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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

J'ai toujours aimé le cirque et par chance, il en vient encore dans ma ville, au moins deux par an.
Quand j'étais enfant, aller au cirque était une récompense donc j'attendais de voir les affiches annonçant la date de passage et, par le plus grand des hasards, je devenais le plus « gentil » garçon du monde !


Habitant une grande ville, les cirques restaient une dizaine de jours, mes parents ne m'emmenaient au spectacle qu'une fois, mais j'avais la possibilité d'aller voir la ménagerie tous les jours, ce dont je ne me privais pas à la sortie de l'école.

J'étais fasciné par ce monde si particulier, adolescent j'avais compris qu'en allant voir la ménagerie, cela me permettait aussi de voir les coulisses du cirque.
La ménagerie proprement dite m'intéressait moins que tout ce qui gravitait autour, je me souviens m'être glissé sous le chapiteau pour voir les artistes répéter, personne ne venant me demander ce que je faisais là.

Les répétitions n'avaient rien à voir avec le spectacle, les artistes se parlaient normalement et pas toujours en Français, les tenues n'étaient pas les mêmes non plus, exit les costumes de scène chatoyants et bigarrés, chacun faisait son travail dans une partie de la piste, du « ring », comme disent les artistes.

Une année, la plus jeune sœur de ma mère est venue vivre chez nous durant un mois, une série d'examens médicaux l'obligeant à se rendre au CHU tous les trois jours.
Elle avait vingt ans, j'en avais presque dix-neuf, nous nous entendions très bien sur tous les plans, habitant la campagne, elle ne rêvait que d'une chose, venir vivre « à la ville », comme elle disait.


Pendant son séjour, un grand cirque est resté une dizaine de jours, je l'ai bassinée pour qu'elle m'accompagne visiter la ménagerie. Ne comprenant pas que je veuille y aller tous les jours, j'ai fini par la convaincre qu'il y avait d'autres choses à voir. Je savais, pour l'avoir déjà vu, que les artistes s'entraînaient ou mettaient au point de nouveaux numéros, s'il n'y avait pas matinée. Aucune surveillance ne s'exerçant autour du chapiteau, il nous était facile de nous glisser rapidement par une ouverture.


Un après midi, nous avons eu la chance de pouvoir assister à une répétition équestre, une femme menait six chevaux blancs splendides. Cette jeune femme d'une grande beauté, faisait évoluer les chevaux avec une grande cravache et un fouet qu'elle faisait claquer au dessus de leurs têtes, sans les toucher bien sur.


La répétition terminée, un lad s'est occupé de rentrer les chevaux, la dresseuse s'attardant avec une trapéziste qui venait de terminer son entraînement. Avant de sortir du chapiteau, elle nous repère dans les gradins et nous interpelle en Français avec un accent à couper au couteau et sur un ton pas très amical.
« Le spectacle vous a plu ? »

Nous étions scotchés sur nos bancs par la façon dont elle venait de nous parler, en infraction il m'est venu à l'idée qu'on allait nous foutre dehors mais personne n'est venu nous dire de partir. Certainement émue par notre désarroi, s'avançant vers nous un sourire aux lèvres, elle nous invite à la suivre. Ma cousine s'est levée la première, j'étais fasciné par cette femme qui me tendait la main pour m'aider à descendre.
Saisissant la main qu'elle me tendait, la dernière marche descendue je me suis retrouvé plaqué contre sa hanche.


Elle officiait en tenue d'écuyère, pantalon de cheval, bottes et redingote sur un chemisier à volants et chapeau claque. Elle me tenait la main, je ne l'ai pas lâchée et nous sommes sortis du chapiteau. Je sentais son parfum qui se mêlait à l'odeur si caractéristique des chevaux.
Nous avons traversé la zone ménagerie, sommes passés entre des camions pour arriver aux caravanes.


La femme ne disait pas un mot, ma cousine m'interrogeait du regard, je lui répondais en haussant les épaules. Nous entrions dans le monde des gens du cirque, une cité cosmopolite grouillante de vie, les gens s'interpellaient dans toutes les langues, riaient par ci, chantaient par là, quelques jeunes enfants jouaient à imiter leurs parents.
J'étais heureux et inquiet à la fois, je ne comprenais pas ce que nous venions faire en ces lieux, d'autant que notre guide ne disait rien, se contenant de répondre de la main aux saluts qu'on lui adressait.


