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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Cette histoire a commencé pour moi par un bel après-midi du mois de juin consacré dans mon quartier à la fête des voisins. La chaleur torride nous avait contraints à une tenue plus que légère. Pour ma part, un court short et un marcel constituent mon unique vêture. Lorsque l'orage s'est enfin déclenché, la majorité des participants s'est ruée dans la pièce à vivre du plus grand logement du quartier alors qu'avec quelques autres je mets à l'abri le matériel et les denrées qui craignent l'eau. Lorsque nous entrons enfin, mes vêtements trempés sont devenus à demi transparents et dévoilent une partie de mon anatomie que je tiens habituellement cachée. La grande majorité des participants fait mine de ne pas s'en apercevoir à l'exception d'un jeune voisin esseulé et de notre hôtesse, petite brune au physique massif et au regard autoritaire.

 

En fin de journée, alors que chacun rentre chez soi, cette dernière me retient sous

un prétexte futile. Commence alors une conversation d'un tour plus intime et, l'alcool aidant, quelques confidences touchant à la féminité de mes fantasmes et à mes désirs de domination féminine et d'homosexualité. Elle interrompt notre conversation pour donner un rapide coup de téléphone puis la reprend sur un ton encore plus intime. Elle est maintenant assise près de moi et touche amicalement mon bras ou ma jambe pour appuyer ce qu’elle dit. Sa tête effleure la peau de mon épaule. J’en suis quelque peu troublé.

 

Alors que je vais la quitter, son regard change et elle m'intime l'ordre de me dénuder. Mon cerveau s'embrume et mon pouls s'accélère brutalement. Je ne sais comment me comporter et, sans doute flatté du désir manifesté, je libère lentement mon torse, mon bassin et mes pieds de toute protection. Elle manifeste son contentement en s’étirant langoureusement. Ma totale nudité, au milieu de cet important espace libéré pour recevoir les convives, et le regard amusé de mon hôtesse, me font monter le rouge aux joues. Elle s'approche et me pousse sous un escalier. Elle se saisit d’une fine cordelette, me lie les mains levées à une rampe.

 

Elle commence à jouer avec mon corps et se réjouit de mon trouble grandissant. Au premier contact de sa main je hoquette d’émotion. Elle extrait d’un coffre un martinet et me fouette, avec une attention particulière pour les parties les plus sensibles. Elle visite avec délectation de sa petite main les différents orifices à sa disposition tandis que mon phallus est soumis à une tension peu commune. Elle relève sa robe et dévoile un corps étonnement harmonieux et sans entrave, d’une étonnante blancheur. Elle enfiche sa vulve chaude et humide, dépourvue de toute pilosité, sur mon sexe et se démène jusqu'à nous amener à l'orgasme. Puis elle me détache, me met dans la main mes vêtements et me jette dehors dans la plus absolue nudité.

 

La nuit est tombée, le sol trempé luit sous la lune car l'orage a éteint l'éclairage public. Je m'apprête à regagner mon domicile, ainsi dévêtu, le plus rapidement possible, vaguement frissonnant, lorsqu'une porte s'ouvre et qu’une main me tire à l'intérieur d’une maison. Je me retrouve face à face avec mon jeune voisin, à demi dénudé, qui me regarde avec un air d'envie. Il enlève de mes mains mon léger fardeau qu'il dépose soigneusement sur un dossier de chaise et me prend dans ses bras.

 

D'abord désorienté, je finis par me laisser gagner par l'excitation que provoquent ses douces caresses. À de chastes baisers succède une bouche plus vorace dotée d'une langue alerte et pénétrante. Je me sens à nouveau plein de désir et le manifeste en baissant, d’une caresse, son short à ses pieds. Mes tétons érigés deviennent sensibles à l’effleurement, mes reins se creusent et mon entrejambe s’échauffe.

