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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Bises libertines,
Sophie

Nouvelles ivresses

 

Je refis donc une cour empressée à Irina qui se laissa embrasser, caresser, lutiner avec un évident plaisir lui tirant de petits soupirs éloquents… Françoise embrassait le Comte tendrement, lui tenant la nuque de sa main droite ; sa robe retroussée, laissait voir l’amorce d’un porte-jarretelles et l’orée de ses bas bien tirés…cela m’excita, je me mis à rebander… Le couple en la bergère voisine se livrait déjà à des ébats très érotiques, la belle femme blonde à genoux sur le bord de la bergère, cul haut levé, troussée jusqu’à la taille, se laissait butiner par des lèvres goulues et une langue hardie vaquant allègrement au fond de son sillon fessier, dont la culotte écartée laissait deviner un anus cerné de poils blonds-roux du plus bel effet…

 

La Comtesse s’était remise à me sucer, me pelotinant les couilles, je passais ma main dans ses cheveux et accompagnais sa tête dans les mouvements de fellation qu’elle imprimait sur mon vit…c’était délicieux, je bandais, me durcissais, avalé par cette bouche petite et pincée, mais terriblement efficace dans les allées et venues de ses fines lèvres si chaudes et retroussées… Ma femme avait débraguetté le Comte et frottait vivement un haut vit poilu,  nerveux, noueux, veiné, avalant littéralement le gros prépuce congestionné que l’on apercevait par instant, lorsque la bouche remontait sur le membre pour en pulpiner l‘écarlate tête…

 

Le Comte renversé contre le dossier, se laissait pompiner, soupirant, accompagnant de sa main celle de ma femme pour la guider plus au moins au rythme de sa jouissance qui montait… Irina était une belle et noble suceuse et ma queue gonflée s’allait bien jusqu’en gorge, menaçant à chaque instant de lâcher ses éclairs blancs dans le palais de cette belle pompineuse… Je passai ma main fiévreuse sur l’une de ses cuisses, sentis la soie du bas sous ma paume, pinçai une jarretelle et gagnai le beau sexe ombreux aux frisées futaies… Elle écarta les cuisses et puis emprisonna ma main…mes doigts trouvèrent son humidité, je m’y installai et pinçai un peu les lèvres de cette charmante et intime bouche d’amour… elle geignit sur ma queue tout en poursuivant sa branle buccale joliment menée…

 

Le Comte venait de jouir dans la bouche de ma femme qui se délectait de son nectar blanc poisseux, passant une fine langue de dégustatrice connaisseuse…il l’embrassa sur la bouche et burent ensemble leur cocktail d’amour… Je déchargeai presque aussitôt entre les lèvres d’Irina qui fut littéralement aspergée par mon foutre, bustier, seins et leur sillon, ainsi que sur ses doigts blancs, longs et si fins…

 

Une belle jutée, que ma suceuse fut ravie d’avoir menée à sa fin… Le plaisir était grand, essoufflé, rouge, mais apaisé, je réagis et la baisais en bouche, buvant mon sperme sur ses lèvres moelleuses enluminées de mes sèves… Je voulus son sexe… elle se mit cuisses écartées, prit ma bite encore raide et mouillée de semence et l’enfila très vite dans son beau con au corail entrouvert…je glissai, glissai, la prenant doucement, à petits coups de reins et passai mes mains sous ses fesses pour la mieux remonter contre mon ventre…

 

Ainsi, bien enfilée, je la pénétrai toute, elle geignit et prise jusqu’aux couilles, dansa des hanches, monta, descendit, tournoya du con sur ma queue, se déchaîna, faisant crisser ses bas et je sentis contre mes cuisses le grattis éloquent et régulier de ses jarretelles qui montaient et descendaient en cadence sous mes coups de vitin… elle déchaîna ses reins, je jutai à nouveau, un beau jet franc et chaud inondant ses satins… Sa langue me chercha, je la croquinai, l’entourlougnai, la courbai, la suçai bellement, salives mélangées… Elle croisait à présent ses jambes sur mes reins et me retenait fermement en elle… allais-je la mettre enceinte ? Un fils, oui, un fils français ? Vivrait-il en Russie…viendrait-il à Paris, à Versailles ?

