Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Après une nuit agitée, au cours de laquelle je n’ai trouvé qu’un semblant de sommeil vers quatre heures du matin. Au cours de cette
nuit, je revoyais les images de ce que j’avais osé faire la veille. Mon esprit somnolait, divaguait, je m’imaginais prise par plusieurs hommes dans un sex-shop. Je fus réveillée par le réveil à
six heures trente. J’avais, inconsciemment sans doute, posé ma main droite sur mon sexe et je constatais que toutes ces pensées de la nuit ne me le laissaient pas indifférente. Mon sexe avait une
moiteur que je connaissais bien.
Après une bonne douche, vint l’épreuve de l’habillage. Patrick, mon boss, avait dit :
« Fais-toi belle », à présent je savais ce que ces mots voulaient dire dans sa bouche.
Je commençais par un string ficelle blanc, le plus miniature que j’avais dans mon tiroir. Autant dire que je n’avais rien, mais c’est
là justement que tout réside. Je décidais de le porter suffisamment haut afin qu’il dépasse de ma jupe et que ceux à qui je l’autorise puisse voir ce que je porte. J’optais ensuite pour une
guêpière porte-jarretelles blanche, des bas blancs, une jupe au-dessus du genoux, un peu fluide, et un petit haut avec des volants. La couleur dominante était le blanc avec quelques motifs sur le
haut. Des talons aiguilles, avec des talons de sept centimètres, et me voilà « belle » d’après Patrick.
J’arrivais dans le bureau de Patrick à huit heures trente, on ne se fait pas la bise, pour ne pas paraître trop intime. J’ai des
papiers qu’il doit signer dans un parapheur.
« Messieurs Fahad et Abdullah arriveront par l’avion de dix heures, tu iras les accueillir
- Quelles sont les consignes ?
- Professionnelles… mais si au détour d’un croisement de jambes, ils peuvent entrevoir innocemment la lisière de tes bas, ce n’est pas
interdit.
- Je verrai suivant la situation.
- Tu as bien des bas n’est ce pas ?
- J’ai suivi les consignes…
- Ah j’ai oublié de te dire hier, mais tu sais peut-être que les arabes ne supportent pas les poils pubiens chez la femme, c’est une
insulte dans leur culture. Je t’ai pris rendez-vous à neuf heures dans un salon à Paris. Voilà l’adresse, Stéphanie s’occupera de toi, c’est payé d’avance. Paul mon chauffeur t’y emmène, et après
vous filez à l’aéroport pour les accueillir.
- Bien d’accord. »
J’ai bien compris que je n’avais pas le choix à propos de mes poils, et qu’il fallait y passer. Tant pis. Paul m'attendait au rez de
chaussée, la quarantaine, plutôt beau mec un peu trop baraqué, mais je comprends qu’à ce poste on fait également un peu garde du corps. je monte devant avec lui et lui dis que j’ai rendez-vous au
salon de beauté, il n’a pas l’air surpris. Direction le salon de beauté, Paul me dépose devant. Le salon est plutôt huppé, dans le 17ème. A l'accueil je précise avoir rendez-vous avec Stéphanie
et une femme brune s’approche.
« Bonjour, c’est moi, veuillez me suivre s’il vous plaît. »
Nous pénétrons dans une cabine. Elle referme la porte.
« C’est pour une épilation pubienne totale, n’est-ce pas ?
- Oui, je viens de la part de Patrick Bron.
- Oui je sais, monsieur Bron, vient souvent ici se faire des piqûres de Brontox. C’est lui qui m’a appelé… donc vous êtes sa nouvelle
secrétaire.
- Oui, depuis hier.
- Ah c’est tout frais. Et bien si vous restez, nous aurons l’occasion de nous revoir. M. Bron est très généreux et paie ce genre de
soins ainsi que d’autres à ses secrétaires, environ une fois par semaine.
- Oui, il sait amadouer son personnel.
