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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Aujourd’hui, je commence la publication d’une histoire dont le fond et la forme changent un peu : il s’agit un récit erotico-policier, écrit à quatre mains par un adorable couple gay, Antoine et Valentin, et un de leurs amis.

 

Bonne lecture à vous, et n’hésitez pas à laisser vos avis sur cette histoire très excitante.

 

 

Concerto pour deux orgues

 

Antoine :

 

Chapitre 1 : Le concert                                            
         
« Allez réveille-toi ! Je sais que tu es en week-end et que tu as besoin de récupérer, mais il est déjà quinze heures, et je te rappelle que tu as un concert à seize heures à la cathédrale !  
- Eh merde ! Je me dépêche maman ! »
   
Ça c'est tout moi ! Du haut de mon mètre soixante-douze, je ne suis même pas capable de programmer un réveil ! Quoi ? Vous voulez savoir à quoi je ressemble ? Bon ok mais vite fait alors : je mesure mètre soixante-douze, mais ca vous le savez déjà ! J'ai les yeux bleus, je suis blond, cheveux mi-long, et je m'appelle Antoine, mais c'est Toinou pour les intimes !    
   
Je commence a émerger, et je descend dans la cuisine où mon frère Hugo ne peut s'empêcher de me mettre une petite claque au passage ! Ah ! Les grands frères toujours là pour vous faire ch... !    

Il est seize heures. Je suis lavé, parfumé et enfin prêt pour allez jouer à ce concert que j'attends depuis presque un an ! Je vais enfin jouer avec le grand organiste Julien Deretto !  
   
Jamais avant d'avoir intégré mon orchestre, je n'aurai osé imaginer pouvoir jouer un jour avec cet organiste !    
« Tu viens Toinou ! Il est l'heure d'y aller !    
- J'arrive maman ! »
         
Je descends les escaliers comme une balle. J'arrive dans ma cuisine et m'apprête a sortir quand...  
« Enfin Toinou, tu oublies ton violoncelle le jour d'un concert, ca le fait pas !    
- Ah oui c'est su... » 
   
C'est bon, enfin arrivé à la cathédrale ! Que le temps peut paraître long quand on est pressé !    
« Bonjour jeune homme. Tu pourrais me faire visiter la cathédrale, que je puisse voir dans quel lieu je vais donner ce concert ? »  

Alors là, je n'y crois pas ! Julien Deretto qui me demande a moi, simple violoncelliste de lui montrez la cathédrale....  
« Oui bien-sur ... Monsieur Deretto !  
- Ne m'appelle pas Monsieur Deretto, je déteste ça, appelle moi plutôt Julien !  
- D'accords Monsieur De.... euh Julien ! »
         
Nous voilà maintenant arrivés dans le cœur de la cathédrale. Je lui propose de lui faire visiter "l'étage de la cathédrale", où se situe l'orgue.
« Très jolie cette cathédrale, je dois le dire ! Aussi jolie que tes yeux....  
- Oh ! Eh bien... merci ! »
   
Il s'approcha de moi légèrement et me chuchote :  
« Je dois avouer que tu me plais beaucoup... »

 

Nous sommes ensuite retournés retrouver les autres musiciens qui sortaient à ce moment des coulisses.
« Salut Toinou, ca va ?
- Ah ! Alex, tu ne me croiras jamais !
- Quoi ?
- Je suis monté avec Julien Deretto pour lui faire visiter la cathédrale, et figure toi qu'il ma dit qu'il trouvait que j’avais de beaux yeux !
- Houa ! La chance de l'accompagner visiter ! Mais, tu sais, c'est pas parce que tu es gay que tu dois te faire des illusions sur ton idole, il est hétéro, LUI, et marié je te rappelle !
- Mais il a dit que j’avais des beaux yeux, je te jure !
- Ah c'est l'heure ! On en reparle plus tard. »
 
Nous voilà en train de monter sur scène, sous les chaleureux applaudissements du public Quand je pense que mon meilleur ami, Alexandre ne me croit même pas, que Monsieur Deretto m'a dit que j'avais de beaux yeux… Il n'a peut être pas tout a fait faux, je me fais peut être un film.
 
