Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Avec mon copain Jonathan, nous formons un couple à la fois très libre mais très uni. Nous travaillons tous les deux dans des entreprises voisines sur l'aéroport de Roissy. Nous nous sommes rencontrés il y a deux ans lors d'une fête organisée peu avant Noël pour rassembler les personnels des entreprises « à taille humaine » du secteur.
J'avais tout de suite flashé sur lui, grand gaillard brun à la carrure de rugbyman avec ses cheveux bouclés et un sourire éclatant.
Après les fêtes de fin d'année, nous nous sommes croisés à plusieurs reprises sur le parking commun aux deux entreprises et nous avons sympathisé. Nous sommes sortis plusieurs fois en boite pour danser et nous avons chaque fois fini la nuit ensemble chez lui ou chez moi.
Finalement, j'ai quitté mon minuscule studio pour le rejoindre dans son appartement où nous partageons les frais. Grande brune également à la silhouette longiligne, je suis cependant pourvue d'une poitrine rebondie (85 C) qui attire l'attention. Tous deux âgés de trente ans, nous vivons confortablement avec des salaires plus que corrects.
Amant inventif et infatigable, et moi gourmande de sexe, nous étions faits pour nous entendre d'autant qu'à l'époque j'étais déjà quelque peu exhibitionniste. Sur la plage, je me balade toujours avec des bikinis réduits à se simples triangles ou bien les seins nus.
Dans l'appartement je suis souvent en petite tenue, petit string et soutien gorge à demi bonnet mais en ayant toujours quelque chose à enfiler si quelqu’un venait à sonner à la porte. J'ai la chance d'avoir une poitrine ferme qui excite bien Jonathan.
Nous avons passé un marché : en cas d'aventure, celle-ci doit rester sans lendemain et nous devons nous la raconter dans ses moindres détails. Jusqu'à présent, cela ne nous est pas arrivé mais, c'est à la suite de ce que je vais vous conter que nous avons véritablement basculés dans le libertinage.
Ce matin là, mon copain était parti travailler plus tôt car il devait veiller à la bonne organisation d'une expédition importante et délicate. De mon côté, je bénéficiais d'une journée de repos et je me sentais en manque de sexe.
Nous avions fait l'amour la veille mais il m'en fallait encore. Je suis allée chercher dans la chambre un sextoy acheté récemment par correspondance et que je n'avais pas encore essayé car il était arrivé la veille.
J'attendais une soirée torride avec mon copain pour le sortir mais je n'ai pas su résister. C'est un gode double avec deux bites, une assez grosse et une plus fine. Muni d'une ventouse à la base des couilles qui abritent le mécanisme vibratoire, je l'ai collé sur l'angle de la baignoire. J'ai injecté dans mon cul une bonne dose de gel lubrifiant et je me suis empalée, une bite factice dans chaque orifice.
J'avais choisi la bonne hauteur pour le fixer et j'ai commencé les va-et-vient pour le faire coulisser dans mes deux trous. Devant, j'étais bien remplie et derrière, je ne vous dis pas, quel plaisir de sentir la bite factice entrer et sortir de mon sphincter plissé tout en ressentant les vibrations. Soudain, alors que je sentais ma jouissance monter, j'ai entendu une voix :
« Alors Sylvie, on se fait plaisir ? »
C'était mon copain qui était repassé par l'appartement et m'avait surpris dans cette situation.
« Continue ! », me dit-il alors en ouvrant la braguette de son pantalon pour sortir sa bite à moitié bandée.
Il devait m'observer discrètement depuis quelques minutes.
Il s'est approché de moi pour que je puisse le prendre en bouche. Je massais ses bourses d'une main en suçant sa bite et je continuais à faire les va-et-vient sur mon sextoy. Mon plaisir a éclaté soudain et j'ai continué à sucer Jonathan jusqu'à ce qu'il crache son sperme dans ma bouche et sur mes seins. Il s'est rajusté et nous sommes allés boire un café dans la cuisine. Le soir nous avons reparlé de cette scène.
