Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Nous sommes en plein été, il fait très chaud, j’ai tout ouvert chez moi. Et que voulez-vous faire par une telle chaleur ? Je ne voulais rien faire alors je me mis nu sur le canapé devant la tv et vers 14h et je reçois un sms :

« Coucou, c l infirmière Alexandra c bien le portable de Steven ? »

Je souris et je lis rapidement le message, et lui réponds :

 

« Oui c est bien Steven comment tu vas ? »

« bien merci dis-moi tu es chez toi aujourd’hui ? »

« oui je reste chez moi pourquoi ? »

« je passe dans 30 min donne moi ton adresse ! »


Mon cerveau ne fit qu’un tour !  Enfin mon infirmière favorite allait venir chez MOI ! Alors, je m’empresse de lui donner mon adresse et une fois le message envoyé, je file a la douche, je m’habille d’un jeans levis et d’une chemise noire, un peu de gel, des chaussures en cuir, et je mis au frais ma plus belle bouteille de champagne !

 

Au bout de trente-cinq minutes, « toc toc »… J’ouvris la porte, je m’avançai vers elle pour lui faire la bise. Elle me saisit le menton et m’embrassa doucement. Elle était belle, vêtue d’une belle robe noire un peu transparente qui épousait bien sa poitrine, et l’on pouvait apercevoir son soutif rouge, elle portait aussi des talons, et sa chevelure complètement détachée lui arrivait jusqu’à la moitié du dos. Elle arborait aussi un sourire resplendissant…
« Ca va mieux, toi ? »

Je souris et je refermais la porte
« Oui ça va et toi ? Va t’installer sur le canapé, j’arrive ! »

Et j’allais chercher la bouteille, tout en revenant quasiment aussitôt :
« Ouiii ça va ! II me tardait de te revoir... C’est quoi cette bouteille ?
- C’est pour fêter ta venue chez moi… »

Je m’assis à côté d’elle, et je lui servis une coupe de champagne, avant d’en faire autant pour moi. 
« Tchin Alex…
- Tchin beau gosse ! »

 

Et elle m’embrassa, je lui souris en mettant ma main droite autour de sa taille pendant que je tenais mon verre avec ma main gauche. A son tour, elle but deux gorgées assez rapidement, posa son verre, colla son front au mien en m’encerclant avec ses doux bras. Sa peau est douce et chaleureuse, je me mis à frissonner. Elle m’embrassa et en peu de temps elle m’allongea sur le canapé, me mit un doigt sur la bouche :
« On a le temps, là,  non ? » me murmura-t-elle, tout en caressant mon sexe par dessus mon jean's.

En lui caressant l’épaule,  en essayant de deviner ce qui va se passer, je lui dis d'une voix rauque :
« Oui, il n’y a que toi et moi ici… »

Elle sourit, passa sa langue sur ses lèvres, et enleva le bouton de mon jeans et plongea rapidement sa main dans mon boxer. Elle en sortit très vite ma bite qui commença à se réveiller, puis elle me regarda :
« Tu n’es pas en forme aujourd’hui ! Ne t'en fais pas, je vais régler ça… »

 

Elle commença à me branler doucement en amplifiant ses gestes et glissa tout son corps sur moi pour m’embrasser. Elle posa son autre main sous ma chemise et fit sauter tous les boutons. Toujours en me branlant, elle me souffla d’une voix rauque :

« Enlève-la, s’il te plait… »

Sans perdre une seconde, je me  redressais, je l’enlevai et l’embrassai. Puis, je commençai à lui caresser le dos. Elle me plaqua contre le canapé, ce qui me fit reprendre en positon allongée.

« Laisse-toi faire et ne réponds pas ! » m’intima-t-elle.

Je me tus, tout en appréciant ses lèvres sur ma bite qui l’enserrait avec douceur et fermeté. Tout ne me regardant droit dans les yeux, elle la lécha de tout son long, me malaxa les boules avec une main, tandis que de l’autre, elle me branlait toujours… Puis elle a remit dans sa bouche, l’enfonçant au maximum. Je sentais la chaleur de ses lèvres, de son palais, de sa         langue sur mon pieu durci par un tel traitement…

 

Involontairement, je me mis à donner des coups de rein, pour faire aller et venir mon sexe dans sa gorge. Mais elle m’aspira brusquement pour me « recracher » à l’extérieur…

« Mhumm, toujours aussi bonne, ta bite… »

Elle enleva la première bretelle de sa robe, puis la seconde. Elle me regarda d’un air coquin, et s arrêta de me branler. Elle se mit debout et laissa tomber sa robe qui me laissa découvrir seulement son superbe soutien-gorge rouge, qui serre bien ses beaux seins, et un beau string en soie. 0 la vu de cela,  je posais ma main droite sur ses fesses rebondies, mais elle me repoussa, car elle voulait tout contrôler, la coquine…

