Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
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Bises libertines,
Sophie
Voilà bientôt deux heures que je suis rentrée, que mon mari arrive. Il est vingt heures. On atterrit sur le canapé. Je lui prends la nuque, et l’embrasse sauvagement.
« Hey, me dit-il, qu’est-ce qu’il t’arrive, je t’ai tant manqué que ça ? Hou toi… t’as envie d’un câlin !
- Je t’aime mon amour, ce soir, attends-toi à du féroce, on va se défoncer…
- Ben dis donc, poursuit Marc, t’as vu qui à ta réunion, Eros ? Tiens, on a sonné… tu attends quelqu’un ?
-Qui cela peut-il être à cette heure-ci ? Ne bouge pas mon chéri, je vais ouvrir. »
Quand j’ouvre la porte, j’ai l’impression que le sol se dérobe sous mes pieds. Pourtant, c’est bien réel. Devant moi, en chair et en os, se tient mon amant de l’après-midi… Je chancelle sous le poids de la surprise et une angoisse subite grimpe en moi
« Bertrand, mais tu es fou, qu’est-ce que tu fais là, Comment m’as-tu trouvée ?
- Mais c’est l’adresse qu’on m’a donnée… Non, ne me dis pas que Marc et toi…
- C’est qui ma chérie ? demande mon mari en avançant dans le hall. Si c’est un assureur, tu le vires.
- Bertrand, crie Marc en l’embrassant, je le crois pas, en voilà une bonne surprise. T’es dans le coin ?
- Des contrats à faire signer. Alors avant de partir, j'ai pensé te dire un petit bonjour.
- Excellente idée. Je te présente ma femme, Claire. Voici Bertrand, un copain de régiment, un vrai ami… »
Comme si de rien n’était, Bertrand me tend sa main que je serre mécaniquement. Cette main qui a caressé mon corps tout l’après midi. Ce geste m’envoie comme une décharge électrique dans tout le corps.
« Bonjour Madame, je ne savais pas que mon ami avait une femme aussi ravissante.
- Mais enfin, c’est quoi ça ? Embrassez-vous, et puis, tutoyez-vous… Tu dines avec nous j’espère !
- Je ne sais pas, répond Bertrand, j’ai de la route à faire et n’aime pas trop conduire la nuit.
- Qu’à cela ne tienne, dit Marc, tu coucheras ici, tu partiras demain matin, n’est-ce pas Claire ? »
Impossible d’articuler une réponse. Je suis scotchée, appuyée contre la cloison, en voyant Marc et Bertrand regagner le salon en se tenant par l’épaule. Je me trouve dans une situation plus qu’inconfortable.
Une fois remise de mes émotions, la proposition de mon mari de faire une partie à trois, ressurgit dans ma tête. Cette fois, j’ai la réponse et souhaite fortement qu’il la fasse.
« Euh...oui.oui, bien sur, pas de problème… il y a tout ce qu’il faut.
- Bon, c'est réglé, poursuit mon époux. Je prépare les apéritifs. »
Le repas est un rappel de souvenirs, le régiment, les filles qu’ils croisaient dans les bals de quartiers. Tous ça devant la bouteille de « Get » qui n’en fini pas de baisser. Pendant que je fais la vaisselle, je remarque que mon mari parle doucement, pas assez cependant pour que je puisse capter la conversation. En fait, son fantasme de faire une partie à trois ressurgit, mais ça, je ne le saurai qu’après…
Cela m’excite tellement que je tente le tout pour le tout, et je trouve comme prétexte pour aller préparer la chambre d’amis et j’en profite pour mettre ma tenue de nuit. Marc me rejoint dans la salle de bains, au moment où j’enfile ma nuisette. Il me prend par la taille, m’embrasse dans le cou.
« C’est l’occasion ou jamais ma chérie, qu’est-ce que tu en penses ?
- Mais de quoi parles-tu, mon chéri, répondis-je en faisant l’innocente.
- Ma puce, mais tu sais bien, de mon idée de trio, de te voir faire l’amour avec un autre homme…
- Ah oui, c’est vrai, tu y tiens tant que cela ? Tu en as vraiment envie ?
- si tu savais à quel point, mon amour… soupire Marc.
- C’est vrai qu’il est séduisant, ça peut être un bon coup. Mais lui, lui as-tu posé la question ?
- Il est chaud bouillant, tu veux que je te l’envoie ? Vous ferez plus ample connaissance...