Jusqu'à présent, mon copain m'avait sodomisée à plusieurs reprises et il n'était pas le premier. Déflorée à quinze ans, ma première sodomie, je l'avais eue à seize ans peu après mon anniversaire ! C’est un de mes professeurs du Lycée qui m’a initiée à l’issue d’un des cours particuliers que je prenais à son domicile. A quarantte ans passés, il était expérimenté et il avait sur être si doux que j’ai pris goût à la sodomie, si bien que j’ai toujours livré mon petit trou assez facilement.
Depuis le jour où mon copain m'avait surprise, il était assez fréquent que lorsqu'il me baisait, il utilise un gode pour le second orifice pour une double pénétration, qui lors de la jouissance, me déchire littéralement.
Puis un samedi soir, Jonathan m'a emmenée dans le centre de Paris pour, m'a-t'il dit « une sortie surprise ». Ce coquin m'a conduite dans un club libertin. Je savais que cela existait, je ne suis pas naïve mais je n'avais jamais fréquenté ce genre d'établissement.
Lorsque nous sommes arrivés vers vingt-trois heures, il y avait beaucoup de monde au bar. Nous avons dit à la barmaid qui officiait les seins nus que nous venions pour la première fois.
Elle a alors appelé une des hôtesses avec laquelle nous avons fait les formalités d’adhésion au club pour l’année en cours. Elle nous a ensuite fait découvrir les salons et autres installations diverses comme le jacuzzi et le sauna.
Elle nous expliquait le fonctionnement et les diverses obligations (toujours porter des préservatifs - il y en avait partout dans les salons - ne jamais forcer quelqu'un à faire quelque chose qui ne lui conviendrait pas, etc.).
Elle me dit à un moment que la robe que je portais n'était pas très appropriée à ce genre d'établissement car trop difficile à enlever aussi, elle me demanda de la suivre dans le vestiaire où je pourrais revêtir une tunique à l'ancienne comme celle qu'elle portait.
Elle laissa à Jonathan le choix de rester avec son boxer ou de revêtir une tunique identique, nouée par des cordons sur les épaules avec une ceinture en sangle. Cette tenue était très pratique et presque tous les coquins qui n’étaient pas entièrement nus la portaient.
C’était très pratique, comme cela on n’avait pas besoin de se soucier de nos vêtements qui étaient en sureté avec nos papiers d’identité et chéquier.
Nous nous sommes changés et nous avons rangé nos vêtements dans des casiers prévus à cet effet avant de gagner le grand salon au centre duquel trônait un immense lit podium rond sur lequel s'ébattaient plusieurs couples. Ils se mélangeaient allègrement en changeant fréquemment de partenaires.
Nous avons joué les voyeurs pour nous mettre dans l'ambiance. Jonathan s'était collé derrière moi en me tenant par les hanches et je sentais sa bite en érection entre mes globes fessiers. Je bougeais imperceptiblement des hanches pour le masser dans ma raie.
D'autres observaient, une main titillant un sein au téton dardé ou fourrageaient dans l'entrejambe de leur complice du moment.
Nous sommes ensuite passés dans un petit salon meublé de deux vastes fauteuils avec des accoudoirs assez hauts, d'une sorte de sellette allongée et dont les pieds étaient munis de sangles.
Il y avait déjà un couple nu, l'homme âgé de cinquante ans au moins, avec une silhouette très mince avec des muscles finement dessinés, était en train de baiser une femme beaucoup plus jeune attachée à plat ventre sur la sellette.
Il faisait de lents mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Nous avions envie de baiser ensemble pour notre première fois. Nous avons ôté nos tuniques et mon copain m'a fait mettre en appui sur l'accoudoir d'un des fauteuils.
Ce n'était pas véritablement la position de levrette, mon bassin était juste à la bonne hauteur pour que mon copain me prenne. Je me suis courbée en avant les bras étendus devant moi, les fesses offertes à la vue de tous.
