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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Nous voici début septembre... L’automne. Une fois de plus, j’ai attendu patiemment ma femme... Tout le week-end. Elle est rentrée à vingt-trois heures trente. Elle n’était pas comme d’habitude, je le remarquais aussitôt. Elle se mit à pleurer...
«  Que se passe-t-il, chérie ?
- Rien, rien... ça va passer...
- Mais enfin, tu pleures... explique moi, je suis inquiet !
- C’est pas grave... mais je suis dépassée.
- Comment cela ?
- Tout ce qui s’est passé pendant ce week-end, j’ai honte de te le dire.
- Ah bon ?
- Oui et jusqu’à ce soir, si tu veux savoir.
- Oui... j’aimerais bien savoir !
- Mais il est tard et demain nous travaillons, et toi surtout, c’est ton premier jour dans ton nouveau travail.
- Le sommeil est moins important que toi, que tes pleurs et que nous…
-Tu sais… »


Laly était hésitante.
« Parle, dis moi tout !
- Ok, vendredi soir, je suis arrivée chez Jacques. Tout s’est passé formidablement bien, il m’a baisée deux fois en me faisant très bien l’amour et nous avons bien dormi. Puis le samedi matin, vers neuf heures, je me suis réveillée et quand j’ai ouvert les yeux, dans la pénombre de la chambre, j’ai vu deux  hommes. J’ai eu peur, mais j’ai alors entendu la voix de Jacques qui me disait de ne pas avoir peur, qu’il était là. Puis mes yeux se sont habitués et j’ai reconnu les deux hommes. Il y avait, notre boucher et l’autre... (Laly hésitait) c’était... mon patron. Tu te rends compte, notre boucher et mon patron !


- Mince, ça alors, il exagère, et alors ???
- Alors, j’ai dit non... J’ai supplié Jacques de les faire sortir, mais il à dit que je devais obéir, sinon il ne voudrait plus de moi. Tu comprends, je ne peux plus me passer de lui, maintenant. Alors, mon patron s’est avancé et il m’a caressé la cuisse, le boucher lui est venu me caresser les seins... Et j’ai sombré dans le désir. Puis ils m’ont fait sucer leur bite, puis ils m’ont prise chacun leur tour. Jacques prenait des photos. Ils m’ont fait jouir, les deux salauds. Puis ils sont partis.
- Tu as dû être blessée dans ton amour propre, ma chérie…
- Avant oui, mais après, j’étais juste une femme qui se faisait prendre par des hommes. Mais ensuite, je me suis posée beaucoup de questions, mais nous en reparlerons... à la fin de mon histoire du week-end.
- Ok chérie, continue.

- J’en ai parlé avec Jacques, et il m’a rappelé qu’il m’avait prévenue qu’il allait me pervertir et que ce matin, c’était seulement un avant-goût. Alors, il m’a allongée à plat ventre sur la table de la salle à manger et il m’a enculée longtemps et j’ai encore jouis. Le soir, il m’a dit que nous attendions de la visite, et vers vingt-deux heures, on sonnait au portail. Jacques m’a dit d’aller ouvrir, nue. J’ai traversé je jardin de devant et j’ai ouvert le portillon. Je me suis retrouvée en face de plusieurs hommes. J’ai immédiatement reconnu le premier et je me suis cachée derrière le portillon. Ils sont entrés. J’ai fermé le portillon et tous me regardaient, l’air vicieux.

Il y avait, tiens toi bien... Jean, le fils de carrossier, Robert... oui, Robert l’employé de Mairie, Albert, le garde chasse, Romain... le comptable de ma boite, Xavier le pompier et surtout et aussi... notre banquier, le salopard !
- C’est pas possible... tous ???
- Oui ils étaient là tous les six, et Jacques les a fait passer dans le jardin de derrière et leur a dit de se foutre à poil, que la salope était impatiente de les satisfaire. Jusqu’au petit matin ça a duré. Je ne te raconte pas, car j’en suis incapable, qui m’a fait quoi et comment, mais je suis certaine qu’ils m’ont tous baisée et enculée chacun leur tour, et que tous ont éjaculé dans ma bouche. Jacques a pris d’autres photos et a même filmé. Je peux te dire aussi qu’ils riaient et parlaient de nous et de toi.
- Ils disaient quoi ? demandai-je, tremblant de savoir la réalité.
-Tu veux vraiment savoir ?
- Ma foi, oui…
- Bon. Je ne sais pas qui exactement, mais j’entendais :
- A la salope, je n’aurais jamais espéré me faire Laly, cette belle petite de dix-neuf ans
- Putain qu’elle est belle !
- Je ne savais pas que c’était une pute, la femme d’Alain !
- Alain, merde alors, il est cocu grave !
- Eh les mecs, j’encule la femme d’Alain !
- Eh les cops, elle avale mon sperme, la femme d’Alain !
- Je jouis dans la chatte du cocu Alain !
Et j’en passe et des meilleures... J’étais pleine et couverte de sperme. Je me suis endormie sur la balancelle... et je me suis réveillée vers treize heures. Jacques était aux petits soins et m’avait préparé un déjeuner copieux.