- Réfléchis, mon amour, tu me connais quand je me donne, plus rien ne m’arrête. Es-tu prêt à vivre ça ? »
Marc m’embrasse en guise d’acquiescement et quitte la salle de bains. C’est au tour de Bertrand de me rejoindre. Mais lui est plus entreprenant. Sans aucune hésitation ni aucune gêne, il me prend aussi par la taille, mais sous la nuisette, ses mains me caressent de partout, je sens son souffle chaud dans mon cou.
« Qu’est-ce que tu en penses ? dit-il langoureusement. Il n’y a que toi qui puisses décider de ça. Je ne voudrai pas que…
- C’est ce que Marc veut, je ne veux pas le décevoir ! Par contre, il faut qu’il s’attende à du sulfureux. Il ne sait pas ce qu’il s’est passé cet après midi. Comment je me suis donnée… et toi aussi. Attention, il ne doit rien savoir ! Allez m’attendre au lit. »
Quand je sors de la salle de bain, je vois de la lumière filtrer sous la porte de la chambre. Ils m’attendent sagement dans le lit, la place du milieu étant libre. Il pousse un petit sifflement en voyant mon corps par transparence sous la nuisette. Je me glisse avec délice sous les draps, entre ces deux mâles en chaleur.
Je me tourne vers mon mari et l’embrasse tendrement, tandis que Bertrand se colle à moi. Je sens sa bite, déjà en érection frotter contre mes reins. Lentement, il la place contre ma fente. Je passe ma jambe sur sa jambe pour mieux m’écarter, et libérer l’espace. Je pousse un petit « oh » quand le gland décalotté ouvre mes lèvres intimes. Je murmure aux oreilles de mon mari.
« Oh… Le salaud… quel calibre ! Et quelle paire de couilles…
- Ah bon, rougit mon mari, il est mieux monté que moi ? Je peux voir ?
- Tu vas prendre peur mon chéri, tu vas te sentir complexé… Tiens, regarde… »
Je soulève le drap. Seul le gland est rentré dans ma chatte. Marc peut mesurer l’écart qu’il y a entre son fifre, et la bite de son copain. Je vois, à son regard, un trait de jalousie. Mais je veux qu’il se rende compte que peut-être, sa proposition va se retourner contre lui. Je joue avec les attributs de Bertrand, soupèse les couilles, sors la bite, la rentre, la ressors à plusieurs reprises en poussant des gémissements de plaisir. Mon mari ne peut que constater que, cette nuit, mon corps ne lui appartient plus.
Je m’agrippe à sa nuque, lui griffe les épaules quand le puissant calibre me pénètre entièrement. Marc me soutient, m’embrasse sur la joue, caresse mes flans.
Je sais que Bertrand est un amant merveilleux, il me l’a prouvé. Il laboure mon intimité de façon à la fois sauvage et douce, sans me laisser de répit.. Je sens le plaisir monter en moi, sans rien faire pour le retenir… Je cale ma tête dans le cou de mon époux quand j’atteins l’orgasme, abandonnant mon corps pris de violents spasmes sur l’énorme hampe.
Soudain, Bertrand se retire et vient placer sa bite à deux centimètres de mes lèvres. Je les ouvre et aspire la calibre jusqu’aux couilles, juste au moment où il vide son épaisse semence, dans une interminable éjaculation. Je regarde mon mari stupéfait, yeux exorbités. Je veux qu’il reconnaisse que son fantasme était une erreur. J’ouvre la bouche pour lui montrer le sperme de son copain stocké sur ma langue, et l’avale goulument. Pour enfoncer d’avantage le clou, je nettoie la bite entre mes lèvres, enroule ma langue autour du gland.
« Alors mon pote, sourit Bertrand, quel effet ça te fait de voir ta femme avaler mon sperme ? Tu ne m’en veux pas j’espère ? »
Mon mari fait un signe négatif de la tête. Je vois ses doigts se crisper sur les draps, pour ne pas craquer.
Lentement, mon partenaire se retire, et reprend sa position initiale. Je sens son énorme gland taquiner mon petit trou. J’ai un mouvement de recul quand mon œillet se dilate. Mon mari se rend compte de mon changement d’attitude, me demande ce qu’il se passe d’un hochement de tête.
« L’enfoiré, il veut faire du hors piste… Ca va devenir violent mon chéri, je comprendrai que tu ne veuilles pas assister à ça. Prend la chambre d’ami si tu veux.
