Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
1. Au hasard de la route.
L’été dernier j’ai passé une semaine au Cap d’Agde dans un camp naturiste. Ces quelques jours ont été très chauds dans tous les sens du terme. C’était la première fois que je passais du temps dans ce camp car habituellement, je vais plutôt sur la côte landaise. Je raconterai cela une autre fois.
J’avais déjà fait pas mal de route et, pour faire une pause, je me suis arrêté du côté de Nevers pour récupérer un peu plus bas l’autoroute Méridienne. Après un repas frugal fait essentiellement de fruits et d’une boisson fraîche, je me reposais avant de reprendre la route. Je devais sommeiller un peu car j’ai été réveillé par des coups frappés contre la vitre du côté passager qui était légèrement ouverte.
Que vois-je paraître ? Une jolie minette d’environ vingt-cinq ans, brune qui me demande : « Tout va bien ? »
Je réponds par l’affirmative en disant que je me reposais car j’avais déjà fait plus de trois cents kilomètres, et que j’en avais encore pas mal à faire. De fil en aiguille, nous engageons la conversation. J’apprends que ma belle inconnue, qui fait du stop, descend vers Nîmes où elle doit retrouver des amis, et elle me demande si je peux la prendre pour la rapprocher.
Cela me fera une compagne de route, et j’acquiesce bien volontiers. J’ai tout loisir de l’observer quand elle s’éloigne pour aller chercher son sac à dos qui est au pied d’un arbre à peu de distance. En plus d’un joli minois, elle a aussi un corps très agréable à regarder, des hanches et des cuisses pleines serrées dans un jean et le dos légèrement cambré. De face, c’est tout aussi charmant. Son buste aux seins bien bombés est moulé dans un T-shirt qui couvre un soutien gorge visible sous le tissu. Un joli brin de fille.
De retour près de la voiture, je mets son bagage dans le coffre. Je m’appelle Sylvie me dit-t elle en s’installant près de moi. Sa compagnie est agréable, son bavardage n’a rien des mièvreries qu’on entend souvent dans la bouche des jeunes de son âge. A tel point que nous arrivons à Millau presque sans nous en rendre compte. Il faut que je fasse une nouvelle pause et surtout donner à boire à la voiture et aussi acheter de quoi manger en cours de route. Nous quittons l’autoroute pour gagner la ville.
Chacun fait ses emplettes et après une heure de repos, nous reprenons la route pour retrouver l’itinéraire initial sur le plateau du Larzac. Le voyage se poursuit dans la bonne humeur. La nuit approche, nous allons terminer notre route bien après minuit.
Sylvie a vraiment eu une bonne idée de s’enquérir de moi en croyant que je ne me sentais pas bien. De ses propos, je découvre que c’est une amoureuse de la vie, libre de toute attache sentimentale, elle papillonne au gré de ses envies et des occasions qui s’offrent tout en poursuivant des études supérieures de langues orientales. Depuis que nous avons repris la route, ma compagne de route est assez agitée. Elle croise et décroise ses jambes, elle a le souffle court au point que je lui demande ce qui ne va pas. Elle me demande alors de trouver un coin discret pour s’arrêter prétextant un besoin pressant.
Au bout de quelques kilomètres, je m’arrête sur un petit parking bordé de bosquets d’arbres. Cela me semble le lieu idéal pour que Sylvie puisse s’isoler. Au bout de quelques temps, ne la voyant pas revenir, je l’appelle en lui disant que si elle ne veut pas arriver à Nîmes tard dans la nuit, il serait temps de reprendre la route. Elle me répond alors que ce n’est pas un souci et me demande de la rejoindre derrière les arbres car elle a besoin d’aide. Là, quelle n’est pas ma surprise!
La belle m’attend n’ayant plus sur elle qu’un string minuscule et un soutien gorge effectivement bien rempli. C’est vraiment une belle fille, les hanches bien galbées, les seins ronds en pomme et haut perchés, des cheveux bruns mi longs qui encadrent un visage charmant. Elle sourit en voyant ma surprise.
« Viens, me dit-elle en se collant à moi, je vais te dire MERCI à ma façon ! »
Je sens ses seins se presser contre mon torse, son bassin qui ondule contre le mien et ses lèvres qui cherchent les miennes. Nous échangeons des baisers passionnés. Sa main droite s’est glissée entre nous et entreprend de masser ma bite qui est déjà à moitié bandée. Elle sait y faire la coquine. Mes légers vêtements ont eux aussi vite fait de voler à quelques mètres. Se mettant à genoux devant moi, Sylvie prend mon sexe en bouche et commence une fellation digne d’une professionnelle du sexe. Je ne peux rien faire d’autre que savourer la caresse tout en passant ma main dans ses cheveux.
Je lui dis « Attention, je vais partir ! » pour la prévenir. Elle se dégage et s’allonge sur l’herbe rase en me tendant les bras.
« Viens ! » me dit-elle.
Elle saisit les dessous de ses cuisses et relève ses jambes écartées dans une pose d’une totale impudeur. Je mets mes bras en appui de chaque côté de son torse, j’embrasse et je suce un peu les tétons pendant que ma bite cherche l’entrée de sa grotte d’amour. Je l’investis d’une poussée lente et continue de façon à ce que Sylvie apprécie la pénétration. Sa chatte est trempée de mouille et chaude à souhait.
Quand elle sent que mon bassin est bien incrusté dans la fourche de ses cuisses, Sylvie rabat ses jambes sur mon dos et commence à onduler du bassin. Que c’est bon. Je ne sais s’il elle s’est fait un trip en cours de route car elle jouit rapidement au moment où je me déverse en elle. L’étreinte a été brève mais totale, nous procurant une belle jouissance partagée. Nous restons ainsi quelque temps, emboîtés l’un dans l’autre avant de nous rhabiller et de reprendre la route. Mes vacances au Cap d’Agde commençaient bien !
