L’entreprise dans laquelle je travaille comme agent de maintenance assure l’entretien des piscines des particuliers, qui sont liés par contrat sur un vaste secteur à l’est de Toulon. Les piscines y sont nombreuses, et lorsque le printemps arrive, le travail ne manque pas pour vérifier les installations.

Il y a quelques jours, j’ai été appelé pour une anomalie de fonctionnement du circuit de purification de la piscine de la résidence secondaire d’un parisien où sa fille et une copine séjournaient en cette fin de mois de juin.

Lorsque je me suis présenté à l’entrée de la villa, j’ai été accueilli par une jeune femme brune aux cheveux courts noirs avec des reflets roux. Assez grande, âgée d’une vingtaine d’années, elle avait des formes menues masquées par un bikini de toile verte et brune.

Derrière elle, est arrivée une autre jeune femme assez semblable avec des cheveux mi longs tombants sur les épaules. Toutes les deux étaient déjà bien bronzées. La fille du propriétaire me demanda si je connaissais l’installation. Devant ma réponse affirmative, elle me donna la clé du local technique en me disant de faire ce que j’avais à faire.

Le dépannage me prit un peu plus d’une demie heure car j’ai du changer les filtres qui étaient colmatés. Le collègue qui avait assuré la remise en marche initiale n’avait pas fait son travail correctement.

Lorsque je suis ressorti du local technique, les deux filles étaient à genoux sur des transats au bord de la piscine. Elles étaient enlacées et se caressaient mutuellement la poitrine en s’embrassant amoureusement. Deux adeptes des joies de Lesbos ?

Elles ne m’avaient ni vu ni entendu. Je me suis reculé pour jouir du spectacle que ces deux coquines n’allaient pas tarder à m’offrir.

Elles ont ôté leur soutien gorge, dévoilant deux belles petites poitrines avec des seins menus et ronds. Au centre des aréoles bistre des tétons saillants gros comme une noisette appelaient les caresses et les sucions.

Elles ont continué à se caresser ainsi, léchant alternativement les tétons en caressant les fesses de la partenaire. La fille du propriétaire avait un bouton de rose tatoué sur la fesse droite alors que sa copine avait le même motif tatoué à gauche du nombril. Les deux portaient une chaine dorée autour de la taille.

Ma bite commençait à se manifester dans mon boxer. Je bandais déjà à moitié et quand elles ont fait glisser leur slip, ma bandaison a atteint le sommet. J’avais envie de me palucher en les regardant.

Entièrement nues, je pouvais voir leur pubis simplement barré d’une petite bande de poils noirs se perdant au niveau du capuchon du clitoris. Elles se frottaient l’une à l’autre tantôt face à face, tantôt les seins de l’une dans le dos de l’autre pendant que les mains caressaient les seins ou le sexe.

Le spectacle déjà très chaud l’a été encore plus lorsqu’elles ont pris la position du 69 sur un plaid disposé dans l’herbe pour se lécher mutuellement la chatte en se pénétrant chacune avec un gode d’assez belle taille qu’elles ont fait coulisser de plus en plus vite jusqu’à la jouissance. Et bien non, c’était des filles bisexuelles !

La fille du propriétaire s’est glissée entre les jambes de sa copine et elle a continué de lui brouter le minou.

Je n’ai pas pu résister à l’appel de son cul haut levé. Je me suis approché la bite à la main jusqu’à apercevoir son œillet plissé au fond de sa raie.

Ma présence à moins d’un mètre d’elles ne les pas gêné du tout. Bien au contraire puisque la brune m’a tendu un préservatif.

« Enfile ma copine ! Pourquoi tu ne t’es pas approché plus tôt ? Tu nous aurais mieux matées ! »

Elles avaient prémédité leur coup et voulaient profiter de ma présence.

J’ai mis mes mains de chaque côté du cul qui m’était offert et d’une longue poussée, je me suis glissé jusqu’au plus profond de sa vulve.

La fille s’est agitée un peu sur mon bâton d’amour pour bien le sentir et d’elle-même, elle a entrepris les mouvements de va-et-vient.

Je l’ai accompagnée dans cette copulation inattendue. Lorsqu’elle a bramé haut et fort sa jouissance, je me suis lâché également en déversant dans la capote quelques bonnes rasades de sperme.

Je me suis dégagé de sa chatte. Lorsqu’elle s’est retournée vers moi avec un grand sourire, j’ai eu la confirmation que, si la panne du système de filtration était bien réelle, leur manège était destiné à m’attirer.

Elles se sont agenouillées toutes les deux devant moi et se sont partagées ma bite pour la toiletter. Pendant qu’une suçait mon gland, l’autre léchait la hampe en me massant les couilles et inversement.

Quand cela a été terminé, je me suis rhabillé et, ayant achevé ce pourquoi j’étais venu, j’ai quitté les lieux. Elles avaient eu ce qu’elles avaient cherché et moi, je m’étais vidé les couilles d’une manière inattendue !