Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Omar et Alex sont arrivés un peu en retard, j’étais collée à Jean en les attendant, curieuse de voir ses queues que les filles ne voulaient pas trop avoir en elles. Les deux sont assez grands, quoique vu ma taille (un mètre soixante-cinq), je ne sois pas une référence. Ce sont eux les plus jeunes, ils ont trente et un et vingt-neuf ans. Jean m’a présentée, ils ont été tout de suite tactiles, leurs mains jouant avec les mailles du filet surtout dans mon dos.
Après l’apéritif où nous avons discuté de choses et d’autres, nous avons mangé, moi entre Omar et Alex qui étaient très content qu’une des femmes de l’association soit pour une fois prête à les prendre partout en elle, les autres refusant leur anus à ces deux là. En riant, j’ai ajouté :
« Si vous êtes trop monstrueux je dirais peut être non ! »
Avant le dessert, la conversation devenait vraiment crue et salace, Jean et Luc dire qu’il serait peut être temps de voir si je dirai non. Je n’avais pas trop mangé (en fait je mange rarement beaucoup pour ma ligne) et j’ai pris les mains de mes deux nouveaux amis pour les emmener vers l’un des canapés du salon. J’ai ôté ma robe, de toute façon elle n’avait plus trop d’utilité. Ils se déshabillent dans le même temps et là, à genoux entre eux qui sont assis, je découvre enfin ces bites qui font peur à Monique, Audrey, Michelle et Laure.
Celle d’Omar est longue déjà au repos (là il bandait déjà) mais Jean est aussi large donc je me dis que c’est sa longueur qui pose un problème je commence à sucer et prends en main celle
d’Alex qui en effet paraît bien grosse à ma main gauche. Je passe de celle d’Omar à celle d’Alex et j’ai un peu de mal à écarter la bouche pour le prendre. Vu qu’il m’est arrivé dans ma vie
antérieure à Jean de sucer deux blacks en même temps, en insistant je le prends bien et il touche le fond de ma gorge en disant que rien que pour être sucé comme ça, ça vaut le coup de venir
jusque dans ce trou perdu. Omar a quant à lui une bite dure, je pense que notre conversation l’a excité ainsi que ma bouche et veut me prendre pendant que je suce Alex. Je monte sur le canapé à
quatre pattes en tendant mes fesses et fais une pipe royale à Alex qui me dit que je suis la première à le prendre en entier.
Je sens les mains d’Omar flatter ma croupe comme il ferait d’une jument, et écarter mes fesses. Jean et Luc qui sont dans le salon commente, Luc ajoutant notamment qu’il n’avait jamais vu une suceuse aussi appliquée. Je suis trempée quand je sens trois doigts d’Omar s’enfoncer dans ma chatte, et son cri :
« Elle est trempée ta femme, Jean ! » a juste pour réponse de mon homme :
« Elle est trempée tout le temps quand elle est ici ! »
Il n’a pas tort, je sens enfin le gland d’Omar contre ma fente, je recule d’un coup sec le bassin en ne perdant pas la queue d’Alex et son gland est en entier entré, il est quand même un peu plus gros que Jean me dis je en sentant sa queue m’envahir le vagin et buter contre le col de l’utérus une fois que je l’ai toute en moi. Il commence à me pomper. Je commence à perdre la tête et dans ces cas là je ne peux plus trop sucer, je maintiens la queue d’Alex en le branlant comme je peux. Omar vient dans ma chatte se retire et dit à Alex à toi, elle a une chatte du pur bonheur !
Je prends Omar dans ma bouche et le nettoie pendant qu’Alex prend sa place. Lui est vraiment plus large mais je commence à être bien ouverte, il a tellement envie qu’il m’enfile d’un trait. D’un coin de l’œil je vois Jean et Luc qui se branle doucement, me regardant engloutir cette grosse queue (et le grosse n’est pas superflu). Il me bourre jusqu’au point de jouir en moi, en disant que j’avais un cul d’enculée vu comme mon petit trou était déjà ouvert. Il demande à Jean s’il « poinçonne » mon anus quotidiennement, Jean réponds que oui mais que j’étais déjà une enculée avertie avant de le connaître.
J’avoue qu’entendre parler de moi comme ça m’excite toujours énormément. J’ai senti une explosion de sperme quand il est venu et j’ai joui, chose qu’Omar n’avait pas réussi à faire étant venu trop vite. En reprenant mes esprits, je les entends dire que je suis la plus ouverte des femmes de l’association. Omar dit qu’avec les flots de jus en moi, il espère que je prends la pilule, sinon je serai en cloque si je continue sur ma lancée avant la nuit. Je souris d’aise de me sentir envahie de semences et Jean leur dit mais « elle a 56 ans, ma femme, elle ne prend plus la pilule et adore le jus en elle quelque soit le trou ». J’entends des « tu rigoles, je lui donne 40, max 43 » d’un Omar incrédule, imité par Alex qui ajoute que c’est pas possible que je paraît aussi jeune que Monique.
