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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Chapitre VI. – Une seconde année dans une famille libertine.

 

Au cours du mois d’août, toute la famille part pour Ibiza dans la résidence secondaire. C’est pour moi presque six semaines de congés que je vais passer à Lyon auprès de mes parents, qui se font une joie de me revoir après cette longue absence.

 

Je retrouve avec beaucoup de plaisir ma sœur cadette de deux ans plus jeune avec laquelle j’ai toujours eu beaucoup de complicité. Nous partagions depuis notre adolescence la même grande chambre aménagée confortablement dans les combles de la maison familiale, ce qui a toujours facilité nos échanges. Hervé, mon frère ainé, toujours célibataire à 26 ans et continuant à enchainer les petits boulots, loge au même étage que les parents.

 

Ces six semaines passent avec une rapidité déconcertante. J’en profite pour retrouver les quelques copines et copains qui ne sont pas en vacances eux aussi et nous échangeons divers propos au sujet de nos études. Je vais rendre visite pendant quelques jours à mes grands parents maternels qui habitent à une trentaine de kilomètres.

 

J’en profite aussi pour m’acheter un scooter que je souhaite ramener à Barcelone pour faciliter mes déplacements et ainsi être plus autonome. Il est convenu avec mes parents que c’est mon frère qui le transportera dans la camionnette de l’entreprise lors de mon retour en Catalogne lors du premier weekend de septembre.

 

J’ai demandé à Monica que si elle l’autorisait, mon frère passerait une nuit dans mon studio avant de repartir le dimanche matin. En me répondant, elle me dit que Carmela et Luis seraient déjà rentrés d’Ibiza et que cela ne posait pas de problème.

 

Nous quittons donc Lyon d’assez bonne heure. Hervé et moi, nous alternons les séquences de conduite si bien que nous arrivons à Barcelone vers 17 heures. Carmela et Luis m’accueillent avec des effusions démonstratives et nous aident à décharger le scooter et les affaires que je ramène avec moi. Lorsque nous avons terminé, Luis nous propose de nous rafraichir en piquant une tête dans la piscine.

 

Nous sommes tout à fait d’accord mais avant, je souhaite ranger un maximum de choses, beaucoup de livres notamment, que je case difficilement sur les étagères au dessus de mon bureau. Une demi-heure plus tard, nous rejoignons Carmela et Luis qui chahutent dans la piscine. Comme d’habitude, ils sont nus… et pour les rejoindre, j’ôte rapidement mon maillot de bain en disant à Hervé d’en faire autant. Voyant qu’il hésite, Carmela et Luis le chambrent gentiment tant et si bien qu’il se met nu lui aussi avant de plonger dans l’eau limpide.

 

Je fais quelques longueurs de piscine puis je m’adosse au rebord pour goûter la douceur de l’eau qui pulse à cet endroit. Quelques instants plus tard, Carmela et Luis viennent près de moi. Ils m’encadrent et m’embrassent simultanément en me disant que je leur ai manqué. Luis plonge sous l’eau et vient embrasser la fourche des jambes pendant que Carmela fouille ma bouche de sa langue. Cà démarre bien et cela augure d’une soirée torride d’autant que, profitant qu’Hervé s’est arrêté pour reprendre son souffle après quelques longueurs effectuées à un bon rythme, cette coquine plonge à son tour sous l’eau. Je devine sans peine ce qu’elle fait : elle doit faire une gâterie à mon frère.

 

Lorsqu’elle émerge de l’eau, elle se pend au cou d’Hervé et voyant son mouvement je suis sure qu’elle s’est empalée sur la bite de mon frère. Je tends la main vers le bas ventre de Luis et constatant qu’il est lui aussi dans d’excellentes dispositions, j’en fais autant : j’engloutis sa bite dure au fond de ma chatte, frottant mes seins contre son torse. Çà ne me gêne absolument de faire l’amour devant mon frère, nous avons toujours été assez libres au sein de la fratrie au point qu’il nous arrivait de nous doucher ensemble et de nous frotter le dos. Ce n’est jamais devenu équivoque.