 

Françoise par le Comte montée, cuisses ouvertes, bas tirés, jarretelles tendues, donnait des coups de reins sous l’homme qui s’agitait en elle, la fouissant de sa belle queue charnue toute veineuse et la faisant crier, jambes en l’air, seins dardés contre la poitrine poilue du Comte qui la besognait sans discontinuer…il jouit dans un rugissement rauque, la foutant jusqu’au fond, couilles au ras de son con d’où s’écoulait du foutre tout mêlé de cyprine…

 

Allait-il lui faire un enfant ? Ils restèrent ainsi un instant et puis, ma femme voulut sucer cette queue divine, le Comte se releva, lui tendit son vit qu’elle engoula immédiatement, vite, très vite, endiablée suceuse se délectant de la crémeuse foutrine…branlant la queue en sa bouche, la ressortant, la langouillant voluptueusement, en grappillant les couilles malicieusement… Le Comte se tendait, les mains sur les hanches, la tête relevée, les yeux au ciel,  elle l’avalait littéralement…

 

L’homme de l’autre couple enculait sa femme après l’avoir prise en chatte et en levrette, ayant joui, il pointa aussitôt dans le trou rose plus haut son vit qui prit son trot et disparut à fond de cul, faisant se distendre l’anus, dont les fins bords rosés suivaient l’arc de la bite qui s’allait et venait dans le beau trou coquin… Il claqua plusieurs fois les superbes fesses, pressa les hanches, les actionnant, les retenant, bloquant sa fornication pour la reprendre un peu plus fort dans le séant… La vue du cul, des bas et jarretelles m’excita superbement, je rebandai…

 

Subitement, j’eus grande envie des fesses de la Comtesse, entre mes bras dénudée, la tête sur mon épaule… Et mon regard allait de ses jambes dénudées au cul et jarretelles de la belle blonde enculée donnant du cul de plus belle dans sa si belle envitée !

 

Irina comprit mes intentions, se retourna et me présenta son superbe cul ; délicatement, je lui redressai les fesses, les écartai, je vis le merveilleux petit œil rose-brun qui s’ouvrait, se rétractait, divinement coquin ; je mis un peu de salive sur la pulpe de mon médius et frottinai son bel œillet qui se dilata, bouton magnifique attendant qu’on le cueillit… Je dirigeai mon vit vers cette fleur secrète et lui donnai gentement de la tige, enfignant doucement ses velours consacrés… Alors, lentement, je m’infiltrai, Irina gémissait doucement se sentant prise, reins cambrés, elle goûtait cette sodomie qui l’excitait…elle se mit à respirer un peu plus fort, son souffle s’accéléra, elle geignit et se laissa prendre par son Marquis d’Amant…

 

La conversation s’engagea sur les peintres russes du XVIIIème siècle et sur la préciosité et la finesse des icônes, ce qu’elles représentaient vraiment pour tout croyant… J’émergeai de mon rêve… Nous parlâmes de l’Académie des Beaux Arts de Saint-Petersbourg depuis sa fondation en 1754 par la Grande Catherine, affichant surtout des peintres étrangers…

« Les peintrrres rrrusses, reprit la belle Irina, sont des peintrrres à porrrtrrraits et nous avons le plus grrrand qui fut, notrrre grrrand Levitski qui fut le pèrrre de l’Ecole Rrrusse, comme vous savez…L’on peut parrrler aussi de Borovikovski, élève de Levitski et qui a étudié auprrrès des Maîtrrres italiens ou frrrançais, mon Cherrr à Saint-Petrrrsbourrrg même »

 

La conversation roula sur la sculpture et bien sûr Carlo Rostrelli qui fit la statue équestre de Pierre Le Grand à Saint-Petersbourg. En effet, nous l’avions vue dès notre arrivée, grandiose et imposante. Irina se tut, but un peu de vin, me regarda…une femme paisible, gracieuse, racée, n’affichant point sa culture, mais aimant toujours l’associer à celle de la France ou de l’Italie et ce avec bonheur, en des phrases courtes et d’une façon passionnante… Irina qui était   cultivée, n’en était cependant pas moins femme et aimait aussi goûter aux plaisirs de la bonne chère, comme à ceux de la bonne…chair ! Un semblant de calme mais, sous cette apparence sommeillaient des feux aux braises surprenantes… Une femme passionnée brûlant de tous ses sens.