Le concert se passa sans soucis, nous étions maintenant dans les loges pour fêter ce beau concert, concert que, je le rappelle, j'attendais depuis presque un an !
« Bravo a toutes et a tous ! J'ai apprécié travailler avec vous ! Et je vous propose de refaire un concert dans trois mois avec un double concerto pour orgue et violoncelle  
- Ouais ca serait cool, s'écrièrent les musiciens.
- Pour cela j'ai besoin d'un volontaire pour le violoncelliste soliste. »  
 
Personne ne bouger d'un poil. Être soliste au coté de Julien serait un immense honneur pour chaque violoncelliste présent, mais que de responsabilité !
Oh puis j'en ai trop envie ! Il faut que je me lance…
« Moi monsieur Deretto !
- Ah, enfin un volontaire ! Je commençais a croire que vous n'aimiez pas la musique ! Quel est ton nom ?  
- Antoine, Monsieur.
- Très bien, donc Antoine je te donne rendez vous chez moi à Paris, 15 rue *****. On y travaillera ta partie au calme.
- D’accord, Monsieur Deretto ! Ce sera avec un immense plaisir ! »
 
Il venu me voir plus tard dans la soirée pour me dire de ne pas oublier mon maillot de bain…. et il rajouta :

« Faut bien se faire un peu plaisir aussi, pas que travailler ! »  
 
Alors là, comment y croire, inviter chez Julien Deretto pour travailler une partie de violoncelle qui est loin d'être de mon niveau… Et en plus, il me demande de prendre mon maillot de bain…. Aimerait–il les baignades avec les jeunes de dix-huit ans  ??  
 
Bon allez faut que j'arrête de me faire des films, ma mère m'appelle pour qu'on aille à la voiture, il est l'heure….

 

 

 

 

Chapitre 2 : Famille Deretto


 
Me voilà une semaine plus tard en route vers Paris, où je vais découvrir la demeure de monsieur Deretto. Je ne pus m'empêcher en descendant de la voiture de laisser échapper un « Ouah » ! La maison ressemblait plus a un château qu'à une maison. Haute d'une dizaine de mètres, elle était vraiment très belle !
 
Ah ! Voilà monsieur Deretto qui vient m'accueillir, suivi de sa femme, qui je le sais, est une grande violoniste prénommée Lady Deretto.
 
Un beau jeune homme restait devant la porte d'entrée, et je suppose qu'il est le fils de monsieur Deretto. Monsieur Deretto qui avait du apercevoir mon regard vers le jeune homme me dit :
« Je te présente mon fils Valentin.

- Salut, me lança t-il, la main tendue devant lui.
 
Ce jeune homme était magnifique, il avait des cheveux mi–long, châtain, des yeux d'un marron qui feraient craquer tous les êtres humains.
 
Je lui renvoyais son salut, tout en serrant cette main tendue devant moi avec assurance. Valentin me fit visiter la maison qui comportait deux étages, mais le second étage était en fait une seule grande salle qui servait de salle de musique ! Il termina la visite par sa chambre :
« Voilà c'est ici que tu vas dormir, me dit–il me désignant sa chambre le sourire au lèvres.
- Ah cool ! Tu as une chambre qui me plairait bien si c'était la mienne !
- Mais tu peux considérer que c'est la tienne, me dit-il de nouveau le sourire aux lèvres.
 
Le reste de l'après–midi se passa tranquillement en une première répétition, où je voyais le boulot monstre qui m’attendait !  
Le soir venu, j'étais dans mon lit, à coté de celui de Valentin. Je n'arrivais pas a trouver le sommeil.
« Tu dors ?
- Non je n'y arrive pas lui répondis–je.
- Ta copine te manque, c'est ca ?  
 
