Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Hier fut une journée faste. En effet, cela fait trois semaines que chaque mardi, en rentrant du travail, à midi, je vois le même homme sur le bord de la nationale entre Kourou et Cayenne.  Il est adossé à une Twingo blanche, et semble uriner.

 

La première fois, j’ai pensé à cela, même si dans un petit coin de ma tête, je me suis dit :

« Pourquoi regarde-t-il les voitures qui arrivent en secouant ostensiblement un sexe très long ?... »

 

J’y ai repensé, car cette brève vison m’avait «émoustillée.

 

Mardi il y a deux semaines, rebelote, il est au même endroit. J’ai vu la voiture de loin, et cette fois-ci, j’ai ralenti. En effet, il secouait toujours un long sexe noir, à moitié raide. Là, je commençais à mouiller sérieusement.

 

Mardi de la semaine dernière, il était là, mais comme je suis passée encre plus lentement, il m’a souri… Et là, il bandait carrément, sa bite semblait toucher son nombril, son tee-shirt étant relevé. J’étais en retard, je ne me suis pas arrêtée…

 

Mais hier, j’avais pris mes précautions : j’avais prévenu Fritz que je ne rentrai pas déjeuner, car je devais voir ce mec de près. Il a acquiescé en souriant et en me souhaitant beaucoup de plaisir…

 

Et donc, me voilà partant particulièrement vite de mon bureau, espérant qu’il soit là… Bingo, je vois la Twingo  au loin. Déjà, je mouille comme une folle. Je m’arrête derrière sa voiture. Il est là, son grand chibre à la main, dur comme du bois d’ébène. Il sourit et s’approche de la fenêtre passager. Il m’interpelle sans aucune  gêne :

« Alors ma belle, elle te plait ma bite ? Ca fait plusieurs fois que je sais que tu me regardes en passant...

- Euh… oui, dis-je, malgré tout un peu surprise par sa demande frontale.

- Tu veux la voir de près ?

- Oui, avec plaisir, elle est impressionnante.

- Oui ma belle, vingt-quatre centimètres de plaisir pour toi… Je fais tout ce que tu veux, tu me fais tout ce que tu veux.

- Ok, je veux voir ça de près, mais je te préviens, pas de pénétration…

- Comme tu veux, surtout si je peux te bouffer la chatte…

- Bien sur, j’en meurs d’envie…

- Suis-moi, on va dans le chemin à côté. »

 

Après ce dialogue un peu surréaliste entre deux inconnus, je le regarde un peu mieux. Il est de taille moyenne, le crane rasé, et des yeux très rieurs… allure générale sympathique, je dirai qu’il a une petite quarantaine.

 

Je le suis à deux cents mètres, dans un chemin creux, qui mène à une petite clairière où se dresse un carbet rudimentaire. Je ne connais pas l’endroit, mais ce n’est pas le cas de tout le monde, au vu des nombreuses capotes qui jonchent le sol…

 

Nous sortons de voiture, et il extirpe de son coffre un hamac, qu’il s’empresse d’accrocher à deux montants du carbet. Il a l’air d’avoir ses habitudes ici.

« Si Madame veut bien se donner la peine… Au fait, je m’appelle Ralph.

- Moi, c’est Sophie.

- Sophie, je vais te dévorer !!

- Mhummm… je t’en prie. »

 

Ayant prévu la chose, je porte une grande jupe ample, et rien dessous… je la soulève, et m’allonge dans le hamac. Il a déjà baissé son pantalon, et de près cette fois-ci, je vois le pieu dur et luisant.

Il commence à se masturber, faisant monter et descendre sa main sur la barre noire. De l’autre, il masse ses énormes couilles…

 

Je n’y tiens plus, et j’entame une caresse de ma vulve... Il fixe mon intimité,  comme hypnotisé. Il regarde mes doigts masser les petites lèvres, effleurer mon clito… je le vois accélérer la cadence, tandis que j’enfonce deux doigts dans ma grotte en feu.

 

Je me branle comme une furie, tant je suis excitée par cette situation que j‘aime tant… J’agite comme une folle mes doigts à l’intérieur. Le résultat ne se fait pas attendre, et je jouis une première fois bien trop vite à mon gout…

 

Ralph sourit d’un air satisfait…

« Tu m’as l’air bien chaude et bien à point….

- Ou… ou… ouiiii… hoquetai-je, encore tremblante de cet orgasme fulgurant… Mais je n’en n’ai pas assez ! 

- Oh ! Madame est gourmande ? Ca me plait bien… Tu veux ma langue ?

