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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Par la fenêtre de son train, Xavier, jeune et séduisant jeune homme de dix6huit ans rentre d'une rude année d'études. Aujourd'hui, il se rend à son ancien lycée, pour assister à la remise du diplôme de son meilleur copain.  Lycée qu'il a quitté depuis quatre ans, lorsque Maud, sa professeur d'anglais, l’a fait virer pour le faire mettre en pension. Une vraie peau de vache, dont il garde encore, une petite rancune.

          

Pour rester éveillé, Xavier s'est acheté au kiosque de la gare des magazines, dont un réservé aux adultes. Il est seul dans le compartiment, plongé dans sa lecture érotique, quand la porte du compartiment coulisse.

 

Apparait alors, Audrey, une jeune et jolie fille, apparemment du même âge que lui. Surpris, Xavier à quand même la lucidité de glisser sa revue érotique, dans un magazine sportif.-« Bonjour, dit-elle, je vous dérange pas ?

- Heu... mais pas du tout, répond Xavier, je vous en prie. »

 

La jeune fille se hisse sur la pointe des pieds pour mettre son sac dans le filet à bagage. Ce mouvement a pour effet de faire remonter la jupe sur les cuisses, et de laisser entrevoir une petite culotte blanche, tout comme le large débardeur laisse entrevoir de magnifiques seins dépourvus de soutien gorge. Est-ce de la maladresse, ou les secousses du train ? Toujours est-il qu'elle perd l'équilibre, et se vautre sur les genoux de Xavier.

« Excusez-moi, dit-elle, je suis confuse... Mais, c'est quoi ce livre ? »

 

Elle remarque sur le plancher, la revue érotique qui vient de tomber, ouverte.

« Ah, ces hommes ! Tous des cochons... pourquoi on ne voit jamais des mâles tout nus  

- Mais si vous le souhaitez, je peux vous en montrer un... en vrai.

- Ouais... c'est ça... et puis quoi encore    Vicieux ! » répond-t-elle d’un air faussement outragé.

 

La conversation s'arrête là, mais en douce, les yeux de la Demoiselle lorgnent sur un endroit précis de l'anatomie du jeune homme. Elle commence à être séduite par son arrogance. Après quelques kilomètres, sa décision est prise. Elle veut le voir nu…

« Votre proposition tient toujours    demande-t-elle en minaudant un peu.

- C'est un peu tard, répond-il, toujours aussi arrogant. A moins que vous ayez d'autres arguments…. »

 

Audrey n'hésite pas une seconde, piquée au vif. Elle ôte en un tournemain jupe, débardeur, et petite culotte. Elle est entièrement nue dans le compartiment, semblant ignorer que la porte peut s’ouvrir à tout moment…

« Comme cela », dit-elle en s'approchant de Xavier, malgré tout ébahi par cette audace.

 

Celui-ci reste ahuri par la beauté de ce jeune corps. Il la fait s'asseoir sur ses genoux, et l'embrasse. Puis ses mains explorent les parties sensibles. Les seins fermes, la chatte recouverte d'un fin duvet, le clitoris, bien au chaud dans son terrier. Audrey ne tarde pas à se trémousser sous les caresses, glousse de plaisir.

« Déshabille-toi, » souffle-t-elle.

 

Xavier quitte son costume noir, sa chemise et son boxer. Reste qu'à espérer que qu'aucun voyageur n'entre dans  le compartiment.

Audrey se met à genoux, caresse les couilles pleines, joue avec la queue qui s'étire de plus en plus. Elle la décalotte, enrobe le gland du bout des lèvres et l'engloutit avec gourmandise.

« Hum...hum... », jubile-t-elle, devant cet objet de plaisir qu’elle convoite...

 

Xavier ne pensait pas qu'une fille de cet âge soit aussi douée pour tailler les pipes !

Jugeant la bite assez calibrée, elle se lève et s'y empale dessus. Lentement, elle coulisse dans la chatte humide de la jeune d'Audrey.

