Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
---Correspondances de Venise---
Après un voyage de cinq jours, je suis enfin arrivée à Venise où je me repose, mon Ami, des fatigues de la route, vous vous en doutez,
autant que des assauts répétés de notre cocher, tant au long de la route où nous étions sensés nous reposer, qu’en les auberges d’étape où ce bougre m’a copieusement honorée de bien variées
façons… Je dois dire que j’ai eu tout mon comptant pour me bien apaiser et comme j’ai pensé à vous, mon Cher Epoux, au cours de ces élans un peu frustres, mais terriblement efficaces qui m’ont
laissée brisée ; aussi, dormais-je encore tout mon soûl quand l’on me réveillait à l’aurore, pour le départ…
Le bougre de fouteur aux satanés assauts m’a prise et reprise, au trot comme au galop et bien avant d’avoir atteint même Venise, je me
trouvais sans vie, hagarde et toujours prise par ce mûr rustaud qui m’avait là conquise, me donnant tous plaisirs au long de notre route… Et bien qu’il se voulut malgré tout prévenant, le bougre
me besognant avait tout argument pour me bien circonvenir, allant me séduisant par moultes attentions, là quérant quelques fleurs en quelque champ, puis s’allant me troussant aussitôt en
vainqueur, le bougre bien monté et toujours en raideur quand montrais un mollet ou retendais un bas, l’oeil toujours à l’affût, le vit loin d’être bas recherchant mes ardeurs… Bref, je fus
honorée des plus folles façons, votre femme là fut l’objet de ces passions en carrosse, en un champ ou au fond d’une auberge, je goutai de la verge de notre grand polisson !
Cet homme déjà mûr a là mille façons de bien ici satisfaire les vices d’une Dame, pourvu qu’on sut lui plaire et souffler sur ses
flammes… Je n’y avais point songé avant, mais je crois que le bougre pourrait en quelque affaire de fesses en nos salons faire belle impression à Marquises diablesses relevant cotillons… Il faut
que l’on y songe, mon bel Amant d’époux et qu’on invite un jour en nos chères réunions, ce beau monteur d’amour qui baisa votre Dame… Nous en reparlerons quand serai dans vos bras.
A présent, ce « Casanova » me laisse un peu en paix et fait plutôt sa cour auprès des accortes servantes de mon couple d’Amis ; les
plaisirs que partage avec ces Amants passionnés suffisent amplement à me bien satisfaire et si ici devais faire face également aux appétits gloutons de notre mûr et vert galant cocher, je
serais épuisée, je vous le dis, mon Cher, avant votre arrivée…
Mon Cher, Venise est toujours des plus attrayantes et, le palais où je suis descendue, très accueillant ; l’on y fait bonne chère, les
plaisirs sont nombreux et l’on y côtoie grands personnages de qualité où le jeu, l’amour et les aventures ne manquent point…
En outre, d’accortes et belles servantes, des plus appétissantes, sont là pour satisfaire tous les penchants et vices d’hommes et de
femmes… Et si, comme je l’espère de tout mon cœur, vous venez m’y rejoindre, ce sera un séjour fertile en émotions, plaisirs variés, spectacles, musique, bals masqués et autres
faridondaines de bon aloi…qui sauront, je gage, vous plaire et vous combler…
Je me détends donc, me promène, suis les arcades de la Place Saint-Marc, prend un chocolat au Café Florian, écoute des musiciens… C’est
au cours de l’une de mes promenades et flâneries que j’ai fait la connaissance d’une Dame charmante de haute société, la Marquise Elena di Sorenno, belle femme mûre, la cinquantaine peut-être et
nous nous retrouvons presque chaque jour au Grand Café ; j’y trouve grand plaisir et elle aussi, à échanger nos opinions, goûts, confidences et autres conversations de femmes… J’ai soupé
hier soir avec elle ; elle s’est avérée très empressée, courtoise, charmeuse et attentionnée à mon égard ; une grande et réciproque sympathie s’est donc installée. Au bout de quelques jours, elle
se révéla être une…lesbienne très entreprenante, dont j’ai pu apprécier les attentions toutes particulières, les frôlements, les œillades et les sous-entendus plus que prometteurs, mon
Cher.
Vous me connaissez, mon Ami, j’ai partiellement déjà succombé à ce charme transformé peu à peu en tendresse que je n’aurais su
repousser… Son comportement toutefois en public était des plus discrets, bien que chevaleresque - si l’on peut employer cette expression entre deux Dames se faisant la cour - et ce ne fut qu’en
privé, que je découvris réellement l’amour qu’elle me portait…
Vous connaissez mes penchants pour les caresses féminines et j’ai donc succombé. Je vous conterai donc par le menu, mon bon Ami,
au fil de ce très long courrier, tous les émois et débordements érotiques, autant que sensuels que j’ai pu savourer… C’est votre faute aussi, pourquoi ne venez-vous pas me retrouver – nous
retrouver – vous y prendriez plaisir !!
