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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Depuis des années, ma libido me poussait à offrir mon épouse à d’autres hommes. J’étais un candausliste convaincu, et j’adore voir ma femme faire l’amour avec d’autres hommes…

Ma femme, Coralie, n’était pas vraiment favorable, mais après plusieurs années, elle a décidé de sauter le pas, et de me faire plaisir…

Un soir, elle consentit enfin à s’offrir à d’autres que moi. Blonde et pesant cinquante-cinq kilos pour un mètre soixante-dix, portant très bien ses trente-sept ans, je savais qu’elle n’aurait aucun mal à conquérir la gente masculine. Nous n’attendions plus que la bonne occasion.

 

Un jour de l’année passée, alors qu’elle déambulait en ville à la recherche d’un compagnon de passage, elle fit la connaissance d’Adou. Il s’agissait d’un grand black d’un mètre quatre-vingt-dix pour cent kilos. Il engagea la conversation avec Coralie, ma femme et lui fit très vite comprendre qu’elle était tout à fait à son goût. Elle accepta très vite de le suivre dans un hôtel de notre connaissance. Ce qu’Adou ne savait pas, c’est que je les suivais de près, et que je m’installais dans le placard de la chambre avant qu’ils n’y entrent. J’avais une vue parfaite sur le lit…

 

Parvenu dans la chambre, Adou ne perdit pas de temps, et commença par l’embrasser en se frottant contre elle. Coralie a immédiatement senti le sexe d’Adou contre son ventre à travers le pantalon. Elle comprit très vite que sa taille dépassait de beaucoup ce qu’elle avait connu jusque-là. J’en bandais déjà !

 

Toujours debout, ils commencèrent à se dévêtir. Lorsque le slip d’Adou tomba, dévoilant son sexe en érection, elle savait qu’elle le sentirait passer, mais continua vaillamment à se dévêtir. Sa robe tomba au sol, dévoilant son corps de liane à cet inconnu qui l’effrayait un peu. Pourtant, je savais que ma présence la rassurait un peu.

 

Il se rapprocha d’elle et l’embrassa de nouveau. Ses mains se firent plus hardies et lui pétrirent les seins sans ménagement. Coralie s’assit sur le lit de cette chambre sans âme, et après qu’il eut placé un préservatif, elle s’accroupit devant lui. Elle prit cet énorme sexe dans ses mains et commença délicatement à le masturber.

 

On lui avait dit que généralement les Blacks bandaient mou, mais elle s’aperçut très vite qu’il n’en était rien pour Adou. Son sexe massif de vingt-cinq centimètres sur sept de diamètre était tendu et ferme sous ses mains. Fermant les yeux, elle commença par lui passer de petits coups de langue sur le gland, puis sur la moitié de la longueur.

 

Sentant son excitation monter, Adou lui prit la tête dans les mains pour diriger la bouche de Coralie sur son gland. Elle ouvrit ses lèvres en grand et eut du mal à faire entrer son sexe dedans. Ses dents étaient juste assez proches pour ne pas le blesser. Elle commença à le sucer mais la taille du mandrin était telle qu’elle ne pouvait faire entrer qu’environ cinq centimètres dans sa bouche. Je l& voyais peiner, et curieusement, j’étais encore plus excité…

 

Malgré tout, en utilisant sa langue et en aspirant cette chose énorme, elle parvint à lui donner du plaisir, et il bandait bien plus ferme. Puis, il la redressa et l’allongea sur le bord du lit. Il lui retira son slip et dévoila son sexe joliment épilé. Il se plaça devant elle, lui souleva les jambes qu’il garda serrées et les plaça sur son épaule. Il dirigea son manche tendu vers le sexe de Coralie. Il n’avait eu aucun égard envers elle, aucune caresse, aucune préparation… J’eus quand même un peu peur pour elle….

 

Je vis le doute sur le visage de ma femme. Serait-elle capable d’accepter ce pieu sans être déchirée ? Adou frotta sans ménagement sa bite sur sa chatte qui mouillait quand même. Coralie a toujours eu l’avantage de mouiller généreusement. Elle sentit la pression d’accentuer. Les yeux fermés, elle attendait l’assaut, comme soumise. La taille du sexe d’Adou et sa position firent qu’à plusieurs reprises, son gland glissa contre la fente, sans entrer. Finalement, il le maintint en place et par petits coups brefs, parvint à entrer son gland dans les replis intimes de mon épouse. Elle sentait sa chatte s’écarter et se tendre autour de cet épieu, mais ses sécrétions ayant bien lubrifié ses muqueuses, elles autorisèrent la bite noire à entrer. Poussant délicatement, il arriva jusqu’en haut de son ventre, alors que tout n’était pas entré. Il resta planté en elle durant quelques secondes, sans bouger, puis commença un va et vient entre ses cuisses.

