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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

  Chapitre IX  

Une nuit à la carte

 

 Une tendre caresse sur ma joue me tire de ma somnolence.

« K., nous sommes arrivés, réveille-toi. »

 

À entendre la voix douce de Monsieur Serge, j'en oublie un instant les raisons de ma présence dans cette voiture... Et dans cette maison.

« Humm, chéri, laisse-moi encore dormir un peu s'il te plait.

- J'aimerais être ton chéri, mais c'est impossible, nous sommes arrivés à la maison, tu ne vas pas dormir dans la voiture. »

 

Je sors de ma torpeur et, reprenant mes esprits, m'excuse de cette petite familiarité.

« Je t'en prie, j'avoue que j'ai bien aimé que tu m'appelles ainsi, même si ce n'était pas volontaire et que ça ne sera jamais le cas. Allez, rentrons »

 

Nous descendons de la voiture et je remarque dans l'allée, trois véhicules stationnés. Que font ces gens ici à cette heure ? Il est presque vingt-trois heures, ce n'est pas une heure pour débarquer chez les gens, surtout quand ils ne sont pas là.

Nous entrons et je découvre dans le salon, Arthur, le neveu de Monsieur Serge et deux autres hommes. Visiblement monsieur serge s'attendait à cette visite puisqu'il les salut et s'excuse du retard.

« Bonsoir messieurs, désolé d'être en retard, mais Mademoiselle K. a eu un petit entretien imprévu avec le serveur du restaurant. Un délicieux entretien d'ailleurs.

- Je t'en prie mon oncle, nous avons pris un verre en vous attendant.

- Vous avez bien fait. Je vois que vous avez même préparé la table. C'est très bien. Nous allons pouvoir commencer.

- Oui, les cartes sont encore froides mais elles sont impatientes de commencer, dit l'un des deux autres hommes en riant.

- Puisque vous allez jouer aux cartes, je crois que je vais vous laisser et aller dormir ?

- Pardon ? Tu plaisantes j'espère. Tu vas nous tenir compagnie. Souviens-toi de ce que je t'ai raconté sur ce collier, Mademoiselle K.

- C'est à dire ?

- Mon grand-père a offert ce collier à ma grand-mère après qu'elle a passé quelques temps attachée à ce fauteuil. Or, toi tu as porté ce collier. Il me semble normal que tu passes, toi aussi sur le fauteuil. Je ne voudrais pas passer outre la tradition. Me comprends-tu ?

- J'en ai bien peur oui, mais je suis fatiguée, j'ai passé une journée éprouvante.

- C'est pour cela que je t'avais demandé de te reposer. Or mademoiselle a décidé de n'en faire qu'à sa tête et de se caresser pendant une heure. Il faut assumer maintenant. Allez, retire cette robe.

- Mais.....

- Il n'y a pas de mais. Enlève la robe et installe-toi sur le fauteuil. »

 

Non sans une certaine réticence, je fais glisser la robe au sol et apparais nue sous les yeux des quatre hommes. Des ''Humm'' s'élèvent.

« Ne vous avais-je pas dis, messieurs qu'elle était magnifique ?

- Si, Serge, mais tu étais loin de la réalité.

- Installe-toi sur le fauteuil. »

 

Je m'assoie sur le siège.

« Non pas comme ça, K. A genoux, les mains sur le dossier. »

 

Je m'exécute et me positionne comme il me le demande. À peine en place, monsieur serge referme les menottes et me voici immobilisée, livrée à la concupiscence de ces 4 hommes. Je me sens extrêmement mal à l'aise dans cette position, leur tournant le dos. Je ne vois pas ce qu'ils font, j'entends leurs rires, leurs mots, leurs échanges. Monsieur serge s'approche.

 

« Ma chère K., nous allons jouer au poker, tu seras à la disposition du vainqueur de chaque main. Il pourra faire ce qu'il veut. Mais ne t'inquiète pas, ils ne feront pas n'importe quoi, rien que tu n'accepterais pas de faire, j'y veillerai. Me fais tu confiance ?

- Oui, monsieur serge. Dis-je après quelques secondes de réflexion.

- Bien, nous allons pouvoir commencer. Outre les mises et le pot, le gagnant de chaque tour aura droit à une récompense en fonction de sa main.

Mademoiselle K. sera à sa disposition pendant quelques minutes. À savoir que la paire autorisera un doigtage vaginal, pour la double paire, il pourra lui doigter l'anus.

Un  brelan, permettra un cunnilingus et une quinte, un anulingus. Pour une couleur ce sera une masturbation et un full, une branlette espagnole. Un carré lui donnera accès à sa bouche, pour une quinte Flush il pourra la prendre par la chatte et pour finir, avec une quinte flush royale il pourra la sodomiser. Ça vous va messieurs ? »

 

Les hummm et les oui témoignent de leur approbation et de leur excitation. Ils semblent prêts et impatients d'en découdre. Je dois bien me rendre moi même à l'évidence, cette description a eu vraiment pour effet de m'exciter et je meurs d'envie qu'ils commencent. Mon seul regret est que je ne puisse ni les voir, puisque je leur tourne le dos, ni caresser mon intimité qui me brûle de désir et de mouille.