Un pâle soleil trônait sur la nappe ; après les agapes s’installait l’Amour… Un verre de vin à la main, le Marquis Ottavio di Sorenno
contemplait la Marquise, son épouse, en entretien amoureux avec votre Aimée qui, déjà, s’abandonnait en ce feutré salon entre les bras de la dive Marchessa… Elles semblaient très éprises et
gentement, se gouinouchaient sur une longue bergère au velours rouge…et vous savez, Mon très Cher, combien je puis être sensible également au(x) charme(s) féminins ( !!). Je ne puis m’empêcher de
vous retranscrire ici, sous forme de poème, un texte relatant vos émotions face à deux Dames en caresses et que vous m’aviez écrit à l’issue de mes amours avec une autre de ces « pécheresses
», relations qui vous troublaient tant, Armand, mon Bel Amour… Voici :
De l'émotion de voir deux Dames en caresses...
Je ne sais point de plus
Charmante et douce vue
Que celle de deux déesses
Se couvrant de caresses,
Se livrant ingénues
Aux plus folles ivresses !
Qu'elles soient nues ou vêtues -
Si le désir les presse ! -
Elles vous habituent
A bien les contempler;
Ici, ce sont deux seins
Et là encor deux fesses,
Par deux multipliés,
Si bien qu'on ne sait plus
A telle ou telle caresse,
Il nous faut nous livrer...
L'on voit deux bas tirés,
Des jarretelles tendues,
Sous des angles divers -
Je devrais dire rondeurs ! -
L'on voit là de perverses
Et douces caresseuses;
Pourrait-on dire "vicieuses" ?
Jusqu'à ce que l'averse
De nos sens en rosée
Se plaise à déverser
Son trop plein de tendresse,
Jusqu'à bien arroser
Ici les deux diablesses !
Je ne sais pas de plus
Charmantes et douces ivresses
Que de voir là deux Dames,
Deux Dames en caresses !
Et si l'on n'en puis plus
Et que chaleur nous berce,
L'on épuisera sa vue
Et même tout le reste (!)
A les bien contempler,
Ne sachant trop ma foi
A quel sein nous vouer
Ou bien à quelle fesse !!
Féminines à souhait
Et belles pécheresses,
Elles dépassent nos voeux,
Nous jouons les "branlequeux"
Et plus qu'il ne paraisse,
Que l'on soit jeune ou vieux,
L'on va et se redresse
Au long de quelque épieu
Que ces Dames en tendresse
Nous poussent à cajoler...
Je ne sais pas de plus
Fréquente et douce ivresse
Qu'ici de contempler
Deux Dames en caresses...
« A Dame Françoise de Coubressac »,
Armand, son Marquis de Chair…
Plus tard, nous nous retrouvâmes en trio, le Marquis Ottavio nous ayant rejointes et nous avons ainsi passé notre première nuit
ensemble : un trio des plus coquin, je vous l’assure… Que ne venez-vous donc, Bel Ami, nous rejoindre !! L’on vous attend… Nous avons parlé de vous, mon Cher et la Marquise et le Marquis brûlent
d’envie de vous connaître…
Je leur ai dit que vous alliez très vraisemblablement nous rejoindre, sans doute pour le Carnaval et ai fait même allusion à nos goûts
communs en Amour pour les partages sensuels et échanges de qualité. Ils m’ont dit être ravis et nous vous attendons donc, mon très Cher pour le Carnaval et ses folies. Entretemps, je les
aime, ils m’aiment et m’épuisent de bien gente façon ! Mais quand vous viendrez nous rejoindre, ce sera avec grand plaisir, vous vous en doutez, que je retrouverai vos étreintes et votre bien
douce queue en mes petits nids d’amour, bien que je n’aie point à me plaindre des charmantes ardeurs de mon cher couple d’Amants, je suis comblée en vérité, mais le serai encore plus, mon
Ami, lorsque vous partagerez avec moi ces folies et que je vous verrai heureux entre les bras de la dive Marquise italienne qui saura, elle aussi, vous aimer…
Je prendrai mon plaisir devant vous avec le Marquis et vous m’en donnerez en retour par vos accouplements avec cette belle et mûre Dame
; nous partagerons tout, mon bel Ami d’époux, ah, comme je vous veux ici, très vite ! Vous le verrez, Elena est une lesbienne délicieuse, encore très belle, des yeux bruns magnifiques cernés de
ses plaisirs, une chevelure de jais, une taille bien prise et des jambes bellement jarretées de noirs ou de rouges bas… Ses baisers ont un goût de soleil, elle est douce et vicieuse, inventive,
une merveille d’Amante avec l’homme comme avec la Dame…Tout ceci nous réserve de bien belles surprises et de bien doux et chauds émois. A chaque nouvelle union et rencontre dans notre vie de
couple, je découvre des passions différentes et vous savez, mon Cher Armand, combien nous avons déjà tous deux d’expérience en ce domaine, n’est-il pas vrai ?!
