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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il y a quelques années, j’ai vendu La maison dans laquelle je vivais depuis une dizaine d’années. Vivant seul, je n’avais plus besoin d’autant de place, et je recherchais un grand studio ou un appartement avec deux chambres, dont une serait destinée à installer mon bureau avec le matériel informatique et les nombreux volumes de ma bibliothèque. Pour cela, j’ai fait appel à une agence immobilière de la ville, réputée pour son sérieux. Le rendez vous pour l’estimation de ma maison était fixé pour le vendredi suivant à dix-huit heures. Il m’avait été indiqué que la personne à laquelle j’aurais à faire se prénommait Virginie.

 

A dix-huit heures précises, je vois s’arrêter devant le portail de la cour un coupé sport. Une femme vêtue très élégamment d’une veste courte en fourrure en descend. C’est certainement Virginie. Lorsqu’elle traverse la cour pour venir jusqu’à l’entrée de la maison, j’ai tout le temps de la détailler. Grande avec des cheveux châtains clair tombant sur les épaules, elle porte une jupe à mi cuisses et des bottes à hauts talons en peau de couleur fauve. Lorsqu’elle se présente en me tendant la main, je lui donne environ quarante ans. Des yeux gris et une bouche souriante aux lèvres minces légèrement maquillées dans un visage à l’ovale parfait, j’apprécie beaucoup. Nous entrons et je lui offre de se mettre à l’aise. Lorsqu’elle pose sa veste sur un des fauteuils, je découvre sa silhouette. Une poitrine menue est masquée par un chemisier en soie de couleur ambre foncé au décolleté discret, mais qui ne demande qu’à s’ouvrir. La taille est marquée par une ceinture en cuir fauve, et la jupe s’évase doucement sur ses hanches et ses jambes gainées de bas de soie ultra fine. C’est une belle femme et elle le sait.

 

La visite dure un certain temps, car je n’ai jamais eu les plans de la maison. Aussi Virginie doit mesurer toutes les pièces avec un boîtier laser, et reporter les chiffres sur un croquis destiné à refaire un plan sommaire. Nous parcourons ainsi toutes les pièces du sous-sol jusqu’à l’étage, où se trouvent les chambres et une salle de bains. Même si j’ai déjà commencé à vendre certaines choses, principalement des bibelots et des livres, toutes les pièces sont encore meublées. Virginie me fait le compliment du bon goût avec lequel elles ont été décorées. Oui, la maison était agréable à vivre et très confortable. Nous passons ainsi de pièce en pièce et nous arrivons dans ma chambre où se trouve un grand lit de deux mètres de côté. J’ai toujours aimé avoir de la place pour dormir, accompagné ou seul. En fait, dans cette pièce, il n’y a que le lit. Les armoires ont été remplacées par des placards avec des portes coulissantes qui font office de dressing.

 

Pour achever de noter les données mesurées, Virginie s’assoit sur le lit :

« Humm ! Confortable ! » me dit-elle lorsqu’elle en a eu terminé avec les chiffres.

 

Je lui réponds :

« Oui, on y dort bien ! »

 

Et là, elle me surprend en disant que dans un lit, on ne fait pas que dormir…. Serais-je tombé sans le savoir sur une coquine ? Sa jupe courte est remontée sur ses cuisses croisées quand elle a réalisé son croquis. Elle découvre sa pose dans une des portes miroirs qui lui fait face, et au lieu de décroiser ses jambes et rabaisser la jupe, elle l’accentue en rejetant son buste en arrière. La jupe remonte un peu plus pour découvrir le haut des bas. Elle décroise enfin ses jambes et les écarte largement. Je me suis assis près de Virginie sur le lit.

 

Dans le grand miroir, j’aperçois le compas de ses cuisses ouvertes mais, surprise, cette coquine ne porte pas de culotte ! Sa chatte est à l’air libre. Waouuhh ! C’est vraiment une coquine !

« Il fait chaud chez vous, me dit-elle en ouvrant deux boutons de son chemisier, je me mets à mon aise pour continuer. »

 

Je ne sais pas si elle s’est rendue compte de l’effet qu’elle me fait, d’autant que la chaleur la fait transpirer et fait ressortir son parfum capiteux. Je n’ai pas baisé depuis bientôt un mois, et ma bite commence à s’agiter sérieusement dans mon boxer. Je tourne la tête vers elle, qui a repris son croquis et y met les derniers chiffres. Par l’échancrure de son chemisier, je vois un sein, pas très volumineux maintenu par un soutien gorge à demi bonnet en dentelle blanche, qui tranche sur sa peau bronzée. Lorsqu’elle pose sa planche à croquis, elle reprend la pose alanguie de tout à l’heure, et s’étire comme une chatte en s’allongeant entièrement sur le lit. Seules ses jambes gainées par les bottes montantes sont encore au contact du tapis.

 

Je réponds immédiatement à son invitation tacite. Je passe ma main droite entre ses cuisses et je remonte jusqu’à sa vulve, en lui demandant si c’est une habitude chez elle de ne pas porter de culotte. Oui, elle apprécie de sentir le courant d’air lui chatouiller l’entrejambe. Je masse doucement son mont de Vénus avec un doigt replié pour passer entre les lèvres de son vagin. Elle est toute chaude et déjà trempée de mouille.

« Humm ! Continue ! Tu me fais du bien ! » me dit-elle en massant ses seins, les mains passées dans l’encolure du chemisier.

 

Maintenant, j’ai la bite complètement dressée. Virginie se redresse et emprisonne ma main dans la fourche de ses cuisses, j’ai deux doigts dans sa chatte. Elle fait voler son chemisier et son soutif en les envoyant sur le tapis. Elle se dégage et se met en levrette en remontant sa jupe sur ses reins. Je quitte rapidement mon sweet-shirt, mon pantalon et mon boxer. J’attrape un préservatif sous l’oreiller et me couvre la bite. Avec une inconnue, on ne sait jamais ! Je n’ai pas besoin de préparation. Un mois d’abstinence et son manège ont fait déployer ma queue dans toute sa splendeur.

 

Je me place derrière elle, je vois ses fesses rondes et la raie culière qui s’évase doucement. Je m’approche et d’une seule poussée je lui donne l’estocade qui me conduit au fond de sa chatte brûlante. Je reste ainsi quelques minutes, savourant la sensation de ce fourreau de chair qui commence à masser mon sexe avant d’entreprendre le va-et-vient. Je baise Virginie doucement en prenant tout mon temps par des mouvements amples qui me font sortir de sa chatte pour mieux y entrer ensuite. Elle halète doucement et pousse de petits cris lorsque j’arrive un peu plus brutalement au fond. Notre plaisir monte peu à peu et elle commence à s’agiter en faisant tournoyer ses hanches pour mieux sentir ma pénétration. Notre jouissance arrive, soudaine et brutale. Virginie part la première et immédiatement je la rejoins, déversant au fond du préservatif une bonne dose de sperme. Nous basculons sur le côté et nous restons imbriqués l’un dans l’autre de longues minutes avant que ma bite sorte d’elle-même de son fourreau.

 

Ce soir là, nous avons encore baisé une fois. Avant la vente de ma maison, j’ai revu Virginie à plusieurs reprises, chez elle ou chez moi. A chaque fois, ça a été des parties de baise chaudes et inventives. Virginie est une vraie coquine, libertine, bisexuelle. Elle l’avoue et en est fière.

 

Puis nos routes se sont séparées…

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Divines et Libertines
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