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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Bises libertines,
Sophie

La suite de la "vie de Julia"...

 

Cette année est donc mon année de découvertes.

 

Découverte du plaisir dans les bras de ma copine, qui est devenue mon amante. Découverte du plaisir de se sentir désirable, des jeux de séduction, de la conscience d’une allure sexy. Découverte comment ce style sexy peut être sujet de frissons à différentes occasions. Frissons provoqués bien sur, mais ressentis surtout. Frisson en sentant ces regards appuyés sur mes jambes, quand mes jupes sont courtes, sur mon buste de plus en plus arrogant sous mes tee-shirts ou chemises. Frisson quand je parade un peu dans mes tenues de tennis que je choisis dans ce sens, et qui font ressortir ma cambrure très prononcée, et dont je suis très fière.

 

Le spectateur le plus assidu de mes matchs, c’est papa. Sur un banc, il me dévore autant qu’Agnès assise à ses cotés. Et souvent accompagnés de mes copains de tennis qui, et j’en suis heureuse, suivent mes progrès avec beaucoup de passion. Surtout Cédric, un copain de longue date qui me dévore des yeux. Et quand je gagne un match important, je suis entourée au club house comme la reine du jour. J’en joue.

 

La star sexy du club ! L’occasion pour beaucoup de m’embrasser, en posant une main sur une épaule ou sur une hanche. Les plus osés, assis au bar du club, ou sur un banc, posent une main sur ma cuisse. Je ne repousse que rarement, et même, je me donne un peu dans ces moments-là.

Électrique.

 

Il m’arrive d’arbitrer un match de copains, assise en haut de la chaise, avec une jupette, et ils sont aux anges quand ils passent devant la chaise et regardent le haut de mes cuisses, surtout si j’ai mis un petit string à la place de la culotte de sport. Les moments dans les vestiaires sont parfois des instants amusants aussi, quand les garçons me suivent et que je ne fais pas grand-chose pour me cacher. Cédric en profite quelques fois.

 

A nouveau nos vacances en Espagne. Agnès nous rejoint plus tard. Ses parents la gardent avec eux du coté de Montpellier et ils la laissent chez nous avant de remonter. Donc huit jours seule. Il me tarde.

 

Et cette année, découverte particulière : le « sans-dessous-dessous ». Expression du papounet pour dire : « sans culotte ».

 

C’est un des petits jeux favori des parents. Maman sans dessous-dessous pour leur plus grand plaisir. Ils doivent « jouer » de cette façon depuis bien longtemps. Et surtout, pendant les vacances, ici déjà, en Espagne, mais aussi en d’autres circonstances. Mais ici, c’est un peu entre eux comme un contrat. Pas une culotte dans les valises.

 

Et moi, j’ai entendu qu’ils en parlaient entre eux, la veille du départ. J’ai compris assez vite de quoi il s’agissait, surtout quand lui insistait : sans-dessous-dessous ! Ca m’a intrigué un peu. Comment fait-elle pour que l’on ne s’en aperçoive pas plus que ça ? Quelle sensation ? Quel plaisir pour elle ? Pour lui, j’ai vite compris le plaisir. Et en fait, pour elle aussi, après coup.

 

Je voyage donc seule à l’arrière de la voiture. Et pendant le voyage, je ne pense qu’à ca : maman est donc sans dessous-dessous… Je m’imagine ainsi et j’en tire une agréable émotion.

 

Quelque part cela me fait drôle, et en même temps je me dis que ce doit être une sensation forte agréable… Etant déjà un peu coquine et très curieuse, curieuse de plaisirs, d’envies multiples, de découvertes, je me plais à penser à cette tenue…

 

Donc, sur mon siège, derrière maman, je pense à ça et j’en ressens des petits frissons… Je passe régulièrement mes doigts sur mon petit minou, déjà humide et très réceptif à ces petits gestes. Je glisse ma main sous mon string pour bien me sentir, sentir cette chaleur, cette humidité. Je me dis que si ma petite chatte est encore plus accessible à mes caresses ce doit être encore bien plus agréable. Je porte ma jupette en jeans, très courte, que je porte le plus souvent possible en dehors des cours, un petit haut blanc, style « marcel » à même la peau. Pas de soutien-gorge. Les rares moments où j’en porte, c’est footing et tennis.