- Bien si nous nous attaquions à ces poils rebelles, car M. Bron m’a dit que vous étiez pressés. Enlevez votre jupe, et votre haut
également, ça vous évitera de tout froisser. »
J’étais un peu gênée d’enlever mon haut, dévoilant ainsi ma guêpière, mais après tout cette femme allait bien avoir une vue imprenable
sur mon sexe, alors je pouvais bien faire ça.
« C’est sûr qu’avec un string comme ça, il ne faut pas beaucoup de poils. Et cette guêpière vous va très bien.
- Merci.
- Enlevez votre string, et installez-vous. Comme dans d’autres domaines, la première fois est un peu douloureuse, mais vous verrez avec
le temps ça ira mieux. »
Je m’installais sur la banquette. L’opération était effectivement un peu douloureuse, mais Stéphanie y mettait beaucoup d’attention et
cela ne fut pas si pénible que ça, et surtout le résultat était à la hauteur. Elle me passa une crème apaisante avec beaucoup d’application, tandis que les yeux fermés, je savourais ces délicates
mains sur mon sexe rasé. Stéphanie semblait également savourer ces instants car certaines pressions de ses doigts furent plus appuyées au niveau, notamment de mon clitoris et de mes
lèvres.
Mais le temps pressait et on ne plaisantait pas avec ça. Je remerciais Stéphanie, passait à la caisse, où l’on me dit qu’effectivement
c’était réglé, et sortis du salon. Dès qu’il me vit, Paul me sourit et amena la voiture à ma hauteur, dans laquelle je m’engouffrais.
« Ca y est. Prête ?
- Euh… oui, on peut y aller.
- OK alors direction Charles De Gaulle, c’est le Terminal 1, n’est-ce pas ?
- Oui c’est ça. »
Sur la route, je me suis dis que ce ne devait pas être la première fois que Paul conduisait des secrétaires dans ce salon et qu’il
devait savoir ce qu’il s’y passait. Je pense que ça devait l’exciter de savoir qu’à côté de lui se trouvait une fille pourvue d’un sexe glabre. Et visiblement j’avais raison au vu des coups
d’œil, qu’il ne cessait de jeter sur mes jambes. Je fis comme si de rien n’était, mais j’en profitais pour m’installer différemment dans le siège confortable de la 607, croiser mes jambes, et
petit à petit soulever un peu plus mon genoux qui se trouvait au-dessus de l’autre.
Il avait dû voir la lisière de mes bas, et de ce fait mon objectif était atteint, il avait une belle bosse dans son pantalon. Je me
calmais et repris une position moins provocante, mais au moins j’avais réussis à attiser ses désirs. Je n’aurais sans doute jamais réalisé cet acte de provocation auparavant, mais depuis ma
rencontre avec Patrick, je me trouvais profondément transformé, pour ne pas dire intimement.
Nous arrivâmes à l’aéroport. Après un petit quart d’heure d’attente, j’accueillis MM Suleiman et Abdullah me présenta en leur
souhaitant la bienvenue. Ils ne furent pas très bavards, ils connaissaient déjà apparemment bien la France. Je les accompagnais jusqu’au bureau de Patrick, qui me demanda si tout c’était bien
déroulé à l’aéroport et avant. Je lui répondis que oui, professionnelle, puis il me congédia afin que je puisse reprendre mes autres activités.
Vers treize heures, nous allâmes déjeuner dans le club de l’entreprise, réservé aux clients. Je sentis toutefois que l’ambiance était
tendue, et que les deux parties semblaient en désaccord sur les termes du marché que nous devions conclure. Cela fait partie du jeu, dans lequel il ne faut jamais sembler satisfait trop tôt, donc
je ne m’inquiétais pas trop. Le déjeuner fut tout de même agréable, mais nos deux invités ne semblaient pas faire grand cas de ma présence. Il faut dire que je n’avais pas été spécialement
provocante et que ces messieurs pouvaient me prendre pour une secrétaire comme les autres.