Jean leur dit qu’il a même déjà mis une main dans ma chatte. Je dis à ce moment là que je prendrai bien du gâteau et demande à Jean de m’en apporter une petite part avec une cuillère, je fais attention que les deux spermes que j’ai eu en grosse quantité ne coulent pas trop de ma chatte, les garçons continuant à discuter de ma performance, je prends l’assiette et avec la cuillère récupère du sperme pour en couvrir mon gâteau, Jean me voyant me dit « tu vas manger ça ? ». Oui mon amour, c’est meilleur que la crème anglaise fut ma réponse.
Ils sont stupéfaits, moi j’avais envie de le faire et c’était très bon avec le chocolat. Une fois réconfortée par mon gâteau, je regarde Alex et Omar, en leur disant que je voulais bien les avoir dans mon cul, en essuyant les gouttes qui étaient sur mes lèvres et arborant mon plus beau sourire.
Omar est le premier à se présenté, j’ouvre à deux mains mes fesses et lui dis de lubrifier avec ma mouille et leurs spermes, que Jean me prends parfois sans préparation donc lui devrait glisser, qu’’en plus leurs coups de bites m’ont excitée. Il glisse dans mon sillon, il est plus large que Jean, mais je sens qu’en poussant il peut forcer mon petit trou et je ne demande que ça. Quand je le sens entrer, je pousse un gémissement de plaisir, c’est vrai que ce n’est pas le premier aujourd’hui à venir là et je crois que ce ne sera pas le dernier de ce samedi et plus le temps passe plus je sais que je vais être très salope dans la soirée. Il me bourre fortement en claquant mes fesses après que je l’ai demandé.
Au moment d’éjaculer il sort et arrose mon dos et mes fesses. J’ai encore envie, Alex vient le remplacer, avant qu’il n’essaie de me forcer, je lui dis par contre toi, c’est en moi jusqu’au bout, et en regardant Omar, je préfère en moi que sur moi.
Omar me dit, t’inquiète Marie j’ai compris, tu auras qu’en toi avec moi. Alex s’enfonce doucement, j’ondule du bassin au fur et à mesure et j’avoue que c’est bon de le sentir me pénétrer. Une fois que tout son gland a réussi a entrer, je lui demande d’aller plus loin, qu’Omar a déjà tracé la voie.
Alex n’a jamais enculé complètement une femme (il me le dira après) et n’ose pas trop forcer, je l’encourage, en lui disant que je veux sentir ses couilles battre mon cul, que je suis là pour ça, être à tous, qu’il me prenne comme il en rêve, je le sens prendre confiance et au bout d’un moment, je l’ai en entier dans mon anus, curieusement je n’ai pas mal, mais j’ai un frisson de plaisir qui me coure sur toute l’échine, j’en rajoute en criant que je veux qu’il remplisse mon cul comme ma chatte. Il commence à bouger de plus en plus vite, je sens que je m’ouvre encore davantage sous ses coups de boutoir.
Quand il vient au fond de moi, je suis prise d’un violent orgasme. Il se retire et je le prends dans ma bouche avalant les dernières gouttes de son sperme. Mon cul est béant après l’engin qui vient de me forer et j’aime ça, je le laisse au regard de mes quatre amants. Il n’en revient pas d’avoir réussi, je suis sa première « enculée » comme il dit.
Omar et Alex me félicitent mais je vois Jean et Luc s’approcher et me dire que la veille, ils n’avaient pas osé la double anale, mais que là « vu comme ton cul est ouvert » et si je veux bien, ils aimeraient essayer. Je les regarde en léchant la grosse queue d’Alex, et leur répond en souriant :
« Vous auriez dû demander dès hier soir, je n’aurai pas dit non », en ondulant très doucement du bassin.
Jean me dit que je suis vraiment une sacrée salope. Il m’aide à me diriger vers le tapis, Jean se met sur le dos, je me mets au dessus de sa queue puis il m’attire vers lui, je sens son torse sous mon dos, il prend mes jambes et fait remonter mes fesses pour que Luc qui s’avance puisse aussi m’enculer avec lui.
J’en ai déjà fait mais rarement et la dernière date de plus d’un an et demi mais avec l’excitation, je sens que ce sera la meilleure de ma vie. Ils mettent leurs queues côte à côte et Jean me fait redescendre sur cette énorme queue, plus large qu’Alex même si moins longue. Je crois que j’aime être prise par Jean et Luc, je les ai déjà eu dans ma chatte les deux ensemble deux fois depuis que l’on se connaît et j’en raffole. Ils le savent car je leur ai dit la veille. Ils ont pris leur temps pour me fourrer et après je ne sais plus combien de temps cela a duré mais j’ai joui deux fois durant tout le temps que je les avais en moi. Ils ont voulu pour une fois que je les reçoive dans ma bouche, d’abord Luc qui s’est retiré pus Jean.
J’ai avalé le plus que je pouvais, et sentir l’odeur de mon cul de salope mélangée à celles de leurs quatre bites n’a pas été étranger à mon ultime jouissance. J’étais épuisée mais heureuse. Jean m’a portée dans notre chambre pour que je me repose, il m’a embrassée en me disant qu’il voulait que je sois sa femme pour le reste de nos jours (curieuse déclaration d‘amour mais pour moi c’était la plus belle). Je me suis endormie comme une masse, les trous béants et sentant les spermes....
A suivre...
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