 

« Aaaaah.., gémit-elle, ça fait plus d'une semaine que j'ai pas pris un coup de queue... Ca fait du bien de se le faire mettre par une belle bite...

- C'est pour ça que tu mouilles   Régale-toi salope... »

 

Est-ce par manque, toujours est-il qu'Audrey se donne à fond dans cette relation. La respiration haletante, et les violents coups de reins ne trompent pas.

Xavier a sa tête enfouie dans les seins de la jeune fille, qui lui agrippe les cheveux.

« Salaud, gémit-elle. Je jouis...Tu le sens hein... toi aussi tu viens... oh mon dieu...

- On ne s’est même pas protégés... Tans pis... c'est trop bon... le prochain coup... »

 

Les jeunes amants jouissent dans un ultime coup de reins. Xavier embrasse les seins de sa partenaire, pendant qu’elle lui palpe les couilles.

 

Quand Xavier arrive au lycée vers dix neuf heures, des groupes de personnes se sont formés. Dans un, Xavier reconnait Maud.

« Tiens, dit-il à son copain, mais c'est la peau de vache. »

 

En se retournant, Maud croise le regard de son ancien élève.

« Tu as vu ce charmant garçon, dit-elle à sa voisine, amie et livreuse de pizzas, Elodie. Tu le connais ?

- Mais bien sur, c'est Xavier, celui que tu as fait virer il y a quatre ans. Il a bien  changé, tu ne trouves pas    C'est un beau mec maintenant... hey, réveille toi... pour te faire pardonner, tu ne vas quand même pas t'offrir à lui... »

 

Maud, trente neuf ans, divorcée, trouve l'idée de sa copine excellente. Surtout que son appartement de fonction est juste au dessus. Elle est tirée de ses pensées par une main qui la tire par le bras.

« Whoua, dit Xavier à son copain, qui est cette bombe avec la peau de vache   

- C'est Audrey, sa fille. Si tu voyais le canon en maillot… le corps qu'elle a...

- Je sais, répond Xavier.

- Tu sais    Et comment tu le sais   

- Heu... j'imagine... à voir comment la mère est gaulée… merde... elle est  partie ! »

 

Une idée traverse l'esprit de Xavier. Et s'il branchait la mère    D'autant qu'à voir les sourires qu'elle lui envoie, il n'a pas l'air de lui déplaire. Il faut à tout prix qu'il provoque une rencontre. Il a niqué la fille, il veut la mère pour que sa vengeance soit totale.

« Bonsoir Madame, dit-il, il manque de champagne ici, vous ne trouvez pas   

- C'est vrai, répond Maud, mais ça peut s'arranger, j'en ai chez moi, si ça vous dit...

- Pourquoi pas », poursuit Xavier, l’œil pétillant.

 

Maud invite Xavier à s'asseoir, et apporte deux flutes de champagne. Elle s'assied sur le bras du fauteuil, en prenant soin de faire remonter sa jupe sur ses cuisses. Xavier risque une main sur les jambes fines de son ex prof. Celle-ci, pas farouche pour un sou, ne repousse pas la caresse, écarte légèrement ses jambes. Xavier poursuit plus loin son ascension, et sursaute quand il s'aperçoit que Maud n'a pas de culotte.

« Que t'arrive-t-il, sourit-elle, tu as rencontré le diable ? »

 

Xavier ne se démonte pas, la regarde en souriant. Un doigts lisse les lèvres, excite le  clitoris, ouvre la chatte. Maud se cambre sur les doigts qui la pénètrent.