Le déjeuner terminé, nous retournâmes dans nos bureaux climatisés. M. Bron paya, nous sortîmes du restaurant, et au moment de pénétrer
dans la voiture il m'annonça en catimini que l’affaire était mal en point et qu’il fallait que je me mette en avant car le marché était loin d’être conclut. J’acquiesçais en enlevant deux boutons
de mon haut, avant de prendre place à l’arrière du véhicule entre nos deux clients. M. Bron se plaça à l’avant. Les Qataris ne sont pas minces, et j’étais un peu coincée entre ces deux messieurs.
J’ai voulu me faire un peu de place, ce qui eu pour effet de lever un peu ma jupe et de dévoiler la lisière de mes bas. Je sentis leur regard fondre sur cette partie de mon anatomie. Je fis mine
de ne pas m’en apercevoir, et laissa ma jupe sans la réajuster.
Je glissais également ma main droite au niveau de mon épaule gauche pour faire mine de rajuster la bretelle de mon soutien-gorge, mais je fis tout le contraire pour la laisser tomber et écarter franchement les pans de mon haut. Mon voisin de droite s’en aperçut et en profita pour se tourner vers la gauche, parler en arabe à son collègue, et avoir un regard insistant sur mon décolleté. Il devait parler de moi, car son collègue également commença à me regarder, et indiqua la lisière de mes bas.
Leur conversation terminée, Patrick en profita pour se tourner vers eux, remarqua lui aussi les lisières de mes bas, et leur dit que nous irions au Lido ce soir, en ma compagnie, avant de lancer un petit clin d’œil complice qui ne laissait rien présager de bon pour mes fesses. Ils en furent apparemment ravis, et je sentis la main de mon voisin de droite tapoter mon genou d’un air entendu. Heureusement nous arrivions dans les parkings nos locaux.
Dans l’ascenseur, je laissais passer nos deux invités en premier, j’entrais et je leur tournais le dos. Arrivée au rez de chaussée, deux personnes supplémentaires me firent reculer d’un demi-pas, et mes fesses rencontrèrent une main ouverte qui ne semblait attendre que cela, et qui n’avait pas l’intention de rompre le contact. Cette main commença un mouvement de caresses, puis descendit pour s’immiscer entre mes jambes.
L’ascenseur s’arrêta au 6ème avec un léger soubresaut qui eut pour effet que cette main gagne encore un peu plus de terrain et caresse
d’un doigt le tissu de mon string. Trois étages plus haut, le doigt se faisait plus insistant et cherchait à dépasser ma ficelle. L’ascenseur s’arrêta, Patrick et l’un des deux invités sortirent,
j’attendis, et à ce moment Suleiman me glissa dans l’oreille :
« A suivre ce soir..
- D’accord, je suis aux ordres de M.Bron. Tout ce qu’il me dit de faire, je le fais de façon professionnelle. »
Je les laisse repartir en réunion, mais avant de rentrer Patrick me fait un petit sourire approbateur.
« Passez nous voir dans deux heures.
- Très bien. »
Je vaque à mes autres occupations, puis au bout de deux heures, je toque à la porte de la salle de réunion.
« Ah vous voilà, nous sommes proche d’un accord, néanmoins nos clients demandent des garanties, et c’est là que vous
intervenez.
- Des garanties bancaires ?
- Non. Votre string suffira. Pour le moment. »
Je retirai donc mon bout de ficelle, et alla le remettre à Patrick. Il regarda nos clients, et leur demanda si c’était bon. Ils
répondirent que oui, mais qu’ils voulaient voir la marchandise. Patrick m’indiqua d’aller leur apporter mon string en main propre. Je le repris et me plaça entre les deux hommes. L’un des deux
prit le string, le présenta en l’air d'une main, tandis que l’autre commençait à remonter le long de l’intérieur de ma jambe. Il fut rapidement rejoint par son collègue et les deux mains
arrivèrent en même temps aux lèvres de mon sexe. L’un pris le parti d’aller de l’avant, l’autre de l’arrière. Ils commencèrent à me pénétrer et à faire des allers-retours.