- J’en suis tout catastrophé, soupirai-je, accablé. Donc, presque toutes nos connaissances savent…
- Oui, mais attend la suite, me répondit-elle, narquoise.
- Quoi... encore ?
- Tu sais d’où je sors là, il y a trente minutes ?
- Ben, non !
-  J’étais à cent mètres de la maison, chez Marcel R.
- Chez Marcel ‘ Mais pourquoi ??
- Jacques m’y a amenée vers dix-huit heures. Marcel avait préparé un buffet campagnard. Mais curieusement, nous n’étions que tous les trois. Marcel m’a détaillée des pieds à la tête et m’a dit que depuis longtemps, il rêvait de moi et que de savoir que j’étais une salope, il n’en revenait pas. Jamais il n’aurait pensé que la femme d’Alain était une pute. Puis il m’a touché les seins en disant que j’avais la paire de nichons la plus belle qu’il n’ait jamais vu. Jacques a enlevé ma robe et j’étais à nouveau nue. Marcel bavait... Tu le connais cet obsédé sexuel, ce vieux pervers...

Il m’a fait mettre à genoux, il a sorti sa queue de dessous son gros ventre et il me la collée dans la bouche. Il a éjaculé en trente secondes en me maintenant la tête pour que j’avale son sperme, ce vieux dégoûtant.
-‘ Donc, même Marcel…
-‘ Marcel, oui... Marcel et les autres...
- Quels autres ?
- Je continue.... Et Jacques à téléphoné, il a dit à son interlocuteur qu’il pouvait envoyer les suivants.... Alors, il m’a dit d’aller m’allonger sur la table basse du salon, sur laquelle il y avait un tapis d’ailleurs. Puis Marcel est venu, m’a écarté les cuisses et il m’a sucé la chatte pendant cinq minutes Je commençais à jouir quand il s’est arrêté et a rejoint Jacques.

Moins de deux minutes après, quelqu’un est entré. J’ai entendu Marcel lui dire de se foutre à poil, que j’étais disponible pour lui dans le salon. Je n’étais même plus inquiète, mais curieuse de savoir qui c’était. Il est entré et j’ai reconnu Daniel B... Lui aussi a semblé surpris, mais il a dit que Jacques n’avait pas menti, que c’était bien Laly, la belle Laly qui se trouvait là devant lui, offerte. Il ne cessait de répéter : « ce n’est pas possible, Laly »...

Il s’est jeté entre mes cuisses et il m’a pénétrée d’un seul coup. Il m’a baisée à sa guise et il a joui. Il s’est relevé et il est venu m’embrasser à pleine bouche puis il est sorti du salon.
- Daniel B... Merde !
- Je n’ai même pas joui, tant il a été rapide, ce con !
- Et après ?
- Après il y a eu le défilé, Jacques a choisi toutes nos connaissances, dont je me souviens parfaitement ... Je commence, dans l’ordre :

-      Kamel, le jardinier arabe, lui il m’a baisé la bouche et il a joui, planté au fond de ma gorge.

-      Jean, notre voisin de la maison en face, lui il m’a baisée normalement.

-      René, notre voisin, le mari de Laure, il m’a baisée aussi et j’ai joui une première fois.

-      Jacques, l’autre, le patron du café tabac, qui m’a baisée avec sa petite queue.

-      Yann, le jeune qui travaille à la station. Lui il m’a enculée.

-      Roland G... qui m’a aussi enculée.

-      David, le frère de Jany, il s’est branlé et il m’a arrosée de son sperme.

-      Franck, le chef de la bande de jeune qui sont souvent sur la place, qui m’a enculée.

-      Et enfin le meilleur pour la fin, mon oncle... Jean Yves... Il a simplement dit que jamais il n’avait osé espérer baiser sa nièce. Il m’a baisée à fond.

