Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Les rires et les baisers remplacent de temps à autre ce que nous mangeons. Peu habitué à boire plus d'un verre ou deux dans un repas ceux que j'ai déjà bus me montent un peu à la tête. Je n'aime pas ça car pour m'amuser comme nous le faisons là je préfère et de très loin avoir les idées claires, faire mes cochonneries en toute connaissance de cause, sans me cacher hypocritement derrière l'ivresse. Alors je me freine autant que je peux. C'est tout de même bien plus agréable d'avoir pleinement conscience de ce qu'on fait et d'en jouir.
Les cornichons semblent s'ennuyer dans leur ravier, je choisis le plus ferme, Judith ne me voit pas faire, elle se débat avec une peau de saucisson particulièrement récalcitrante. Alors ma main armée du cucurbitacé descend vers l'entrejambe de mon amie qui malgré que nous ayons arrêté de nous exciter semble toujours avoir le feu aux fesses. J'en ai tout de suite confirmation en la baisant avec mon cornichon.
Judith arrête instantanément de lutter avec sa rondelle de cochonnaille, elle serre ses cuisses un très bref instant pour les ouvrir tout grand et me laisser faire. La légère acidité du cornichon la titille agréablement si j'en juge par le soupir qu'elle pousse. Je poursuis mon avantage et la baise avec mon gode improvisé. Décidément Judith est une sacrée cochonne très sensible aux sollicitations. Elle répond au quart de tour comme le moteur d'un bolide admirablement bien réglé en faisant bouger son bassin. Elle est toute trempée, le cornichon est bien imbibé. Je le sors de sa chatte lui en donne un morceau à croquer et prend l'autre. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il est bien meilleur, mais le goût acre de la mouille de ma jolie Serbe a le don de ravir le gros cochon que je suis. Elle aussi d'ailleurs semble apprécier. Nous nous embrassons comme des goulus pour encore mieux apprécier le nouveau goût du cornichon.
Nous nous séparons pour reprendre notre souffle, Judith me regarde avec un petit sourire aux lèvres et des étoiles dans les yeux. Elle pose sur la table le verre que j'avais en main, appuie sur mes épaules pour m'allonger sur la banquette et s'installe de manière à avoir sa chatte sur ma bouche et avec son accent serbe un peu plus prononcé qu'à l'accoutumée elle me dit :
« Tu aimes ma mouille hein, dis ? Tu l'aimes hein ? Tu vas en avoir, tiens mon salop, lèche-moi ! »
Ne lui vient pas une seconde à l'idée que je puisse refuser aussi elle imprime à son bassin des mouvements d'avant en arrière pour que sa chatte du clito au petit trou frotte sur mon nez, ma bouche et mon menton. J'ai aussitôt mon visage barbouillé de son jus à la fois acre et doux tellement aphrodisiaque. Mes mains d'abord accrochées aux hanches caressent sa peau si douce. Elles remontent jusqu'à ses seins qui balancent au rythme de son bassin, je caresse, pince les tétons, caresse à nouveau, pince encore, Judith monte en température lentement, elle gémit, de plus en plus fort, parle serbe d'une manière saccadée. Je n'y comprends toujours rien mais je la sens partir de plus en plus fort.
Et soudain elle hurle d'une voix rauque me crie :
« Ca y est ! Ouiiiii ! Je jouiiiiiiis !!!!!! »
Elle se raidit, éjacule abondamment, j'en ai partout dans la bouche dans le nez, sur le visage, le canapé en prend un peu lui aussi. Ma Judith est un peu fontaine. Quel plaisir elle me donne là! Enfin, elle retrouve un calme relatif, change de position et entreprend de faire ma toilette en léchant ce jus qu'elle a généreusement lâché. Tout en faisant ma toilette avec sa langue, elle me jette des regards où on peut lire le plaisir qu'elle a pris et qu'elle continue à prendre et un soupçon de rire à l'idée de la surprise qu'elle vient de me faire.