Alors là, je n'en revenais pas ! Lui qui paraissait très timide me demande le premier soir si ma copine me manque. Devais–je lui dire que j'étais gay ?…
« Euh…. et bien en fait, comment dire… je suis…
Eh bien en fait, je suis... euh....
-T'es gay, c'est ça ? »
 
Les larmes commençaient à couler le long de mon visage. Il s'approcha de moi et me pris dans ses bras :
« T'en fais pas ca reste entre nous ! Et pour tout te dire je suis bi, donc t'en fais pas !  
- C'est vrai ? Un bogoss bi sa existe ?
- Bah quoi, tu me crois pas ?
- Non, c'est pas ça mais ça m'étonne, c'est tout ! »
 
À ce moment-là, je vis son visage approcher lentement du mien. Il s'arrêta à quelques centimètres.
« Je peux ? demanda-t-il avec un large sourire, digne d'un ange.
- Comment pourrais-je résister à ce sourire ? »
 
Je m'empressais de l'embrasser immédiatement, ses lèvres étaient d'une douceur qui me fit trembler de tout mon corps. Je l'allongeais alors sur mon lit, et empli de bonheur, je m’endormis, ma tête sur son torse.
Je fus réveillé le lendemain matin, une main me caressant les cheveux.  
« Bien dormi, petit ange ? » 
 
Petit ange ? Alors là, il ne cessera de m'étonner ! Devais-je prendre ça comme une invitation ? Je décidais d'essayer d'en savoir plus sur ses intentions d'ici ce soir... Il me regardait l'air perplexe, je devais réfléchir depuis un moment... Je m'empressai donc de lui répondre :
« Très bien, comment pourrais-je avoir mal dormi après avoir embrassé un BG comme toi !
- Justement... je voulais te parler de ça...
- Tu regrettes, c'est ca ?  
- Ah non ! Certainement pas ! Je voulais juste te demander de ne pas en parler à mes parents.
- Ah tu m’as fait peur ! Je croyais que tu regrettais !  
- Non impossible, c'est le plus beau baiser que j'ai jamais reçu ! »
 
Il m'embrassa passionnément, encore plus que la veille, laissant ces mains se balader sur mon torse. Il me faisait frémir de bonheur depuis quelques minutes déjà, quand il se fit plus entreprenant... Ses mains commençaient à aller un peu plus bas. Il caressait mon pénis qui était emprisonné sous le tissu de mon caleçon.  
Je ne pus alors m'empêcher de laisser échapper un :
« Hummmm !
- T'aimes pas ?  
- Tu rigoles,  bien sûr que si ! Tu fais ca comme un dieu, je t'en supplies, t'arrête surtout pas ! »
 
Tout en m’embrassant, il défit un à un les boutons de mon jean... Le jean maintenant à mes genoux, il d'occupait de mon caleçon. Il attrapa l'élastique de mon caleçon avec les dents... Il le descendait de plus en plus d'une sensualité digne d'un dieu ...
Il entreprit ensuite après avoir mis mon pénis en bouche, un léger va et vient, comme personne ne me l'avais fait jusqu'alors !
Il m'offrit ce doux traitement pendant une dizaine de minutes.  
« Val je viens... hum... »
 
Il enserra mon pénis de plus belle me faisant comprendre qu'il voulait ma semence...
À peine quelques secondes plus tard, c'était chose faite... Il remonta alors à mon niveau et m’embrassa, occasion pour moi de goûter mon propre sperme...
« C'était génial Val !
- Pour moi, aussi, ne t'en fais pas !
- Tu peux t'allonger s'il te plaît ? lui dis-je avec un grand sourire.

- Non Toinou! Ce sera pour plus tard !

 

On entendit alors au loin Lady qui nous appelait pour manger.
 

 

 

Valentin :


A l’instant où je l’avais vu, j’avais craqué sur lui.  
Son regard bleu et perçant m’avais fait chavirer dès la première minute ou je l’avais croisé.  Avec ses cheveux mi blond et ondulés il avait l’air d’un ange, et c’est lui qui osait m’appeler petit ange ? Mais tous les compliments étaient pour lui ! Je venais d’avoir une relation avec un parfait inconnu, Mais j’étais comblé. Je lui avais procuré un tel plaisir, et j’en étais fier.  
J’étais toujours contre lui, avec le gout de son jus encore dans ma bouche quand il me demanda de m’allonger à mon tour.
 « Non Toinou! Ce sera pour plus tard !
- Allez… laisse-toi faire, je dois te rendre la monnaie !! J’ai envie de te faire jouir à mon tour. »
 
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que déjà nous entendions la voix de ma mère qui nous rappelait à l’ordre pour passer à table.
 
Une fois installés à table, Toinou et mon père entamèrent une longue discussion sur leur passion commune, le violoncelle…
« Ça fait combien de temps que tu joues du violoncelle, Antoine ?
- Ça va faire bientôt neuf ans Mons....... euh, Julien !
- Tu rigoles j’espère ?
- Euh non Julien, je sais que je n'ai peut être pas le niveau pour jouer le concerto de Dvorak pour violoncelle mais… »
 
Je les écoutais parler, Antoine se remettait en question constamment. Toujours peur de ne pas être à la hauteur. Un mec pas vantard, toujours dans le doute… Je commençais à apprécier ce mec.
« Ah non mais ne t’inquiète pas Antoine, je suis positivement surpris, tu as un sacré niveau pour neuf ans d'études ! Qui est ton professeur ? demanda mon père
- C'est Monsieur Thirault !  
- Ah d'accord, je comprends mieux maintenant ! Ce professeur est génial, il devrait être professeur à Paris ! Il a un sacré talent. »
 
De mon coté, j’écoutais attentivement mon père, et bel être, sans dire un mot. Je buvais ses paroles, il parlait de sa passion avec une telle connaissance. Le repas terminé, nous primes congé de mes parents et montons dans la chambre.  


Je n’eu pas le temps de rentrer que déjà Toinou me sauta dessus et commença à me caresser les épaules, le torse, le ventre. Ses mains s’aventurèrent jusque sur mon pantalon déjà déformé par un sexe tendu par ses caresses. Je le trouvai déchainé  et lui en fit part
« Hey… doucement, cela ne t’a pas suffit tout à l’heure ?
- NON, me dit-il sur un ton sec et sex à la fois. Tu m’as comblé, mais je te rappelle que j’ai une revanche à prendre. »
 
Il joignit la parole à ses gestes et glissa ses mains directement à l’intérieur de mon boxer pour en ressortir mon sexe gorgé de sang et déjà humide d’excitation. Il me retourna en intimant de m’allonger puis s’allongea entre mes jambes. Couché sur le dos, les yeux fermés, je sentis ses mains faire glisser mon jeans et mon boxer.  Puis il attrapa mon sexe et le branla un moment tout en me caressant les testicules. Je m’abandonnai à ses caresses….
 
Je sentis ses lèvres humides se poser sur mon gland et elles l’encerclèrent. Sa langue commença à tourner autour de ce dernier, laissant s’échapper de ma bouche, un gémissement de plaisir. Ses lèvres coulissaient maintenant le long de ma verge pendant que ses mains masturbaient en même temps mon sexe tendu. Il les faisait descendre le long de ma hampe jusqu'à venir mourir sur mes testicules ainsi que sur mon anus légèrement ouvert du fait de mes jambes écartés. Le passage des ses doigts me fis sursauter. Il pensa avoir atteint un endroit inaccessible. Il arrêta sa caresse buccale, me regarda et s’excusa pour cette intrusion.
« Non, ne t’excuse pas, continue. Laisse-toi aller à toutes les caresses que tu souhaites... hum c’est divin !!! Continue... »
 
Sur ces mots, il reprit ma verge, et recommença à la gober avec de plus en plus d’insistance.  Ses lèvres descendaient jusqu'à la garde de mon sexe puis remontaient sur mon gland ou il laissa glisser sa langue autour de ce dernier.
Toinou repris le chemin de mon anus et laissa glisser un doigt puis deux, autour de mon trou d’homme. sans me  prévenir, il en inséra un, et commença un va et vient à l’intérieur de mes chairs, dilatant ainsi mon anus encore vierge de tout passage. Ma réaction fut immédiate, je sentis ma jouissance monter…
« Attention Toinou, je viens… »
 
Au lieu de se retirer, il me goba encore plus le sexe en accélérant les mouvements. Je ne tardai pas à lâcher un premier jet de sperme, puis deux... Trois... Et quatre, avec violence contre son palais.
Les lèvres remontèrent le long de mon sexe, et il entreprit de passer sa langue autour de mon gland afin de récupérer les dernières gouttes qui s’en échappaient encore.  
 
Quand il eut fini, il se redressa. Je ne pus m’empêcher de lui sourire en voyant un filet de jus d’homme s’écouler de ses lèvres. Il s’approcha de moi, m’enlaça et colla ses lèvres contre les miennes. Nos langues se mélangèrent et je goutai pour la première fois à mon jus. Puis je le pris par le cou, l’enlaça à mon tour et lui glissa à l’oreille
« C’était divin !!!
- C’est vrai ? Tu as aimé ?
- Aimé ??… Adoré oui !!… tu m’as comblé… »
 
Il posa sa tête contre mon torse et commençait à s’endormir, nu sur moi, quand la poignée de la porte commença à bouger et la porte s’ouvrit…

 

Nous étions tous les deux nus, ma tête sur son torse, quand la porte s’ouvrit…
Julien apparut sur l’ouverture de la porte !
« Euh papa ce n’est pas ce que tu crois ….
- Dis rien Valentin, je le savais déjà ,et je suis très heureux pour vous !
- Euh…. Alors là, je ne sais pas quoi dire…. Comment l’as-tu su ? »  
 
Je faisais mine de dormir pendant que mon ange s’expliquai avec son père, SON PÈRE ! Mais comment le savait-il ? Il referma la porte, et je sentais prêt de moi, mon amour qui était complètement bouleversé par ce qui venait de se passer. Je rouvris les yeux lui pour lui montrer que je ne dormais pas.


Aucune réaction de sa part, il ne me dit rien, il était sous le choc !
Je le prenais dans mes bras pour le réconforter lui déposais des baisers dans le cou, lui murmurant des « je t’aime mon ange, ça va aller »…
Mais même mes mots ne le faisaient pas réagir
 
L’après midi se passa par une répétition qui fût assez troublée, après cette découverte de Julien dans la chambre ! Au bout d’un moment, Valentin fût appelé par Lady ! C’est alors que le pire moment de ma vie arriva…
« Alors comme ça tu aimes la queue ? me lança Julien  
- Euh et bien comment dire, je suis amoureux de Valou, voilà !
- Et bien tu vas gouter à la mienne, de queue ! Pour avoir profité de mon fils ! »
 
Je me lançai alors en direction de la porte. Je fus projeté au sol par Julien. Il me maintenait fermement au sol alors qu’il défaisait sa boucle de ceinture. Laissant son jeans tomber à ses genoux.  J’hurlais de toute ma puissance, mais la salle de musique est insonorisée : j’étais pris au piège par ce monstre !
 
Il me retira tous mes vêtements violement, malgré le fait que je me débattais ! D’un seul coup, il rentra en mon anus encore vierge jusqu’ici, m’arrachant un énorme cri de douleur, alors que je pleurai toute les larmes que je contenais !  
Cette horrible sodomie, je pense, une dizaine de minutes, ce qui me paraissait durer une éternité, éternité de douleur et de chagrins !
 
Il se releva, je pensais mon calvaire enfin terminé ! Mais non !!! Il en voulait encore. Il me fit me retourner, et s’avança le long de mon corps jusqu’à m’enfoncer sa queue répugnante dans ma bouche ! Je dus alors le sucer jusqu’à ce qu’il jouisse une quantité impressionnante de foutre dans ma bouche !
 
Ensuite, il me laissa alors au sol complètement nu, du sperme dégoulinant de ma bouche. J'étais en larmes, recroquevillé sur moi-même…
« Si tu en parles, le concerto ne sera pas pour toi ! » me lança-t-il en sortant de la salle.
 
Une dizaine de minutes s’écoulèrent alors, quand je vis la poignée de la porte bouger ! Je voyais déjà mon calvaire recommencer, me faire sodomiser de force…
Mais non, c’était Valentin …

 

 

A suivre...

 

 

toinjuju et blondinetbi

 

toinoudelaon@yahoo.fr 

 

Par toinjuju et blondinetbi - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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