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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

À mon réveil, je trouve au bord du lit, une robe délicatement posée, une boîte et un petit mot :

 

« Mademoiselle K.,

Je ne t'avais pas autorisée à te caresser dans ta chambre pendant ce qui devait être une sieste de récupération, mais j'avoue avoir pris beaucoup de plaisir à te regarder faire.

Pour te récompenser de ce nouveau moment de plaisir, nous allons sortir, je t'emmène vers une surprise.

Prépare-toi et rejoins-moi pour dix-huit heures trente  en bas.

Ne sois pas en retard.

Monsieur Serge »

 

Comment a-t-il su que je me suis caressée tout à l'heure ? Comment l'a-t-il vu ? Je scrute les murs, le plafond et découvre quelques caméras dissimulées ça et là dans la pièce.

Au point où j'en suis... Ça ne me dérange plus vraiment.

 

Il ne me reste qu'une demi-heure et je file prendre une douche. Je trouve dans la salle de bain, devant le miroir, une trousse à maquillage que j'utilise volontiers pour mettre mes yeux et mes lèvres en valeur. Je retourne dans la chambre pour m'habiller. Je prends le vêtement en main et découvre une très jolie robe fourreau bleue nuit. Je l'enfile et me contemple dans la glace. Il s'agit d'une très jolie robe ras de cou, à manches longues.

 

Le dos nu vertigineux laisse apparaître la naissance de mes fesses, un ruban de brillants ceinture la taille et interrompt la chute des reins. Fendue très haut, elle laisse entrevoir ma cuisse à chaque pas. Je me trouve terriblement jolie et sexy dans cette tenue. Je noue à nouveau mes cheveux en chignon puis enfile la paire d'escarpin au pied du lit. Je m'intéresse alors à la boîte déposée sur le lit avec la robe. Il s'agit d'une boîte en feutre rouge, carrée, qui ressemble à un écrin à bijou.

 

Je l'ouvre et découvre un magnifique collier en diamants et perles.. Il se compose d'un collier de deux rangs en diamants enlacés, interrompus de cinq perles de belle taille, montés sur des anneaux de petits diamants. À la base de la perle du milieu, un petit pendant en diamant en forme d'ailes de colombes se termine par une sixième perle dans son cercle de diamant. Il semble qu'il s'agisse d'un bijou très ancien et je m'extasie devant ce splendide objet avant de l'accrocher à mon cou. Il est du plus bel effet sur le bleu nuit de ma robe. J'avoue qu'il me tarde de descendre me montrer à Monsieur Serge.

 

Je sors de la chambre et descends l'escalier. Je vois alors Monsieur Serge, bouche ouverte, béat d'admiration à ma vue. Il ne dit pas un mot et je peux mesurer son émoi au tremblement de la main qu'il me tend.

« Tu... Tu es.... Epoustouflante Mademoiselle K. Réellement époustouflante.

- Merci Monsieur Serge. Merci de me permettre de porter ce magnifique bijou.

- Il te va à ravir. C'est un bijou d'une grande valeur que le Tsar Nicolas a offert à la Tsarine Alexandra pour la naissance du Prince Alexis alors qu'il désespérait d'avoir un fils. Ce bijou a disparu deux ans après la naissance et n'est réapparu qu'après la grande révolution. Mon grand-père l'a acquis je ne sais comment et l'a offert à ma grand-mère pour se faire pardonner leur folle nuit sur le fauteuil. Mais trêve d'histoire, nous devons partir, retirons ce collier, tu n'en auras pas besoin. »

 

Je me sens soulagée de quitter enfin ce lien qui me retient à cette maison. Même si ça m'excite, je m'en suis un peu lassée.

Très galamment, Monsieur Serge m'ouvre la porte d'entrée. Je découvre une superbe voiture, luxueuse devant laquelle se tient un chauffeur. Ce dernier ouvre la portière de la limousine et je précède Monsieur Serge dans la voiture. Il me demande de m'installer sur la banquette arrière tandis qu'il s'assied fasse à moi, tournant le dos à l'habitacle du chauffeur. La voiture roule dans l'allée, lentement et nous sortons de la propriété.

« J’ai un autre bijou pour toi Mademoiselle K. J'aimerai que tu le portes.

- Eh bien donnez le moi, Monsieur Serge. »

 

Il sort alors d'une petite boîte devant lui, un petit objet oblong, partant en cône, se resserrant à la base puis s'élargissant pour former une sorte de socle. Il s'agit d'un petit plug anal.