« Allons au lit, murmure-t-elle, j'ai des choses à me faire pardonner. »

 

Il la suivit dans la chambre, et se déshabilla entièrement. Maud fixait intensément la bite dressée du jeune homme…  Aa point qu’i l lui demanda :

« Tu ne le trouves pas trop petit    
-  Non ! Je devrais      
-  J’aurais aimé en avoir un plus long... Plus large aussi...   
-  Selon  ma modeste expérience, je crois que ton sexe est de taille moyenne. , lui dit-elle en souriant.
-  Tu plaisantes ! Tous mes amis affichent des vingt à vingt-deux centimètres !
-  Tu ne les as jamais vus ! Tous les garçons se vantent de la taille monstrueuse de leurs queues. C’est bien connu. C’est quand ils se trouvent dans un lit avec une femme qu’ils affichent péniblement quinze centimètres de chair à peine ferme. ..
-  Je ne l’ai jamais mesurée. J’aurais trop peur de lire un chiffre navrant...  confessa- t-il.
-   L’essentiel est qu’elle soit belle et que tu saches t’en servir correctement. Je t’assure que tu remplis parfaitement la première condition.   
-   A moi de te démontrer que je mérite une bonne note à la deuxième épreuve, s’ exclama t  il en souriant.
-   Mais nous allons d’abord passer à l’exercice oral, » déclara-t-elle juste avant que  Xavier ne sente des lèvres douces entourer voluptueusement son gland.


Il se sentait perdre pied, et il n’arrivait même plus à se concentrer sur autre chose que cette sensation extraordinaire de douceur. Maud semblait experte en la matière. Xavier ne sentait plus son corps qui semblait s’immerger dans un bain cotonneux. Seule la perception des lèvres qui coulissaient le long de son membre semblait désormais exister. Il vivait un rare moment de bonheur et de ravissement quand Maud s’interrompit :
« Tu ne voudrais pas prendre le portable, chéri, et demander qu’on nous monte livre une pizza ?    Ca nous ménagera une petite pause après m'être délectée de ton jus de couilles, » demanda-t- elle d’une voix innocente.


Xavier, bien qu’un peu estomaqué par les propos vulgaires de son amante, décrocha le téléphone et fit le numéro de la pizzeria, enregistré dans la mémoire. Pendant ce temps, Maud le pompait avec vigueur. Il avait du mal à articuler correctement tant était intense son plaisir à cet instant.


Quelques minutes après, Ils entendirent qu’on frappait à la porte.  Xavier voulu se lever pour se couvrir mais Maud l’en empêcha et invita la personne à pénétrer dans la pièce. Elodie fit son apparition, la pizza dans les mains. Elle regardait le couple avec une décontraction évidente. Elle décocha un sourire enjôleur à Xavier étendu sur le lit alors que le visage de celui-ci était cramoisi.
« Pose a boite là, Elodie !  commanda Maud sans cesser de branler la verge de son amant.    Je trais ce jeune homme et je suis à toi. Assieds-toi ! »

Xavier n’en croyait pas ses oreilles. Son ancienne prof était d’une vulgarité sans pareil et venait bel et bien d’ inviter la livreuse à assister à leurs ébats. Il sentit que la bouche l’aspirait encore plus vigoureusement et ne tarda pas à fermer les yeux pendant que son plaisir s  épandait entre les lèvres de  Maud. Il demeura quelques instants abasourdi par son plaisir.

 

Lorsqu’il releva la tête, Elodie était toujours là, sagement assise sur un fauteuil. Elle lui souriait. Maud, quant à elle, léchait les dernières traces de sperme autour de la queue qui reprenait petit à petit, sa taille habituelle. Maud, enfin se leva.
« Je te présente Elodie. Et voici  Xavier !  Elodie est une petite vicieuse qui adore me brouter le minou…. »

  
Pendant que  Maud s’adressait à son amant, Elodie s’agenouilla devant elle. Elle plongea son visage entre les cuisses écartées de la jeune femme. On entendait plus que le bruit de clapotis que produisait sa bouche sur le sexe saturé de sécrétions.  Xavier n’en croyait pas ses yeux.
« Mais elle te fait un cunnilingus ! s’exclama-t- il, interloqué.
- Oui ! Quand Elodie me bouffe la chatte, c’est un peu comme si je me masturbais avec ma langue. Le problème c’est que je ne suis pas assez souple pratiquer ce genre d’exercice, ajouta-t- elle simplement.
- Ne me dit pas que ce genre de service est compris dans les prestations de livraison de pizza !   
-  Bien sûr que non ! Elodie est une vieille amie et aussi coquine que moi… Assieds-toi au bord du lit ! » lui demanda-t- elle.