Ma cousine devait être dans mon cas, je la sentais tendue et nerveuse, regardant sa montre d'un geste saccadé du bras. En croisant mon regard elle tape sur sa montre pour me faire comprendre qu'il est l'heure que nous partions. Nous arrivons à la caravane de notre écuyère qui m'invite à entrer, ma cousine restant en bas des marches.
L'extérieur de ce mobile-home est austère, mais l'intérieur est chaleureux et bien agencé. Elle me regarde en souriant et prend sur une étagère une photo d'elle avec ses chevaux et la dédicace.
« Comment t'appelles tu petit ?
- Dorian madame...
- Mais c'est un prénom d'artiste de cirque ça ! Tu as aimé mon spectacle ?
- Oh oui madame...
- C'est ta sœur ?
- Non madame, ma cousine...
- Tu aimes les chevaux ?
- Oui madame, beaucoup...
- Je suis Carla, dans le monde du cirque tout le monde s'appelle par son prénom et se tutoie... Tu peux revenir demain ?
- Oh oui !
- Alors je te montrerai ma troupe, ce sont des Lipizzans fabuleux... Demain, c'est Jeudi vient de bonne heure, vers deux heures ça ira ?
- Oui Carla... »

J'avais le cœur qui battait la chamade, Cécile, ma cousine s'impatientait devant la caravane, je lui ai montré ma dédicace.
« Tu vois, elle l'a faite pour moi ! »

Nous sommes rentrés à la maison, je ne lui ai rien dit pour le lendemain mais il allait falloir que je la joue fine pour pouvoir partir si tôt et sans elle. Je me suis bien débrouillé, ma mère ne s'y est pas opposée, j'ai du battre le record du monde de course à pied pour rejoindre le cirque.


Devant les caisses, je me suis aperçu que je n'avais pas un sou pour payer l'entrée de la ménagerie, j'ai eu beau dire au contrôleur que je venais voir Carla, il ne me croyait pas.
Je trépignais d'impatience, devant mon insistance il est allé voir à la caisse, la femme a passé un coup de fil, en revenant il était tout sucre et m'a laissé entrer en me saluant.
J'ai filé directement à la caravane dont la porte était entrouverte, j'entendais Carla fredonner, j'ai frappé trois petits coups brefs sur un carreau.
« Entrez, c'est ouvert... Ah c'est toi Dorian... Assieds-toi, je m'habille... Si tu veux boire, il y à du coca dans le frigo, les verres sont sur la table. »

Elle était nue, mais je n'ai eu le temps de voir ses fesses que très furtivement avant qu'elle entre dans sa chambre.
Cette vue m'avait émoustillé, je me suis servi un demi verre en l'attendant.
« C'est bien que tu sois venu... Aujourd'hui je ne travaille pas, il faut laisser les chevaux se reposer un peu... Nous irons les voir plus tard... »

J'avais une autre personne assise devant moi, habillée en tenue de ville, peu maquillée, elle me regardait en souriant.
« Alors comme ça tu aimes les chevaux ?
- Oui Carla, j'aimerais même faire votre... ton métier...
- Dresseur de chevaux ce n'est pas un métier Dorian, c'est une vocation et une passion. Mon grand père l'était, mon père l'était et je le suis devenu naturellement...
- Que dois-je faire alors ?
- Faire des études d'abord, puis te diriger vers les filières spécialisées, par la suite tu pourras opter pour ce qui te plaira le mieux. Le cirque c'est un autre monde Dorian, nous sommes des artistes... »

Je gobais ses paroles, sans pouvoir détacher mon regard de l'opulente poitrine qui gonflait son chemisier tendu à craquer. J'avais une main sur la table sur laquelle s'est posée une des sienne. Ce contact m'a fait frissonner en me provoquant la chair de poule.
« Et bien dit donc, tu es sensible !
-C'est que je...
-Je 'quoi ?
- Je te trouve très belle Carla...
- Dis-donc Dorian, c'est pour mes chevaux ou pour moi que tu es venu ?
- Les deux Carla... J'ai rêvé de toi cette nuit...
- Alors toi, tu ne perds pas le nord ! Mais rassure-toi j'aime ta franchise. Je n'ai jamais eu d'enfant et malheureusement je n'en aurais pas, mais j'aurais aimé avoir un fils. Trêve se sensiblerie, allons voir les chevaux... »

