang !
Après le dîner, les choses ont commencé à dégénérer, j’allai dire, presque comme d’habitude ! Ute m’a déshabillée pour me faire sucer les queues à la chaîne. Ce n’est qu’au bout d’un moment que j’ai réalisé que Gus et les deux allemands n’étaient pas dans la file.
En me retournant, j’ai vu à ma grande surprise, que mon petit mari était lui aussi en train de sucer la queue de Hans pendant que Ludwig commençait à le sodomiser. Je n’en croyais pas mes yeux, mais pourtant c’était bien ce qui se passait ! Mon mari m’avait toujours dit qu’il refusait de toucher un homme ou qu’un homme le touche. Et là, je le voyais pris en sandwich… Cela décupla mon excitation. Je coulais comme une fontaine !
D’une claque sur la fesse, Ute m’a rappelée à mon devoir et j’ai recommencé à sucer les queues mises à ma disposition, tout en matant du coin de l’œil Gus faisant des gorges profondes à ses deux amants. Encore une fois, je fus baisée et enculée toute la soirée, et je dois dire que moi qui ne me croyais pas un grand appétit sexuel, je commençais à adorer ça. Gus, de son coté, fut utilisé comme moi par les deux allemands et un italien.
Il était dominé par Hans comme je l’étais par Ute, et en allant rejoindre ma maîtresse dans notre chambre, je le vis disparaître dans la pièce où les deux allemands dormaient. C’est la première que nous dormions séparés en étant sous le même toit, et chacun pour baiser comme des bêtes avec nos maitres respectifs… Je me sentais vaguement coupable et honteuse, et en même temps, assoiffée de sexe comme jamais avant dans ma vie.
Nous sommes rentrés maintenant depuis une semaine et en nous retrouvant tous les deux, nous avons vraiment eu l’impression de sortir d’un rêve. Nous avons fait l’amour ensemble pour la première fois trois jours après le retour, comme si nous ne voulions pas effacer trop vite de notre souvenir cette rencontre inoubliable de l’été 2017.
Nous n’avons pas eu besoin de longues discussions pour savoir que notre couple était encore plus fort après cette aventure car nos désirs réciproques étaient maintenant dévoilés et parfaitement acceptés par tous les deux.
Etonnement, je ne suis toujours pas attirée par les filles que je rencontre, mais je suis maintenant ouverte à ce genre d’aventure.
De toute façon, rien n’est encore terminé, car aux vacances de la Toussaint (vive l’éducation nationale), je dois aller passer dix jours chez Ute pendant que Hans viendra s’occuper de Gus...
Je vous tiendrais au courant....
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