 

Le reste du temps ce n’est pratiquement jamais. Alors en été et en vacances… ce n’est jamais ! Et là, avec ce marcel près du corps qui épouse bien ma poitrine, on distingue parfaitement mes tétons qui pointent très facilement, surtout quand je pars dans ce genre de pensées. Dans cette tenue, ma jupe très courte remonte au plus haut. Ma position très décontractée en voiture, fait que l’on voit facilement mon string, en coton rose qui épouse la forme de mon minou. Je me regarde avec plaisir. Je me scrute dans le reflet de la vitre. J’imagine ma petite chatte encore plus offerte à mes yeux, alors je resserre mon string pour qu’il pénètre et se cache entre mes lèvres. Il est nu mon minou ainsi. Je sens mes fesses nues sur le siège et l’excitation monte de plus en plus.

 

Sur le parking, pour la pause café, assise sur un banc, les messieurs arrêtés là, me regarde aussi. Je laisse voir ma culotte avec le même plaisir. Contente de penser que si j’étais nue… Papa en voiture, quand il se retourne pour me parler, a lui aussi les yeux attirés par le spectacle. J’ai arrangé mon string pour qu’il ne soit à peine plus large que mon minou. Je suis offerte. Juste un petit bout de tissu, fin, étroit. De plus en plus excitée de jouer avec moi-même. Je me trouve désirable et j’en ajoute en passant mes doigts dessus. De plus, avec ces sensations de plus en plus fortes, mes seins pointent beaucoup sous le teeshirt, et sont également très gonflés. Je me sens nue et accessible. Un délice.

 

Du coup, sur mon siège, je ne résiste pas. J’ai trop envie de nouveaux plaisir. Je fais glissé mon string le long de mes jambes, je le quitte et je le range au fond de mon sac en me disant : sans dessous-dessous pour toutes les vacances ! Comme Maman ! Chiche ! Je tremble un peu d’émotion mais je finis par apprécier cette sensation. Excitante.

 

Et là, sans même me toucher, juste en regardant mes cuisses, le bas de ma jupe cachant à peine mon sexe, je ressens un plaisir immense ! Pas fort, mais un plaisir indéfinissable. Une immense bouffée de chaleur. Plaisir d’être visible, d’être nue là ou on ne l’est pas habituellement. En me laissant glisser en avant, mon sexe humide apparait, et je me retrouve nue quasiment. Je suis nue !

Un nouveau plaisir dans ma collection toute neuve ! Je commence à en connaître pas mal. C’est une jouissance douce, longue, délicieuse. Sentiment de me donner, de me découvrir. Je me regarde et selon mes positions, je vois un peu ou beaucoup mes lèvres, ou bien mon sexe entier. Tout beau. Toute lisse. Tout fraichement épilé de la veille.

 

Je me vois nue dans le reflet de la vitre. Je le suis, sans l’être. Juste ma jupe très courte et un teeshirt très léger. Je peux m’offrir ou me fermer selon la position de mes cuisses. Je peux, selon mes positions me montrer ou me cacher. Je m’excite seule avec mon reflet. Je suis humide. J’ai envie de moi. Je peux me toucher, naturellement, comme si j’étais seule, et pourtant visible de tous. Je coule par moment, en effleurant mes cuisses, remontant ma main doucement, jusqu'à passer sur mon sexe ouvert, qui réclame son câlin. Je glisse furtivement un doigt en moi, découvre mon bouton, le caressant légèrement. Juste ce qu’il faut pour entretenir mon envie sans jamais la calmer. Je regarde ma main courir d’une cuisse à l’autre, avec une pause à chaque fois pour relancer le feu qui me vient des reins. Un régal. Cette sensation extraordinaire d’être nue, offerte, avec si peu de vêtement, va devenir pour moi un de mes plus grands plaisirs. Et se faire désirer, montrer mes trésors, ou simplement me savoir accessible. Un bonheur intense. Cela ne me quittera plus…

 