 

Les quelques premières mains ne leur permettent pas d'obtenir récompense. Même si je ne peux les voir, je sens poindre leur impatience, la mienne aussi d'ailleurs. Je tortille mes fesses nues. Mes cuisses ouvertes leur donne une vision imprenable de mes lèvres trempées.

« Mademoiselle K. S'impatiente messieurs !!!! Ma chère, je ne pensais pas que cette situation t'exciterait autant. Je suis fier de toi. Allez messieurs, nous ne saurions pas la faire attendre plus longtemps. Un peu de courage.

 

Les mises s'engagent à nouveau et j'entends alors « COULEUR » !!!

« Arthur, vas profiter de ta récompense mon garçon. »

 

Ainsi c'est donc ce cher Arthur qui aura les honneurs de la première récompense. Ce jeune homme d'environ 25 ans n'est pas un apollon mais il ne manque pas d'un certain charme. Svelte, voire même maigrelet, il a un visage émacié et de petites lunettes ronde. Sans se faire prier, il se place devant moi, un grand sourire aux lèvres. Maladroit d'excitation, il dégage tant bien que mal son sexe de son pantalon et l'approche de ma main droite, prisonnière de la menotte qui la retient. Je me saisis de son sexe encore flasque et entame un mouvement de va et vient limité par l'entrave. Rapidement, son membre prend tout son volume et s'avère être de bonne dimension.

 

Même s'il est court, ma main ne peut en faire totalement le tour. Comprenant que ma main ne pourra pas pratiquer une masturbation ample, il commence à donner de grands coups de reins pour aider à une masturbation complète. Je tends mon pouce le long du membre afin qu'il coulisse dessus. Lorsque le frein se trouve sur ma dernière phalange, je redresse mon pouce pour une plus grande sensation. Très vite, Arthur ne peut plus se retenir et macule le sol de sa semence. Même si la situation m'a profondément excité, elle a provoqué une grande frustration. Mon intimité, luisante jusqu'alors, s'est ouverte plus largement et perle de désir.

 

Les 4 autres hommes en sont tout excités et y vont de leurs commentaires. Mêmes s'ils sont maquillés de mots châtiés, le contenu ne fait aucun doute sur la condition dans laquelle je me trouve, c'est à dire, petite chienne au service de ces messieurs. Soufflant de satisfaction, Arthur reprend sa place à table et le jeu reprend. Les deux mains suivantes ne sont pas décisives, et je sens la main de monsieur serge s'aventurer et caresser mes fesses.

« Ne t’impatiente pas K. Ça va venir. J'espère que tu te sens toujours bien et que tu ne fatigues pas trop.

- Je suis si excitée que je ne ressens pas la fatigue, monsieur serge.

- C'est bien, ça va venir.

- CARRE !!!!!!!!! »

 

Ah... Je vais avoir droit à quelque chose... Mais de qui ? Une chaise grince sur le sol.

« À mon tour ! J'ai hâte qu'elle me suce. »

 

Un des deux inconnus s'approche. Il a la cinquantaine, grisonnant, très bel homme, certainement sportif. La masturbation précédente et la perspective de gagner quelque chose pendant toute la phase de jeu, l'ont déjà mis en condition et c'est tendu qu'il arrive devant moi. Son sexe n'est pas aussi imposant que celui d'Arthur. J'avoue même que je suis déçue de sa taille. J'ouvre la bouche et c'est sans précaution qu'il s'y engouffre. Je referme mes lèvres et j'aspire son membre sans difficulté.

 

Ma langue palpite sous son sexe qui va et vient violemment dans ma bouche. Ses mains se posent de chaque côté de mon visage et il commence à prendre ma bouche comme il me prendrait le sexe. Je le laisse faire, son modeste sexe ne risquant pas de m'étouffer. Je ne prends pas réellement de plaisir à cette situation, et j'ai même honte de m'amuser de la petitesse de sa virilité. Quelques minutes de ce traitement lui suffisent pour emplir ma bouche d'un sperme gras et acre. Je n'ai d'autre choix que de l'avaler. Il caresse mes cheveux et retourne s'assoir.

