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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Les vacances scolaires qui suivirent mon dépucelage culier par Pierre, mon copain de lycée, un grand de dix-huit ans, je les ai passées avec lui et ses parents dans la maison de campagne qu'ils possédaient à une dizaine de kilomètres de notre ville. Pierre avait fait « bonne impression » auprès de mes parents, et voyant que les siens étaient des gens dits « respectables », j'avais été autorisé à partir avec eux.

 

Pierre m'avait dit que dans le village où nous allions, il avait trois copains avec qui il baisait souvent. Deux d'entre eux qui avaient le même âge que lui ne seraient pas là, partis à la mer en famille. Le troisième qui avait été leur initiateur, s'appelait Robert c'était un vieux de 45 ans, homo assez vicieux et particulièrement bien monté. Pierre m'avait beaucoup parlé de lui, j'avais donc hâte de le rencontrer et peut-être de goûter à sa bite.

 

Nous arrivons à destination en milieu d'après-midi. Tout le monde est mis à contribution pour rendre la maison vivable pour les quinze jours qui viennent. Pierre et moi obéissons comme des enfants sages, c'est le seul moyen pour que ses parents nous laissent la bride sur le cou. Puis sa mère prépare notre dîner, car elle et son mari se rendent à une soirée entre amis qui devrait durer jusqu'au lendemain matin.

 

J'appris quelques années plus tard que ces deux là étaient de grands libertins. Cela me permit de regretter que Jean le père de Pierre ne soit pas bisexuel et ne s'intéresse pas aux jeunots comme moi, car il était très bel homme.

 

Une fois prêts, Jean et sa femme nous quittèrent. Dés que leur voiture eut tourné au coin de la rue, je me jetai sur Pierre, mon premier amour, mon initiateur. Je l'embrassai partout, tout en lui caressant l'entrejambe. Nos bouches se soudèrent, ma main sentit bander sa queue. J'avais une sérieuse envie qu'il me baise. On ne l'avait plus fait depuis notre première escapade dans la garrigue. Le sentir en moi me manquait.

 

J'en étais surpris moi-même, non seulement j'avais la confirmation que j'étais homo mais je découvrais que je prenais un immense plaisir à me faire sodomiser. J'ai toujours tenu toute ma vie à revendiquer ma virilité et à ne jamais être ce que l'on appelle une grande folle, mais si cela avait été le cas, on aurait pu dire alors que j'étais une chaudasse.

 

Nous sommes allés dans sa chambre, je l'ai déshabillé fébrilement. Il était si beau tout nu, sa bite fièrement bandée semblait me dire :

« Allez, Mario, viens, je t'attends. »

 

Pierre se mit à rire devant mon air surpris en constatant qu'il avait rasé ses poils sur le pubis, les couilles et l'entre deux fesses. Cette attention m'a beaucoup touché et la hâte avec laquelle je me jette sur sa queue fit changer son rire en un « WOUAHH » dés qu'il sentit mes lèvres sur son gland. Je le suçais avec délice comme si c'était un sucre d'orge.

 

Ma bite souffrait de l'étroitesse de mon short. Je m'arrêtais donc pour me déshabiller aussi. Pierre se jeta sur ma bite, nous étions en 69 sur le tapis. Aussi affamés l'un que l'autre, nous ne tardons pas à jouir. Nous changeons de position pour nous embrasser et mélanger nos crèmes.

 

Puis nous restons immobiles un moment ainsi serrés l'un contre l'autre. Une furieuse envie de faire pipi me prend. Je me sépare alors à regret de Pierre qui me demande où je vais.

« Pisser, j'ai trop envie…

- Non, t'en vas pas, reste là, pisse moi dessus, j'adore ça ! me dit Pierre.

- T'es malade, c'est dégueulasse ce truc !

- Mais non ! Fais-moi plaisir mon chéri ! »

 

Comme je ne peux pas résister longtemps à Pierre je lui obéis.

Il se met à genoux devant moi, dés que je commence à pisser, il ouvre la bouche, et aidé de sa main il dirige le jet, à son gré, dans la bouche et il me boit, un peu sur son torse sur lequel de sa main libre, il étale mon urine. J'ai d'abord un sentiment de dégoût, puis d'excitation devant le grand plaisir que prend Pierre. Je ne suis pas sûr que j’essaye ça un jour, car ça me révulse un peu tout de même.