Ce plaisir revient très souvent pendant le voyage. Surtout quand on s’arrête pour une pause et que je me dégourdis les jambes sur les parkings, sous le regard de ces gens arrêtés là, et que j’ai cette sensation qu’ils voient que je suis nue ! J’ai même envie de leur dire ! En voiture, quand quelqu’un passe à coté, et qu’il regarde mes cuisses découvertes avec déjà un œil coquin, j’ai une envie très forte qu’il en découvre encore plus, c’est si facile, si tentant…

 

Et encore un grand frisson dans les reins. Un voyage pendant lequel je ne cesse de penser à cette nouveauté. Heureuse ! Je m’imagine dans toutes sortes de situations, en ville, au lycée, au cinéma, restaurant… Bref je comprends totalement le plaisir de ma mère, et évidement je devine très vite ce que ca peut apporter à papa. Je me caresse fréquemment durant ce voyage. J’écarte mon sexe en passant 2 doigts dessus, de chaque coté, et je me vois, rose, humide, ouverte, prête ! Je veux m’offrir.

 

Depuis, c’est devenu également un rituel : dans ma valise pas de dessous, si ce n’est évidement mes maillots de bains dont j’utilise quelques fois le bas pour une situation particulière ou parce que je ne veux pas trop tenter.

 

Ni papa ni maman ne se sont aperçu de ma nouvelle façon de porter mes jupettes. Sauf… sauf papa ! Pas tout de suite, mais au deuxième jour de vacances…

 

Nous sommes encore que tous les trois, et ce soir là nous allons comme assez souvent, faire un tour au bowling. On y va à pieds, c’est à dix minutes. Papa sur le chemin, passe régulièrement sa main sur les fesses de maman pour vérifier pour la millième fois qu’elle est bien nue sous sa robe. Il ne se doute pas que moi aussi sous ma jupette, je suis aussi nue que possible et cela depuis deux jours. Pour ce soir j’ai choisi une jupette rose, plissée, légèrement volante. Jupe taille basse.

 

Elle descend juste sous les fesses. Pas plus. Je sens le courait d’air me passer sur le minou et jouer avec… Je me dis d’un coup, arrivée dans la rue, que je suis folle d’aller jouer dans cette tenue. Au point de vouloir rentrer vite me changer. Puis en marchant, le vent me donne une superbe sensation. Délicieuse sensation. Je porte un petit haut à fines bretelles, qui descend à mi-ventre, style brassière, assez moulant sur les seins et comme ils pointent de plus belle... Du coup entre le ventre et les cuisses, très peu de tissus. Je porte ca assez souvent mais la ! Je m’y sens bien. Je me sens nue. Nue et encore humide.

 

Mon entrée au bowling se fait remarquée. On me regarde et on doit me trouver désirable. Ce qui ne me calme pas, bien au contraire. Maman me chuchote que j’ai fais très fort ce soir, et que je suis la plus jolie. J’en suis d’autant plus heureuse. On me scrute. On me désire. On me déshabille avec les yeux. S’ils savaient…

 

Nous faisons une première partie et j’avoue ne pas être hyper concentrée sur mon jeu, mais beaucoup plus sur ma façon de bouger. Cette jupette, si je n’y fais pas attention, peut me dévoiler très facilement. Elle est déjà très courte et les joueurs présents ce soir, me dévorent suffisamment des yeux pour que je n’en rajoute pas. Très tentant pourtant, je l’avoue, mais non. Un couple de quadra à la piste voisine me scrute et je leur retourne un sourire complice, ce que le monsieur apprécie au point de louper son jeu. Il ne rate aucun de mes déplacements.

 

Ma jupette semble l’affoler. Je vais au bar chercher des boissons et en traversant les tables, les têtes se tournent sur mon passage, les yeux me suivent, me scrutent. J’ai un succès fou. J’accentue mon déhanchement et je sens ma jupe voler. Et de plus, le fait d’être nue sans que les autres le sachent est un plaisir immense. J’ai des idées folles dans la tête. Surement de savoir que je suis entièrement accessible, je ressens des frissons de plus en plus forts, comme avec les mains et la bouche d’Agnès. Elle me manque d’un coup.