 

Nous voguions ainsi entre plaisirs, relations courtoises, imagination, désirs, incitations et espiègles clins d’œil… La conversation se poursuivit… La culture planait ainsi entre nous et nos échanges ne se contentaient point d’être charnels, mais avaient aussi ces beaux emballements, la Comtesse ne pouvant s’empêcher de comparer nos deux Cours, leur culture, leur esprit, leurs lumières et leurs grands élans culturels,  le français étant bien entendu le grand lien qui les unissait, en dehors bien sûr des considérations purement politiques et diplomatiques.

 

 

Voyage en Sodome

 

J’aime la sodomie, ma femme et mes Amantes aussi. Donc point là ne m’en prive pourvu que Dames m’en prient et m’apprécient entre leurs rives aux culines fantaisies… Les plaisirs florentins étant des plus jolis.

 

J’eus donc à nouveau envie des petites fesses blanches et galbées d’Irina et, ma foi, ma précédente sodomie lui ayant particulièrement plu, elle montra un nouvel élan vers cette forme d’accouplement ne manquant point de charme, ni de volupté, bien au contraire et qui satisfaisait ses désirs cachés et comblaient là ses sens… Des sens d’une Dame l’on doit bien satisfaire toutes les exigences de son mieux, ma foi autant que faire…se peut…

 

Je fis donc disposer la Comtesse agenouillée sur le bord de la bergère, lui relevai les fesses plaisamment, d’elle-même elle les écarta offrant à ma contemplation ce fin sillon culin aux petites soies blondes qui entouraient le merveilleux petit anneau de chair brune-rosée, petite bouche pincée, faisant comme la moue…

 

Puis m’accroupis et entrepris un long lèchis de ce divin petit endroit béni des queues, ce lieu sanctifié qu’il me fallait dignement honorer ; ma langue courut gentement du haut en bas du sillon, laissant un petit filet de salive tiède qui vint humidifier la belle fleur anale qui s’ouvrit, se ferma, livrant son intimité, comme un beau Cœur d’Amour… Je m’y prosternai, y fis jouer ma languine, reptilienne, rampant lentement, enserrant le trou béni, le lichant, le pénétrant, l’agaçant de petits picotis savants qui firent qu’Irina se mit à gémir doucement, ondulant du derrière sous mon regard réjoui…

 

Comme il était doux, satiné ce petit œillet, sanctuaire du Sodomite que j’allais être dans quelques instants ! Irina, la belle et languide Comtesse jouait ici des fesses, j’y enfouis mon nez, les rondeurs culines frôlaient délicieusement mes joues, diffusant leur chaleur aphrodisiaque, paradisiaque…

 

Je sucinai, je troulinai, je troufignai, je savourai cette fleur analienne, la humai, l’aspirai même, ma langue se fit chienne, la butinant, pompinant son pollen, s’en grisant, s’en nourrissant dans sa folie charnelle… Le beau cul là dansait, décrivant des cercles animés, tantôt lents ou plus rapides, selon la jouissance que mon ophidienne déclenchait…