J’aime cette femme délicieuse et vous n’ignorez pas combien j’aime aussi à être gouinée par une telle tribade assumant là son beau rôle
d’Amant(e), masculine ce qu’il faut, mais féminine aussi envers l’Homme, vous le verrez si, comme je l’espère de tout cœur et de toute ma chair, vous nous rejoignez.
Laissez-moi à présent vous narrer une petite aventure qui ne manque point de piquant, jugez-en plutôt :
Le jeune neveu de mes Amis, un beau gentilhomme et de belle tenue, s’est attaché à me faire la cour –oui, mon Cher !– et de
façon pressante puisque, profitant que nous étions seuls à converser, il me serra de si près, que j’en eus des bouffées et me laissai aborder sans grande résistance…
Il fut entreprenant, si bien qu’au bout d’un court instant, je fus troussée, culotte ici forcée et qu’un pâle et long médius me
troulina l’anus de bien gente manière, ce qui, vous le savez, Armand n’est pas pour me déplaire, me procurant de bien douces sensations ; à la fin donc, il m’excita et appela d’autres effets…
C’était un « bel enfant » de dix-sept ans à peine, dont je sentais l’haleine s’activer dans mon dos, ce neveu de mes hôtes, efféminé et fin de traits, cherchant quelque plaisir à troubler
une Dame… Le jeune vénitien à demi-dénudé s’allait bien de la main en mon petit culet, branlant de l’autre main un vit de bonne taille pour un jeune enfantin ! Je me laissai aller et tendis le
derrière à ce jeune impudent ayant ainsi osé de telles privautés sur la noble invitée de ses oncle et tante ; sans doute avait-il dû gentement espionner les jours auparavant notre beau triolet en
belles positions…
Je n’en sus rien, mon Cher, comme vous vous en douterez. Le doigt profondément en petite tanière, s’agitait, se cabrait, menait un
train d’enfer, comme si l’on m’eût sodomisée ! J’agitai le fessier, gémissant doucement, allant même encourageant ces bien osées manières et le jeune bougre s’enhardissant, là bientôt de me
faire, languines en le séant de la pointe de vipère d’une langue fluette, mais combien efficace ! Si l’on nous eût surpris en tels agissements, l’on nous eût vite rejoints, je le crois
bien, mon Cher… Le branle de sa main effleurait mon derrière, tandis que l’autre main, du médius et de l’index, se livrait sans complexe à culine bataille… J’étais là possédée, l’on empoigna ma
taille et plutôt bien troussée, l’on glissa par la faille de ma culotte brodée un vit de bonne taille, trépident à souhait, gros, gonflé qu’on tenta d’infiltrer en mon petit
fossé…
Le jeune Aristocrate avait bien du toupet, mais dans l’état où j’étais et où le « jeune drôle » m’avait mise, autant là qu’il me
mette sa belle bite hardie ; de fait, il la mouilla d’un filet de salive et vite m’enfourcha, sa queue fut bien active, longuement elle glissa en mon petit conduit où elle s’agita, lâchant sa
lave chaude, ma foi, presque aussitôt (il n’avait su se retenir « mon jeunot » !). Il poussa dans mes reins, il devait être long, il prit mes intestins, jutant une seconde fois en votre
épouse aimée ! Il murmura soudain d’une voix étranglée : « Valentino, Valentino ! », puis, plus rien… Je sus là par la suite que ce Valentino était un bon Ami de mon « petit jeunot » et cela
confirma les goûts particuliers de ce bel Adonis aux penchants singuliers…
Quoi qu’il en fut, je fus gentement prise en cul (et uniquement !) par mon jeune et occasionnel Amant, dont je n’eus point raison de me
plaindre, puisque moi-même goûte fort ces plaisirs, comme vous le savez… Ainsi donc, il donna, par deux fois, de son long goupillon en mon cul, défoutant sans retenue en mon petit envers
qui en fut tout mouillé et garda de sa jeune chair la visqueuse rosée… Et ce beau florentin repartit en carrosse dès le lendemain pour Florence où quelque affaire ou « petit ami » l’appelaient
sans tarder. J’en garde néanmoins un bien vibrant souvenir.