 

Entre 2 parties, je vais aux toilettes, plus en fait pour me caresser légèrement et calmer un peu mes envies. Je peux même me passer un peu d’eau sur le minou sans difficulté tellement il est facile d’accès et je suis chatte à l’air dans les toilettes, lèvres ouvertes, humide. Je viens aussi pour profiter des miroirs et vérifier à quel point ma tenue peut devenir incendiaire !

 

Hop un mouvement rapide et ma petite fente toute lisse et brillante me saute aux yeux ! Et de dos ! Le dessous de mes fesses nues ne demande que ca pour se dévoiler ! Quel plaisir ! Je me penche, et mes fesses apparaissent dans le miroir, ainsi que mon abricot entre le haut de mes cuisses, comme un fruit superbe. Je me désire seule dans la glace. Je reste un petit moment entre mon image et quelques caresses appuyées. Je fais monter une chaleur délicieuse en moi, en me masturbant, face au miroir.

 

De retour sur la piste, je suis de plus en plus excitée, et cela doit se voir. Les autres me regardent encore plus je trouve. Le monsieur me regarde revenir avec les yeux brillants. Maman, avec un œil interrogateur, me demande si je vais arriver à jouer ce soir ? Si je suis très motivée ? Et papa semble aussi se demander.

 

Lui, il va se le demander, mais plus très longtemps en fait. Je prends une boule, il est assis derrière moi, je vais lancer ma boule, et je sais que cette fois ci, je me suis laissé aller un peu dans mon geste. Volontairement. J’ai senti le tissu se soulever et flotter un moment. Quand je me retourne, je vois la tête de papa ! Figé ! Eberlué ! Pas de doute : il a bien vu ! Je tremble. De plaisir. J’ai osé ! Découvrir mon trésor dans cette tenue si sexy !

 

Il me regarde, regarde mes jambes, me regarde à nouveau. Il a pris un coup. Il est tout rouge !

 

Bah oui papa ! Moi aussi « sans dessous-dessous » !

 

Il est tout chamboulé le papounet. C’est à son tour de jouer. Il prend une boule. Il s’en débarrasse et au retour me scrute au mieux. Du coup, l’air de rien, je laisse un peu de jeu entre mes cuisses pour qu’il n’ait plus aucun doute. J’ai envie qu’il voit. Oui ! Je suis nue aussi. Comme maman. Ca lui fait un choc. Moi, ca m’excite comme jamais. Je viens de faire un truc que je n’aurais jamais imaginé : je prends un vrai plaisir à me montrer excitante envers lui ! Mon premier spectateur de mon nouveau jeu. Je suis toute humide en deux secondes. Je suis assise à même le siège, et je sens mon plaisir couler. J’excite volontairement mon papounet.

 

C’est indéfinissable comme sentiment. Différent de notre intimité dans je jardin. Il me voit très souvent nue, et sur la plage aussi, mais ce sont des situations assez classiques. Très libres et sans pudeur. On parle sexualité sans en être gênés. Mais ici ! Au bowling ! Nue et offerte à ses yeux ! Provocante ! Du coup, à chaque fois que je joue, je sais qu’il est fixé sur mes cuisses. Je le sens. Je m’arrange pour qu’il doute de moins en moins, et qu’il voit de mieux en mieux. Ma jupe vole de plus en plus. Je m’offre avec un sentiment étrange, d’interdit, délicieusement sexy, volontairement coquine. Un plaisir fou !

 

On a réussi à terminer notre partie. Il n’a pas cessé de chercher à voir. Moi à me cacher ou me montrer selon mes envies. Je m’amuse. Il est très nul ce soir papa, au bowling. Maman se marre de nos prestations. On va pour sortir. Je suis assise sur la banquette à l’accueil pour changer mes chaussures. Il est devant, accoudé au comptoir. Il me regarde. Cette fois, je pose un pied sur la banquette pour dénouer mes chaussures, ce qui découvre totalement mon minou et écarte largement mes cuisses. Il a une vue très dégagée sur mon sexe offert à ses yeux. Je suis ouverte.

 

Il n’arrive pas à ne pas « mater ». Je suis sa fille, certes, mais bon, il doit trouver le spectacle trop beau pour ne pas en profiter malgré lui. A sa tête, je vois qu’il est entre deux sentiments. Sa fille, ca le dérange énormément, mais le spectacle, la situation le fait réagir. Il doit regarder ou ne pas regarder ? Il doit apprécier ou non ? Sa fille est nue sous sa jupe au bowling et dans une tenue qui, de sexy et mignonne, devient excitante et affolante.