« Vous voulez que ''j'enfile'' ça ?

- Oui Karine. Ou plutôt non, J'AI envie de Te le mettre. De préparer ton cul pour que tu le portes.

- Mais je croyais que nous allions dîner....

- Et alors ? Cela empêche t il quelque chose.

- Non mais....

- Pas de mais Mademoiselle K. Mets toi à 4 pattes et relèves ta robe.

- Mais.... Le chauffeur ?

- Ai-je un instant laissé présumer que tu avais le choix ? Le chauffeur est d'une discrétion sans faille, je peux bien le récompenser de temps en temps en le gratifiant d'un charmant spectacle », dit il en reprenant son cigare en bouche dans un grand sourire.

 

Comprenant que je n'aurais pas le choix, je m'installe donc à quatre pattes au milieu des sièges et mesure l'utilité de la vertigineuse fente de la robe puisque sans effort, mes fesses apparaissent aux yeux de monsieur Serge... Et de son chauffeur qui, dans le rétroviseur ne manque pas une miette de la représentation qui commence.

 

Monsieur Serge s'agenouille devant ma croupe tendue. Ses deux mains se posent alors sur les lobes et les caressent tendrement, sensuellement. Je peux sentir ses paumes chaudes, larges et douces. La chair de poule me prend. Elle semble d'ailleurs lui plaire puisqu'il redouble de caresses. J'écarte légèrement les cuisses, sentant mes lèvres se gorger de sang et s'humidifier légèrement. Mon intimité commence à me brûler. Il semble fier de son ouvrage. Je me cambre d'envie et d'impatience.

« N’est-elle pas magnifique Albert ?

- Splendide Monsieur. »

 

Je gémis lorsque je sens son doigt se poser entre mes lèvres et commencer un savant va et vient sur ma chair intime, jusqu'à mon clito. Je mordille ma lèvre inférieure à cet intense contact.

« Humm oui, mouille petite chienne, il n'en sera que plus facile de te mettre ce petit jouet »

.

Deux de ces doigts entrent en moi, sans sauvagerie. Je le sens écarter son index et son majeur à l'intérieur et son pouce masser doucement mon petit œillet. C'est une magnifique sensation. Je pose ma tête sur le sol, frémissante de plaisir. D'un coup, sa pénétration s'arrête. Ses deux mains se posent sur chacune de mes fesses et les écarte. Je sens alors son souffle sur mon petit trou vite suivi de son visage. Sa langue entame de le lécher. À grands coups de langue, il s'emploie à humidifier cette rose.

 

Lentement, mon anus cède à ses caresses et sa langue me pénètre. Malgré moi je commence à prendre goût aux compétences de cet homme, je l'apprécie de plus en plus. Serais je en train de me laisser séduire ? Un crachat me sort de cette pensée et très vite je sens son index se présenter à l'entrée. Désirant ardemment qu'il me pénètre, je pousse légèrement pour aspirer son doigt. Il glisse alors en moi sans effort. Une fois bien entrée, il entame un mouvement lent de va et vient, entrecoupé de mouvements circulaires. Je deviens folle de désir. Au bout d'une petite minute de ce traitement :

« Tu es prête maintenant. Je peux te passer ce bijou. Mais il faut le lubrifier. »

 

Il le présente à mes lèvres et je m'empresse de le prendre entre bouche. Sans attendre, je le couvre de ma salive.

Enfin, Monsieur Serge pose le plug sur mon anus. Ce dernier n'a maintenant aucun mal à pénétrer et il se retrouve rapidement au fond de mes entrailles. Monsieur Serge se relève, recouvre mes fesses de la robe et sans plus d'émotion se rassoie à sa place :

« Relève-toi Mademoiselle K. Et assieds-toi. »

 

Je reste un instant surprise de l'arrêt brutal de ce moment de plaisir, mais je reprends ma place sur la banquette.

« Ce petit jouet ne te gène pas trop ?

- Un peu, Monsieur Serge, j'espère surtout qu'il ne se verra pas sous la robe.

- Peu importe, je me fiche que les gens s'en aperçoivent. Au contraire, j'espère qu'ils s'en apercevront. Au fait, il y a une petite surprise supplémentaire.

- Laquelle ?