Au bout de quelques instant,s Patrick leur indiqua que cela suffisait pour « voir », et que nous aurions tout le loisir de mettre cela
en application ce soir. Ils retirèrent leur doigt à regret, et je dois bien l’avouer au mien aussi. La réunion était close et rendez-vous fut pris à leur hôtel à vingt heures.
Nos clients partis, Patrick me félicita, et me dit de continuer sur cette voie pour ce soir, de faire tout ce qu’ils me diront de
faire. Cela m’inquiétait un peu, mais vu que je commençais à y trouver du plaisir et vu la rémunération, je ne pouvais pas refuser. Patrick me demanda de téléphoner à l’hôtel pour faire une
réservation à mon nom. Il m’indiqua que je pouvais d’ores et déjà y aller et profiter de la chambre.
Je ne me le fis pas dire deux fois. Connaissant de nom le 5 étoiles dans lequel j’allais aller, je mis les bouchées doubles, ce qui
d’ailleurs allait sans doute m’arriver, ou plutôt une double bouchée.
A vingt heures, je descendis retrouver Patrick qui était au bar en compagnie de nos clients. N’ayant pas de vêtements de rechange, je
me vis contrainte de remettre mes vêtements, ou plutôt ce qu’il me restait de vêtements. Installée au fond d’un confortable canapé, je croisais mes jambes plus haut que normalement nécessaire, ce
qui eut pour résultat de rendre visibles mes lisières de bas. Je pris une coupe de champagne, ce qui a toujours pour effet de me libérer, et au fur et à mesure de la discussion je défis des
boutons de mon haut pour dévoiler une partie non négligeable de ma poitrine.
« Passe aux toilettes et enlève ton soutien gorge, qu’on ne cesse de voir, me dit Patrick
- Très bien, chef ! »
Arrivée aux toilettes mon soutien gorge trouva rapidement sa place dans mon sac à main. Sur le chemin du retour, je sentais mes seins
libres et je sentais également que cela se voyait. Nos compères n’en perdaient pas une miette. Une fois assise, je me penchais souvent en avant pour prendre mon verre, afin de laisser bailler mon
haut, ce qui attirait les regards indiscrets. Après une demi-heure, Patrick donna le signal de départ, et Paul nous attendait dans la voiture.
Comme après le déjeuner, je me plaçais à l’arrière entre nos deux imposants clients. Cette fois-ci, plus de « timide » caresse, je sentais les bonshommes excités et ils ne se contenteraient pas de caresses. Le premier glissa sa main dans mon haut, le second m’écarta les cuisses et caressa mon sexe. De mon côté, mes mains caressèrent les sexes de ces messieurs, qui semblaient nerveux.
Après quelques instants de ce doux traitement, je me penchais vers mon voisin de droite afin de lui sucer son sexe et présentai mes fesses et mon sexe à son compère, qui baissa son pantalon pour me pénétrer. Ce dernier était tellement excité que quelques allers retours suffirent à le faire cracher sa semence.
A ce moment, je me retournai, pour sucer ce sexe humide, et pour que l’autre partenaire m’enfourche également. Par contre, ce nouveau membre ne souhaitait apparemment pas suivre le chemin tout tracé et décida de prendre des chemins détournés pour m’empaler sauvagement. Là encore, l’excitation fut trop importante pour que le plaisir dure bien longtemps, et à peine après avoir terminé le nettoyage du premier sexe, je dû m’attaquer au nettoyage du deuxième. J’avais le sexe et l’anus dégoulinant de foutre et je demandai si je pouvais récupérer mon string afin de limiter les coulées de sperme le long de mes jambes.
Bizarrement, ils acceptèrent, mais il est vrai que ce mince tissu n’empêcherait pas grand chose. Patrick avait suivi la scène depuis le
rétroviseur de Paul pour profiter du spectacle. Je remis en place mon string et m’arrangeait à nouveau pour paraître un peu moins échevelée.