 

Cette séance donne à Pierre une grande envie d'amour. Je suis toujours debout au milieu de la chambre et lui à genoux devant moi, il prend ma queue en bouche pour lécher la dernière goutte. Il me suce goulûment tout en me doigtant. Ça a le don de me faire bander instantanément. Au spectacle de ma queue toute raide, Pierre me dit, d'une voix trouble : « Encule-moi, mon chéri, j'ai envie de ta queue, elle est grosse comme j'aime ! »

 

Je n'ai encore jamais fait ça, moi et j'ai un peu le trac. Pierre s'allonge sur le lit et sur le dos. Il plie ses jambes vers sa poitrine et les écarte au maximum, ainsi, je peux admirer sa  belle queue courte mais épaisse et bien raide. Il écarte bien ses fesses. Son trou du cul est joliment plissé et il forme une petite fente verticale. Je me penche et le lèche avec gourmandise. Ça fait gémir Pierre et il me supplie presque :

«  Allez ! Vas-y mets la moi, vite ! »

 

 J'ai un moment d'hésitation, c'est ma toute première fois, je me demande si je vais y arriver. Mais j'ai très envie, alors je me mets à caresser son anus avec mon gland, délicatement, lentement. Je crois que j'ai eu une bonne idée si j'en crois Pierre qui gémit un peu plus que tout à l'heure. Je mets mon gland sur son trou, et je pousse un peu pour entrer.

 

Je suis surpris d'entrer si facilement en lui. Hmmmmm!!! Ça me fait tout drôle d'être dans le corps de quelqu'un. J'ai plein de frissons, c'est tellement bon. Je reste un moment immobile pour mieux déguster ce nouveau plaisir. Mais Pierre ne l'entend pas de cette oreille et donne un grand coup de rein pour m'inciter à bouger. Je me lance alors dans une sorte de chevauchée fantastique. Mais Pierre m'arrête aussitôt et me demande de faire plus doucement et d'alterner le rapide et le lent. Je me fie à lui et fais comme il dit.

 

Effectivement, il ne tarde pas à redoubler ses gémissements, et je me rends compte qu'ainsi, je peux baiser plus longtemps sans jouir. Et puis je gémis moi aussi tant je me régale, mais la nouveauté de ce jeu m'excite tellement que je suis au bord de l'explosion.

 

J'ai du mal à me retenir. Pierre qui a dû le sentir me demande de changer de position. C'est moi qui me mets alors sur le dos. Et il s'empale sur moi en me faisant face. Je le trouve beau ainsi, sur son corps perlent des gouttes de sueur. Sa bite toute raide semble me regarder. C'est Pierre qui prend le commandement et qui coulisse sur ma queue, tout en se branlant. Ses yeux qui brillent me fixent. Il accélère ses mouvements et gémit de plus en plus fort.

 

Au spectacle qu'il m'offre ainsi je sens que je vais difficilement pouvoir me retenir plus longtemps. Je suis comme un jeune fou surexcité par le spectacle de ma queue qui coulisse dans le corps de Pierre qui se branle de plus en plus fort. Je sens le feu qui monte en moi et d'un coup j'explose dans le ventre de mon chéri en poussant un « WOUAHHHH » puissant tout de suite accompagné de Pierre qui jouit à son tour.

 

Son jet arrive jusqu'à mon visage, je le sens qui coule sur ma joue, en effleurant mes lèvres. Je soirs ma langue pour en récupérer un peu. Il est succulent ce sperme Pierre se penche alors sur moi, en prenant soin que je ne sorte pas de lui. Il lèche mon visage pour récupérer sa crème et me la fait partager en me roulant une pelle goulue. Puis, serrés l'un contre l'autre, nous restons enlacés sans nous en lasser.

 

Nous finissons par nous séparer, avec regret, pour aller nous doucher et remettre un peu d'ordre dans la chambre. Les parents de Pierre ont beau être des libertins, il n'est pas certain qu'ils apprécient les exploits homosexuels de leur fils. Puis nous allons nous coucher et dormons l'un contre l'autre. Moi je m'endors, heureux de ce que je viens de vivre et pressé d'être au lendemain après-midi.

 

En effet nous avons rendez-vous chez Robert, l'ami de Pierre.

C'est qu'il m'avait beaucoup parlé de ce Robert qui avait été son initiateur et qui était, parait-il, un gros cochon, doux, mais gros cochon. Pierre m'avait prévenu :

« Ne sois pas surpris, Robert vit à poil et c'est comme ça qu'il va nous ouvrir la porte ! il est très exhib et aime montrer sa bite qui est assez grosse. »

 

Tout ça me mettait l'eau à la bouche et je découvrais que je devenais vite vicieux et je n'en étais pas du tout honteux.

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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