- Tu le découvriras bien assez tôt, dit-il en souriant, nous arrivons. »

 

La voiture s'arrête devant un restaurant huppé. Le lieu semble isolé mais des plus fréquenté. Un jeune homme ouvre la portière et me tend la main pour sortir de la voiture. J'ai un peu de mal à m'extirper de la voiture, de peur de perdre l'objet ou qu'il ne soit trop voyant. L'homme nous souhaite la bienvenue et nous précède sur le tapis menant à l'entrée. Il nous ouvre la porte et je sens son regard s'attarder sur moi et mon dos nu. A-t-il remarqué ce que je porte ? Je ne sais pas et je me sens quelque peu gênée. D'autant qu'il n'est pas le seul dans le restaurant à me scruter quand nous traversons la salle pleine jusqu'à notre table.

« Tu sembles avoir énormément de succès mademoiselle K. J'en suis très fier.

- Merci, monsieur Serge. Mais je me sens un peu mal à l'aise.

- Il ne faut pas mademoiselle K. »

 

Nous nous assaillons à notre table et un serveur nous apporte la carte. Les mets fins proposés me mettent l'eau à la bouche. Au bout de quelques minutes, le serveur revient pour prendre notre commande. Monsieur Serge commence puis me demande ce que je souhaite dîner.

« Je vais commencer par...... OHHH....... »

 

Je ne comprends pas ce qui se passe. Je sens une légère vibration entre mes fesses. Surprise, je regarde monsieur serge qui me sourit. La vibration s'arrête.

« Je vais commencer par la langouste aux am.......... aaaaaaaaaaaaaaaades...... Mon dieu....... »

 

Le serveur me regarde, surpris. Je me mords les lèvres pour étouffer le gémissement qui meurt d'envie de sortir de ma bouche. Cette fois la vibration était bien plus intense.

« La langouste grillée aux amandes très bien mademoiselle, ensuite. »

 

La vibration s'arrête. J'en profite.

« Le tournedos rossiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!! »

 

Je finis ce ''rossini'' dans un long murmure. Je deviens rouge de honte et de plaisir. Le serveur amusé regarde monsieur serge en souriant. Ce dernier lui sourit à son tour, lui faisant un clin d’œil.

« Pour la cuisson du tournedos, que désirez-vous ?

- Saignannnnnnnnnnnnnnttttttttttttttttttttttttt !!! »

 

Ce salopard a une télécommande !!!! Je le déteste !!!! Non  je l'adore !!!!!! Récupérant le menu, les doigts du serveur caressent les miens. Il me regarde perversement en souriant. Puis nous quitte.

« Je crois que tu lui as tapé dans l'œil.

- C'est de votre faute. Vous auriez pu me prévenir tout de même.

- Et où aurait été le plaisir ? Et puis je te l'ai dit qu'il y avait d'autres surprises. Ne me dis pas que tu n'as pas aimé.

- La surprise passée, c'est fort agréaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaable !!!! »

 

Encore une décharge.

« Heureux que cela te plaise. »

 

Nous entamons une petite discussion lorsque d'un coup, il déclenche à nouveau le plug. Je comprends pourquoi en voyant notre serveur arriver avec nos entrées. Je m'agrippe à la nappe et tente de dissimuler mon plaisir.

« K. Tu ne remercie pas le serveur ?

- Mer..... Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. 

- Je vous en prie mademoiselle, tout le plaisir est pour moi.... »

 

Il nous laisse et nous commençons à manger. Monsieur serge a décidé de laisser vibrer au minimum le plug pendant toute l'entrée. Cette vibration ajoute au plaisir culinaire que j'éprouve. Monsieur Serge semble des plus satisfait de la situation. Je m'habitue à la vibration et réussi à en gérer les effets. Une serveuse vient récupérer nos assiettes et très vite le serveur vient nous apporter le plat. Monsieur Serge pousse alors le niveau de vibration et je laisse échapper un grand cri incontrôlé. Tous les clients se tournent étonnés vers notre table et la salle se couvre de murmures. Le serveur me regarde fixement, les yeux pleins d'envie avant de nous quitter.

« Tu lui plais vraiment. Tu as vu comme il bande ?

- J'avoue ne pas avoir eu la présence d'esprit de le regarder. »

 

Il baisse à nouveau l'intensité pour que nous profitions au maximum de nos plats. Au cours de la discussion, Monsieur Serge me demande si le serveur me plait. Je lui réponds qu'il semble charmant, mais que je n'ai pas vraiment fait attention. Ce dernier revient récupérer nos assiettes et je suis étonnée que monsieur Serge n'ait pas déclenché le plug. Peut être s'en est il lassé d'un coup.

« Prendrez-vous un dessert ?

- Moi non, mais Mademoiselle prendra un peu de crème. »

 

Nous le regardons interloqués.

« De la crème ? demande le serveur.

