Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Je trouvai rapidement mes marques dans mon nouveau domaine. Grâce à cela, je pus enfin faire des
économies. Les jeudis après-midi étaient consacrés au shopping. Les vendredis, eux par contre, étaient réservés à mon corps. J’allais à la piscine, chez le coiffeur ou chez une
esthéticienne recommandée par la vendeuse du pressing qui, suite à mes fréquentes visites, avait sympathisé avec moi.
Je revis plusieurs fois le petit film sur l’écran de mon ordinateur et cela me faisait mouiller à
chaque fois. Je vis Emma sous un autre regard depuis ce jour.
Steve, quant à lui, toujours aussi hautain avec moi voire même grossier s’exprimait toujours par des
grognements. Il m’avait même un jour qualifiée de petite pute de service car selon ses dires, j’étais vraiment trop bien gaulée et qu’en tant que fils de la patronne, il verrait d’un bon œil que
je lui fasse une petite pipe. La gifle faillait partir aussi sec mais ce fut Caroline qui, plus rapide, s’en chargea. J’étais contente de sa punition mais cela me restait en travers de la
gorge.
Un jeudi après-midi, n’ayant pas trop envie de faire mon shopping hebdomadaire, je décidai de rester
dans le jardin, au soleil en lisant un bon bouquin. Au bout d’une heure, les effets de ses rayons sur ma peau se firent sentir. Il fallait que je remette une nouvelle couche de crème solaire.
Constatant que mon flacon était vide, je pris mon courage à deux mains et allai dans ma chambre chercher le remplaçant. Voulant aller plus vite, je pris l’escalier principal et passai donc devant
les chambres.
La porte de celle de Steve était entrouverte ce qui était bizarre vu qu’il devait se trouver aux
cours. J’arrivai, pieds nus, à pas feutrés et regardai par l’entrebâillement de la porte. Steve était devant son portable. Il regardait un film, et ce que je vis me perturba. L’actrice du
film, c’était moi ! Il m’avait filmée à mon insu. On y découvrait la naissance de mes seins, mon entrejambe lorsque j’avais mis un de mes micro shorts de sport, des images de mes jambes et
sans que je sache comment il avait fait, la tache blanche de mon string. Il m’avait filmée sous toutes les coutures mais le plus hard arrivait. On y voyait sa sœur avec une femme dans un 69
endiablé en train de se lécher mutuellement dans la fameuse cabane du jardin.
J’allais réagir lorsque mon regard s’arrêta sur ce qu’il avait dans une main : un des mes strings. Il
l’avait mis sous son nez le reniflant tant et plus. Je me rappelais que la veille, n’ayant pas eu le temps de faire la lessive, j’avais laissé le linge sale dans la buanderie. Il m’avait
chipé un de mes strings. Le porc ! Mais cela ne s’arrêta pas là, j’entendis clairement l’ouverture d’une fermeture éclair. Puis, de l’autre main, il dégagea tant bien que mal son sexe raide
comme un pieu.
« Qu’est-ce qu’il est bien monté ce jeunot ! » pensai-je avec une certaine
envie.
Il prit le string et se branla frénétiquement avec celui-ci. Je l’entendais ahaner assez vite. Ce
jeune coq n’avait pas encore appris à se retenir, et rapidement, il éjacula dans mon string. Cela ne le fit pas débander, et de nouveau, le rythme de sa main accompagnait les gémissements des
deux femmes à l’écran. Il résista un peu plus longtemps et de nouveau s’épancha dans mon string tout poisseux. Il prit un kleenex, s’essuya le vît, éteignit l’ordinateur et se
leva. J’eus juste le temps de me cacher dans l’embrasure d’une porte. Encore troublé par son plaisir, tenant toujours mon string en main, il quitta sa chambre et descendit prestement les
escaliers. J’entendis qu’il fermait la porte donnant dans la buanderie puis la porte d’entrée principale.
Vérifiant qu’il était bien parti, je me glissai dans sa chambre et appuyai sur le bouton
« start » de son ordinateur.
L’ordinateur s’alluma et comme je le craignis un mot de passe s’afficha.
Je réfléchis quelques instants et sans m’en rendre compte, je frapper la touche return. Ce petit con n’avait même pas pensé à insérer un mot de passe. J’ouvris ses fichiers et y
trouvai des centaines de mini films ou d’images de cul. Bref, l’essentiel d’un adolescent attardé ! Je trouvai facilement le petit film, car il l’avait tout simplement nommé « Gwen ».
Je pris un de ses CDS vierges et enregistrai. Après une recherche d’un autre film du même style me concernant, je fermai l’ordinateur avec mon précieux cd.
Me souvenant du string, je descendis dans la buanderie et trouvai enfoui au milieu de la lingerie, le
string gluant de son sperme. Je le pris du bout de doigts et avec mon gsm je le photographiai.