Je me relevai, pris mon vit au paroxysme de l’érection, dur, cramoisi, prépuce démesuré et gorgé de sang, ma grosse veine sur l’arc de ma queue battait, il était temps, il était temps, plus n’en pouvais… Je pris de la salive et en enduisis mon prépuce qui apprécia ces préparatifs, se lissa, se tendit, je remis encore un peu de salive, il était prêt, mon beau chauve et je le présentai à la fleur en frisson ; l’anus et le prépuce firent connaissance, frétillants, de longs frissons partirent de l’œil de mon cyclope pour gagner prestement la racine de mes couilles, je poussai légèrement, le cul se releva, Irina écartait toujours ses fesses, indécente, prête, vibrante du désir de se faire prendre ainsi et devant ses Amis  excités, en attente… La fleur anale lentement s’ouvrit, l’œil de mon vit s’y enfouit un peu, mon prépuce frémissait, se tendait, je rajoutai un filet de salive, il glissa, l’anus s’entrouvrit, porte de Carthage, j’y étais…

 

Je pénétrai un peu plus, la Comtesse remua du cul, je tenais ses cuisses, mes paumes sur ses bas, elle respirait plus fort, attendant la sodomie…je pénétrai l’anal sanctuaire jusqu’à la collerette gonflée de mon prépuce, le chapeau disparut dans l’anus, je commençai à glisser lentement par la mince bouche qui à présent m’aspirait, le gland disparut, l’anneau maintenant courait au long de l’arc charnu de ma queue et le beau derrière commença à lentement descendre et monter, harmonieusement, avec finesse, une sodomie de qualité, une fine Comtesse aimant le plaisir raffiné…

 

Je la pénétrai toute, mes poils frottant ses fesses, mes couilles au ras du fossé, je sentais la chaleur de ses fesses, une douce paralysie, une sublime volupté courut sur ma verge toute entière enfichée dans cette belle russe qu’à présent j’enculais… Je fermai les yeux, m’activai gentement, en toute raideur, le cul balançait joliment, mes couillines faisant un bruit mat quand elles atteignaient le rempart des fesses, j’étais au fond, dans un océan de tendresse, d’ivresse, aux tréfonds des satins fessiers, de ces palais où la quête se fait, centre du plaisir en l’interdit passage, cette voie dérobée libérant ses mystères…

 

Je sentis venir ma lave vulcanienne, elle bouillonnait depuis si longtemps et…me déversai en ondes ophidiennes, rampantes, bouillantes en ce joli creuset aux abysses culins, profonds à souhait, jusqu’au bout de la FEMME, la chaude et tendre LIBERTINE ! Elle me donna un haut et long puis grand coup de cul, me dégrappa la pine, je déjutai encore en laves couleuvrines jusqu’au fond de son corps…elle se tortilla, remonta,  me pinça de l’anus, je sentis mon prépuce aux tréfonds de Cythère, sodomite comblé atteignant ses Gomorrhe !

 

Je restai en elle, je fis claquer ses jarretelles, m’enivrai de la peau de son dos, la croquai en cou, la marquai de mes dents, le nez dans ses cheveux blonds en grappes de blé, affalé sur son dos, donnant encore quelque hallali, comme un son du cor(ps) au fond de son cul, elle griffait le velours de la bergère de ses doigts longs sans fin, joua du cul, vint coller ses fesses à mon ventre, ne voulant point mettre un terme à notre sodomie…avais-je encore du sperme pour sa plante fleurie ?

 

Je m’agitai, tendis mon vit, elle réagit et parvint à me faire durcir, ma queue à nouveau allait et venait, son cul montait et descendait, je dégorgeai du vit, une ultime bordée et mon restant de foutre dans son trou s’égailla, je lui  pinçai les cuisses, elle cria et je plongeai en ses abysses une nouvelle et dernière fois…

Je déculai, elle me baisa et s’en fut faire une toilette…

 

Ma femme et le Comte forniquaient, mêlés à l’autre couple, Françoise caressait les fesses nerveuses de l’autre homme qui prenait sa femme en cul, sans doute inspiré par notre chevauchée fantastique avec Irina… Ils m’excitaient, je me branlai un peu, ma raideur revenait, ma femme et le Comte s’étant retournés, le Comte se trouvait à présent sous elle et décula de son figne pour la prendre aussitôt en chatte, il s’y engouffra et commença à aller et venir dans le beau con ouvert, tout humide, caressant ses jarretelles, la prenant fermement par en dessous…

 

Je vins me poster à cheval sur les fesses de mon épouse, logeai mon vit déjà fier dans son beau sillon fessier et fis aller et venir ma bite en ce beau défilé à la bien chaude chair… « En cul, mon Cher, en cul ! » me dit ma femme d’une voix mourante par-dessus son épaule… Allais-je l’enculer ? Je n’y résistai point, elle connaissait mon vice, je lui écartai les fesses, trouvai le trou carmin d’où quelque foutre encore s’échappait, le Comte l’ayant prise et bien lestée en semence crémeuse, épaisse qui engluait ses fins poils autour de l’anus.