 

Luis m’entraine hors de l’eau pour continuer à baiser sur un matelas de plage étendu sur le rebord de la piscine. Il me fait mettre en levrette et se plaçant entre mes cuisses, il m’éperonne vigoureusement avec sa belle bite longue et relativement mince qui m’a déjà régalée plus d’une fois. Il me pilonne avec force, entrant et sortant de ma chatte à toute vitesse, faisant claquer le haut de ses cuisses contre mes fesses. Je sens ma jouissance monter mais ce coquin s’arrête, reste fiché au fond de moi et attend que mon plaisir reflue.

 

Après quelques minutes pendant lesquelles Luis n’a pas débandé, il sort de ma chatte et présente son gland face à mon œillet plissé en disant :

« Sidonie, depuis le temps que j’en ai envie, je vais te prendre le cul ! Je sais qu’il a déjà vu passer quelques bites et des godes, tu verras çà va te faire du bien. »

 

Et là, sous la pression qui s’exerce sur mon sphincter, je le sens qui s’ouvre doucement et la queue de Luis est bientôt totalement engloutie au fond de mes entrailles. Une main posée au creux de mes reins, il passe l’autre sous moi et vient agacer mes tétons qu’il fait rouler. Je suis si bien que ma chatte ruissèle de cyprine qui s’écoule le long de mes cuisses quand Luis me sodomise à longs traits jusqu’au moment où nous jouissons quasi en même temps.

 

Carmela et Hervé sont également en train de baiser sur un autre matelas de plage du côté opposé de la piscine. En fait c’est Carmela qui baise mon frère. Il est couché sur le dos, les jambes repliées et Carmela monte et descend sur son pieu dressé droit comme un I. Hervé lui tient tantôt la taille tantôt il fait courir ses mains sur les beaux globes généreux qui se balancent sous son regard.

 

Après ce premier round, nous récupérons un peu car il est vrai que la route a été longue avant d’arriver à Barcelone. Carmela et Luis nous proposent une sortie en ville pour diner et une ballade sur les ramblas pour faire découvrir l’ambiance de la ville à Hervé. Il est largement plus de minuit lorsque nous revenons à la propriété et la nuit se finit comme nous avions terminé l’après-midi. Luis m’emmène dans sa chambre et Carmela entraine Hervé dans la sienne. Les choses sont claires : Nous allons encore baiser une bonne partie de la nuit.

 

En fin de matinée, Hervé nous quitte et reprend la route de Lyon. Dans la soirée, Monica, Ernesto et les deux jumeaux arrivent à la maison au retour d’Ibiza. Tous les quatre sont magnifiquement bronzés et ce sont des effusions à n’en plus finir pour ces retrouvailles. Chacun regagne ses pénates peu avant minuit. C’est vrai qu’Ernesto reprend dès le lendemain le chemin de son laboratoire et y poursuivre les recherches et essais en cours.

 

Le lundi matin je suis réveillée par les jumeaux qui crient mon nom sous mes fenêtres. Les habitudes des petits déjeunés au bord de la piscine reprennent. C’est vrai qu’il faut en profiter. Les cours reprennent la semaine prochaine et là, il ne faudra plus trainer…

 

Lorsque je rejoins toute la famille au bord de la piscine, tous sont déjà attablés, nus, bronzés au point que je suis plutôt pâlotte à côté d’eux. C’est vrai que les semaines passées à Lyon n’ont guère été propices à l’exposition aux rayons du soleil. Le temps de faire le tour de la famille, les achats en prévision de l’année à venir, tout cela m’a pris du temps… Cela s’éternise un peu car nous échangeons divers propos au sujet de la reprise des uns et des autres. Puis, quand je regagne mon petit studio, Monica me suit et me demande de l’accompagner dans son atelier car elle doit me montrer quelque chose.

 

De fait, elle sort d’un grand carton à dessin une série d’esquisses plus ou moins abouties, qui pour l’essentiel représentent des hommes jeunes, seuls ou avec une fille à leur côté, parfois aussi que couples d’homosexuels. Cette coquine a mis ses vacances à profit pour faire de nouvelles rencontres et enrichir sa galerie de nouvelles œuvres. En me les présentant, elle ajoute parfois un commentaire sur les performances sexuelles de tel ou tel modèle, homme ou femme. Elle ne s’est pas contentée de les dessiner !!!