- Quoi ? Mais tu n’y penses pas, depuis que j’attends ce moment !
- Mais il veut m’enculer, tu comprends ça ? Il s’est vidé les couilles dans ma bouche, j’ai avalé son sperme, maintenant, il va me sodomiser, deux choses que je t’ai toujours refusées… Ca ne te fait rien ?
- C’était le risque ma chérie, répond mon mari, le plus important, c’est que tu prennes du plaisir, même si ça me fait mal. Tu sais, on a toute la vie devant nous. »
Le pauvre. S’il savait que j’ai passé une grande partie de l’après midi à me faire mettre par son copain… Le pire est qu’à l’instant présent, je n’ai plus aucun remord ! Mon mari se décide enfin de participer, c’est vari qu’il ne lui reste plus grand-chose. Il se contente donc de me caresser les seins, et exciter mon clitoris, si tant est qu’il en est besoin. Mais c’est très agréable.
Finalement, l’idée de mon mari n’était pas si conne que ça, même si lui n’était là qu’en spectateur. Il m’a soutenue quand je hurlais de plaisir au cours de violents orgasmes. Je crois que jamais je n’ai ressenti cela auparavant ! En plaisantant, je lui demande de me nettoyer la chatte avec la langue.
Et la surprise ! Non seulement il me l’a nettoyée, mais en plus, il a nettoyé le gland de son copain d’où suintait encore quelques gouttes de sperme ! Je fus encore plus surprise quand je vis Marc avaler subitement l’énorme hampe jusqu’aux couilles, et entamer une brève fellation !
De façon étonnante, cette courte vision a décuplé mon envie de sexe bien hard…
La nuit s’achève à regret sur cet acte surprenant de la part de mon cher mari… Sans un mot, mon mari rejoint la chambre d’ami, me laissant seule avec son copain. La porte à peine fermée, je m’empale sur le calibre encore bien dressé et dur comme l’acier, pour prendre un ultime coup de queue, avant un repos bien mérité.
Quand je me réveille, Bertrand est à mes côtés dans le lit. Je me lève et vais dans le salon. Là je découvre un petit mot de mon mari :
« J’ai amené la voisine aux urgences. Marc »
Est-ce une excuse pour le laisser un moment seule avec son copain ? Ni une ni deux, je retourne au lit retrouver Bertrand. Je constate que cet homme est increvable : son vit forme un mât sous le drap. Je le retire, et prend la barre de chair en bouche. Je me positionne façon à ce que ses doigts puissent atteindre ma chatte.
« C’est l’heure de ton biberon, sourit-il, vas-y ma chérie, régale toi.
- Hum… finalement, j’aime bien tailler les pipes… C’est Marc qui va être content. »
Je gémis de plus en plus fort quand mon clitoris roule entre ses doigts. J’atteins l’orgasme au moment où Bertrand se vide les couilles dans ma bouche. Ensemble, nous hurlons de plaisir.
J’ai vécu une expérience torride, même si mon mari n’a pas trop participé, à mon grand regret. Mais bon, il a obtenu ce qu’il voulait, me voir baiser avec un autre.
Il est neuf heures, juste quand je sors de la douche où Bertrand viens de me mettre un dernier coup avec son sabre de chair.
Mon mari arrive juste quand Bertrand se prépare à partir. Les deux copains s’embrassent chaleureusement. Marc se retourne pour ne pas assister aux adieux entre Bertrand et moi, appuyé par un sulfureux baiser.
Une fois seuls, Marc me prend par la taille, m’embrasse dans le cou.
« Alors ma chérie, ça t’a plu ? Ca faisait longtemps que je ne t’avais pas entendu crier comme ça.
- Il m’a donné ma dose, le salaud, vu comme il est monté ! Tu ne m’en veux pas d’avoir comparé ta queue à sa bite ?
- Mais non mon amour, puisque c’est la vérité. Au fait, es-tu prête à recommencer ?
- Franchement, non, même si cette expérience était formidable. Tu me satisfais amplement. Il m’a libérée de beaucoup de choses, m’a appris à tailler des pipes, à avaler du sperme, à aimer me faire enculer… C’est toi maintenant qui va en profiter ! Allons au lit mon chéri, nique-moi. T’as pas vidé tes couilles une seule fois cette nuit ! »
Mon mari m’enlace tendrement et m’entraine à la chambre. Nous n’en sortirons que pour le déjeuner.
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