Elle m'a présenté un à un les chevaux, les six juments devrais-je dire et le seul mâle, nommé septième.
« Tu vois, ce cheval travaille seul, je ne peux pas le faire travailler avec les six juments, tu comprends pourquoi...
- Non...
- Dorian, c'est un male entier. Il ne peut pas travailler avec les juments si l'une d'elles ou plusieurs étaient en chaleur...
- Ca veut dire quoi « entier » ?
- Qu'il n'a pas été castré... Qu'il peut se reproduire, septième est un étalon... Castré ce serait un « Hongre »... Tu as déjà entendu ce mot ?
- Oui, dans les commentaires des courses hippiques...
- Tu as tout compris... Un cheval en présence d'une jument en chaleur peut s'exciter et développer son membre, tu vois le tableau dans le ring... Tu as déjà vu un cheval en érection ?
- Oh oui, plusieurs fois. Je vais en vacances chez mes grands parents à la campagne. J'ai même assisté à une saillie il y a trois ans...

- Ah bon ?
- Un après midi, dans un pré, un cheval est monté sur une jument, je passais juste au bon moment...
- Comment as-tu dit ?
- Je passais juste au bon moment...
- Tu as raison, c'est un moment merveilleux qui dure trop peu de temps malheureusement. Raconte-moi, ça t'a fait quelque chose ?
- Pas vraiment... Enfin si, mais j'étais avec ma cousine et j'ai du me contrôler...
- Te contrôler ?
- Oui... ça m'avait excité et j'ai senti mon sexe devenir tout dur...
- Tu as quel âge Dorian ?
- J’aurais dix-neuf ans dans quinze jours...
- Donc tu avais seize ans... Dorian, est ce que tu as... comment dire... déjà eu des rapports sexuels avec une fille ?
- J'ai une petite copine, mais nous ne faisons rien tous les deux, elle ne veut pas...
- Elle ne veut pas quoi ?
- Elle ne veut rien faire, même pas me toucher !
- Et toi, tu la touches ?
- Oh non ! On se promène main dans la main, quelques petits bisous et c'est tout !
- De ton côté, tu as déjà eu des relations sexuelles avec une fille ?
- Deux fois... Avec une amie de ma mère...
- Avec une amie de ta mère ? Mais c'est incroyable ça...
- Tu sais, je n'ai jamais été dupe...
- Comment cela, pas dupe ?
- Parce que je sais que tout a été manigancé par ma mère...
- Ta mère aurait commandité ton dépucelage par une de ses amies ?
- Je les ai entendues en parler, à leur insu, quelques jours après, son amie faisait même des commentaires sur ma prestation !
- Et alors, ces commentaires ?
- Carla, ça me gêne...
- Dorian, nous ne faisons que parler...
- Elle disait avoir passée des moments merveilleux, et qu'elle n'avait jamais joui comme ça !
- Et bien mon cochon, tu dois être fier de toi, non ?
- Oh oui...
- Et vous avez recommencé si j'ai bien compris...
- La semaine d'après. Cette fois, c'est moi qui l'ai provoqué, mais ça tombait mal...
- Pourquoi ?
- Elle avait ses règles...
- Et alors ?
- Alors nous avons fait comme la première fois sauf que je ne l'ai pas prise par devant...
- Evidement, il y avait un bouchon !
- Je ne savais pas qu'on pouvait faire ça...
- Et bien maintenant tu le sais... »

Tout en parlant, elle passe sa main sur la croupe de Septième qui balaye ses fesses avec sa queue, à chaque caresse la peau frissonne. Légèrement sur le côté, je peux voir la fabuleuse paire de couilles noires lorsque la queue s'écarte.


Carla ne me regarde plus, ses yeux sont posés sur la croupe et sa main comme attirée par le dessous de la queue, il m'a même semblé la voir toucher furtivement la paire de couilles.