2. Sur la plage du Cap d’Agde.
Sans compagne avec qui passer les vacances d’été, j’avais décidé de changer mes habitudes. Au lieu de la côte landaise, je voulais aller reconnaître les camps et plages naturistes de la côte languedocienne. Quelques semaines auparavant, à la suite d’un désistement, j’avais eu la chance de pouvoir trouver à louer un bungalow dans un camping (non naturiste hélas) du Cap d’Agde.
En cours de route, j’avais pris en charge une autostoppeuse qui, à sa façon, m’avait remerciée…
Arrivé au petit matin après avoir traversé toute la France, j’avais attendu l’ouverture de l’accueil pour prendre possession des lieux et profiter d’un repos bien mérité jusqu’aux environs de midi.
Après un rapide déjeuné à la terrasse d’une pizzéria du centre, je me dirigeai vers la mer. Short, cache sexe, teeshirt, serviette de plage, crème solaire et, indispensables préservatifs, voila tout mon équipement. Dès mon arrivée sur la plage, je me suis débarrassé des vêtements inutiles. Le sexe dissimulé par un « minimum », je me suis mêlé aux groupes de la foule qui, étendus à l’abri de parasols ou dissimulés derrière des paravents prenait le soleil. Presque tous étaient entièrement nus.
Soudain mon attention a été attirée par un groupe d’hommes et de femmes qui faisaient un cercle autour d’un grand parasol couché, leur attention fixée vers le centre. Je m’approchai. Quel spectacle! Une belle blonde aux cheveux mi-longs, au teint hâlé et à la silhouette longiligne, avec une poitrine menue faisait une fellation à un homme d’une trentaine d’année, allongé sur le sable, le torse relevé en appui sur les coudes, les cuisses largement ouvertes. Bâti en athlète, bronzé, doté d’un sexe d’une taille plus que respectable, il appréciait visiblement la caresse. Bon nombre d’hommes du cercle se masturbaient allégrement en observant ou se faisaient sucer. Des femmes avaient des doigts dans leur chatte ou se caressaient le clitoris ou un sein.
La blonde a quitté sa position à genoux pour s’allonger sur le sable. L’homme se releva, le sexe à la main il vint se placer au dessus de son visage, se masturba quelques secondes et éjacula une importante quantité de sperme, maculant sa face et les cheveux. Certains des hommes qui se paluchaient s’approchèrent et se vidèrent aussi sur le visage ou le torse de la femme qui étendait le sperme sur ses seins en les massant.
Oulla! Le séjour commençait bien.
Pour apprécier le spectacle, je m’étais approché au maximum du cercle. Je m’étais placé derrière une jeune brunette (vingt ans au grand maximum) aux cheveux noirs descendant presque au creux des reins, très bronzée, le bas du dos cambré comme un africaine, avec une mignonne paire de seins avec des tétons très saillants de la taille d’un gland. Ce que je voyais et le contact qu’elle avait cherché en me sentant derrière elle avaient mis mes sens en émoi.
Ma bite était dressée et se trouvait dans le haut de la raie du cul de la belle. Elle ne disait rien, au contraire, elle bougeait des hanches et faisait rouler mes couilles entre ses globes. Lorsque le cercle se dispersa, elle m’invita à la suivre à l’abri d’un immense parasol. Elle se colla à moi, pressant ses tétons durcis contre mon torse, ondulant des hanches, ma bite pressée contre son ventre. Elle était beaucoup plus petite que moi, environ 1m60, et 45 kg tout mouillés, bref un mignon petit tanagra.
Nous étions bien échauffés. Dénouant le cordon de mon cache sexe, elle tomba à genoux devant moi et emboucha ma bite pour une gorge profonde, une vraie pompe à bite. Elle a avalé mon sexe d’un seul coup jusqu’à la garde. Puis elle a entrepris les lents mouvements d’aspiration et de va-et-vient.
Je me retenais d’éjaculer dans sa bouche. Je voulais autre chose, et, tirant de la poche de mon short roulé en boule sur le sol un préservatif, je le lui tendis. Des ses doigts fins et agiles elle en couvrit mon sexe et s’allongeant sur le dos, elle ouvrit ses cuisses. Sa chatte très foncée était dépourvue de toute toison, les lèvres intimes bien dessinées et gorgées de sang. Le spectacle était d’une indécence totale mais oh combien excitant avec ses petits seins ronds et haut perchés et son visage perdu dans ses longs cheveux noirs.
A genoux entre ses cuisses, je relevai son bassin en l’approchant de mon sexe. Je me plaçai à l’entrée de sa vulve et d’une seule poussée, je me glissai dans son fourreau jusqu’à la garde dans une estocade brutale. Elle était tellement mouillée que j’entrai sans effort dans cette chatte serrée.
Oula ! Chaude comme la braise la mignonne ! Je continuai à l’éperonner pendant quelques minutes, puis, me dégageant de sa chatte, je fis mettre ma belle en levrette. Mes deux mains de chaque côté de sa taille cambrée, je présentai ma bite entre ses fesses pour reprendre notre séance de baise. Je ne connaissais même pas son prénom et nous n’avions échangé que de rares paroles.
Après de brefs instants de cette étreinte improvisée mais délicieuse, arriva notre jouissance commune. Je déversai dans la capote une bonne quantité de sperme. Restant en elle quelques minutes sous le regard d’un couple de voyeurs, je savourais ces instants de bonheur. Puis nous désunissant, nous sommes allés nager intégralement nus dans les vagues toutes proches.
Ma semaine au Cap d’Agde commençait bien.
A suivre...
Derniers Commentaires