Un début d’idée de vengeance débutait dans mon esprit mais il fallait que je sois
patiente.
Bref, au soir, je fus invité par Caroline à venir dans le salon où toute la famille était réunie. Il
s’y trouvait aussi un jeune homme bien bâti, le teint hâlé, les dents blanches Pepsodent. Bref, une belle gueule sur un corps bien foutu.
« Qu’est-ce qu’elle fout là ? fit le branleur.
- Steve ! gueula le père.
- Bon, comme tout le monde est là, Emma a une annonce à vous faire. Vas-y ma
chérie !
- Papa, Maman, je voudrais que vous écoutiez Rodrigue.
- Madame, Monsieur ! Ce soir est un jour particulier. Vous savez qu’Emma et moi nous nous fréquentons
depuis un certain temps et comme il ne lui reste qu’une petite année afin de finir ses études, je vous saurais gré d’accorder une oreille attentive et accueillante à ma
requête. »
Je vis Steve souffler tant et plus, et cela me fit sourire. Le père regardait ce Rodrigue comme si il
avait vu le Christ en personne. Caroline, les yeux béats, la bouche entrouverte, semblait déjà sous le charme.. Pourtant, je vis que son regard ne portait pas sur le visage du garçon mais juste
en dessous de la ceinture.
« … Aussi, j’ai l’honneur Monsieur, de demander la main de votre fille
! »
Il lui demande sa main alors qu’elle s’envoie en l’air avec des donzelles ! Quelle étrange affaire !
Pour la première fois, je vis le père parler sans crier :
« Je vous l’accorde sans aucun problème, mon cher Rodrigue.
- Merci papa, fit Emma en l’embrassant.
- Gwendoline, pourriez-vous chercher le champagne dans la cave à vin ? »
J’acquiesçai et allai chercher les dives bouteilles. Je servis, et Caroline m’intima l’ordre de
trinquer avec eux. Pourtant, je ne me sentais pas à ma place, surtout lorsque les yeux de ce Rodrigue se posèrent sur ma poitrine, un peu trop longtemps à mon goût.
Il fut décidé que les fiançailles se dérouleraient le mois suivant. Emma était toute excitée, Steve
haussa les épaules en buvant tant et plus du champagne. Le père était fier non pas de sa fille mais d’avoir comme futur gendre ce Rodrigue. Caroline avait les yeux qui pétillaient car plus
elle lui parlait plus son corps de manière imperceptible réclamait des caresses. Rodrigue comprit le message et par les yeux, il accepta tout ce qu’elle pouvait demander.
Je pris congé rapidement et montai dans ma chambre. A peine couchée sur mon lit, la télévision
allumée, je reçus un coup de téléphone de Florence, mon avocate.
« Salut chérie !
- Bonsoir Florence.
- Je te téléphone pour te donner des nouvelles de notre petite affaire.
- Ah ? Cela va s’arranger tu crois ?
- Oui ! Et encore mieux que tu ne le penses. Mais j’y pense, ce serait mieux que l’on en parle de vive
voix. Tu peux venir demain soir chez moi. Je t’invite à dîner.
- Demain ? Ok ! Je viendrai.
- Super ! »
Elle me donna son adresse et raccrocha sans oublier un :
« Bisous ma chérie !
- Bisous », répondis-je troublée.
Je ne trouvai pas le sommeil tout de suite et puis le fracas qu’ils faisaient à l’étage inférieur m’en
aurait de toute façon empêchée. Intriguée par tant de bruits, je descendis voir ce qu’il en était. Je vis Rodrigue, sans Emma, porter Steve dans ses bras. Ce dernier
complètement ivre gueulait des chansons paillardes. Rodrigue le déposa sur le lit et ferma la porte en sortant. Caroline, le suivant de près, lui dit :
« Vous n’allez pas retourner ce soir chez vous ? Surtout que vous avez bu un petit
peu.
- Je crois que cela serait plus raisonnable dit-il d’une étrange voix.
- Je vais vous faire préparer la chambre d’amis. Je viendrai plus tard voir si vous êtes bien
installé.
- Ce sera avec plaisir ! Partagé… j’espère.
- Je compte bien partager ces plaisirs, dit-elle le visage à quelques centimètres de celui de
Rodrigue. Vous voulez un pyjama ?
- Je n’en porte jamais… Mais n’ayez aucune crainte, les draps protégeront ma
décence.
- Parce que vous supportez les draps par cette étouffante chaleur ?
- C’est vrai qu’il fait très chaud ce soir et pas qu’à cause du soleil. Vous avez raison, les
draps seront trop chauds.
- Ne prenez quand même pas froid! Je m'en voudrais que vous soyez malade.
- Je pense que j'aurai de quoi me tenir au chaud...