Placée ainsi, j'avais le visage de la femme en face de moi : très jeune, à peine 20 ans, des cheveux blonds courts, des immenses yeux bleus, un petit nez retroussé, la bouche aux lèvres ourlées et entrouvertes. De part et d’autre de la sellette, je pouvais voir ses seins menus avec un téton à peine marqué. Son visage reflétait l'extase d'une femme bien baisée.
J'ai senti que Jonathan écartait mes fesses pour me faire un cunnilingus par l'arrière. J'ai ouvert le compas de mes cuisses et sa langue est venue lécher mes deux orifices et la partie entre les deux entrées, qui chez moi est très sensible.
Ma cyprine commençait à ruisseler. J'étais prête à subir l'estocade virile de mon compagnon. Ce coquin a calqué son rythme sur celui de l'autre baiseur qui lui faisait face.
Très excités l'un et l'autre, notre jouissance n'a pas tardée. Au moment où Jonathan a lancé au fond de me vagin quelques bonnes giclées de sperme, j'ai joui à mon tour en même temps que l'autre couple. Ayant retiré son préservatif l'homme a achevé de se vider sur les fesses de la fille qu'il a détachée aussitôt.
Les deux hommes avaient la bite encore à moitié bandée. La fille s'est précipitée devant Jonathan et à genoux devant lui, a entrepris de toiletter son sexe.
Ne voulant pas rester inactive, j'en ai fait autant avec celui de son baiseur. C'est ainsi que le changement de partenaire s'est fait.
L'une comme l'autre, nous avons fait renaître une belle bandaison. Les deux hommes se sont couverts et nous avons baisé ensemble tous les quatre.
L'homme avait une bite fine et très longue. Chaque fois qu'il allait au fond de ma chatte, je ressentais comme une décharge électrique. J'avais pu le constater, c'était un baiseur endurant. Il m'a fait jouir deux fois avant de se vider dans le préservatif.
Si mon copain, au début, avait pris la fille comme moi, courbée sur le fauteuil, ils avaient changé de position. Assis dans le fauteuil, Jonathan était chevauché par la fille qui lui tournait le dos. Les pieds à plat sur les cuisses de Jonathan elle faisait des mouvements de bas en haut sur la bite que nous pouvions voir entrer et sortir de sa chatte dépourvue de toison mais aux lèvres intimes bien dessinées.
Il la tenait par les seins et à voir la position des mains il devait lui pincer les tétons. C'était chaud. Ils ont joui en même temps, quelques minutes après nous.
Les deux hommes se sont débarrassés des préservatifs et nous avons bavardé de brefs instants. L'homme était un habitué des lieux par contre la fille en était, comme moi, à sa première expérience en club mais elle avouait librement que c’était une gourmande de sexe.
L'une comme l'autre nous avions apprécié cette possibilité de baiser avec plusieurs partenaires sans contrainte et surtout sans cachotteries. J’avais sauté le pas de l’échangisme.
Avec mon copain, nous avons estimé que pour une première fois cela suffisait. Nous avons quitté le club mais depuis nous y sommes déjà retournés deux fois à un mois d’intervalle.
Nous y avions pris goût et rencontré des gens sympathiques et de bonne compagnie pour ce que nous venions chercher.
C'est ainsi qu'avec Jonathan et l'homme rencontré la première fois j'ai fait l'expérience d'une vraie double pénétration. Oulla ! Qu'est ce que j'ai pu jouir à sentir ces deux pines en moi, Jonathan devant et la bite fine de l'autre homme dans mon cul.
Je sais que je vivrai d'autres aventures sexuelles, mais c'est si bon de s'exhiber ainsi devant les voyeurs coquins des deux sexes !....
Mhumm, ca donne envie...pourquoi ma copine ne veut pas faire pareil ???
Essaie de lui parler du sujet, fais-lui lire des histoires.. peut-etre que l'idée fera son chemin...
Chapeau l'artiste l'introduction dans la matière s'est faite naturellement et on lit le texte jusqu'à la fin avec passion et envie (visible ^^ )
Visible, pour toi uniquement, hélas....
C'est vrai que c'est bien écrit, at que ça se laisse lire.
Bravo.
Merci à toi, d'etre toujours là pour commenter !