Nous arrivons finalement au Lido, à une table très bien placée. Après une demi-heure le spectacle commence, les décors sont
magnifiques, les filles sont belles, le champagne coule a flot. Au dessert, Patrick pose sur la table les boules de geisha achetée la veille, et je les enlève du dessus de la table pour les
placer entre mes jambes, sous le regard attentif de nos deux clients.
Je les fis pénétrer dans mon sexe, et remis les mains sur la table. Patrick me demanda d’aller aux toilettes pour hommes, me masturber,
puis de revenir. Dans n’importe quel autre restaurant, je pense que je n’aurais pas accepté, mais je me suis dit que dans ce genre d’endroit la chose devait être fréquente, et surtout tolérée. Le
trajet fut délicat, ces boules du diable faisant leur effet, et j’avais à nouveau le sexe en feu.
Heureusement, il n’y avait personne dans les toilettes pour hommes. Je décidai de me placer devant les lavabos, face au miroir et de me
masturber. Tant pis si quelqu’un rentrait, je me ferais prendre, je commençais à avoir l’habitude, et je me demande si ce n’est pas ce que je voulais. Je sortais une première boule, que je
m’amusais à frotter sur mon clitoris dans un premier temps, puis je décidai de la rentrer dans mon anus.
C’était bon, mais c’est à ce moment là que mes deux amis sont entrés. Je me penchai en avant sur le lavabo, leur exposant mon anus. Abdullah, joua doucement avec la ficelle reliant les deux boules, puis les retira d’un coup brusque. Ce fut comme un coup de tonnerre dans mon corps. Il profita de l’ouverture de mon anus pour sortir son engin et l’enfoncer dans mes entrailles tandis que son compère présenta son sexe en début d’érection devant ma bouche.
Je l’engloutis jusqu’à la garde avant de commençer un mouvement de va-et-vient piloté par la personne qui se trouvait derrière mes fesses. Au bout de deux minutes, Abdullah m’agrippa, se coucha tout en me gardant rivée sur son sexe, et m’écarta les jambes. Fahad avait la voie toute tracée pour venir me prendre en double pénétration. La place était limitée, mais malgré leur corpulence, ils avaient une certaine agilité lorsqu’il s’agissait de sexe.
Ils réussirent à m’enfourcher des deux côtés, et j’eus l’agréable sensation d’être remplie de chaque côté. Divin ! Il ne fallut pas
longtemps de ce type de chevauchée pour que mes deux assaillants n’explosent en moi. Le sexe et l’anus dégoulinant de sperme, je commençai à remettre les pieds sur terre, lorsque j’aperçus
Patrick se tenant dos à la porte avec un sourire en coin. Je n’avais pas remarqué sa présence, mais il avait tout vu. Intérieurement, je fus assez fière de moi.
De retour dans la salle nous avons terminé notre dîner-spectacle, et je crois avoir réussi à crever nos invités car ils nous ont
demandés de les ramener à l’hôtel. Nous les avons quittés à l'entrée de leur chambre, et vu que Patrick m’avait réservé une chambre à l’hôtel, il fallait bien que j’en profite. Je proposai un
dernier verre à Patrick, qu'il accepta avec un sourire.
« Bon, alors un dernier verre ?
- Oui je commande le room service.
- OK, tu commandes du champagne, je crois que tu l’as bien mérité. Quand le serveur arrivera avec le champagne, je serai dans la salle
de bains. Je veux que tu le provoques et que tu arrives à te le faire. »
Bien, après tout j’étais encore « payée pour ça », et ces situations commençaient vraiment à m’exciter. Je pris le téléphone pour
commander le précieux élixir et en attendant le serveur, je me mis en peignoir, fournis par l’hôtel, sans rien en dessous.
Trois petits coups frappèrent à la porte et j'ouvris avec les pans du peignoir juste rabattu de la main.