- A ce soir », dit-elle en venant dans ma direction.
Je remontai rapidement quelques marches. Caroline entrouvrit la
porte et m’appela discrètement.
« Gwendoline, je sais qu’il est tard mais pourriez-vous faire la
chambre d’amis ?
- Pas de problème. J’arrive.
- Merci beaucoup. Euh… comme il fait chaud, enlevez les couvertures et ne laissez qu’un simple
drap.
- Bien », fis-je en descendant les marches.
J’allai dans la chambre d’amis et ouvris les fenêtres. Je défis le lit, ôta les draps précédents et
les remplaçai par des draps propres sentant bon le parfum de fleurs. Je secouai les couvertures par la fenêtre et remarquai pour la première fois un deuxième balcon contigu. Or, de ce côté,
il n’y avait pas de fenêtres mais une porte. Je repérai rapidement l’endroit et conclus que cette porte donnait au bas de l’escalier montant à l’étage supérieur.
La chambre faite, je repris l’escalier, allai chercher une lampe de poche et essayai de découvrir
cette porte. Je la vis, cachée en partie par une petite armoire que je déplaçai le plus délicatement possible. Heureusement qu’elle était vide.
La clé se trouva dans la serrure et difficilement, je réussis à ouvrir cette petite porte. Je
dus me plier en deux afin de pouvoir passer. J’arrivai au balcon profitant de la douceur de la nuit étoilée.
J’allai quitter mon endroit propice aux déclarations lorsque j’entendis des murmures dans la chambre
d’amis. Murmures ou plutôt des gémissements.
« Oh Rodrigue, qu’est-ce que tu es beau.
- Je sais ma chérie, dit-il modestement. Et tu n’as pas encore vu ce que je cache dans mon
pantalon.
- Coquin ! Tu sais que j’y ai déjà goûté.
- C’est vrai, mais avec toutes ces bouches qui m’avalaient, je ne savais plus où j’en
étais.
- Tu crois que mon père a gobé notre histoire ?
- Je n’en sais fichtre rien, mais je crois que même s’il a des doutes, il les oubliera assez vite. On
sait pertinemment bien que nous nous marions pour nos intérêts. Toi, tu deviendras Comtesse tandis que moi, avec l’appui de ton père, je pourrai ouvrir une clinique où le plus petit prix d’une
intervention sera trois à quatre fois exagéré. Mais tu sais quel pacte on a conclu !
- Oh que oui ! Tu couches avec qui tu veux, et moi je fais de même de mon côté.
- Et le plus important, c’est…
- T’obéir et servir tes intérêts.
- Parfait ! A propos demain soir, je vais rendre visite à mon banquier. Il me faut des liquidités
pour commencer les plans et le début de la construction. Il avait l’air de t’apprécier, l’autre fois. Serais-tu d’accord pour le satisfaire ?
- Tu veux que je lui fasse quoi ?
- Je sais qu’il dîne chaque jour dans un petit restaurant. Il doit bien avoir une salope de tes amies
qui accepterait un petit trio ? Et quelques clichés compromettants que tu prendrais seraient le bienvenu.
- Mais il va me reconnaître !
- Déguise-toi ! Je suis certain que tu dois être encore plus bandante en rousse.
- Vilain flatteur ! D’accord, ce sera fait ! Mais à une seule condition.
- Laquelle ?
- Que tu m’enfiles ton engin dans mon cul ! Il brûle d’envie de te recevoir.
- Désolé ma chérie, mais j’attends quelqu’un ce soir.
- Qui ? Quand même pas ma mère ?
- Si ! Elle doit avoir un tempérament de salope, parce qu’elle m’a chauffé comme jamais ce soir. Cela
te dérange ?
- Oh non ! Je pourrai bien attendre. Lorsque tu auras fini, envoie-moi un sms. Je viendrai
t’entendre me raconter tout en détail, et je serai aussi gentille que tu le voudras.
- Ok. Allez, pars ! Elle ne va plus tarder. »
J’étais littéralement sur le cul. Mais quelle salope, cette fille ! Et lui n’était pas mieux ! J’étais
dans une famille de fêlés.
Emma sortit de la chambre, et deux minutes plus tard, Caroline entra, habillée par un peignoir
vaporeux qui ne cachait presque rien de son corps.
« J’ai attendu que ma fille parte. Je ne veux pas qu’elle me voie entrer, dit-elle en
laissant glisser son peignoir et se trouver nue devant son futur gendre. Mais je crois que tu as chaud ! Laisse-moi enlever ce drap. »
Elle fit glisser le drap et fit apparaître l’énorme braquemart de son gendre. Telle une chienne, à
quatre pattes, elle s’approcha de l’énorme vît qui la faisait littéralement baver.