Nous nous caressons mutuellement le dos, le phallus et les fesses. Il me dévore goulûment le sexe. Au bout de quelques minutes je me retrouve jambes écartées, le buste collé au plateau de la table.

 

Il commence alors à me pénétrer l'anus avec délicatesse, d'un doigt humide puis de deux. Son vit s'immisce doucement dans mon cul, puis s'agite de plus en plus fort jusqu'à me laisser anéanti et écartelé. Tout mon corps attend son plaisir qui semble ne jamais devoir arriver. Je suis labouré à l’extrême tandis que mon sexe frotte légèrement le dessous rugueux de plateau de la table, ce qui retarde mon envie de jouir.

 

Sa poitrine touche mes épaules sans s’y appesantir. Ses cuisses transpirantes émettent un bruit flasque au contact des miennes à chaque mouvement de va et vient. Ses mains emprisonnent mes poignets posés sur la table et me dissuadent de bouger. Mes fesses objets de ses coups de boutoir, mon anus soumis au frottement violent de son sexe, sont de feu et j'aspire au repos. Lorsqu’il éjacule enfin dans mes intestins, il me branle et j’explose. Il se retire alors doucement. Je suis ici aussi, dès la fin des ébats, renvoyé nu et sale à la rue sans même pouvoir saisir mon vêtement.

 

Épuisé je regagne prestement mon domicile et me jette au lit. Je m'endors d'un sommeil peuplé de fantasmes de toutes sortes. Souvent réveillé, je finis ma nuit couché sur le ventre, les fesses découvertes et surélevées par des oreillers tant mon entre jambe est à la recherche d’un souffle d’air frais.

 

Une semaine passe au cours de laquelle je retrouve ma vêture soigneusement posée devant ma porte. Le dimanche suivant, alors que je sors pour faire quelques courses, je salue quelques voisins en grande conversation. Mes deux abuseurs font partie du groupe et me regardent d'un drôle d'air. Les autres détournent le regard. Ma voisine dominante me fait autoritairement signe d'approcher. Lorsque j'arrive à leur hauteur, les deux complices éclatent de rire. La main de l'une se pose au bas de mon dos, celle de l'autre au bas de mon ventre, comme dans un geste de possession absolue.

« Comment va notre petite salope ? » dit le jeune voisin d'une voix égrillarde.

 

Sa main glisse dans mon short et pétrit tout ce qu'il y trouve tout en dégageant mon bassin du léger vêtement avec l’aide de la naine. « Vous pouvez toucher » dit-il aux autres en découvrant ma peau. L’un d’entre eux soupèse mes bourses en riant. Je suis rouge de honte et de plaisir, et ne sais, les fesses à l’air, comment me comporter. Je me tords sous leurs gestes.

 

Gênés, les témoins rentrent chez eux en nous laissant tous trois au milieu de la rue.

Mes agresseurs me poussent à l'entrée d'une cour sous un appentis et finissent de me dénuder. Je les laisse faire, partagé entre béatitude et infamie. Je vois des rideaux bouger aux fenêtres des maisons du voisinage. Je suis le jouet des uns et le spectacle des autres. Ils m’aguichent et m’enflamment puis me brutalisent. Ils m'obligent à des attitudes humiliantes et suis finalement sodomisé alors que je prends la voisine en levrette, vraisemblablement sous de nombreux regards. Ils m'attachent à un poteau, ma nudité exposée à tous vents, et s’en vont.

 

Je mettrai de longues heures à me libérer sans qu'aucun témoin ne me vienne à l'aide.