- Ta langue, bien sur, j’en meurs d’envie !!! »

 

Il ne répond pas, et se met à genoux. Ainsi, sa bouche arrive pile au niveau de mon abricot en furie. Il écarte mes lèves encore égorgées d’excitation, et y plonge sa langue d’un coup, comme s’il me pénétrait avec sa queue. Bon sang, elle est aussi longue que sa bite !!! Il fourrage à l’intérieur, arrivant même à pointer sur mon point G. Je me tords de plaisir sous cette divine caresse, et je gémis de plus en plus fort... Au diable les éventuels voisins…

« Oh ouiiii, vas-y, elle est bonne, ta langue… vas-y, baise-moi à fond… »

 

Il va et vient, dure et doux à la fois… Il ressort son engin de plaisir, et titille mon clito qui se dresse encore plus sous ca pression. Je sens que je vais jouir… »

« Oh non, pas maintenant, pas déjà… »

 

Je n’ai pas le temps de finir cette pensée, que je jouis pour la deuxième fois en criant fort, cette fois… Ma tête tourne, je ne sais plus trop où je suis... Quand je reprends bien conscience, il est debout devant moi, plus raide que jamais. Juste à hauteur de mes yeux, je vois cette barre d’ébène qui oscille... il la branle doucement…

 

Que puis-je faire ??? La question m’effleure à peine l’esprit que j’embouche le gland massif… Il est si gros qu’il me remplit la bouche à lui tout seul. Ce n’est pas aujourd’hui que je ferai une gorge profonde !

 

Je l’enrobe comme je peux de la langue, le léchant un peu à la façon une boule de glace, mais qui, par bonheur, ne fond pas ! Je l’attrape le pieu de ma main libre, car de l’autre, je caresse mon petit bouton qui a encore faim...

 

Mes doigts enserrent la chair tiède, et glissent vers la base. Je ne peux m’empêcher de malaxer les couilles remplies. Elles sont pleines et fermes… J’ai soudain hâte de les voir se vider. Lui aussi s’est mis à gémir doucement. Il a fermé les yeux et se balane légèrement d’avant en arrière. Je crains qu’il ne tombe…

 

J’accélère mes mouvements de main, massant le long bâton de plus en plus dur. Je suce sans relâche le gland, et crache pour mieux faire coulisser ma main… Il se raidit, je sens qu’il va jouir… Je retire ma bouche, je veux voir ça….

 

En effet, il accélère lui aussi sa masturbation, et dans un cri, un épais jet de foutre très blanc vient s’écraser sur l’autre bord du hamac. Trois autres jets sortiront, dans des râles profonds, expulsant une crème épaisse.

 

Il tombe comme un pantin assis par terre. J’ai l’impression qu’il a un malaise. Je me redresse, mais il me sourit et murmure :

« Eh bien ma belle, tu as de la ressource ! J’adore les femmes blanches comme toi…. Tu es sure que tu ne veux pas que je te prenne bien à fond ?

- Non, pas aujourd’hui, mais une autre fois…

- Tu es sérieuse, une autre fois ?

- Oui, mais en présence de mon mari. Il vient toujours avec moi si je me fait prendre par un homme.

- Ton mari ??? Mais il va me tuer ! s’étrangle-t-il.

- Mais non, il aime me coir avec un autre. D’ailleurs, il sait que je comptais m’arrêter, si tu étais là ce midi.

- Ah bon, il sait tout ?

- Eh oui, je ne lui cache rien. Et là, tu vois, je vais tout lui raconter !

- Il est bizarre, ton mec, s’étonne-t-il. Il est black ? Car les blacks n’aiment pas partager leur femme !

- Il est l’exception qui confirme la règle…

-Si vraiment je ne crains rien, alors ok, on se verra avec lui.  Je te donne mon numéro de portable ; De toutes façons, ej suis là tous les jours de la semaine, entre midi et treize heures. Tu sais, j’ai mes habitués... Même des hommes qui viennent me sucer…

- Vraiment ? Tu acceptes ça ???

- Oui, ils sucent bien, et quelques-uns me font même des gorges profondes !

- Tu sais, voir un mec en sucer un autre m’excite à mort. Si tu veux bien, je viendrai regarder un jour… Tu dis que peu de blacks partagent leurs femmes, mais peu acceptent aussi de se faire sucer par un autre homme ! Tu me plais bien, toi !

- Toi aussi, tu me plais... On va bien s’amuser. Allez, je te lèche un peu, avant de partir ?

- Oh oui, et je vais t’imaginer te faisant pomper par un mec… »

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, il se met à genoux, et plonge sa tête entre mes cuisses. Il me dévore les petites lèvres, insinue sa langue dans ma grotte toujours aussi mouillée… Il me soulève pour aller titiller ma rosette, et repart vers mon clito qui n’attend que cela. Il enfonce trois doigts d’un seul coup dans ma chatte, et les agite vigoureusement. Ce traitement divin fait une fois de plus bien trop vite son effet,  et je jouis en hurlant flanchement, cette fois…

 

Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits, moment pendant lequel il me caresse tendrement les cheveux. Enfin, je m’assieds, et me lève non sans mal du hamac. Mes jambes tremblent de ces orgasmes répétées et violents. Il se penche vers moi, et m’effleure les lèvres d’un bref baiser. Je lui souris et lui souffle :

« Je rentre chez moi, et je t’appelle sans faute dans le week-end…

- Ok, j’attends, tu vas voir, tu ne le regretteras pas ! »

 

Je tourne les talons, et remonte en voiture, pressée de raconter tout cela à Fritz… Et je sais qu’en lui disant tout, il sera excité et m’honorera de sa langue et de sa belle queue… Déjà, je suis trempée…

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Sexe Amateur Exhibitions
Donnez votre avis... - Lisez les 17 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés