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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Cela fait déjà pas mal de temps que Marc, mon mari, a un fantasme, faire une partie à trois. Il rêve de me voir prendre par un autre homme. Je me suis toujours opposée à cette proposition, pour le moins indécente ! Nous avons quand même échangé des vœux de fidélité à la mairie et à l’église ! A vingt-quatre ans, je suis fidèle, et même si je suis désirable, je ne suis pas attirée par de telles pratiques. Mais j’avoue que cette idée tourne et retourne dans ma tête, et m’excite au plus haut point. Pourtant, j’en restai à l’idée, en étant parfois un peu honteuse de ces pensées si coquines et déplacées…

Un jour pourtant, tout a basculé. En voici le récit…

 

Voilà maintenant trois jours que j’ai rencontré Bertrand,  à l’occasion d’un séminaire tout près de chez moi. Il est là pour affaires, et a tout de suite saisit l'opportunité de se présenter à moi. Il est d’une rare beauté. Il est vrai que moi aussi, ai un physique assez agréable, et suis souvent courtisée dans des soirées entre amis. Il est vrai aussi que j’aime séduire, allumer les mâles lors de slows langoureux, mais ça s’arrête là. C’est certainement cette attitude qui a donné envie à mon mari de me partager.

 

Il est seize heures, c’est le dernier jour de séminaire, et je m’apprête à rentrer chez moi, quand Bertrand me propose à prendre une coupe de champagne dans sa chambre. Je suis fascinée, attirée physiquement par cet homme débordant de virilité. Troublée, mais séduite,  j’accepte la proposition.

 

« Trinquons à notre rencontre, sourit-il, mais au fait, je ne connais même pas votre prénom.

- Excusez-moi, Claire… Vous êtes là pour quelques jours ?
- Je pars demain, me répond-il. Des contrats à signer, et surtout, rendre visite à un copain de régiment que je n’ai pas vu depuis longtemps. Je n’ai pu venir à son mariage, j’espère qu’il ne va pas trop m’en vouloir ! »

 

Soudain, Bertrand s'approche de moi, prend mon verre qu’il pose sur la table basse. Il me prend par les hanches et m’attire à lui. Je fais mine de le repousser, mais mon instinct de femme me dit que je vais le regretter. Du coup, c'est moi qui, d’autorité, lui prends les lèvres, jusqu’à ce que nos langues se défient. C’est pas que je sois une fille facile, je suis très fidèle en amour, mais j’avoue que là, je ne peux résister…. J’oublie tout, mon mari, mes vœux de fidélité, je ne suis qu’une femme qui a envie d’exploser de plaisirs charnels…

 

Il comprend que les feux sont aux verts. Il descend la fermeture éclair de mon bustier, faisant apparaitre mes superbes seins bien fermes, aux bouts bandés. Le vêtement tombe au sol, vite rejoint par ma courte jupe et mon string. Je n’ai pas esquissé le moindre geste, la moindre résistance.

 

C'est lui maintenant qui se déshabille. J’ai un sifflement admiratif en voyant les mensurations intimes de Bertrand.

Je saisis les imposants attributs, et le pousse vers le lit. Bertrand s'allonge sur le dos, la queue en érection. Je me penche vers lui, comme si j’avais fait cela toute ma vie à d’autres hommes que mon cher époux… Sans hésiter, je titille le gland décalotté et le prend en bouche.  Je le dévore comme une affamée, passant ma langue sur toute la hampe dressée, ke l’aspire, le goûte, le mordille un long moment… Mais c’est autre chose que je veux : sentir au fond de moi cet imposant glaive !

 

D’autorité, je m’y empale en grimpant sur le corps de mon amant, en gémissant de plaisir. Il sourit en me caressant les seins durcis par le désir,  les bouts me fon mal entre ses doigts. Je me cambre pour mieux m'offrir tandis que mon souffle s'accélère. Le membre de Marc est profondément encré dans sa chatte qui connait une crue torrentielle, faite de mouille et de cyprine.

« Vous aimez vous le faire mettre, hein, ma belle garce? Prendre un bon coup de queue, ça fait du bien non ?

- Surtout quand la queue en vaut la peine. Allez-y, niquez moi, s'il vous plait… faites moi jouir… »

 

Bertrand me prend par les hanches, et me culbute sur le lit. Je me retrouve sur le dos, jambes écartées, prise dans la position du missionnaire. Mon partenaire se soulève à la force des bras et se bande comme arc. Son énorme bite me pénètre jusqu’au fond de mes entrailles. Je noue mais jambes dans son dos pour le garder en moi. Ses couilles sont collées à ma chatte, comme si elles attendaient leur tour pour rentrer. A ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps, je sens l’orgasme tout proche.

« Ah… oh oui… salaud… vous me caillez là… je jouis… oui… oui… Venez vous aussi… faites-vous plaisir… ! »

 

Bertrand se retire et viens placer sa bite à deux centimètres de mes lèvres. Quelle est belle, je ne peux la refuser. J’ouvre la bouche et l’aspire, juste au moment ou le sperme de Bertrand gicle au fond de ma gorge. Il m’arrive de sucer mon mari, mais avalé, jamais. Mais là, ce serai dommage, un vrai gaspillage.