 

Tout cela nous a bien échauffé les sens et lorsque Monica me frôle de plus en plus et me prend dans ses bras, je ne lui refuse pas mes lèvres. Dans une série de baisers ardents nous nous unissons corps à corps. Nos paréos glissent rapidement au sol et de nouveau nues nous nous affalons sur un divan en 6 9 pour nous brouter le minou jusqu’à ce que le plaisir déferle en nous. Que c’est bon de retrouver cette femme ardente, insatiable en matière de sexe, toujours prête à une nouvelle joute amoureuse. Ses enfants ont de qui tenir !!!

 

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Dès la rentrée scolaire – les jumeaux sont au lycée – universitaire - pour Carmela et moi – et professionnelle pour Luis qui fait un stage de six mois dans une grande entreprise de la zone commerciale de Barcelone, les habitudes et le rythme reprennent. Les séances de conversation en français se déroulent principalement en fin de journée avant les repas du soir que les espagnols prennent très tard. Parfois, je partage de lit de Monica et Ernesto pour des parties à trois mais généralement je finis ma nuit dans mon lit, surtout si j’ai des cours le lendemain.

 

Une quinzaine de jours avant l’anniversaire –17 ans– des jumeaux, Monica et Carmela me demandent de les retrouver dans l’atelier qui est situé sous mon studio dans une annexe de la propriété. Elles m’expliquent ce qu’elles souhaitent de ma part et nous tombons d’accord. Contrairement à l’an passé, l’anniversaire de Francesco et Felipe se déroulera en petit comité où je serai la seule étrangère à la famille, mais n’en suis-je pas quelque part un membre participant ?

 

Le repas d’anniversaire préparé et servi par la cuisinière se déroule le samedi soir. Il y a beaucoup d’ambiance car les uns et les autres nous avons bu pas mal d’alcool et pour les jumeaux c’est la première fois (officielle) qu’ils ont droit à un verre de vin au cours de la soirée...

 

Dès que la cuisinière dépose les gâteaux avec les bougies sur une table, elle quitte la maison. Le rangement se fera le lendemain.

 

Avant que Francesco et Felipe ne soufflent ensemble les bougies, Ernesto prend la parole en s’adressant à eux :

« Mes enfants, ce soir nous fêtons vos dix-sept ans. En plus de vos cadeaux habituels, votre mère et Carmela ont décidé avec mon accord de vous offrir un présent que, j’en suis sûr, vous ne regretterez pas. Sidonie qui partage notre vie depuis bientôt un an et demi va vous initier aux joies du sexe et vous faire entrer dans un monde auquel nous participons tous et dont vous ne soupçonnez pas le bonheur qu’il nous donne aux uns et aux autres. Je sais que Sidonie a déjà participé à des joutes sexuelles avec Carmela et Luis. C’est maintenant votre tour. »

 

Nous saluons tous cette déclaration d’une salve d’applaudissement et Monica dit à son tour :

« Pour qu’il n’y ait pas de jalousie entre vous, c’est le sort qui choisira celui qui cette nuit partagera la couche de Sidonie. Choisissez le côté d’une pièce. Le sort désignera le vainqueur, le second attendra la nuit suivante. »

 

C’est Felipe qui est désigné. Nous nous éclipsons et traversons le jardin pour rejoindre ma chambre où je dis à mon futur amant :

« Nous avons tout notre temps. Comme tes parents l’ont souhaité, je vais t’initier. Tu sais déjà comment est faite une femme, la poitrine n’a plus de secrets pour toi puisque tu connais celle de ta mère et de ta sœur. En plus, tu as du voir sur les plages des filles aux seins nus ! Mais, je vais te faire découvrir leur douceur et comment on peut les caresser pour émouvoir et donner du plaisir. Ensuite, je te ferai découvrir mon sexe en détail. »

 

Nous nous déshabillons mutuellement et l’un comme l’autre nous ne tardons pas à être entièrement nus. Felipe est un peu plus grand que moi et après avoir échangé quelques baisers bien chauds, je l’invite à palper mes seins, à prendre un téton entre ses doigts pour la faire rouler alors qu’il prend l’autre en bouche pour le mordiller. Je lui montre combien ces caresses font dresser et sortir mes tétons qui, à force d’être sucés et triturés par les uns et les autres, ont désormais la taille d’un poids chiche et sont devenus de plus en plus sensibles.