Et je peux te dire que là encore les commentaires qu’ils faisaient, soit quand ils étaient seuls avec moi ou quand ils étaient entre eux dans la salle à manger, étaient du même genre que les autres de la veille. Mais celui de mon oncle c’était le pire. Il a dit qu’il viendrait souvent chez sa nièce pour faire te faire cocu dans ton propre lit. Enfin Jacques m’a dit de rentrer. En passant devant tout le monde, ils m’ont encore touché les seins et les fesses et certains m’ont embrassée avec leur langue baveuse. Ils m’ont dit d’aller te dire qu’ils venaient de prendre ta pute de femme. Et me voilà… »


Je ne parlais plus, je ne savais pas quoi dire après cette longue tirade de cauchemar.
Alors, Laly enleva sa robe et je vis son corps si beau, je vis les traces de sperme sur elle et celui qui coulait entre ses cuisses.
Elle comprit mon désir. Elle vint sur moi, enjamba mon visage et plaqua sa chatte sur ma bouche.
« Bois le sperme bien chaud de mes amants qui viennent de se vider dans moi, bois cocu ! »


Je me jetai sur elle, et la léchai goulument. J’avais la bouche remplie du foutre qui coulait et je m’en régalais.
Elle se leva, je voulu l’attraper ...
« Ah non... pas toi. Jacques ne veut pas. Il me pervertit pour lui, pas pour toi. Je lui appartiens et je fais ce qu’il me dit de faire avec qui il veut. Je vais être gentille avec toi, je vais branler ta petite queue… »


Elle prit mon sexe dans sa main et me masturba et je jouis en une minute, tant j’étais plein d’excitation.
« C’était bon chéri d’amour ? me demanda-t-elle, souriante.
- Oui, surtout après ce que tu viens de me raconter, presque tous ceux qui te regardaient en te désirant t’ont eue. Tous ceux qui me jalousaient ma merveilleuse épouse l’ont baisée ou enculée.
- Et ça te plait d’être cocu à ce point ?
- C’est excitant, très excitant de savoir que sa femme est une salope, la pute du village, la femme publique, en quelque sorte, mais au fait, pourquoi pleurais-tu ?
-Je me fais beaucoup de soucis, je me suis avilie avec tous ces hommes, et maintenant je ne sais pas ce qui va se passer, et en plus, il y a mon patron et mon oncle. Et il y a Jacques... Dont je ne peux plus me passer, il me rend folle, je crois.. que je l’aime.... Différemment de toi, mais je l’aime. Je suis désolé de te l’avouer, Alain. Tu vois, même en ce moment, je voudrais être avec lui, dans ses bras. Voilà pourquoi je pleurais. ‘
- Je comprends, chérie, je comprends.
- Tu comprends quoi ?
- Je comprends pourquoi tu pleurais.
- Ah... et est-ce que tu comprends que nous sommes allés très loin, que nous avons dépassé le point de non retour, que nous ignorons, toi et moi, ce qui va se passer demain, après demain, avec tous ceux qui m’ont prise ? Ils vont se parler entre eux et en parler aux autres, ça ne va qu’empirer. J’espère que Jacques dominera la situation. »


Lâchement, je ne répondis pas.

Le matin, nous nous sommes très peu parlés, nous somme partis chacun de notre coté à notre travail respectif.

Le soir, je suis rentré avant elle à dix-neuf heures. Elle est rentrée à vingt heures trente. En dînant ; elle m’a expliqué son arrivée tardive. Jacques lui a téléphoné et lui a demandé de passer chez lui au sortir du bureau. Il lui a dit qu’elle n’avait rien à craindre de son patron, ni du comptable, ni d’aucun de ceux qui m’avaient prise, qu’il gérait la situation.
Il l’a informée que c’est lui qui provoquerait les situations qu’il voudrait et que je saurais que ça vient de lui. Je fus un peu rassuré.


Le mois passa très vite... chaque jour Laly avait une nouveauté à me raconter.
Un jour s’était untel qui l’appelait sur son portable en disant que Jacques lui avait donné son numéro de téléphone et lui disait de venir à tel endroit. Et bien sur il la prenait. Elle se faisait baiser et/ou enculer ou elle devait sucer et avaler le sperme. Elle rentrait souvent après vingt-deux heures.


Un autre jour, c’était son patron ou le comptable qui après l’avoir convoquée la prenait dans leur bureau. Elle me dit aussi qu’un soir, Kamel l’avait emmenée dans les bois. Il l’enculait lorsque trois de ses copains arabes sont apparus et elle a dû les sucer et boire leur sperme à tour de rôle.