Xavier s’exécuta sans réticence. Maud allongea sa jambe droite jusqu’à ce que son pied atteigne le sexe de son amant du jour. Elle caressait sensuellement la verge qui reprenait déjà de la consistance.  Xavier se laissait faire, les yeux fermés, goûtant le plaisir de sentir la peau douce de la plante du pied caresser ses parties génitales.

 

Il entendait maintenant la respiration de  Maud s »accélérer. Il ouvrit les yeux quand il entendit de petits gémissements étouffés qui ne semblaient pas provenir de la bouche de son amante. Il constata que le pied gauche de  Maud caressait le sexe d’Elodie qui avait baissé sa culotte. Cette dernière soutenait sa jupe des deux mains, exhibant une paire de fesses joliment rebondie.
« Oh ! Elodie ! Je vais jouir ! » s’écria-t-elle en empoignant la tête de son amie par sa chevelure pour la plaquer contre son sexe.


Maud émit une sorte de feulement pendant que son corps se raidissait, puis ses épaules tombèrent et elle sombra dans une sorte d’apathie. Elodie ne cessait de lécher avidement le sexe glabre pendant qu’elle se branlait avec le pied de son amie qu’elle s’enfonçait dans le vagin.

 

Le sexe de  Xavier avait retrouvé toute sa vigueur à présent. Il se leva et se pencha sur Maud qu’il embrassa avec passion. Cette dernière repoussa la tête d’Elodie qui se cambra en même temps qu’elle déchirait l'air d'un cri strident.  Xavier eut juste le temps de remarquer le visage déformé de la fille pendant qu’un orgasme la submergeait.

 

Dans un spasme final, La livreuse enfonça le pied de  Maud jusqu’à la cheville.  Xavier était pétrifié de stupeur devant cette scène ahurissante… La jeune fille retira le pied de  Maud de son vagin dégoulinant. Elle le porta à sa bouche pour le sucer dévotement. Maud caressait amoureusement le pénis de  Xavier pendant qu’ils assistaient à cette scène d’adoration qui les excitait tous les deux.


« Ne te méprends pas sur ma relation avec Elodie !  annonça-t-elle en brisant le silence. Je ne suis pas la maîtresse d’Elodie. Elle est seulement mon amante épisodiquement.   
-  Elle semble pourtant te porter une dévotion bien au-delà de ce qu’on peut attendre d’une simple amante…. 
- Elodie voue un véritable culte à ma personne. Elle m’adore au sens le plus stricte du terme. J’en profite un peu, il est vrai.. Mais ces jeux de Lesbos épisodiques me plaisent… »


Sur ces mots, Maud se leva et enlaça  Xavier. Leur baiser était tellement passionné que le garçon en tremblait d’émotion. Qui aurait pu dire que son ex prof le mettrait dans un tel état, lui qui ne rêvait que de vengeance ???

