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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Juste pour info, ceci est le 600ème publié ici ! Et il s'agit d'une expérience vécue il y a plus de dix ans...

Merci à vous de votre confiance et de toutes vos contributions...

 

 

Comme je l'ai relaté il y a peu de temps, au début des années 90, j'allais souvent le soir avec mon amant du moment, m’exhiber aux yeux des voyeurs très présents dans ce bois situé dans la banlieue de Paris.

J'y prenais un plaisir intense, et j'ai vécu là-bas de sacré bon moment...

 

Mais quelques mois plus tard, je rencontrais l'homme qui devint mon mari. Celui-ci était tout sauf un libertin. Je dus donc mettre un frein à mes activités sexuelles un peu hors-normes. D'ailleurs, notre mariage fut un échec...

 

 Bref, ces épisodes d’exhibition n'avaient jamais quitté ma mémoire, et à la fin des années 90, de passage à Paris, je me décidais à y retourner faire un petit tour. Le seul hic, c'est que j'étais seule... Du coup, je préférais m'abstenir d'y aller le soir, et décidai de m'y rendre en plein après-midi.

 

Nous étions au début du printemps, et je m'habillais donc assez légèrement, vêtue d'une guêpière, d'un porte-jarretelles, de bas et d'un imperméable pour paraître décente dans la voiture. Je mis également dans un petit sac de sex-toys un petit vibromasseur et un gode de bonne longueur, ainsi qu'un paquet de mouchoirs et une bouteille lotion nettoyante.

 

Fébrile, je pris le volant et me dirigeais vers le bois. J’entrai, et allai vers le fond, afin de trouver un endroit fréquenté uniquement par des hommes. Çà et là, il y avait quelques familles. Je me devais à tout prix de les éviter. Mais en allant bien au bout du bois, je ne voyais plus que de rares véhicules éparpillés, et quelques hommes seuls qui rôdaient.

 

Je finis par me décider à prendre une petite allée sur ma droite. Comme beaucoup d'autres, elle était en cul-de-sac. Je garai mon véhicule tout au bout, non sans avoir fait demi-tour auparavant afin d'avoir l'avant vers la route principale, pour pouvoir partir vite si le besoin s'en faisait sentir.

 Dans un petit coin de ma tête, je me disais que j'étais totalement inconsciente de venir seule dans cet endroit...

 

Mes pulsions prenaient le dessus sur ma raison, et j'avais un besoin absolu de sexe pur et brut. Il faut dire que j'étais dans ma pleine période d'hyper sexualité, et il me fallait des doses de sexe d'importantes chaque jour, comme d'autres ont besoin de leur dose de drogue ou d'alcool.

 

Une fois bien garée, je reculais mon siège au maximum, et l’inclinait un peu. J’ouvrais mon imperméable, et commençai à regarder autour de moi. Mon arrivée n'était pas passée inaperçue, car j'avais à peine fini de m'installer, que deux hommes étaient devant ma voiture. Je leur fais un sourire, et il ne leur en aura fallu pas plus pour s'approcher près de la fenêtre. Ils me firent signe d'ouvrir ma vite, mais je refusai. Je voulais encore garder un minimum de sécurité...

 

En les regardant à tour de rôle,  d'une main je me caressais les seins, et de l'autre je massai mon entre jambes. Quasi immédiatement, les deux hommes portèrent leur main sur le la fermeture de leur jean. Je continuai de leur sourire, afin de les encourager à aller plus loin. Je sortis mes seins des bonnets de la guêpière, et je me pinçai un téton. Le premier des hommes très bruns, dézippa son pantalon immédiatement, et sortit une jolie bite courbe,  mais bien durcie.

 

Il ne m'en fallait guère plus pour que mon excitation bien, non pas d'un cran, mais de dix ! Je lâchai mes tétons pour écarter mon string, et offrir à leurs vues ma chatte déjà bien mouillée. J'écartai au maximum mes lèvres intimes, afin de leur montrer le plus possible de ma chatte. De l'autre doigt, je titillai le clito qui n'attendait que ça.