Mais la chose la plus terrible pour elle, c’est que tous les week-ends, elle ne les passait plus avec Jacques, mais avec son oncle qui ne se lassait plus de la prendre plusieurs fois par jour. Enfin ses règles arrivèrent et elle pu souffler un peu.


Pour moi, ce fut dramatique, tant j’aime ma femme. Mais pour elle, ce fut le bonheur.
Le dernier jour de ses règles, elle m’annonça que son patron lui accordait un mois de congés supplémentaires. Qu’elle partait demain pour aller vivre un mois complet avec Jacques dans sa maison de Montpellier.

J’en fus tout chagrin... mais je me devais d’aller jusqu’au bout de ce que j’avais accepté de vivre : Laly était bien la femme de Jacques.
Je n’eu plus de nouvelle... j’étais triste et malheureux et pourtant j’étais heureux de ma condition de cocu. Je me branlais tous les soirs et pensant à Laly et à Jacques.

Et un jour, le mois d’octobre était bien entamé, elle me téléphona :
« Alain, mon chéri, nous sommes revenus, je suis chez Jacques, je vais encore rester avec lui quelques jours, je prolonge mes congés.
- Tu me manques Laly... Je t’aime... combien de jours ?
- Ah ça je ne sais pas, c’est lui qui décide !
- Tu vas bien mon amour ?
- Très bien, en pleine forme.
- Et...

- Bon je te laisse, à bientôt. »

Elle raccrocha, sans me laisser terminer ma phrase.
Un soir, rentrant de mon bureau, je la trouvais à la maison. Bien installée dans un fauteuil.
« Chérie, tu es enfin de retour, mais pourquoi, pourquoi si longtemps, oh mon amour tu m’as tant manqué ! 
- Oui mon chéri, je sais, je te comprends mais c’était nécessaire.
- Nécessaire ?
- Oui évidemment, je n’ai pas eu mes règles et il a bien fallu attendre quinze jours pour faire le test et ensuite attendre une semaine pour le confirmer ‘
- Le test ?
- Oui le test de grossesse, mon chéri.
-Tu veux dire que…
- Oui, mon chéri, je t’annonce que je suis enceinte de Jacques !
- Enceinte ??
- Oui, c’est bien ce que nous avions prévu, non ?
- Oui, mais bon, je suis tout retourné.
- Je m’en doute…
- Tu m’apprends que tu es enceinte d’un autre, fût-il Jacques, je suis tout bizarre…
-‘ Je suis enceinte de Jacques et j’en suis heureuse pour moi et pour toi.
- Pour moi ?
- Mon chéri, Jacques te fais cocu depuis longtemps, toi et moi nous sommes mariés, soit, mais je suis sa femme à lui aussi ne l’oublie pas, c’est à lui que j’appartiens désormais, maintenant il m’a fait un enfant, c’est normal, c’est avec lui que je couche et que je baise, plus avec toi et je suis heureuse que tu sois un bon petit mari bien cocu et content de l’être !
- Vu comme ça, je suis d’accord avec toi, c’est vrai que je me sens vraiment cocu …
- Et quand mon ventre va grossir tu le constateras encore plus et tiens-toi bien, tous le village sait que je suis avec Jacques, ils savent tous que je vis avec lui depuis presque deux mois, car il ne se cache plus tu sais, et il a aussi invité des copains chez lui et comme tu le sais aussi, je suis toujours nue même devant tout le monde, il est si fier de sa jeune femme... Si tu savais comme je l’aime... Il me baise, il me baise, sans arrêt, j’en suis même fatiguée et je ne compte pas qu’il m’encule et me fait boire son sperme.
- Bon ceci dit, tu as faim, tu veux dîner avant de te coucher ou tu préfère regarder un bon film ?
- Rien, je repars chez Jacques, il m’attend, il m’a juste dit de venir t’annoncer la nouvelle
- Oh non !
- Si je repars et dorénavant jusqu’à l’accouchement, il inverse tout. J’ai arrêté de travailler. Il a d’autres vues pour moi. Maintenant, la semaine du lundi au vendredi je serais chez lui. Le samedi et le dimanche, je serais avec toi... enfin, je t’expliquerai mieux samedi matin. »


Elle est donc repartie chez Jacques, sans que je puisse rein dire, impuissant mais consentant...