Caroline approcha sa bouche du sexe de Rodrigue et, en
ne le quittant pas des yeux, elle le goba entièrement sans faire d’efforts. Il devait aimer cela, car il rejeta sa tête en arrière. Elle remonta et fit réapparaître le vît tout luisant de
bave. Puis, de plus en plus rapide, elle l’absorba entièrement. A chaque fois que son nez touchait le pubis glabre de Rodrigue, elle arrivait avec sa langue à toucher ses couilles et à les
exciter.
Je sentis mon sexe s’humidifier. Depuis ma position, je pouvais tout apercevoir. J’avais enjambé la
rambarde et me trouvais sur le balcon de la chambre d’amis. Les fenêtres grandes ouvertes étaient en partie cachées par de grands buis en pot. La seule chose que je devais faire était de ne
pas émettre le moindre bruit.
Sentant sa fin approcher un peu trop rapidement, Rodrigue empêcha Caroline de lui infliger ce
traitement. Elle se redressa laissant couler un mince filet de bave, se mit debout dans le lit et vint poser son sexe finement épilé sur la bouche de son futur gendre. Celui-ci but directement au
calice. Il lui titilla le clitoris déjà tout gonflé de plaisir. Un doigt inquisiteur vint à la rencontre de son petit œillet. Celui-ci le goba sans aucun problème, si bien qu’un deuxième et
un troisième vinrent l’aider à combler le trou trop souple pour ne pas avoir subi des assauts durant la journée.
Caroline haletait de plus en plus. Rodrigue aspirait son clitoris tout en la branlant : deux doigts
devant et toujours trois doigts derrière. Il faisait monter et descendre alternativement les mains. Ce fut le troisième doigt dans le sexe qui envoya Caroline au septième ciel. Grâce aux barreaux
du lit, elle réussit à ne pas tomber.
J’étais en nage tellement je m’astiquais le bouton. L’effort de ne pas émettre le moindre son
provoquait encore plus de frissons. Trois fois déjà, j’avais du ralentir le rythme afin de ne pas jouir sur place. Mes doigts étaient poisseux de cyprine.
Caroline se coucha sur le dos dans le lit. Rodrigue s’agenouilla devant elle, releva les jambes et
positionna son gland tout rouge devant l’entrée de service. Il s’introduisit lentement et ne bougea pas. Empalée sur ce membre, Caroline se pinçait les seins. Des gouttelettes de lait
vinrent perler son opulente poitrine toujours ferme pour son âge. Rodrigue sans bouger, serrait le clitoris entre ses doigts et s’amusait à le tordre, à l’étirer et à l’agacer. Elle émettait des
râles qui provenaient du plus profond de sa gorge. Sa peau était toute ruisselante de sueur. Puis, sans prévenir, elle s’arqua et jouit. Lui n’avait toujours pas bougé d’un
centimètre.
A peine remise de son deuxième orgasme, il commença enfin à bouger et là, il devint brutal. Il
la sodomisait sans ménagement, toujours plus fort, toujours plus brutal. Le souffle s’accéléra. Tel un piston, il ne cessait d’aller et venir dans les entrailles accueillantes de
Caroline.
Je jouis une première fois en lâchant un gémissement le plus étouffé possible. Heureusement, les cris
que lançait maintenant Caroline couvrirent les sons que j’émettais.
Rodrigue arrivait au point de non retour et se retirant du fondement de Caroline, libéra sa semence
sur le ventre et les seins de celle-ci. Frustrée de ne pas encore avoir joui, elle écarta les doigts de Rodrigue et se branla vigoureusement comme si sa vie en dépendait. Trente secondes plus
tard, elle s’écroula sur le lit gigotant sous les spasmes provoqués par l’orgasme.
Remis de ses émotions, Rodrigue en bon amant, lui dit :
« Ce fut super mais, demain, j’ai une rude journée, alors tu pourrais me laisser
dormir ? »
Caroline, encore sous les effets des orgasmes, lui
répondit dans un état assez comateux :
« T’inquiète ! Je suis vannée ! Vivement la prochaine
fois.
- Pas de problème, belle-maman. Le jour de notre mariage, je te baiserai.
- Ok ! J’en mouille déjà.
- Salope ! »
Caroline partit en claudiquant vers sa chambre. Rodrigue se retourna et s’endormit profondément.
Moi, j’avais joui encore deux fois et c’est péniblement, car je ne devais pas faire de bruit, que je remontai dans ma chambre.
"Un mari heureux"
Oui, mais pas seulement !!! ;-)
Mais ne dit-on pas plus c'est long . . . .
Et tu vois, 6 mois plus tard, elle n'est pas encore finie !
tu vois, au final, ils font comme tout e monde, bourgeois ou pas !!!
Bises coquines
Il faudrait qu'il nous répoonde lui-même !!!