Un pot de mayonnaise est là qui s'ennuie, j'en prend un peu pour colorer ma queue toute raide et également dans le sillon de mes fesses, je me présente ainsi à Judith qui saute sur l'occasion et me lèche avec gourmandise, en profitant pour mordiller mon gland et ma hampe. Ça me fait bander encore plus fort, puis elle glisse sa langue entre mes fesses, et me fait une toilette consciencieuse. Et elle revient à ma queue et me suce, m'aspire, me lèche, me branle avec une délicatesse et une envie de me faire plaisir et de se faire plaisir car elle n'arrête pas de gémir en le faisant. Elle glisse deux doigts entre mes fesses. Je l'en empêche, je veux que ce qu'elle me fait dure longtemps, c'est si bon.
Judith est un mélange étrange de douceur et de presque violence, en somme le chaud et le froid extraordinairement excitant. Tout ce que je fais avec elle me confirme ce que m'en avait dit un jour un interne de mes amis que je ne voulais pas croire. Je regrette un peu maintenant de n'avoir pas précipité les choses pour jouir plus tôt du corps et de l'art d'aimer de ma Judith.
Entre deux caresses ou léchouilles nous mangeons et buvons. La table basse est pleine de restes et de raviers vides. Nous débarrassons tout ça pour déguster le dessert. Je suis étonné de voir à quoi il ressemble. Judith tient dans ses mains une grande coupe pleine de fraises appétissantes, fière d'elle et léger sourire aux lèvres elle la dépose sur la table, se redresse, se cambre et me dit :
« Et voilà ! C'est beau, non ? Et puis tu vas voirrrr c'est dé-li-cieux ! Brrrruno chérrri, c'est ma chatte que tu vas manger avec ça, elle va te serrrvirr de coupe ! »
Foi d'athée !! Que voilà une proposition... euh... alléchante. Gourmand de dessert, j'accepte donc avec joie et empressement et gourmandise donc. Précaution de femme soucieuse du bon état de son mobilier, Judith met une alaise sur son canapé s'allonge en travers de manière à ce que son dos soit sur le siège et le reste du corps contre le dossier, jambes écartées et me dit :
« Bon appétit mon chérrrrri ! »
Nous avons jusque là bien mangé et bu et pourtant, allez savoir pourquoi, devant ce spectacle je suis quasiment mort de faim.
Imaginez un peu le spectacle. Une femme splendide dans sa nudité, à l'envers sur un canapé jambes écartées, qui m'offre son entrejambe, de sa chatte sortent des fraises. Vous pouvez résister à ça vous? Ben moi non, alors je me jette sur ce dessert, ma bouche descend jusqu'à sa chatte, les premières fraises ne résistent pas et barbouillent mon visage, ma langue est arrivée devant la jolie grotte de Judith. Je lèche, je dévore, ma langue pénètre la chatte, elle va à la pêche aux fruits, qui mouillés de Judith prennent un goût particulier et fort excitant, je me régale, je bande comme un fou.
Heureusement qu'elle ne m'a pas proposé de chantilly, je n'aime pas trop ça. Les fraises, fruits délicieux et fragiles, s'écrasent sur la chatte et entre les fesses de Judith. Son entrejambe sent la femme qui jouit mais l'arôme de fraise s'en mêle et ce mélange me monte à la tête. Je lèche, je dévore, je bois de plus en plus, car ma jolie Serbe mouille et éjacule en râlant. Je suis aux démons. Je ne peux tout de même pas dire ''aux anges'', ces gens-là n'ont pas de sexes, les malheureux !!!
Excité mais aussi heureux des réactions de Judith. Décidément son entrejambe est hypersensible, elle démarre au quart de tour quand on consomme son minou et elle est déchaînée. Elle jouit abondamment m'aspergeant d'un mélange de mouille et de fraise écrasée. Un critique culinaire trouvera à redire mais ne l'écoutez surtout pas et faites comme moi dégustez sans modération de la moule aux fraises, c'est le roi des desserts. Vous n'êtes pas obligés de m'imiter, mais personnellement j'adore quand ce genre de dessert est arrosé au «champagne» personnel de ma partenaire. Judith partage mes goûts, aussi se laisse-t-elle aller à une petite douche dorée du plus bel effet sur ma libido.