Samedi matin, elle est revenue à neuf heures. Radieuse et rieuse.
« Alors voilà je suis là avec toi, mais les règles sont toujours les mêmes et en plus, je ne dois pas dormir avec toi. Tu seras dans la chambre d’amis. Mon oncle viendra un  week-end par mois dormir avec moi, mon patron aussi, et les deux autres week-ends seront à la convenance de Jacques. »


Je savais n’avoir pas droit à la parole, j’avais accepté de vivre cette longue et terrible expérience et maintenant, seule Laly pouvait y mettre fin quand elle le voudrait.

Elle s’approcha de moi, tendrement, posa un baiser sur mes lèvres :
« Ne t’inquiète de rien, Alain, je sais ce qui est bon pour nous, fais moi confiance.
- Je te… »


La sonnerie de la porte d’entrée retentit..
« Ah ce doit être mon oncle Roger.
- Déjà ! ‘
- Il est impatient... mon tonton, zut, j’ai oublié, il faut que j’aille lui ouvrir étant nue, vite je me déshabille... »


Il entra et embrassa, sa nièce sur la bouche comme pour bien me montrer qu’il était son amant.
« Bonjour Alain, tu vas bien, il y a longtemps que nous ne nous sommes vus, n’est-ce pas ?
- Oui, et pourtant nous ne sommes pas loin...
- Il aura fallu que tu sois le cocu du village et que ta femme en devienne la pute pour que nous soyons réunis !
- Hummm….
- Alors, comme ça, tu es un vrai cocu volontaire... Je n’y aurais jamais cru, tu sais... j’ai connu tes parents lors de votre mariage, et je ne sais pas si ton père apprécierait cette situation, mais enfin, à chacun sa vie... Quant à ma nièce, ça c’est une aubaine que je savoure depuis quelques temps. J’envisage avec la complicité de Jacques de le faire savoir à son père... Je suis certain qu’il ne dirait pas non lui aussi pour baiser sa propre fille !
- Tonton, tout de même, pas ça... protesta Laly.
- On verra, on verra ... Mais maintenant viens me sucer devant ton cocu ! »

Il enleva son pantalon et sortit son sexe qui était très gros.
Il était débout, Laly s’agenouilla devant lui et le goba. Elle le suçait avec application.
« Suce ma petite, suce bien la bite de ton oncle, suce ma pute adorée, oui, oui vas-y ! »


Il tenait Laly par la nuque et baisait sa bouche, il s’en servait comme de sa chatte. Il s’y enfonçait profondément, à grands coups de bite. Il dura longtemps... et explosa sa jouissance.
« Avale ma chérie, avale le sperme familial, tiens salope, je jute dans ta gorge ! »


Il avait joui et Laly avait bu.
Il se déshabilla complètement et nu aussi, il me dit :
« Alain, sers nous un café. »


J’allais dans la cuisine pour faire ce que l’oncle demandait. Quand je revins, il était attablé et Laly était assise sur un de ses genoux. Il caressait ses seins.
« Assois-toi Alain…
- Merci.

- Alors, dis moi un peu... ça te plait que je baise ta femme ?
- C’est complexe et compliqué à expliquez, tu sais.

- Oui je comprends, mais tu sais que Laly est la pute du village... et que d’autres la baisent souvent, mais surtout que Jacques la garde avec lui et qu’elle porte son enfant !
- Oui je sais tout ça ...
- Tonton, je ne crois pas que ce soit un sujet de conversation auquel Alain souhaite répondre, dit Laly.

- Alors, répond à sa place.
- Alain et moi, avons pris ce chemin par hasard, et je me suis rendu compte qu’il était ce qu’on appelle un cocu consentent ... et moi, je me suis révélée être une vraie salope ... donc nous avons continué dans cette voie et nous en sommes heureux tous les deux, voilà tout.

- L’essentiel est que je profite de cette situation et que je puisse te baiser, baiser ma nièce si belle, et que tu sois ma jeune petite pute…. »


La journée passa simplement... en famille.
Le soir, Roger et Laly allèrent dans notre chambre et j’entendis leurs ébats... L’oncle fit l’amour à sa nièce et je reconnus les cris de jouissance...
Je compris également qu’il l’enculait quand elle dit :
« Oh tu es aussi gros que Jacques, heureusement qu’il me prend par là souvent ! »


Ils firent l’amour une bonne partie de la nuit. Le dimanche, il la prit encore le matin et la nuit. Lundi je quittais la maison à six heures trente, ils dormaient.
Le soir.... Quand je rentrais, Laly avait déjà rejoint Jacques pour la semaine.

 

A suivre...

Par Anonyme - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme - Communauté : Candaule et libertine
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