Le samedi suivant, le jeu prend une toute autre dimension. Alors que je fais la queue à l'épicerie, je suis rejoint par mon jeune agresseur qui me salue d'une caresse sur le ventre. Il dit alors d'une voix basse mais audible :

« quel plaisir d'avoir un cul accueillant, disponible à tout moment, dans son voisinage ! »

 

Et prestement, il déboucle la ceinture et la braguette de mon jean, que je porte à même la peau, et le baisse brutalement comme pour prouver ce qu'il avance. L'émotion m'empêche à nouveau de réagir pendant quelques secondes. Lorsque je remonte mon pantalon, je croise des regards gourmands ou gênés. L'épicier m’attire dans l’arrière-boutique sous un prétexte futile et, avant que je ne me reboutonne, envahit mon vêtement pour pétrir tout ce qu’il y trouve. Mon sexe se tend sous la caresse et mon anus s’échauffe.

 

Une employée rigolarde contemple la scène en se caressant la cuisse puis essuie d’un doigt distrait une goutte de sperme qui perle sur ma queue. Ils me raccompagnent tous deux à la porte, à demi rhabillé, leurs mains au bas de mon dos. Je perçois la respiration saccadée de quelques clients très intéressés par cette scène. Je m’ajuste en pleine rue, non sans attirer l’attention de quelques passants.

 

L'après-midi de ce même jour, alors que je vaque à quelques travaux d'écriture, le jeune voisin m'appelle au téléphone et m'intime de rejoindre son domicile. Je ne réfléchis pas une seconde et m'y rends, le cœur battant d'anxiété et de désir. Lorsque j'y arrive, je constate qu’il a invité plusieurs connaissances masculines du quartier.

 

Devant eux, il me caresse et me dévêt, puis me livre à leurs caprices. Ma bouche et mes fesses sont pénétrées maintes fois. J’ai l’impression que mille mains me recouvrent et me palpent. Des spasmes me secouent. J’ai chaud et transpire abondamment. Je m’étouffe de leurs bites et mon cul se dilate à l’extrême au point de percevoir la douceur de leurs vits. Je suis abusé dans mille positions, couché sur la table sur le ventre puis le dos, à quatre pattes sur un lit, à l’envers sur un fauteuil...

 

Mon corps, zébré de quelques coups par un ou deux sadiques, glue de foutre. Je suis dans un état second et, hormis mes fesses en feu, ne ressens quasiment plus rien. Lorsque ses amis rassasiés ont disparu, mon hôte me douche en prenant un soin pressant de toute mon intimité puis me colle

au mur, encore humide, pour me sodomiser à son tour sans ménagement.

 

Épuisé, je n’arrive plus à jouir mais en ressens un bien être enivrant.

 

La semaine suivante c'est le tour de ma voisine de me convoquer. Toutes les femmes de sa famille sont là, ses amies aussi. Je suis dénudé, doté d'un collier, promené en laisse dans le jardin, fouetté. Puis elles m'attachent écartelé aux montants d'un grand lit à barreaux tantôt sur le ventre pour me pénétrer de divers ustensiles, tantôt sur le dos pour venir se ficher sur mon sexe, poser leur clitoris tendus entre mes lèvres et faire lécher leurs vulves et leurs culs excités.

 

À la fin de ces jeux, je suis revêtu d'un justaucorps totalement transparent et prié de leur servir l'apéritif et le repas. J’adore cette tenue qui me remplit d’une confusion durable.

Mes épaules se contractent et mes mains sont moites. À chaque passage, elles caressent les parties les plus tendres de mon anatomie. Au dessert, je suis à nouveau dévêtu alors que chacune de mes compagnes dénude le bas de son corps. Je vais devoir, à quatre pattes sous la table, pénétrer leur sexe de ma langue jusqu'à ce qu'elles en soient rassasiées. Je me venge d’elles en remplissant ma tâche avec toute l’énergie qui me reste, presque avec violence.

 

Lorsqu'elles sont toutes parties, mon hôtesse réclame un cunnilingus anal profond, le sexe emmanché sur un godemiché aux vibrations saccadées. Ma bouche servile fait son office tandis que mes mains écartèlent ses fesses rondes et dodues autant qu’elles le peuvent.