Se ressaisissant elle me prend par le bras et nous quittons le box de Septième.
J'ai le temps de me retourner pour voir le sexe se développer sans devenir raide, un grand bout noir et flasque pend sous son ventre. Carla se retourne aussi et nous voyons septième se mettre à pisser une urine trouble et odorante.


La main de Carla cherche la mienne et la serre très fort, sa poitrine se soulève plus vite, sa lèvre supérieure se retrousse un peu, deux gouttes de sueur perlent sous son nez.
Elle se retourne vers moi en me fixant dans les yeux, sa main libre se pose sur mon sexe raide et le masse un peu.
« Toi aussi ça t'excite de voir la pine d'un cheval, hein ?
- Oui Carla...
- Tu aimerais le voir bander vraiment ?
- Oh oui...
- Alors fais le guet, s'il vient quelqu'un tu tousses... »

Elle s'avance vers septième dont le sexe et rentré, sa main va directement sous la queue et descend sur les bourses qu'elle empoigne à pleine main. Après un petit malaxage, la pine se déploie lentement d'abord puis devient raide et remonte pour taper sur le ventre.
Carla se recule pour mieux voir, je suis juste derrière elle.


De ses mains elle fait remonter sa jupe à mi cuisses, puis sa main droite se glisse entre ses cuisses, l'autre tenant la jupe relevée. Elle se masturbe jusqu'à ce que le sexe du cheval débande et regagne son fourreau, je me suis touché aussi mais en m'arrêtant avant de jouir.
La séance n'a pas duré trois minutes, Carla reste immobile un instant puis en rabaissant sa jupe, elle se tourne vers moi.
« Tu as aimé ? Quelle pine n'est ce pas ? Partons Dorian, on pourrait venir... »

Nous regagnons la caravane comme s'il ne s'était rien passé, je suis étonné par le signe que lui fait une femme qui se contorsionne sur une sorte de tatami le long de sa caravane.
« Carla, la femme dehors, elle t'a fait un signe, ça veut dire quoi ?
- Ca ne veut rien dire de spécial, juste un signe d'amitié. Dorian, tu as vu, je me suis touchée et maintenant, je suis excitée... Et toi, tu bandes ? »

Je me lève pour lui montrer la bosse qui gonfle mon pantalon.
« Si tu veux te masturber, fais le devant moi j'adore ça...
- Carla, je n'ai pas envie de faire ça...
- Tu veux me baiser ?
- Non Carla, te faire l'amour...
- Que tu es mignon ! Dorian, on ne me fait pas l'amour, on me baise ! Je n’en ai rien à foutre des sentiments, je baise pour jouir et accessoirement pour donner du plaisir. Mais avec toi je veux bien faire une exception, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai envie de te sucer... Sors ta queue... »

Je baisse à la fois slip et pantalon, je me déchausse et envoie le tout promener.
« Dorian !
- Oui Carla...
- Ce n'est pas possible... Tu es un monstre !
- Pourquoi ?
- Ta queue... Tu es sur de n'avoir que dix-neuf ans ?
- Oui, j'en suis sur !
- Je crois que je n'en ai jamais vue d'aussi grosse ni d'aussi longue. Je comprends pourquoi l'amie de ta mère faisait des éloges sur toi, et tu l'as prise par derrière, elle à du déguster !
- Non... J'étais aussi bien que devant...
- Et bien, elle doit s'en prendre un max ! Elle fait quoi dans la vie ?
- Infirmière...
- Dorian... Je ne vais pas tourner autour du pot, j'ai envie de baiser avec toi, mais nous allons devoir faire vite, j'ai une réunion importante dans trois quarts d'heure. Essaie de ne pas jouir trop vite quand même, tu vas d'abord me prendre par devant et après tu pourras jouir dans mon cul...
- Carla, je jouis quand je veux...
- Comment ça quand tu veux ?
- Si je veux jouir vite, ça peut se faire en trente secondes, mais si j'ai le temps, il m'arrive de ma masturber pendant une heure sans jouir...
- Si en plus d'avoir une grosse pine tu ne jouis pas, ce n'est pas autour des chevaux que tu dois faire carrière, mais dans le porno ! Et tu n'as baisé que deux fois ?
- Oui Carla...
- Alors ne perdons pas de temps...’