 

En prenant sa main droite, je la fait glisser le long de mon corps jusqu’à mes hanche puis dans la fourche de mes cuisses où Felipe peut constater combien je suis déjà toute humide d’excitation. Je masturbe doucement son beau membre : il a bien grossi depuis que Monica en a fait la sculpture qui est dans son atelier. C’est vrai aussi que les deux jumeaux sont désormais deux jeunes hommes à la silhouette avantageuse, presque 1 m 80, une musculature déliée à peine dessinée, des cheveux bruns mi longs et des yeux d’un marron foncé qui brillent de malice.

 

Je dois faire attention à ne pas aller trop vite aussi, je m’allonge sur mon lit, les cuisses grandes ouvertes, prenant soin de bien dégager mon pubis et les lèvres ourlées que j’écarte à deux mains pour faire découvrir mon intimité à Felipe. Je lui montre mon clitoris et son capuchon en lui expliquant que chez moi, c’est le point le plus sensible de mon appareil génital. J’explique que c’est justement en le faisant rouler sous mes doigts que j’ai le plus de plaisir et que chaque fois qu’un de mes amants me fait un cunnilingus, cela me fait jouir autant que si j’avais un sexe en moi.

 

Felipe se penche pour regarder au plus près et je sens son souffle chaud sur ma vulve :

 

« Embrasse-moi et fais rouler mon clitoris sous ta langue. C’est un peu la même caresse que lorsqu’une femme fait une fellation. D’ailleurs quand on fait un 69, chacun embrasse et suce le sexe de l’autre. »

 

Ma cyprine ruissèle littéralement au point que je la sens mouiller le haut de mes cuisses et ma raie culière. Je m’ouvre de plus en plus et, prenant en main la bite de Felipe, je la place à l’entrée de mon vagin. Dès que je sens le gland entre les lèvres intimes, je plaque mes mains sur les fesses de mon amant pour introduire son sexe dans le mien. Je le maintiens ainsi quelques temps avant de faire basculer mon bassin pour amorcer le coït et régler l’allure car je crains fort que ce jeune étalon prenne le mors aux dents et éjacule trop rapidement.

 

Effectivement, il se comporte comme un cheval fougueux, il me donne de violents coups de reins qui font claquer nos pubis l’un contre l’autre et je m’efforce de contenir cette énergie juvénile. Mais bientôt, excitée par cette situation dans laquelle on me demande de déniaiser les jumeaux de la maison et le bien  fou que me fait endurer cette jeune bite qui coulisse en moi de plus en plus vite, je sens une jouissance qui part du plus profond de moi-même, déferler dans mon ventre. Il n’est plus temps de freiner les ardeurs de Felipe bien au contraire, je le sens aussi sur le point de jouir :

« Vas-y ! Lâche-toi ! C’est le moment. »

 

Si bien que nous prenons notre plaisir presque en même temps. Felipe s’écroule sur moi à bout de souffle et reste fiché dans ma chatte jusqu’à ce que je le fasse basculer sur le dos. Sa belle queue est quelque peu flaccide et j’ai encore envie de la sentir en moi. Je me redresse à genoux et d’un seul coup, j’enfourne ce sexe jusqu’au fond de ma gorge et je me délecte de nos odeurs et goûts mélangés. Puis je la ressors pour lécher la hampe qui ne tarde pas à se redresser :

« C’est bon ! Continue à me sucer !

- Oui, ne t’inquiète pas, je te remets en forme et tu vas encore me baiser ! »

 

Dès que je sens que Felipe est à point, que son sexe ne grandira et ne grossira plus, je me mets à quatre pattes, le cul dressé bien haut, un bras en appui sur la tête de lit et de l’autre, je guide le gland entre mes lèvres. La bite est bien raide si bien que j’indique à Felipe de commencer par se frotter entre mes grandes lèvres dans ma fente avant de me pénétrer. Mon jeune amant trouve son chemin tout seul et nos fluides mélangés de notre première étreinte ont si bien huilé mon vagin que c’est à peine si je sens l’intromission.