L'autre homme,  un petit Black rablé, imita alors son voisin, et sorti de son pantalon un chibre d'ébène vraiment long, surtout par rapport à la petite taille de son propriétaire. Tous les deux se branlaient frénétiquement, et je regardais, fascinée, leur main aller et venir sur leur que bien raide.

 

Je pris dans mon sac mon plus long gode, et  sans effort tant j’étais trempée, je l'enfonçai  au plus profond de ma grotte.

 

Un coup de toué sur la vitre de la voiture me tira brusquement de ma rêverie éveillée. J'étais tellement absorbée par la vision de mes deux premiers voyeurs, je n'avais pas réalisé que trois autres étaient arrivés de l'autre côté de la voiture. Ils étaient tous les trois aussi, la bite à la main en train de s'astiquer furieusement.

 

J'étais aux anges, en train de m'exhiber à la vue de ces trois voyeurs, qui à leur tour m'offraient le spectacle de leur masturbation intense. … j'avais là tout ce que j'aimais... Je continuai à me baiser moi-même avec le gode, me l'enfonçant aussi profondément que possible, écartant de l'autre main ma chatte, afin que tous profitent de la vue indécente que je leur offrais.

 

Le premier des voyeurs jouit sur le carreau, éclaboussant la vitre de quelques gouttes de sperme gluant. Le voir jouir ainsi déclencha mon propre orgasme, et je criais à gorge déployée mon plaisir, tant mon il était intense. Presqu’aussitôt,  l'un des voyeurs arrivés plus tard a joui aussi, suivi quelques instants plus tard par un quatrième. Ces quatre là se rajustèrent, et me firent un petit signe de la main en m’envoyant un baiser, et firent demi-tour.

 

Il ne restait plus que le Black,  et celui qui était à ma droite, qui du coup se déplaça et vint se positionner à côté de du premier. Le dernier arrivé était un blond vénitien... Personnellement, je n'aime pas trop les roux. Mais un simple regard sur sa queue me fit changer tous mes préjugés... Il n'était pas très long, sans doute pas plus de douze ou treize centimètres, mais très épais. Pas autant qu'une canette, mais pas loin...

 

Bref, tout ce que j'aime : j'avais à ma disposition une belle queue noire bien longue et une belle queue blanche courte mais très épaisse. Comment pouvais-je laisser passer une telle occasion !

 

Faisant fi de tout danger potentiel,  je baissai la vitre de ma voiture. Je leur adressai en premier la parole :

« Alors, je vous plais ?

- Oh oui, dit le Black. T'as vu comme tu me fais bander ?

- Et moi donc... renchérit le roux, regarde comme je suis dur.

- Ça vous dirait qu'on en fasse un peu plus tous les trois ? Au fait, moi c'est Sophie.

- Enchanté, moi c'est Marko dit le Black.

- Et moi c'est Bastien, ajouta le roux.

- O.K., alors, on fait comment ? On ne peut pas rester ici, car ce n'est pas très confortable, et on risquerait d'être surpris par des personnes qui n'ont pas à nous voir...

- Oui tu as raison, répondit Marko. Je n'habite pas très loin, si tu veux, on peut aller chez moi.

- Je ne préfère pas. Après tout je ne vous connais pas... On va à mon hôtel. Prenez vos voitures, et suivez-moi. Mon hôtel est à Seaux. »

 

Je leur griffonnai l'adresse de l'hôtel sur un bout de papier, et je leur tendis. À l'époque, les téléphones portables n'étaient pas aussi répandus qu'aujourd'hui, et il était fort possible que nous ne nous retrouvions pas. ..

« Attendez, je veux juste avoir quelque chose... Approchez-vous ! »

 

Ils obtempérèrent, et se rapprochèrent de mon véhicule.

« Montrez-moi à nouveau vos queues. Je voulais goûter... »

 

En quelques secondes, ils avaient à nouveau sorti leurs engins, toujours aussi durs. J’ouvris la portière, en pris un dans chaque main. Je les gobai alternativement, afin d'apprécier leurs goûts et leurs textures.