 

Petit à petit, je prends l'habitude de me soumettre à ces exigences sexuelles. Je prends plaisir à ma honte et au regard que les autres portent sur moi. Le plus difficile est la soudaineté des attaques. Tous ceux qui sont au courant, et ils sont nombreux, s'autorisent à mille gestes intimes et humiliants. J'ai une chance sur deux de me faire caresser les fesses pendant que j'achète mon journal ou de me retrouver à demi dénudé dans les rayons du supermarché. On m’a même retrouvé, troussé et quasi nu, attaché aux poignets et au chevilles au rayon bricolage.

 

Par contre, pas une semaine ne passe sans que je ne reçoive de nouvelles invitations

à participer à des rites sexuels nouveaux. J'ai goûté, plusieurs fois, l'amour avec un charmant couple homo. Les bougres m’ont gentiment envoyé au septième ciel. Deux amants hétéros et néanmoins scientifiques m’emmènent dans leur laboratoire et filment mes réactions à de nombreuses sollicitations sexuelles étonnamment imaginatives. Le matériel utilisé m'étonne par sa diversité. Bondages divers, godes de tous genres, masturbateurs se relaient sur mon corps. Mes fesses et mon sexe en sont encore émus. Je me partage entre de charmants partenaires aux poitrines fermes et aux fesses bien dessinées, garçons ou filles, actifs ou passifs, souvent brutaux, et des hommes et des femmes d'âge mûr plus retors et plus doux.

 

L'avantage de tout cela est que je peux désormais vivre avec bonheur mon exhibitionnisme.

Personne ne s'étonne plus de me voir circuler plus ou moins dénudé à la condition que je me soumette aux caprices de ceux que je rencontre.

L'épicier partage mes faveurs avec la pharmacienne.

 

Le marchand de journaux avec la bouchère.

 

Le fleuriste me pousse souvent dans son arrière-boutique pour lutiner parmi les fleurs. Elle aime décorer mes orifices de plantes aux couleurs chatoyantes.

 

La monitrice d’auto-école m’invite parfois sur sa banquette arrière et me conduit dans des chemins discrets ou elle me fait conduire nu, les mains attachées au volant, tout en me prodiguant mille caresses.

 

C’est dans la chambre froide, pendu comme un goret et complètement frigorifié, que j’ai possédé la charcutière.

 

La coiffeuse ne m’accepte plus que dans des tenues indécentes. Elle me tond les reins, les aisselles et le bas ventre pour me rendre plus présentable à tous. Elle adore manier le rasoir entre mes fesses et autour de mon sexe. Ma respiration oppressée et de légers frémissements d’inquiétude le mettent en joie.

 

Quant au boulanger, il affecte de violer mon intimité au fournil. C’est donc couvert de farine, rayé de traces blanches laissées par ses mains, que je traverse le quartier en témoignant de sa prouesse. Je retrouve partout, y compris dans mon lit, la fine poussière de céréales. Pensée émue !

 

Deux ou trois fois la semaine, le matin vers dix heures, je me rends au café ou quelques admirateurs et admiratrices ont plaisir à me lutiner dans les positions de leur choix. Parfois ils m’installent en vitrine nu, assis, à quatre pattes ou couché sur une table, pour régaler les passants, pendant que leurs mains s’égarent sur mon anatomie. Ils aiment, lorsque je m'allonge sur le bar, pouvoir me tripoter tout à leur aise et parfois lécher ma peau recouverte d'exotiques breuvages. La plus assidue est une femme simple assez ronde, au visage ingrat, dont les doigts boudinés s’insinuent dans tous les endroits possibles et dont les lèvres agiles embrassent et enserrent ce qu’elles trouvent avec douceur.

 

En récompense, elle me donne à téter les mamelons excités de son opulente poitrine. Un grand homme grisonnant, au visage austère, défoule sa perversité en mille griffures, morsures et pincements douloureux des seins et des bourses et se réjouit de mes grimaces. Heureusement il éjacule précocement dans ses vêtements et se calme. Le bistrotier imbibé ne sait que me labourer de ses doigts la raie des fesses et me pénétrer violemment l’anus à sec. Un jeune handicapé essaie de les freiner et ne cesse de me prodiguer de tendres, mais un peu baveux, baisers.