 

Ils rejoignirent Elodie qui les attendait nue sur le grand lit.
Persuadé qu’Elodie était une lesbienne,  Xavier dut réviser son jugement car elle lui roulait une pelle passionnée. Lorsque celle-ci repoussa son visage en arrière, ce fut pour lui demander :
« J’aimerais que tu me lèches la chatte pendant que j’embrasse Maud sur la bouche ! »   

La proposition était assez perverse pour que  Xavier ne la refuse. La livreuse enjamba le visage de Xavier et plaqua sa vulve suintante sur sa bouche.  Ce dernier s’étonna de l’odeur forte que dégageait cette chatte dilatée …

 

Mais il oublia bien vite ce désagrément en sentant sa queue s’introduire dans une chaleur onctueuse. Pendant que sa langue jouait avec les anneaux qui infibulaient les grandes lèvres d’Elodie la brune, le vagin de  Maud la blonde, coulissait suavement le long de son pénis à la sensibilité exacerbée. Il baisait deux femmes magnifiques à la fois ! Le séducteur n’aurait jamais imaginé que ce fantasme pouvait se réaliser un jour…

 

Les deux amantes se couchèrent sur le côté. Maud se contenta d’écarter les cuisses pour que  Xavier comprenne ce qu’elle attendait de lui. Pendant qu’il butinait la blonde, la brune s’était glissée derrière lui et sondait l’anus du mâle avec une langue experte. Alors qu’il n’aurait jamais accepté ce genre de cajolerie auparavant,  Xavier ressentait un vif plaisir à se faire prodiguer cette caresse intime par une inconnue. La bouche de la jeune femme glissa jusqu’ à ses bourses pour les gober une à une.  

 

Xavier explorait frénétiquement la vulve de sa prof Les saveurs qui s’en dégageaient produisaient sur lui une intense émotion, inconnue jusque là. Il avait envie de se fondre en elle, en cet instant. Il ne sentait plus la bouche d’Elodie. Il leva les yeux pour découvrir la femme, assise sur le visage de  Maud. Elle était en train de se caresser les petites lèvres pendant que la blonde lui butinait l’anus.  

 

Xavier se déplaça de sorte qu’il puisse pénétrer son amante et sucer le clitoris turgescent de la brune. Cette dernière ne tarda pas à gémir puis, elle envoya un flot de foutre féminin dans la face déjà luisante de l’homme. Maud commença à geindre quand  Xavier accéléra son rythme. Il envoyait des coups de reins de toutes ses forces sur les adjurations d’Elodie qui connaissait finalement Maud mieux que lui.

 

Quand le corps de la blonde se tétanisa,  Xavier s’enfonça jusqu’ la garde et conserva sa position jusqu’à ce qu’un cri libérateur fasse retomber le corps de la belle. Ils s’allongèrent, essoufflés côte à côte, Maud au centre du lit. Il s’en suivit un long moment de silence. Seules leurs respirations étaient perfectibles.


Le cerveau de Xavier recommençait à fonctionner normalement. Il se demandait de quoi allait être fait l’avenir de sa relation avec la belle Maud… allait-elle seulement continuer ? Maud sortit finalement de sa torpeur passagère. Elle embrassa chastement Elodie du bout des lèvres puis, se retourna vers  Xavier. Leurs regards se croisèrent de nouveau. Elle lui signifiait qu’elle était ennuyée à l’idée qu’ils allaient se séparer.  

 

Xavier voulut parler mais Maud l’en empêcha en appliquant son index sur ses lèvres. Il embrassa le doigt de son amante sans la quitter des yeux. Son air désolé lui disait qu’elle ne pouvait pas faire autrement que de se séparer de lui.  

 

Xavier oscillait entre deux hypothèses : ou Maud était une séductrice comme lui, ou elle était une fée venue le sauver de sa médiocrité…

 

En réalité, Maud n’avait fait que tenter de réparer son erreur envers lui. Xavier ne s’en doutait pas, et souhaitait ardemment la revoir. Son attitude distante lui indiquait qu’il ne devait pas insister…

 

Il se leva sans quitter des yeux les prunelles de Maud. Il marcha à reculons jusqu’à ses vêtements qu’il enfila sans se détourner du regard de sa prof.

Il quitta la pièce, sans un mot après s’être promis de ne pas en rester là…

 

Maud se recoucha dans les bras d’Elodie, et s’endormit avec le sentiment du devoir accompli…

 

Par L'Amoureux et Sophie de R. - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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