A peine termine-t-elle sa phrase que quelqu'un frappe à la porte.
« Réunion dans dix minutes Carla !
- Merde je me suis trompée... Dorian, s'il te plait, tu vas me prendre vite, je dois jouir sinon je vais être exécrable durant la réunion... »

Elle m'entraîne sur son lit et s'agenouille en relevant sa jupe.
« Vas-y Dorian... bourre moi... »

J'entre d'un coup dans sa chatte inondée et je la pistonne vite, les yeux baissés, je mate son petit trou dans lequel j'enfonce mon pouce.

« Tu veux m'enculer salaud... Essaie mais je ne sais pas si je vais pouvoir te supporter... »

Mon gland posé sur la rosette, je pousse doucement, ma pine est comme avalée et j'entame un pistonnage rapide.
« Oui Dorian, encule-moi... Oh quelle queue ! Je vais jouir... Ne t'arrête pas... »

Son orgasme la prend si brutalement qu'elle se laisse tomber sur le ventre, je reste debout la pine raide, mon gland est un peu maculé.
« Excuse-moi... La salle de bain est derrière toi, je vais devoir y aller mon chou. C'était merveilleux, j'en ai au moins pour deux heures, tu claques la porte en partant... »

Elle s'essuie dans les toilettes, rabaisse sa jupe et part en courant sans même me donner un baiser. Décontenancé, je n'ai même pas envie de me finir, je lave ma bite et me rhabille, avant de partir j'avale un grand verre de coca et je sors.
La contorsionniste est toujours sur son tatami, debout, un pied par terre et l'autre posé sur la caravane en grand écart. En me voyant sortir, elle me fait signe d'approcher sans changer de position.

J'avance au bord du tapis et je me retrouve nez à nez, si je puis dire, avec son entrejambes écartelée dont le slip tendu à rompre, épouse la fente, je pourrais presque compter les poils tant le tissu est plaqué sur son pubis
« Je parie que tu viens de baiser cette salope de Carla... Mais tu bandes encore dis donc... Tu n'aurais pas cinq minutes à m'accorder ?
- Si... »

Elle se remet sur ses deux pieds et roule son tatami qu'elle fourre sous la caravane.
« Suis moi, j'ai quelque chose à te montrer... »

Nous entrons dans sa caravane, copie conforme de celle de Carla, en me prenant par la main elle m'entraîne dans sa chambre.
« J'ai vu que tu regardais ma chatte écartée, ça t'a plu ?
- Oh oui... »

En me regardant dans les yeux, elle enlève son slip qui cache un string, devant mon étonnement elle m'explique le pourquoi de la chose.
« Tu sais, en faisant des mouvements comme ceux que tu m'as vu faire, quelques fois l'entrejambe se décale un peu, il n'est pas question que je montre ma chatte au public ! Moi, ça ne me gênerait pas au contraire, mais je ne suis pas sure que tout le monde apprécierait ! Dis-moi, si tu bandes encore, c'est que tu n'as pas joui, je me trompe ?
- Non, je n'ai pas eu le temps...
- Moi, j'ai le temps... Quelle est ta position préférée ?
- Comme tu veux...
- Alors, je m'agenouille sur le lit, reste debout derrière moi... Allez, déshabille-toi ! »

Deuxième déshabillage, je ne me presse pas en observant sa réaction.
« Oh mon dieu, ce n'est pas vrai ! Mais tu es monté comme un cheval, ma parole !
- Quand même pas...
- Comment le sais-tu, tu as déjà vu un cheval en érection ?
- Une fois, à la campagne... »

Je ne vais pas lui dire que je viens de vois septième bander.
« Tu veux que je te suce ou tu me baises tout de suite ? Oh la vache, je ne pourrais même pas te sucer, » dit-elle en prenant ma pine à pleine main, ses doigts ne se joignent pas... 