 

De mon côté, je ne pus m’empêcher de me branler, les yeux fixés sur la bite qui perforait ma femme…

L’excitation venant, Adou accéléra son rythme et tapait en haut de son ventre, lui arrachant des gémissements qu’elle s’était promis de ne pas faire. Il la prit durant quelques temps ainsi, puis sortit et lui lécha la chatte. Elle gémit encore plus fort devant cette caresse inattendue.

 

Il la plaça sur le côté, se positionna derrière elle, lui écarta une jambe et remis son sexe dans la vulve. Il avait toujours autant de mal à entrer, et une fois à l’intérieur, sa queue occupait toute la place. Bien qu’il reste collé à elle, elle sentait son ventre défoncé par les coups de boutoir d’Adou. Il lui malaxait les fesses et les cuisses tout en la besognant. Il s’arrêta subitement, et lui demanda de le sucer à nouveau.

 

Avec une docilité que je ne lui connaissais pas, elle s’exécuta, mais toujours avec les mêmes difficultés. Lorsqu’elle le suçait, ses mains avaient tout le loisir de caresser le reste de son sexe resté en dehors de sa bouche. Il la reprit dans la même position et gicla dans son ventre. Il resta quelques minutes, ainsi planté, puis se retira pour changer de préservatif. Il bandait toujours autant, le salaud !

 

Il la fit se placer à quatre pattes et se mit debout derrière elle. Il enfila prestement un préservatif, et voulut rentrer dans son cul, mais toujours inquiète par la taille de l’engin, elle lui demanda d’abord de se replacer dans sa chatte. Comprenant ses peurs, il la lécha de nouveau, insistant sur son cul. J’admirai sa longue langue aller et venir sur l’abricot un peu éclaté de Coralie, et sur son petit anneau brun. Après l’avoir prise par la chatte pour lubrifier son membre, il lui écarta les fesses et se positionna à l’entrée de son cul.

 

Doucement, par petits coups, il commença à entrer. Coralie ne m’autorisait jamais cela, et j’étais un peu jaloux…  Je voyais son anus s’ouvrir démesurément mais n’avait aucun moyen d’échapper aux mains puissantes qui la maintenaient en place. Son gland entré, il continua à s’enfoncer jusqu’à atteindre le fond. Même à ce moment-là, tout son vit n’était pas entré… j’en étais bouche bée… Il resta un moment enfoncé en elle, puis commença à bouger en elle de plus en plus. Elle gémissait, écartelée par cet épieu énorme.

 

Ne pouvant rien faire pour que cela cesse, Coralie se laissa aller. Adou de plus en plus excité se plantait de plus en plus fort dans le cul d’Coralie. Ne pouvant plus se contenir, cette énormité lui labourant le ventre, Coralie criait et hurlait de douleur mélangée à un plaisir qu’elle n’avouera jamais. Ses cris étaient si forts que les occupants des chambres voisines ont sûrement compris ce qu’elle faisait. Cela dura pour elle, une éternité. Lorsque le plaisir montait en Adou, il restait planté dans ses entrailles en attendant que le plaisir redescende.

 

Quelques instants après, il reprenait ses coups de boutoirs, arrachant de nouveaux hurlements à Coralie, jusqu’au moment crucial où il lâcha son sperme en elle. Vaincue, défoncée, et toujours soumise, Coralie restait la tête sur le matelas, les fesses levées, avec cet énorme barre à mine en elle. Lorsqu’il se retira, elle s’écroula sur le lit, vaincue et épuisée. Elle trouva la force de se rhabiller rapidement de peur qu’il ne veuille la reprendre de nouveau. Dès qu’il eut retiré son préservatif, il s’approcha d’elle et l’obligea à le sucer alors que son sexe était encore couvert de sperme. Dans un premier temps elle voulut refuser puis, devant son insistance et pour pouvoir en finir, elle consentit à engloutir son membre. Elle s’appliqua pendant quelques minutes, le léchant consciencieusement. Le sexe d’Adou était si important qu’elle fut obligée d’avaler une bonne partie de son sperme qu’elle ne pouvait rejeter. Ce n’est qu’après cela qu’il la laissa partir, honteuse et totalement défoncée.

 

Il partit rapidement à son tour, et je pus sortir du placard. J’étais ravi et très excité de ce magnifique spectacle. Je rattrapais ma femme chérie dans la rue, et nous sommes rentrés très vite chez nous. Je lui fis l’amour comme jamais, et enfin, je l’entendis jouir sans retenue…

 

 

 

Par Arthur - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Candaule et libertine
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