 

Les autres alternent les gestes au gré de leurs envies ou s’abstiennent. Mon souffle court et de petits gémissements les encouragent, parfois un cri de douleur les alerte. Pendant plus d’une heure, mon cœur cogne dans ma poitrine au gré des gestes de chacun. Pour rien au monde je ne raterais ce rendez-vous !

 

C’est cette activité qui a permis aux étudiants, logés à la cité universitaire toute proche, de découvrir mes mœurs et ma réputation. Avec eux, ma soumission a pris un tour nouveau, une dimension nouvelle. Je suis devenu la coqueluche de soirées libertines à la cité internationale.

 

La planète entière se succède dans mon cul ou enserre mon sexe sans que je n’aie plus de cent mètres à parcourir. Un ami berbère m’a offert un burnous qui me permet de me couvrir chaudement à la saison fraîche tout en pouvant rapidement me dévêtir. J’avoue idolâtrer ce vêtement qui offre à chacun la possibilité de me trousser sans entrave. J’aime ce qu’évoque le frottement de la laine rêche sur ma peau nue qui me prépare aux scènes de sexe à venir. Et puis, ces corps jeunes qui se soulagent dans mes fesses et autour de mon pénis me donnent une raison d’exister. Les garçons jouissent en me traitant de « veille pute » et les filles de « gros porc ».

 

C’est maintenant mon statut social et, sans doute, le petit nom dont ils m’affublent pour parler de moi entre eux, mais qu’importe ! Par beau temps, ils me promènent en laisse à poil sur les pelouses du campus et disposent de mon corps au bord de la rivière.


Tantôt on me fouette les fesses d’une badine ; tantôt on s’intéresse à mes organes. Ils restent habillés et ne dévoilent que le strict nécessaire au moment de me faire l’amour. Ils et elles ne portent généralement aucun sous-vêtement pour faciliter une relation sexuelle furtive. Lorsque le temps est gris, je dispose d’une salle de réunion dotée d’un grand miroir. Mes partenaires s’y dénudent facilement pour mon plus grand plaisir. J’adore, pendant l’acte sexuel, regarder dans la glace le mélange entre ma peau laiteuse et d’autres bronzées, jaunes ou noires.

 

Souvent, je suis l’objet d’une attention collective multicolore. Les africains et les arabes me lutinent souvent avec un grand respect et peu d’imagination. Les orientaux comme les perses poussent la douleur comme le plaisir à ses limites. Moment sublime ou ces nombreux corps nus s’agitent avec une indécence parfaite au service de mes sens ! Le personnel de la cité vient prélever sur mon corps le prix de son silence, notamment la directrice, artiste en vocalises amoureuses. Je la prends parfois, après la fermeture, sur le bureau d’accueil. Les ouvriers de maintenance, rois des sous-sols, préfèrent me violenter dans leur domaine, attaché à quelque canalisation.

 

Depuis peu, mes voisins sont devenus jaloux de ce partage. Ils sont venus me le dire d’une drôle de façon. Alors que je bricolais dans mon garage, porte ouverte, une délégation comprenant mes deux amants historiques est venue me battre et m’insulter de mille mots grossiers tout en s’essayant à mille petits sévices qui imposent à mon corps de violentes tensions aussi vite disparues. Ils finissent par me suspendre par les poignets au linteau de la porte, les jambes écartées par des liens fixés aux montants. Ils vont ensuite lacérer mes vêtements au point que seuls quelques rares lambeaux de peau sont cachés. Une pancarte clouée au mur indique « putain internationale, à violenter sans égards quelles que soient vos origines ». Je suis resté ainsi exposé de longues heures. Personne n’osait me décrocher par peur de représailles.