Sa chatte n'a rien à voir avec celle de Carla, les lèvres sont serrées son clitoris n'est pas visible.
Je crache dans ma main pour humecter mon gland puis je le pose au milieu de la fente et je pousse doucement, les lèvres s'écartent, mon gland pénètre un peu.
« Vas-y pousse, baise-moi... »

Je pousse doucement, ma queue entre sans problème puis je fais quelques mouvements en m'enfonçant de plus en plus loin.
« Ouah, quelle pine ! Je la sens jusque dans mon utérus... Bourre-moi et fais-moi jouir... »

En la cramponnant aux hanches je la baise vite et fort, sa chatte serrée me provoque de bonnes sensations.
« Je vais jouir ne t'arrête pas... »

Ce n'est pas mon intention, moi aussi j'ai envie de jouir mais avant, je pose mon pouce sur son cul et je l'enfonce.
« Oui, c'est bon, mais tu ne m'encules pas... ça, je le réserve à mon ami... »

J'ai envie de passer outre, je sors ma bite pour la poser sur la rosette.
« Non ! Je t'ai dit que je ne voulais pas... »

Heureusement qu'elle ne voulait pas, c'est elle qui s'est emmanchée en reculant et je me suis enfoncé jusqu'aux couilles d'un seul coup !
« Bon, puisque tu es dedans, bourre-moi le cul... Je voudrais que tu jouisses en même temps que moi... »

Je sentais monter mon orgasme, je ne me suis pas arrêté avant qu'elle jouisse et j'ai déchargé. J'avais l'impression de lui pisser dans le cul tellement je déchargeais, ça n'arrêtait plus !

Je me suis retiré doucement, son cul ne se refermait pas, mon gland était net de souillures, sauf un filet de sperme que j'ai coupé d'un doigt.
Allongée sur le ventre, elle ne bougeait plus, je me suis allongé sur le dos à côté d'elle.
« Et bien mon vieux, tu fais un sacré baiseur ! Cette salope de Carla a le chic pour trouver des gens comme toi... C'est quoi ton prénom ?
- Dorian...
- Moi c'est Olga... Oh, mais tu bandes encore !
- Je n'ai joui qu'une fois...
- Ah bon, parce qu'en plus tu dois jouir plusieurs fois pour débander ?
- Oui...
- Si elle n'était pas à la réunion, je t'aurais présentée une copine... Elle est mariée mais son mari est d'accord pour qu'elle se fasse baiser devant lui...
- Olga, je ne vais pas baiser tout le personnel du cirque quand même !
- Je connais même deux ou trois hommes qui aimeraient bien s'en prendre un bon coup, de ta superbe pine ! Tu as déjà baisé un homme ?
- Non, jamais...
- Carla, tu l'as connue comment ?
- Hier en venant voir la ménagerie, j'étais avec ma cousine et nous avons vu sa répétition avec les chevaux...
- Et tu l'as draguée, comme ça ?
- Non, j'aime les chevaux, nous avons parlé et elle m'a invité à venir voir les siens...
- Donc elle t'a montré Septième...
- Oui...
- Et elle l'a fait bander, je parie ?
- Heu... Non...
- Mon œil, je connais Carla ! Rassures toi, j'y vais aussi voir Septième, de temps en temps, j'aime bien voir cette grande et grosse pine qui lui claque sur le ventre, je fantasme là-dessus de puis longtemps...
- Tu l'as déjà touché ?
- Oui, une fois, mais tu sais, avec septième il faut se méfier, c'est un cheval entier et pas dressé pour ça. Ses réactions peuvent être brutales et dangereuses. Tu es attiré par ce genre de chose ?
- Oui... J'ai déjà eu une érection en voyant une saillie dans un champ...
- Dorian, il va falloir que tu partes mon ami va arriver...
- Il est jaloux ?
- Pas du tout... Mais je n'ai pas envie qu'il voie ta queue, ça le ferait mourir de honte !
- Il en à une petite ?
- Non, une belle pine dont il est très fier d'ailleurs, mais bien moins grosse que la tienne ! Habille-toi et sauve-toi... Dorian, tu revois Carla ?
- Nous n'avons pas eu le temps d'en parler...
- Nous repartons après demain, et demain il y a matinée...
- Alors ce sera une autre fois... Merci Olga...
- C'est à moi de te dire merci. Dorian, tu m'as démoli le cul mais j'aime ça... »

Je sors de l'enceinte du cirque, le contrôleur me salue encore ; comme si de rien n’était…

 

A suivre....

Par Anonyme - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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