Je prends ma jolie Serbe par les hanches et la fait se coucher sur le tapis. Il est plus que temps que nous soyons l'un dans l'autre. Elle lève haut ses jambes formant ainsi le «V» de la victoire .Je ne suis pas superstitieux mais je trouve cela de très bon augure. J'entre dans sa grotte. Elle est chaude, humide d'un mélange de mouille et de fraises écrasées. Je m'y sens si bien que je n'ai pas envie de bouger. Je reste immobile un moment. Judith ne bouge plus elle aussi, elle me regarde dans les yeux et a un étrange sourire. Je n'ai pas le temps de me demander le pourquoi que j'ai la réponse. Elle maîtrise et contrôle parfaitement son muscle vaginal et le contracte sur ma queue en cadence.
C'est plus que délicieux, je savoure un moment ce plaisir puis le feu qui brûle mes reins me pousse encore plus au fond de ma jolie rousse qui se pousse elle aussi en avant, c’est le départ de notre chevauchée. Comme le dirait Richard Wagner, elle est fantastique. Ma Walkirie ne se contente pas comme beaucoup de regarder le mâle s'agiter sur elle, non elle participe par des mouvements du bassin souples et amples. C'est étrange comme sensation j'ai l'impression que je vais jouir tout de suite et dans le même temps que ça pourrait durer des heures.
Je ne suis pas particulièrement soumis mais cela ne m'empêche pas d'apprécier que ma partenaire prenne la direction des opérations, cela met en valeur ses qualités d'amante et il me faut l’avouer, mais ne le répétez pas cela flatte un peu ma paresse méditerranéenne. Trêve de plaisanterie, faire l'amour est une participation des deux partenaires, le plaisir en est bien plus grand. Nous changeons de position, je me mets sur le dos. Judith, ainsi placée est belle à voir. Elle se déchaine au dessus de moi, sa chevelure vole autour d'elle comme une flamme, son corps monte et descend, son bassin ondule. Elle émet des cris rauques ponctués de mots étranges venus du fin fond de la Serbie. Ce spectacle qu'elle me donne, presque du son et lumières, est très excitant. Je fais des efforts surhumains pour ne pas exploser tout de suite.
Nous étions à cette époque bénie de Venus et Eros où le préservatif était inutile et où on pouvait jouir pleinement du plaisir de sentir le jaillissement du bon jus de couilles en soi. Aussi, je voulais que Judith arrive l'orgasme pour jouir en elle et lui donner encore plus de plaisir. Mais je ne suis qu'un homme, et ma queue dominant mon cerveau (les féministes diront que c'est normal parce que nous pensons avec nos bites) je ne pus me retenir et je me suis vidé en elle avec cette agréable sensation que je me vidais pour des années.
Ma Judith toujours très sensible « aux attentions » de ses partenaires poussa un rugissement formidable et se vida à son tour sur moi avant de s'écrouler contre moi. Quelques petits soubresauts puis quelques secondes de silence et d'immobilité complète. Ce sont des instants comme celui là qui font comprendre pour quoi on appelle ce moment-là la « petite mort ». Cet instant de répit après la bataille fut un paradis. Quoi de plus doux que de sentir contre soi le corps chaud et apaisé de la femme que l'on vient d'aimer?
Ces instants de plaisirs calmes durent un long moment au bout duquel il nous fallait absolument nous lever et nous laver. Judith visage et corps apaisé, de la joie et presque de l'amour dans les yeux nous conduisit à la salle d'eau. Sans doute de peur que je me perde en route me tirait derrière elle sa main enveloppant ma queue. Je regrette encore aujourd'hui de n'avoir pu photographier ce geste qui est à la fois tendre, légèrement farceur et assez érotique.
Je dis bien « salle d'eau », car sa salle de bain est spacieuse et le coin douche prend la moitié de la pièce. Visiblement, elle n'a pas été pensée uniquement pour se laver. C'est pourtant ce que nous faisons sans trop jouer. C'est que nous sommes un peu fatigués. Chacun de nous lave l'autre, en effleurant tous ces endroits sensibles que nous avons. Judith frémit bien plus que moi sous les caresses. J'ai une excuse imparable, je ne suis qu'un homme et j'ai déjà joui deux fois, il me faut recharger mes accus.