On est rentré à la maison. Il est avec SES femmes. Elles sont nues et sexys comme on ne peut imaginer. Heureux surement ! Mais déboussolé le papounet.

 

A la maison, on s’installe pour un verre sur la terrasse comme tous les soirs. Maman s’est changée. Pas plus habillée, mais avec grand tee-shirt qui ne lui sert que pour ce moment là. Moi non. J’ai gardé ma jupe. Seins nus. Juste ma jupe. Comme un accessoire indispensable à cette soirée. Je suis très excitée de mon nouveau jeu. Et je m’arrange pour jouer encore un peu avec les nerfs de papa. Je sais que cette tenue est bien plus sexy que si j’étais nue comme je le suis ici en général. Lui a gardé un short, contrairement aux habitudes.

 

Il ne doit pas pouvoir le quitter. Surement que l’excitation est trop forte. Il ne sait jamais si il doit regarder, tourner la tête, partir se coucher… Il reste. Momifié. Sa fille sans dessous-dessous ! On reste un moment à discuter. Moi à me montrer. Lui à mater. Mes seins donnent une indication de mon émotion. Je suis demi-nue, arrogante, et incendiaire. Mes seins sont gonflés, excités, et ca se voit. Mon minou aussi est gonflé, humide. Je ne peux pas me toucher la, mais l’envie est forte. Mon sexe appelle du plaisir. Et je sais aussi que s’il à gardé un short ce soir, c’est qu’il doit avoir une belle érection. A cause de moi. Ou plutôt grâce à moi.

 

Puis nous allons au lit. Moi dans mon « studio ». Eux dans leur chambre. De ce que je peux entendre (on entend beaucoup, mais je ne l’ai jamais dis) papa se calme avec force, et surtout avec maman. Moi je suis couchée, mais j’ai gardé ma jupe. Je suis installée sur mon lit et je me caresse. Longtemps ! Sous ma jupe ! Seins nus et mon minou offert ! Sentiment de l’offrir à tous ces gens que je croise. Je le caresse ! Je l’ouvre pour qu’on me voie plus encore. Je fouille, je me caresse devant des yeux imaginaires ! Devant les yeux de papa. Ceux qu’il avait tout à l’heure. Une main masse mes seins, l’autre ouvre, triture, s’enfonce. Je goute mes doigts trempés. Un délice. Qui veut me regarder ? Qui veut me gouter ?

 

J’ai connu d’immenses plaisirs depuis, mais cette masturbation la! Forte ! Jouissive ! Des images dans la tête ! Ma jupe ! Les gens ! Papa ! Tout ! Sublime !!!

Je jouis sur mon lit comme ca.

Je m’endors ainsi et me réveille au matin dans cette tenue : nue avec ma jupe. Je ne peux pas m’empêcher de me caresser à nouveau avant de sortir.

 

Voila pourquoi il me comprend, mon papounet. Pourquoi on se comprend. Mes tenues, il les connait. Il sait quand je suis sans dessous-dessous. Il n’a pas besoin de vérifier. Comme maman. Il sait. Ca fait maintenant cinq ans que je le fais. Alors… Il sait aussi que j’ai entrainé Agnès dans cette pratique. Moins souvent que moi, mais il le sait aussi ca. Il l’a vu aussi. Et il apprécie énormément.

 

On se regarde. On n’a pas besoin de beaucoup parler pour se comprendre. Il lit dans mes yeux, mes sourires et moi de même. Je sais quand il a lui aussi un frisson dans les reins et que ce frisson lui déclenche un petit plaisir. Que son sexe frémit. Je lui déclenche moi aussi à papa. Et j’en tire un plaisir. Un vrai. Notre complicité silencieuse. Et j’aime bien. NOTRE jeu. Et notre équilibre à tous n’en souffre pas. N’en a jamais souffert. Ils sont libertins mes parents. Ils ont une fille libertine. Filiation logique !

 

Signé : Julia B.

Par Julia B. - Publié dans : La vie de Julia - Communauté : Le Cercle des libertines
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