 

J’ai, quelques fois, oublié la douleur de mes muscles étirés, lorsqu’un regard concupiscent s’attarde longuement sur mon corps presque nu ou qu’une main perverse effleure une zone érogène. Au crépuscule, mes deux amants sont venus à mon aide de façon intéressée et m’ont fait passer une nuit d’anthologie. Revêtu de latex judicieusement percé à l’emplacement du visage, du bas ventre et du cul, j’ai pu à mon tour les tourmenter de maints objets, puis mes zones libres ont été envahies. Enfin dénudé au matin, ils m’ont prouvé leur amour et leur mépris au point que j’en ai encore les stigmates sur ma peau. Depuis je partage ma semaine entre les deux groupes de façon égale.

 

Pendant les vacances, l’un ou l’autre groupe m’emmène avec lui pour que je reste sous contrôle. En montagne, je randonne nu, sans sac, au-devant du groupe, tenu en laisse par mon suivant. Pour les randonnées à vélo, ils m’ont équipé d’une selle surélevée d’un sexe en latex qui me permet, uniquement vêtu d’un court maillot et de mes tennis, de m’enficher et de me préparer aux assauts des garçons, sexe au vent. A la mer, je suis exposé dans le plus simple appareil, lié à un tronc du sous-bois proche, offert à la convoitise des passants, sans possibilité d’esquive. Et ils sont nombreux à apprécier cette opportunité.

 

Je voyage en robe et sans sous-vêtement pour être toujours sexuellement disponible. Dans le train toilettes et compartiments vides permettent toutes les audaces. En avion, mes sévices commencent lors de l’endormissement des passagers ou l’on m’installe nu sous une couverture. On m’enlève ma robe lors des trajets en voiture pour le plaisir des autres passagers. Parfois, lorsque quelqu’un le demande, je revêts des bas et un porte-jarretelle, mais c’est rare. La nuit, je ne peux jamais m’isoler et partage la couche qui m’est assignée en fonction des accords passés entre mes bourreaux. Son occupant me laisse rarement en repos avant une heure avancée.

 

Lorsque personne ne peut m’emmener, je suis confié aux bons soins d’une commandante de police lesbienne qui vient assouvir ses envies de sodomie la nuit à mon domicile et m’entrave le jour pour éviter que je m’éloigne trop. Je trouve humiliant d’aller faire mes courses quasi nu, les pieds et les mains entravés par des chaînes assez longues qui m’obligent à marcher en claudiquant, jambes écartées.

 

Dans mon cas, c’est aussi grotesque que provocant et engage mon interlocuteur à abuser de moi. Certains jeunes majeurs du quartier ne s’en privent pas pendant ces temps d’inactivité. Ils m’ont plus d’une fois, séquestré quelques heures dans un garage ou une cabane de jardin. Adeptes des films pornos, leur imagination en matière de sévices sexuels est limitée. Toutes leurs insultes sont effacées par leurs caresses.

 

Bref, mon quartier, depuis cette date, s’est érotisé. Dans ce contexte, je suis devenu une sorte de mascotte dont les orifices et organes sexuels sont à la disposition d’une collectivité gourmande et diverse. Lorsque j’effleure ma peau, je pense à eux tous sans aucun jugement.

 

Ma poitrine et mon dos, mes cuisses et mes bras, mon sexe et mon cul, mes mains et mes pieds, ma tête surtout avec ma langue avide, s’érotisent à l’idée qu’ils vont bientôt me toucher, avec leur sexualité à eux, parfois rude et perverse, parfois douce et enveloppante. Je les attends, je les espère, je les veux de toute ma capacité érotique, de toute ma sensualité.

 

Souvent mon dos se creuse, mon souffle devient court et une curieuse sensation monte de mon bas ventre. Viens que je t’accueille au plus profond de moi. Tout mon être t’attend sans tabou !

Par Emile - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : plaisirs SM
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