 

Mais j’étais si excité que j’en avais décidé autrement. Aussi, j’écartais son string avec ma main gauche, qu’elle essaya vainement de repousser une dernière fois, et je lui fis mettre ses mains sur ma tête. Ainsi, je commençais à effleure de ma languie sa si belle vulve, si appétissante…. Elle m’était offerte, nue, provocante, indécente, et je pris possession de ce merveilleux endroit... Au fil de mes explorations, ma langue se faisait plus pressante, plus insistante. Sous cette caresse, elle s’est abandonnée à mes caresses linguales, qu’elle semblait fort apprécier… Elle souffla dans un soupir :

« Mhumm, oui, c’est bon, vas-y, lèche-moi bien… »

 

Je ralentis mon rythme, surpris malgré tout qu’elle trouve du plaisir à mes caresses de novice. J’étais très excité de sa réaction et pour le lui prouver, je fis frétiller encore plus vite ma langue entre ses lèvres gorgées de désir. Elle mouillait de plus en plus, et je lui claquais les fesses pour l’encourager… Je lui aspirais ses petites lèvres l’une après l’autre, en caressant l’arrière de ses cuisses. Puis je fis revenir mes doigts devant, remontant jusqu’à son triangle moite et appétissant. J’écartais ses chairs intimes, pour la lécher plus profondément. Je massais son clito entre mes deux doigts, et elle se tordait de plus en plus…

« Oh ! Gros cochon, baise-moi ! Fais-moi mal !!! »


Elle me lança une claque sur le dos, et je retirai ma langue pour enfoncer mes phalanges directement au fond de sa chatte. A ma grande surprise, elle mouilla encor plus ! J’ignorais que c’était possible… Je buvais ce nectar tiède à grande lampées. Ma langue finit par atteindre quasiment le fond de son vagin.

Je me retirais, car j’en voulais plus encore. Je lui montrai ma bite raide. Elle s’en saisit, et vint s’assoir dessus. Elle l’enfila en elle, sans aucune douceur ou précaution. Elle criait de plaisir, me chevauchant avec vigueur. Voulant reprendre le dessus, j’attrapai ses hanches, pour lui intimer mon rythme. Elle s’y plia sans rechigner.

« Oh ouiiiii, oh ouiiiiiiiiiiii… continuuuuuuuuuuuuuuuuue…. »


Elle agrippa mes épaules pour pas tomber, et me mit la tète dans ses  seins, que je m’empressai de lui bouffer en les tenant dans mes mains pour pas qu’ils bougent trop. Ses belles courbes étaient déchainées devant mes yeux, elle m’embrassa le dessus de la tète tellement elle était grande, pendant que je continuai à la pénétrer.

Mes boules tapaient très fort contre elle, puis elle se redressa, s’est assise sur moi, me caressa le torse toujours en me chevauchant.

 

Sa chevelure lui cacha le visage, alors elle s’arrêta mais en gardent ma bite en elle. Elle réussit à mettre un chouchou qu’elle extirpa de son sac sans que je sorte d’elle…

Elle recommença ses mouvements de haut en bas doucement, puis sans me prévenir, ré-accéléra rapidement. Dans un nouveau cri, elle jouit en accélérant encore sa cadence.

 

Je me pinçai les lèvres pour sortir seulement un petit gémissement, et comme si elle en voulait pas m’entendre, elle m’embrassa.

Sentant que j’étais au bord de l’explosion, elle se retira et s’allongea en me branlant tout en mettant son visage très prés de ma queue. Elle était à l’affut du premier jet de sperme…Elle aida la machine en me l’aspirant de tout son long, et en me regardant comme elle sait si bien le faire. Elle me tripota les couilles avec tant de dextérité, que deux minutes plus tard ; j’émis une bonne dose de purée sur son visage, son nez, sa bouche. Alors, elle ouvrit grand sa bouche et avala tout mon sperme avec sa langue. Je sentis sa gorge se déployer à chaque gorgée…
« Super, jeune homme ! C’est trop bon ! »


Elle  me l’essuya jusqu’à la dernière goutte et s’allongea sur moi en caressant ma bite encore humide de sperme :
« J’adore quand tu me baises, monsieur mon sex-friend ! »

Elle m’embrassa à nouveau, et tout en restant nue, elle finit son verre, puis se rhabilla très vite. Elle ne me laissa même pas le temps de l’accompagner qu’elle avait déjà franchi la porte… 


Fin de l’histoire…
Dites-moi ce que vous en pensez !

 

Signé : Steven le marseillais

Par Steven le marseillais - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : les blogs persos
Donnez votre avis... - Lisez les 11 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés