Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
L’odeur du café me réveilla. Le soleil éclairait le salon. Caroline était devant moi, une tasse de café à la main et un plateau de croissants dans l’autre.
« Tu viens manger ? J’ai dressé la table sur la terrasse. Il fait superbe.
- J’arrive. »
Caroline s’assit. Je m’approchai d’elle. Je me penchai dans son cou tout en prenant dans chaque main un de ses seins.
« Tu as bien dormi ?
- Merveilleusement. »
Je m’installai à ses côtés, toujours nue comme un ver.
« Dis-moi ! D’où sors-tu cette robe et d’où viennent toutes ces gourmandises ?
- La robe est celle de mon amie. On a heureusement la même taille, mais pour toi, je n’ai trouvé qu’un paréo et peut-être un bikini. Il y a juste un problème.
- Lequel ?
- Il est rikiki ! Mais il te mettra en valeur. »
On mangea.
« J’ai fait le programme de la journée, dit-elle. Ce matin, opération fringues ! On va dévaliser les boutiques. Ensuite léger repas et plage. J’ai envie de m’allonger sur le sable et cuire !
- Cuire, je ne sais pas mais ok pour le programme. Mais…
- Mais quoi ?
- Ben… J’adore être avec toi et profiter de la vie. Mais cela me gêne un peu. Tu me donnes énormément alors que moi, je n’ai pas les moyens de te rendre la pareille.
- Ecoute ! je peux comprendre ce que tu ressens mais sache deux choses : la première, j’ai assez d’argent pour m’arrêter aujourd’hui de travailler et de continuer mon train de vie actuel jusqu’à ma mort. La deuxième, cela me fait plaisir. Tu es la seule personne, à part mes enfants, à qui je donne sans espérer un retour. Tu me rends meilleure. Tu vois, ce week-end impromptu, je ne l’aurais jamais imaginé avant ta venue dans ma vie. Je me sens comme une collégienne qui part en cachette rencontrer son petit ami. Alors oublie et laisse-toi guider.
- N’empêche…
- Chut, fit-elle en me mettant un doigt sur les lèvres. Tais-toi ! Et si cela te gêne tant, fais-moi un petit cadeau et je serai remboursée au centuple. Ok ? »
Je fis oui de la tête.
« Bon, on va l’essayer ce bikini ?
- Oui ! »
Il faut avouer que le bikini était superbe, mais je ne sais vraiment pas pourquoi, l’amie de Caroline l’avait acheté, car à part garnir mes tétons pour le haut, et juste deux ficelles pour le bas, il ne cachait rien !
Pourtant, obligée de le porter, nous partîmes dans la ville toute proche. Ma tenue fit effet et Caroline ne souciant nullement des autres me prenait la main ou le bras. On s’arrêta devant des dizaines de boutiques les unes plus belles que les autres. J’avais la tête qui tournait tellement j’avais porté ou vu de belles choses. Le coffre de la voiture était rempli au ras bord des vêtements, chaussures ou autres maillots de bain, produits solaires.
Caroline reçut un coup de fil d’un de ses confrères.
« Ma chérie, je vais malheureusement devoir te laisser une heure. Je retourne à la villa et j’envoie un e-mail qui aurait dû être parti hier. On se retrouve sur cette terrasse ? Je suis désolée !
- Pas de problème. Je comprends.
- C’est de ta faute, fit-elle en riant, tu m’excites tellement.
- Attends ce soir !
- A tout de suite !
- A tout de suite, » dis-je en l’embrassant.
Par hasard, on se trouva dans une rue plus calme. Une vitrine nue de tout article apparut. Un seul mot ornait la vitrine : love-shop. C’est un sex-shop avec le côté glauque en moins. Intriguée, j’y entrai.
Une femme d’une trentaine d’année me reçut. Elle portait une robe avec un décolleté qui menaçait à chaque moment d’exploser.
« Que puis-je pour vous ?
- Je fais un tour.
- Pas de problème. »
Le magasin état divisé en trois parties : Dans la première, trônaient des poudres à masser comestibles, des huiles de massage, de l’encens, etc. La deuxième était destinée aux vêtements : robe en latex, uniformes de tous genres. Bref, des choses importables durant la vie de tous les jours mais pourquoi pas. La troisième partie était dédiée aux godes, menottes, vibros. A tous les sex-toys.
Je n’en croyais pas mes yeux. Je vis un gode se terminant aux deux extrémités par des phallus. Il était doux. La couleur bleue lui donnait un petit cachet marrant. Et rien qu’à le prendre je sentis une vague humide s’emparer de mon bas-ventre.
« Bon choix, » souffla la voix rauque de la vendeuse.
Elle me troubla. La boule de chaleur grandit encore un peu plus.
« Vous et votre partenaire serez comblés en même temps. Vous êtes avec une femme ? »
La question me surprit. Et je baragouinai :
« Euh… Je… Aujourd’hui, oui !
- Alors ce sera parfait.
- Vous ne trouvez pas qu’il est un peu trop gros ?
- Pas du tout ! Vous voulez l’essayer ? »
Je crois que je devins cramoisie.
« Je peux ?
- Pas de problème. Venez par ici. Personne ne vous entendra si vous prenez votre pied. »
Je ne sais pas pourquoi, mais sa voix me transportait. Je l’aurais suivie jusqu’au bout du monde. Elle me fit entrer dans un petit salon, fouilla dans une armoire et me tendit un autre vibro.