 

Je pointai et glissai, le cul s’enfigna sur ma bite, et le Comte en dessous reprit vite son trot, nous réglâmes notre rythme, chevauchant de concert tous trois comme des fous…  Et mon épouse ainsi, prise par les deux trous fourbissait là nos queues de fougueuse façon. L’autre homme se branlait, sans doute attendait-il que j’eus fini mon enculée et entretenait-il sa belle bandaison…De fait, je jouis très vite et remplis le culin de ma divine épouse qui, en même temps jouissait de la belle déchargée du Comte à son endroit…

 

Je quittai le beau cul conjugal et laissai à l’autre homme le culin convoité…Il se mit sur les fesses de Françoise et vite l’enfigna, glissant avec ivresse dans son beau trou-caca tout rempli de mon foutre et de celui du Comte, lesquels coulaient à tout va sur le velours de la bergère qui craqua sous les coups de queue et de derrières des deux hommes l’envitant…

 

Ils déchargèrent en mesure, leurs couilles s’agitant et de leurs vits durs toujours là pistonnant, tout mouillés de cyprine et de foutre gluant, l’on voyait les mouvements poursuivre leurs effets qui tiraient à ma femme de longs gémissements, con et cul dévoyés étaient pris bellement achevant de tanguer peu à peu doucement…

 

Irina était revenue, fraîche, belle, les yeux un peu cernés… Elle s’en vint caresser son époux et ma femme et l’homme qui la sodomisait…s’agenouillant pour s’aller languiner le fossé du cul de l’homme qui s’agitait au-dessus de ma femme, tout en se masturbant, les cuisses écartées, jarretelles et bas tendus… L’homme jouit, donna des coups de vits désordonnés, Françoise, ma Mie, cria,  bellement empalée par deux vits à la fois joliment enfournés… Irina jouit comme une possédée, martyrisant son clitoris entre ses doigts pincé…elle cria, souffla, retomba sur les fesses de l’homme, qu’entre ses cuisses elle serra… et puis, elle resta là, pâle et reprit un frottis-frotta, collant sa chatte aux fesses du monteur, le clitoris sorti, le sexe tout écarté ,  elle jouit une seconde fois onanienne clitoridienne…sa cyprine coula dans le fossé de l’homme qui poursuivait sa sodomie en ma femme à petits coups ponctuels aux spasmes espacés…

 

La blonde épouse de l’homme s’en vint gouiner Irina qui lui tendit ses lèvres, leurs cuisses se mêlèrent, bas contre bas, jarretelles contre jarretelles, vulve à vulve, seins contre seins, bouches unies…deux vraies lesbiennes soufflantes, cherchant leur plaisir, s’épousant, entremêlant leurs toisons, clitoris dardés, petites bites qui se cherchaient en ce beau duel de chattes en folie… Le Comte quitta le con de Françoise, lâchant son foutre dans les poils…l’Aristocrate  qui avait sodomisé ma femme décula de celle-ci et se vida généreusement entre ses fesses ;  l’odeur des foutres, des cyprines et des suints, mêlée à celle des parfums des femmes chargeaient l’atmosphère feutrée de ce salon privé…

 

Un laquais s’en vint servir de la Vodka, du champagne bien frais… A notre tour, nous allâmes faire une toilette et puis revînmes trinquer… Un « en cas » serait encore servi et puis…la Fête continuerait…

 

 A suivre...

Par Le Marquis de Chair. - Publié dans : Le Boudoir du Marquis - Communauté : les blogs persos
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