 

À la mène suivante, monsieur serge et Arthur ne peuvent départager leurs brelans. Leurs mains se posent sur mes fesses pour les caresser.  Monsieur serge est le premier à poser sa bouche sur mes lèvres. Il récolte dans un bruit de succion, le liquide secrété par mon envie. Les lèvres chaudes et la langue pulpeuse d'Arthur courent sur la peau de mes fesses. Je tremble de désir et sens la chair de poule m'envahir. La tendresse du traitement que je subis me fait gémir. Arthur caresse la peau de mes fesses de sa bouche, la mordille doucement pendant que la langue de monsieur serge s'enfouit dans ma chatte. Je la sens vriller à l'intérieur, jouer à caresser les parois de mon intimité.

« À ton tour Arthur.

- Oui mon oncle, j'ai très envie de goûter sa chatte. »

 

Si les deux hommes avaient fait preuve d'une certaine douceur jusque là, c'est avec une certaine ardeur qu'Arthur prend possession de ma chatte pendant que monsieur serge agace mon clitoris. Je sens le majeur de monsieur serge tourner sur mon bouton durci d'envie. La bouche d'Arthur aspire sauvagement mes lèvres, s'aventure à les tirer entre ses dents. Je gémis, hurle mon plaisir et finis par inonder le visage d'Arthur d'un orgasme aussi puissant que la frustration que j'ai ressentie depuis le début de cette soirée. Vaincue, je m'affale sur le siège.

« Sa chatte est vraiment délicieuse mon oncle. Et son jus un régal !!! »

 

Il ne s'arrête pas pour autant de me lécher, récoltant les vestiges de mon plaisir. Mes lèvres encore sensible, il est sur le point de provoquer un nouvel orgasme lorsque Monsieur Serge le coupa net dans son élan en l'enjoignant de retourner à sa place.

 

Encore soûlée de plaisir, je n'entends pas les résultats de la main suivante et c'est en sentant l'énormité du membre caressant mes lèvres encore ouvertes que je comprends que le dernier invité a enfin réussi à gagner quelque chose. Il s'avère d'une gentillesse agréable. Lentement son sexe coulisse sur mes lèvres, sans me pénétrer. Le contact m'électrise, je peux imaginer la taille impressionnante de ce sexe qui va me prendre.

 

Je suis à la fois apeurée et excitée de cette pénétration. Passant sous mon ventre, ces doigts viennent jouer sur mon clitoris pour mieux m'ouvrir. L'effet est immédiat et guidant son sexe, il me pénètre tout doucement. Je peux sentir chaque millimètre de son gourdin entrer en moi, écartelant au maximum mon intimité. C'est un véritable délice. Son énorme gland entré, il s'arrête.

 

Mes lèvres sont écartées au maximum et je n'ai qu'une seule envie : qu'il entre plus loin en moi. Je veux donner un coup de rein en arrière, mais ses mains agrippées à mes hanches me l'interdisent. Il reste comme ça quelques secondes puis entame un léger mouvement, juste pour faire entrer et sortir son gland en moi. C'est un véritable supplice mais une jouissance énorme. Peu à peu et très lentement, son membre commence à me pénétrer plus loin. Je me sens soulagée qu'il ait enfin décidé de me prendre vraiment. Il finit par se retrouver entièrement en moi et il s'immobilise au fond de ma chatte.

 

Quel plaisir d'être ainsi remplie! Il reste ainsi en moi. Ses mains jusque là cramponnées à mes hanches se baladent sur mon dos, mes fesses, mes épaules. Il me caresse doucement, dessinant mes courbes. Se contact est si doux et si agréable que je m'abandonne aux sensations qu'il me procure. Il se penche à mon oreille et me demande de bouger. J'obéis et entame un mouvement d'avant en arrière. Je m'empale sur son sexe, d'abord doucement, j'accélère le mouvement et très vite, mes fesses viennent claquer sur son bas ventre. Son sexe est tellement à l'étroit dans son fourreau que je peux sentir chaque nervure de ce membre glisser sur les parois de mon vagin.

 

Ses mains douces caressent mon corps qui frémit. Après quelques minutes, il reprend les choses en mains et, les posant sur mes épaules, il me tire à lui en donnant des coups de reins de plus en plus sauvages. Mon plaisir monte de plus en plus fort en moi et en un instant ses mouvements se sont trouvés facilité par la lubrification de ma cyprine libérée. Il ne lui en fallu pas plus pour qu'en un long râle, il tapisse mon intimité de sa semence. Il se penche à mon oreille une nouvelle fois et me remercie puis il retourne à sa place. Au cours de la nuit, je suce, masturbe, je suis léchée, baisée, mais aucune  quinte flush royale ne sort.

 

Au petit matin, monsieur serge sonne la fin du combat et raccompagne ses trois invités. Il me détache de ce fauteuil, me prend dans ses bras pour me transporter jusqu'à ma chambre. C'est un doux baiser sur mon front qu'il me souhaite un bon repos. Je ne sais l'heure qu'il est à ce moment, mais c'est aux alentours de 14 heures que je reprends conscience.

 

A suivre...

Par Miss K. - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : plaisirs SM
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