« Bonsoir, voilà votre champagne
- Merci, posez cela sur la table… Je vous propose de trinquer un verre avec moi. J’ai gagné une grosse affaire ce soir mais je n’ai
personne avec qui la célébrer…
- C’est que… normalement nous n’avons pas le droit…
- Mais il est tard. Je vous promets de ne rien dire et d’être gentille. »
Et après ces mots, j’enlevais ma main qui retenait le pan du peignoir, qui naturellement s’ouvrit légèrement, dévoilant un brin de mon
axe de symétrie, mais suffisamment pour faire perdre la tête de ce pauvre malheureux.
« …Hum, bon, si vous insistez, dit le serveur avec un air entendu
- Une seule coupe pour moi, vous, vous pourrez boire à la source, amenez la bouteille ! »
Je m’installai sur le lit en écartant complètement les pans du peignoir. Je pris la bouteille des mains du serveur, et lui dit de se
mettre à genoux. Je commençai à verser le champagne sur mon nombril, qui coula vers mon sexe. Les lèvres du serveur étaient collées sur ma chatte en feu, et récupéraient le champagne, tout en ne
négligeant pas mon clitoris. Le mélange de fraîcheur du champagne, et de succion des lèvres du serveur, était divin. Je reversais plusieurs rasades, le serveur en avait perdu son pantalon et son
caleçon dévoilant un membre honorable. Ce n’est qu'une fois le serveur en moi, après plusieurs allers-retours, que Patrick décida d’entrer en scène.
« Eh bien, on ne se gène pas par ici ! »
Très surpris, le serveur tenta de balbutier quelques mots en vain, Patrick enchaîna :
« Bon et bien maintenant que vous avez bien profité de ma femme, vous allez me sucer également.
- Mais enfin non !
- Ah vous préférez avec du champagne… ou vous préférez que j’appelle la direction ? »
Le serveur, contraint, ne dit mot. Après un instant de silence, Patrick, baissa lui aussi son pantalon, dévoilant un sexe bien raide,
signe d’une excitation intense, et démontrant qu’il avait dû regarder par l’entrebâillement de la porte. Le serveur eut encore un moment d’hésitation, puis il se décida à s’agenouiller, et prit
le sexe de Patrick en bouche pour entamer un mouvement de va et vient. C’était la première fois que je voyais un homme en sucer un autre. Afin de continuer sur la lancée du serveur, je me mis à
me caresser en regardant le serveur sucer Patrick.
« Bien, tu as bien chauffé ma jument, tu as bien chauffé également l’étalon que je suis. Chérie, à quatre pattes sur le bord du
lit, que je te monte, et pendant ce temps, tu suceras notre ami, qui l’a bien mérité. »
Patrick se plaça derrière mes fesses pour me pénétrer, et le serveur plaça sa bite, qui avait perdu de sa rigidité, devant ma bouche.
Je m’empressai de redonner à ce dernier la vigueur que je lui avais connue. Patrick me pilonnait par l’arrière, pendant que je suçai le serveur qui avait retrouvé sa fougue et qui ne devait pas
en croire ses yeux. Proche de l’éjaculation, Patrick vint présenter son sexe aux côtés de celui du serveur, et je compris que je devais avaler ces deux beaux engins. J’ouvris ma bouche au maximum
en avalant ces deux bites. Patrick fut le premier à éjaculer, suivit de près par le serveur. Pour les remercier de ce traitement, je ne perdis pas une goutte de leurs spermes
respectifs.
Après avoir repris quelques peu ses esprits, le serveur retourna à son service. Seule avec Patrick, il me félicita pour ma prestation
de ce soir, me confirma que le Marché était conclu, mais que pour me remercier nos invités lui avaient confié qu’ils désiraient que je vienne passer une semaine chez eux, tout frais payés. Je lui
répondis qu’a priori, je n’y voyais pas d’inconvénient, mais que j’aurai préféré qu'il m’accompagne. Il me rassura en me disant qu’il ferait le début du séjour avec moi, mais qu’évidemment il ne
pourrait pas rester la totalité. …
Cutefrog95
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