« Désolé, s’excuse-t-il, ce n’est pas ça que je voulais, je suis un goujat. Vous ne m’en voulez pas ?

- Bien sur que non, c’est la première fois, il fallait bien commencer un jour. Puis ce n’est pas désagréable… Ce n’est pas tout, mais je dois rentrer, je vais me rincer. »

 

Je m’esquive avec grace vers la salle de bains, et prends une douche rapide.. Il ne faudrait pas que Marc soupçonne quoi que ce soit…

 

Quand je reviens, Bertrand n’a pas bougé d’un poil, Il joue avec sa bite toujours au garde à vous. Mais l’heure tourne, il faut que j’y aille, mon mari doit s’impatienter.

« Vous êtes sure de ne pas vouloir rester encore un peu ? Je pars demain vous savez, on ne va plus se revoir. »

 

C’est vrai que je ne le reverrai plus. Je regarde ma montre, j’ai encore une petite heure devant moi, puis  j’ai tellement envie de jouer encore, prendre un dernier coup de queue. Féline, je marche à quatre pattes sur la moquette, monte sur le lit comme une lionne monte sur son tabouret. La queue tendue est à portée de lèvres, le gland est énorme. Je le suce goulument avec toute ma bouche écartelée, passe ma langue sur le frein. Il pousse un premier râle, je le sens à moi, près à succomber. Je rampe sur son torse velu, jusqu'à son visage, lui prend la bouche.

« Prouve-moi que je n’ai pas eu tort de rester… »

 

Le mâle, qui est piqué au vif, veut rester dominateur. D’un coup, il me fait faire un demi-tour. Je me retrouve sur lui, couchée sur le dos, écartelée. Ses mains enserrent mon corps, caressent mes seins dressés au plafond, investissent ma chatte, doigtent le clitoris. C’est maintenant moi qui suis prise, qui le supplie de me niquer.

« Prend moi salaud… en levrette… j ’ai trop envie ! »

 

Je ne me reconnais plus. Je suis comme une camée qui réclame sa dose. D’un coup de rein, je me mets en position, cambre ma croupe, prête à me faire saillir. Je sens sa queue se glisser entre mes fesses, le gland frôle mon petit trou.

 « Non, il ne va pas me prendre au petit….. !!! j’ai jamais fais ça ! »

 

Je crie comme si je parlais à un autre…

 

Trop tard, sous la pression, mon œillet se dilate. Je m’écroule sur le ventre en poussant un cri de douleur, j’ai l’impression de me faire déchirer. Aussitôt, Bertrand se retire.

« Excuse-moi, dit-il, je ne savais pas.

- Je n’ai jamais voulu que mon mari me prenne par là…. »

 

Gentlemen, Bertrand glisse sa bite dans ma chatte. C’est maintenant elle qui se fait pilonner. Même si c’est plus agréable, je ne veux pas mourir conne. Je glisse une main sous mon ventre, saisit le phallus, et le guide moi-même vers mon petit trou. Il a compris le message. D’une légère poussée, il le pénètre.

-Je ne voudrai pas abuser, tu me dis si tu as mal. »

 

Je serre les dents, mais je m’aperçois finalement que ce n’est pas désagréable, à tel point que je glisse une main sous mon ventre, mes doigts excitent mon clitoris sorti de sa cage, branlent ma chatte pleine de mouille pour atteindre un deuxième orgasme. Je sens la semence épaisse de mon partenaire remplir mon petit trou.

Il me l’a mis, et bien mis. Je couine comme une chienne en chaleur.

 

« Enfoiré…j’ai toujours refusé ça à mon mari…  Quelle figure je vais avoir devant lui maintenant…oh mon dieu, c’est ma faute, c’est moi qui ai insisté pour que tu m’encules… J’ai honte, je m’en vais…

- Mais Claire, ce n’est qu’une petite sodomie, tu ne vas pas en faire un drame… Attends… Ne pars pas comme ça, embrasse-moi au moins… Excuse-moi, je ne pouvais pas deviner…

- T’as pas à t’excuser, c’est moi qui suis une salope. Et en plus, je me suis régalée. Qu’est-ce que tu vas penser de moi maintenant, que je suis une femme facile, une pute ?

- Mais pas du tout enfin, tu me prends pour un goujat, nous avons juste eu une relation sexuelle impromptue. Point. Je ne vais pas te juger. Loin de moi la pensée de te considérer ainsi. »

 

Je ne réponds pas, ne sachant que penser. Je me sens coupable, mais je ressens aussi une pleine satisfaction physique, comme j’en ai rarement ressentie auparavant avec Marc. Tout ceci me semble bien confus…

 

Il est dix huit heures. Je m’habille en vitesse, un gros baiser à mon amant imprévu, et je me sauve. Il me tarde de prendre une bonne douche, et de retrouver mon époux chéri. En chemin, je me traite de tous les noms d’oiseaux. « Catin, bordille, trainée…. » Comment ai-je pu faire avec un inconnu, tout ce que j’ai refusé de faire avec mon mari ???

 

A suivre…

Par L'Amoureux et Sophie - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Divines et Libertines
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