« Celui-là est stérile. Ce sera plus propre. Faites à votre aise et si vous avez besoin de moi, sonnez là. »
Elle me montra un bouton rouge à côté du divan puis elle partit. Je me retrouvai seule. La situation m’avait excitée. Je glissai mon index au milieu de ma fente. Elle dégoulinait. Je m’installai dans le canapé, remontai la robe achetée l’heure précédente et commençai à me masturber.
« Ce week-end, pas de culotte ou de string et pas de soutifs ! m’avait ordonné Caroline. J’ai ainsi l’opportunité de te caresser sans être embêtée par un bête morceau de tissu. »
Elle avait eu raison. Je pris le vibro et je le chauffai avec mes mains. Le contact du jelly m’attisait. C’est avec une certaine appréhension que je positionnai le chibre devant mon sexe gorgé de désirs. J’appuyai sur mon sexe mais cela n’allait pas. Il ne rentrait presque pas.
« J’avais raison, il est trop gros, dis-je en me relevant. «
Mais je ne sais pas ce que je fis, je me pris les pieds dans un fil traînant à terre et en voulant me rattraper j’appuyai sur le bouton appelant la vendeuse. Les jambes grandes écartées laissant voir mon sexe luisant, le vibro à la main, la vendeuse entra presque aussitôt avec le sourire aux lèvres.
« Je vois que vous aurez besoin de moi, me dit-elle. Laissez-vous faire. »
Elle enleva sa robe d’un zip. Je remarquai qu’elle portait un piercing juste au-dessus de son clitoris. Bien qu’un peu ronde, elle avait un charme terrifiant. Un peu apeurée mais ô combien avide de plaisirs, je la laissai prendre le vibro et se penchai vers moi en me disant :
« Je crois que vous n’avez pas assez préparé votre sexe. Je vais m’en occuper. »
Elle descendit. Je sentis sa langue chaude et douce écarter mes lèvres intimes. Cela faisait du bien. Doucement, elle entreprit de me lécher encore et encore. Le plaisir montait lentement mais sûrement. Je fus envahie par des doigts inquisiteurs. Je gémissais de plus en plus mais à chaque fois que j’allais être emportée par le plaisir suprême, elle s’arrêta.
Sans que je m’en rende compte, elle présenta le vibro à l’entrée de mon sexe. Une légère poussée se fit sentir, et je sentis centimètre par centimètre le vibro m’envahir complètement. Elle avançait encore et encore, jusqu’à buter au fond de mon sexe.
Je suffoquais, tellement le plaisir devenait géant.
« Normalement, votre amie viendra s’empaler de l’autre côté. Et alors, vous pourrez utiliser ceci.
- Quoi, demandai-je ?
- Appuyer et vous verrez. »
Elle me donna un petit gadget. J’appuyai sur le bouton et je sentis le chibre en latex vibrer.
« A chaque fois que vous appuyez, les vibrations seront de plus en plus fortes. »
Je le fis et je me le laissai aller. Je voulais jouir. Pourtant, la vendeuse me prit la télécommande et stoppa net les vibrations. Un sentiment de frustration m’envahit. La vendeuse se pencha sur moi et me dit en enlevant le vibro de mon corps.
« Je crois que votre amie aimerait vous voir jouir et que ce soit elle qui le fasse. Vous ne trouvez pas ? »
Reprenant mes esprits, j’acquiesçai.
Elle me redressa.
- Si vous le permettez, je vais l’emballer sans l’essuyer.
Elle l’emballa, je payai et sortis de ce magasin avec une impression de m’être fait manipulée. En tout cas, une chose est sûre. J’étais excitée comme jamais. Il fallait que je jouisse le plus rapidement possible.
Je me dirigeai vers notre lieu de rendez-vous. Caroline m’attendait déjà.
« Cela va ma chérie ?
- Oui ! J’ai chaud…
- Ah oui ? »
Sans attendre, elle prit sa main et en pleine terrasse, elle plaqua sa main sur mon sexe poisseux.
« Mais t’es trempée !
- Oui !
- A cause de quoi ?
- De ceci ! fis-je en lui montrant mon cadeau. C’est pour toi… et moi ! »
Nous étions dans un coin de la terrasse si bien que caroline put l’ouvrir sans choquer qui que ce soit. Surprise, elle le soupesa et surtout elle vit qu’il avait déjà été utilisé.
« C’est toi qui ?
- Oui !
- Et seule ? fit-elle en faisant mine d’être jalouse.
- Ben… je me suis fait aidée.
- Alors raconte-moi tous les détails et je verrai si tu dois être punie, répondit-elle en riant.
Je lui racontai le tout sans oublier un seul détail. Je vis que le rouge augmentait sur son visage. A la fin de mon histoire, elle me dit :
« J’ai hâte de l’essayer mais pour ta punition, on va d’abord manger.
- Tu ne me dis rien ?
- Et pourquoi ? Si tu me laisses libre de faire ce que je veux, je ne vois pas pourquoi je devrais te dire quelque chose. Au contraire, c’est bien que tu en profites sans moi. Merci pour le cadeau. Cela me fait énormément plaisir. Moi, j’en ai aussi un pour toi ! Tiens !
Je pris un petit paquet. Je le déballai rapidement, ouvris la boîte et découvris un ras de cou en or avec un diamant comme pendentif.
« C’est trop !
- Non ! Et puis regarde. »
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