 

Bastien en profita pour glisser sa main entre mes cuisses, où le gode était toujours planté. Il le retira et enfilade de droit dans mon abricot. Il devait avoir l'habitude, car il atteint presque directement mon point G.

 

Marko, pour ne pas être en reste,  attrapa un de mes seins, et le tritura assez fortement. Sous un tel assaut, et la bouche ainsi occupée, je ne pu que jouir à nouveau... La fin de l'après-midi allait être torride...

 

Je lâchai leurs bites, et leur dis d'aller chercher leur voiture. Je me rajustai, encore tremblante de ces deux orgasmes si intenses. Je démarrais ma voiture, me demandant si je ne faisais pas la plus belle connerie de ma vie. Après tout, je ne savais rien d’eux, et il pouvait m'arriver n'importe quoi dans ma chambre d'hôtel...

 

Par bonheur, Bastien va se mettre devant moi, et je notais rapidement sa plaque d'immatriculation. Marko était derrière et je me retournais pour en faire de même. Ainsi, je tentais de me rassurer en me disant que s'il m'arrivait quelque chose, je pourrai au moins les retrouver grâce à leurs plaques.

 

Quand j'écris cela, je me rends compte à quel point j'étais inconsciente... Mais mes envies de sexe prenaient largement le dessus, et faisaient taire toutes mes réticences, toute ma prudence.

Une demi-heure plus tard, en nous nous retrouvions tous les trois garés côte à côte sur le parking du Campanile.

 

Sans un mot, ils me suivirent dans ma chambre, à l'étage. Elle était tout au bout du bâtiment, ce qui limitait le nombre de voisins. Mais il est vrai qu'à cette heure-là de l'après-midi, il y avait peu de clients présents. Au moins je savais que je pourrais me lâcher comme je voudrai...

 

Une fois entrés dans la chambre,  je leur demandais d'aller se laver, car j'avoue que dans le bois,  il émanait deux une odeur un peu forte,  un peu trop fort à mon goût… De mon côté, j'ôtai rapidement mon imperméable, et sortis de ma valise une boîte de préservatifs et un tube de lubrifiant. Ces accessoires ne me quittaient jamais. J'ai toujours eu pour principe de profiter de la moindre occasion pour satisfaire mes envies... Cela implique d'avoir toujours et capote sur soi !

(Pour la fluidité du récit, je ne préciserai pas à chaque fois que les hommes enfilaient des capotes... Mais il est évident qu'ils en ont toujours mis, à tout moment de ce trio improvisé.)

 

Nous étions arrivés depuis une bonne dizaine de minutes déjà, et ces messieurs n'étaient toujours pas sortis de la salle de bains. Impatiente, je les interpellai :

« Eh bien Messieurs, vous en prenez du temps !

- On... me répondit une voix hésitante, nous sommes un peu occupés...

- Comment ça « occupés » ? dis-je en sautant du lit.

- Viens voir, tu sauras... »

 

J’ouvrai la porte de la salle de bains, et je vis Marko debout dans la baignoire, entièrement nu, et Bastien, agenouillé devant lui, tout aussi nu, ui le pompait avec vigueur ! J'avais une chance incroyable ! Voilà que j'avais au moins un des deux qui étaient bi... Tout ce que j'aime !

 

Marko avait l'air gêné :

« Tu sais Sophie, je n'ai jamais fait ça de ma vie, il m'a pris par surprise. Et en fait, ce n'est pas si désagréable...

- Mais ne t'en fais pas, j'adore ça !

- Ah bon ? Tu aimes ça ? Mais tu sais je ne suis pas pédé !

- Mais je le sais bien que tu n'es pas homo…. Ce n'est pas parce que tu vas aimer te faire sucer que tu deviens gay ! Mais bon, moi j'ai besoin de vous à côté ! »

 

Comme à regret, Bastien retira l'engin de sa bouche, et se releva. Ils se séchèrent rapidement, et vinrent me rejoindre sur le lit.

 

Enfin les choses sérieuses allaient commencer...

 

A suivre…

 

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Sexe Amateur Exhibitions
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