- Ta crème mon garçon. »

 

 L'agrippant par le bras pour plus de confidentialité, il poursuit.

« J'ai très envie qu'elle te suce.

- Intéressant, mais en a t elle envie ?

- Mais elle n'a pas le choix. »

 

Je reste coite de stupeur. Comment ose-t-il ?

« Rejoins-nous dans cinq5 minutes dans les toilettes. »

 

Il me regarde encore.

« Très bien, alors à dans cinq minutes.

- Allons-y mademoiselle K. A toi de jouer. »

 

Je le regarde en colère. Comment ose t il me faire ça. Mais je ne peux qu'obéir.

Je me dirige alors vers les toilettes sous les yeux des personnes attablées. J'entre dans ces luxueuses latrines. Très vite le serveur me rejoint. Il se serre contre moi.

« Tu as l'air d'une sacrée petite salope toi. Et ton mec, un vieux cochon, pour te laisser sucer un autre homme. Tu en as vraiment envie ?

- Oui, j'ai envie de lui faire plaisir. »

 

Monsieur Serge entre alors dans les toilettes.

« Je ne savais pas que vous alliez regarder.

- Bien sûr que si, jeune homme. Je ne laisse pas une telle œuvre d'art entre les mains de n'importe qui sans surveillance. Je ne veux surtout pas qu'il lui arrive quoi que ce soit. »

 

Je lui souris, reconnaissante de ne pas me laisser seule avec cet inconnu. Il me demande de m'assoir sur le petit fauteuil pour être plus à l'aise et demande au serveur de sortir son sexe. Il s'approche de moi tenant son sexe en main. Je le saisis et commence à le caresser. Déjà légèrement tendu, il prend très vite toute sa vigueur et une très belle taille.

 

Ma langue se pose sur le gland et je commence à l'y faire tourner. D'abord par de grands cercles qui se font plus précis à mesure qu'ils se concentrent sur le méat. Je le titille du bout de la langue. Doucement mes lèvres se posent sur le gland et le le caresse doucement comme on le fait d'une sucette. Je le prends ensuite en bouche et fais tourner ma langue à l'intérieur de ma bouche.

« Hummm qu'est ce qu'elle suce bien cette chienne !!!!!

- Je vous interdis de l'appeler ainsi. Taisez-vous »

 

Lentement, ma bouche se fait plus entreprenante et je fais disparaître petit à petit son sexe à l'intérieur. Le pressant de mes lèvres quand il entre, le caressant de mes dents lorsqu'il en sort. Je garde toujours le gland en bouche mais avale son sexe de plus en plus loin à chaque fois. Il est aux anges. Ses mains se posent sur ma tête mais très vite monsieur Serge le lui interdit. Il croise alors ses doigts derrière sa nuque et se laisse faire.

 

Au bout de quelques minutes de ce traitement, n'y tenant plus, il décharge son foutre chaud au fond de ma gorge dans un râle de plaisir sonore. Je me demande si toute la salle n'a pas profiter de ce cri rauque. Il se retire de ma bouche, le sexe encore tendu. J'avale la totalité de son offrande.

« C’est parfait Mademoiselle K. Très belle prestation. Marc avait raison, tu es une suceuse hors paire.

- Je confirme, surenchérit le serveur.

- Je ne vous ai pas sonné, vous, retournez servir vos clients et laissez nous. »

 

Il reboutonne son pantalon et nous quitte penaud, la queue entre les jambes. Monsieur Serge me tend la main pour que je me relève, et tente de m'embrasser sur la joue. Je tourne la tête, et à sa grande surprise, lui offre mes lèvres. Je lui roule une pelle magistrale, ma bouche encore souillée du sperme du serveur. Surpris, il ne peut qu'accepter ce baiser. Après tout, puisqu'il m'a obligée à sucer cet homme, autant qu'il en profite lui aussi.

« Garce, tu vas me le payer, » me dit-il en souriant.

 

Il déclenche le plug à sa puissance maximale. Sous ce plaisir soudain, mes jambes défaillent et je manque de m'écrouler. Monsieur Serge me soutient en m'enlaçant dans ses bras.

Nous sortons des toilettes, Monsieur Serge paie la note et glisse subrepticement un billet dans la main du serveur. Nous montons dans la voiture et retournons à la maison. J'avoue que cette petite sortie m'a beaucoup plus. Sur le chemin, je retire le plug, me blottis contre Monsieur Serge et m'endors.

 

 A suivre....

Par Miss K. - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : plaisirs SM
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