Rafraichis, propres et tout de même assez émoustillés nous retournons vers la cheminée et sa douce chaleur. Judith sort une bouteille d'eau-de-vie de sa Serbie natale. Elle est forte mais bonne. Nous vidons nos verres d'une gorgée et ma gourmande les remplit à nouveau. Très peu buveur mais poli je vide mon verre en priant Eros que cela ne me rende pas tout mou, ce qui serait une insulte à la beauté et aux gentils vices de Judith. Elle par contre ne paraît pas du tout assommée par sa boisson, ses yeux brillent, je sens dans leur éclat de nouvelles envies de baiser.
J'ai bien deviné car Judith s'absente un bref instant pour revenir harnachée d'un gode-ceinture de belle taille. Je suis assis sur le canapé, Judith se campe devant moi dardant fièrement sa fausse bite mains sur les hanches et torse bombé son visage s'éclaire d'un sourire vicieux irrésistible. Elle reste ainsi un instant puis elle rompt le silence par un :
« Je vais t'enculer mon chérrrri !! Tu as dit que tu aimes ça ? Et bien moi j'adorrrrre enculer les hommes! On va se rrrrégaler, tu vas voirrr ! »
Elle ouvre un pot de lubrifiant, enduit bien son gode puis s'occupe méticuleusement de mon cul, poussant le soin jusqu'à enduire les parois intérieures. Précautions totalement inutile, bien entendu, mais en faisant ça elle nous octroie un petit plaisir supplémentaire, une sorte d'apéritif en quelque sorte. Elle veut me retourner pour me prendre en levrette, je lui dis que non et que j'aime être couché sur le ventre pour me faire prendre.
Elle n'a rien contre, aussi je m'installe, lève mes jambes et les écarte bien, Judith guide sa queue vers mon trou, elle la fait « tourner autour du pot », c'est délicieux comme sensation et me rend impatient. Elle joue ainsi un moment et enfin fait entrer le gland, s'arrête un bref instant, me regarde droit dans les yeux toujours avec ce sourire qui l'embellit et dans lequel on peut lire beaucoup de vices et le plaisir qu'elle a à enculer un homme. Et brusquement elle s'enfonce complètement en moi sans ménagement se retire avec la même force pour entrer à nouveau, elle me fait ça un moment me faisant pousser des gémissements de plaisir.
Ma réaction semble lui plaire car elle éclate de rire. Visiblement, elle est à son affaire. Et moi aussi, car elle continue sa sodomie en mêlant violence et douceur, allers et retours lents et rapides, et par moments, elle fait danser son bassin pour que son gode câline mes parois. Je suis au paradis, moi. Dans un paradis idéal où les anges auraient des sexes pour des partouses célestes. Le plaisir m'envahit de plus en plus, ma queue est bandée à me faire mal. Judith, qui voit dans quel état je suis, se retire soudain, se verse un verre de son eau-de-vie serbe, me laissant en plan un bref instant puis revient, entre en moi d'un coup, et se met à m'enculer avec des mouvements plus en plus rapides.
Tout à mon plaisir je n'avais pas remarqué que Judith gémissait au moins aussi fort que moi et que ses mouvements n'étaient pas ceux d'une sodomie habituelle. Mon plaisir était tel que sans que je puisse me retenir, j'éjacule à gros jets. Cela semble exciter Judith qui accélère encore les mouvements de son bassin et a un orgasme. Elle s'écroule sur moi en gueulant son plaisir. Nous restons un moment ainsi, l'un dans l'autre et l'un contre l'autre. Puis Judith se retire et se retournant se met sur moi en 69. Je déguste son gode et elle nettoie ma queue avec des gloussements de gourmandises.
Enfin, nous nous séparons et allons nous laver un peu, elle enlève son gode ceinture et là j'ai une grosse surprise. Son gode-ceinture a deux bites dont l'une est tournée vers l'intérieur; Ainsi Judith se baisait en m'enculant. Sacrée jolie salope Serbe que c'était là. Pour un peu je serais tombé amoureux d'elle.
Cette soirée se prolongea jusqu'au matin durant laquelle nous nous sommes baisés de diverses façons. Épuisés et heureux nous avons fait une très grande grasse matinée. A notre réveil nous nous sommes octroyés un petit 69 gentillet avant un déjeuner copieux et sage au cours duquel nous nous sommes promis de recommencer souvent nos jeux. Et c'est une promesse que nous avons tenue.
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