Nos bonnes relations avec ses oncle et tante furent toujours surprenantes et je me fis l’Amante, ma foi, ici, des deux, répondant à
leurs attentes de mon mieux… Un couple de grands Amoureux aux joutes ardentes qui me laissent à chaque fois pantelante, frémissante, toute prête à recommencer ! Mes Amis ont, je crois,
prévu à votre attention quelque orgie masquée en leurs salons à votre attention, voulant ainsi déjà vous gâter, mon bel Armand…et cela devrait être là de beaux partages en prévision… Je suis
toute imprégnée de la Dame de ce dive Ami, autant que de lui et les sens font le reste… Nous ne cessons de caresses et de plaisirs les plus fols !
Les hautes fenêtres donnant sur le Grand Canal voyaient peu à peu le jour s’étirer ; une pâle brume déjà s’en venait au ras de la
lagune… Sur une large couche aux longs draps de satin, votre épouse, mon Cher, s’adonnait au plaisir se laissant pénétrer d’une ardente façon par le vit impétueux d’un Ottavio bandant de toutes
sa rouge et belle chair ; quelle mise en cul, mon Cher, quelle sodomie singulière à laquelle se livrait là le noble enculeur ! Il était bon faiseur, me frottinant tantôt l’anus d’une caressante
manière, tantôt m’enfilouchant de façon cavalière et prise jusqu’aux couilles, je hurlais de plaisir recevant les assauts de cette trique fière qui besognait mon petit cul…
Tout aussitôt, mon Cher, quand il eut déchargé, la Marquise de me faire quelque clystère bien mené, d’une longue canule à l’ivoire
patiné, reprenant du service en mon petit culinet ; et, chevauchée sans discontinuer par ma belle cavalière, je me retrouvais ainsi à nouveau enculée, recevant prestement quelque foutre de miel
et de lait qui apaisaient mes intestins… Le Marquis, sans perdre un instant, me donnant à sucer sa longue et bandante chair encore maculée de son foutre et de mes humeurs culières !
Quel festin, mon Ami ! Quels parfums ! Vous me savez gourmande de ces intimes sèves et je ne m’en privai point, goulichant, lichant,
sucinant de langue et de lèvres ce beau vit décalotté, Cyclope convulsé… En mon derrière, la Marquise menait grand tapage, m’enculant davantage à chaque poussée, une démente chevauchée
pendant laquelle, elle me pinçait les fesses, hagarde, haletante, aux propos bien osés…
Elle me claquait les hanches, forniquant de plus belle, un vrai chevaucheur masculin, donnant des coups de reins, le souffle rauque et
je sentais sur mon dos, ses petits seins dressés, contre moi écrasés, elle me mordait le cou, me foutant sans arrêt en déchaînée lesbienne me tenant sous sa coupe… Un nouveau jet de liquide
chaud inonda mes entrailles, elle avait appuyé sur les couilles rebondies de l’appareil qui libérait ainsi son foutre…je fus un peu apaisée, lubrifiée et lui donnai un ultime coup de cul, ce qui
eut pour effet de m’enviter un peu plus sur sa bite de belle enfouteuse !
Elle baisa ma nuque, me mordit une oreille, je jouis encore… Le Marquis en l’instant défouta en ma bouche et je bus sa semence qui
glissa dans ma gorge… Vous m’auriez vue ainsi, mon bel Armand, que vous auriez eu envie, j’en suis certaine, de me foutre à votre tour en cul et bien profondément… Venez, venez, mon Cher, mon bel
époux d’Amant, que l’on goûte à votre jus que l’on sait bien brûlant et visqueux à souhait !! Je vous veux, m’entendez, je désire votre queue, elle me manque, en con comme en cul, je la veux, je
délire, je suis folle de plaisirs, de luxure, je vous mange, vous aspire, vous décalotte l’épieu, vous boursine les couilles de mes longs doigts fiévreux, n’en pouvant plus de vous
attendre…
Vous avez là, mon Cher et tendre, un aperçu de ce que votre Françoise vit entre les bras de ses Amis…Venez, venez, je vous en prie, le
Carnaval nous attend et ses douces folies vous pressent déjà sur mon sein, je vous sens, ma plume se raidit, crache son foutre encré sur le papier que vous lirez, juste un peu de ma cyprine dont
je vais signer cette lettrine enflammée… Je vous la fais porter de suite…qu’elle court vite vers vous…et la lisez…
Nous avons ce soir quelque souper galant peut-être en compagnie de quelques autres femmes, amies de la Marquise…je ne sais…ce sera la
surprise…la chair se libérant dans les bras d’inconnues…
Je vous embrasse, mon Cher et vous tiens enlacé, les plaisirs de la chair sont mes seuls péchés, je vais m’y adonner et vous les
conterai… A très bientôt peut-être… je le veux, je le souhaite, vous trouverez, sur cette lettre, de Venise le cachet…
Votre épouse adorée,
Françoise de Coubressac
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