 

Instinctivement Felipe trouve la position et le bon angle d’attaque, saisissant ma taille entre ses mains, il imprime à mon corps un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Là, c’est lui qui est le maitre du jeu ! Et il a bien compris ce que j’attends de lui : qu’il me pistonne bien en profondeur pour qu’il crache son sperme tout au fond contre ma matrice et me fasse prendre un pied d’enfer. Et c’est ce qui arrive, avant qu’il ne jouisse, je pars la première poussant un feulement de bête tant c’est bon !

« Continue ! Ne t’arrête pas, tu vas me faire partir encore une fois. »

 

Avec ma main libre, je vais caresser ma fente, faisant rouler mon bourgeon d’amour entre mes doigts et au moment où Felipe se cabre et se lâche une seconde fois en moi, je jouis à nouveau, parcourue comme par une décharge électrique qui remonte le long de ma colonne vertébrale.

 

Nous basculons sur le côté encore imbriqués l’un dans l’autre et nous sombrons dans le sommeil jusqu’au lendemain en milieu de matinée. C’est à croire que toute la maisonnée s’est entendue pour ne pas faire de bruit car il n’y a personne aux abords de la piscine. Malgré l’étroitesse de la cabine, nous prenons une douche ensemble, nous nous habillons et je congédie Felipe qui avait des velléités de recommencer à batifoler :

« Pas de çà mon coquin, aujourd’hui est un autre jour ! Laisse-moi souffler un peu pour que je sois en forme pour Francesco ! »

 

Comme prévu, le soir même, c’est en compagnie de Francesco que je regagne le studio après le diner. Je fais sensiblement la même chose qu’avec son frère, à la différence près que pour la première fois, c’est moi qui lui fais l’amour. Couché sur le dos, la bite dressée comme un I après l’avoir sucée copieusement, je me suis empalée sur ce dard, qui, une fois totalement déployé en moi, me remplit jusqu’au plus profond. Francesco a une bite beaucoup plus longue et forte que son frère. Par certains côtés, elle ressemble beaucoup à celle de son père qui est bien membré.

 

Je ne sais pas si c’est la position où les fantasmes accumulés depuis la veille qui font partir aussi vite Francesco ! En moins de cinq minutes, il jouit en moi et inonde mon vagin de belles giclées de sperme. Oulla ! Qu’il est prolifique. Çà ruissèle hors de ma chatte bien qu’il sa queue soit toujours nichée au plus profond.

« Caresse mes seins ! Je vais continuer à aller et venir sur ta bite pour jouir à mon tour ! »

 

Francesco triture mes seins et leur bourgeon comme je lui ai appris, si bien que je ne tarde pas à jouir aussi. Je reste quelques temps empalée sur son sceptre de chair qui ne débande pas rapidement. Ces garnements ont de qui tenir, çà va faire de sacrés bons baiseurs. Je ne suis pas encore rassasiée ! Je veux un deuxième coup de queue dans ma chatte. Pour y parvenir, je suce un peu ce beau sexe et lorsqu’il est bien bandé, je m’allonge sur le ventre, les fesses relevées par un oreiller et mon jeune amant me baise dans cette posture qui, si je ne savais pas où il s’est introduit, pourrait laisser penser qu’il me sodomise… En imaginant combien de fois je mes suis déjà fait sodomiser depuis que

Guido a ouvert le passage lors de mon séjour à Londres, je ne tarde pas à jouir comme une folle, ruant de tout mon bassin pour ma faire prendre sauvagement et faire partir Francesco à son tour. Là encore il inonde ma chatte de plusieurs giclées de sperme gras et épais.

 

Comme le lendemain, il a cours, dès qu’il a récupéré un peu de nos étreintes, je le renvoie à la maison en lui disant qu’un weekend prochain, il pourra venir me baiser et passer la nuit avec moi comme l’a fait son frère.

 

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Les fêtes de fin d’années passent et la nouvelle année m’offre une fête charnelle en compagnie d’Ernesto et Monica comme celle qui s’est déroulée dans la propriété de Juan. C’est m’ont-ils dit, la fête de l’intronisation de la douzième reine des soirées libertines, comme je l’ai été moi-même un an auparavant.

 

 

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Les récits érotiques
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