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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

CHAPITRE 7

 

 

Caroline s’assit face au jardin. Et certainement pour regarder les quelques beaux ouvriers. Je m’assis en face d’elle, les jambes repliées en chien de fusil, une tasse de café à la main.

« Après votre départ, j’ai été trouvé ce fameux Jean. Il me plaît. Beau gosse mais quel con ! J’ai discuté avec lui de choses et d’autres comme doit le faire une parfaite maîtresse de maison. Il bavait en regardant avec insistance mes seins. Je le quittai et demandai à ma secrétaire d’échafauder un petit plan vite fait. Elle téléphona à deux copains qui lui devaient un petit service. Bref, elle est partie chauffer à blanc ce blanc bec. Ce fut rapide ! Et je les vis partir vers la petite cabane dans le fonds du jardin.

- Elle sert beaucoup, fis-je en souriant.

Oui, je sais qu’Emma l’emploie assez régulièrement. Bref, la soirée se termina. Les derniers invités partis, je me suis dirigé vers la cabane. Catherine, ma secrétaire, était à quatre pattes, le pieu de l’autre dans son cul. C’est vrai qu’il s’est s’en servir car vu la grandeur, il doit compenser !

 

J’éclatai de rire.

 

Ben oui ! Bon, il n’a pas un dé à coudre comme sexe mais disons que cela frise le minimum syndical. Et quoi que toutes ces bonnes femmes disent, j’affirme qu’il vaut mieux avoir une belle et grosse entre les jambes qu’une petite travailleuse.

 

Le fou rire me gagna. Elle attendit que je reprenne ma respiration.

 

Catherine gémissait quand même. Son gsm retentit et tout en étant enculée elle répondit comme si de rien n’était. Elle interrompit la chevauchée au grand dam de notre cher ami.

« J’ai invité deux copines, cela te dérange ?

 

Il était aux anges ! Il acquiesça. Catherine lui demanda de mettre un bandeau sur ses yeux et qu’elle l’enlèverait lorsque ses deux copines seraient là.

 

« Ce sont deux super salopes. Jamais satisfaites ! De vraies chaudasses. Tiens, je vais attacher tes mains à ce crochet. »

 

Tellement excité, il se laissa faire. Il était ainsi lié et aveugle. Catherine lui fit respirer un poppers.

Un quoi ?

Un poppers ! Cela sert à désinhiber la personne. Cela provoque une euphorie et surtout à aider à relaxer le sphincter anal et de faciliter la pénétration. Il ne s’en rendit pas trop compte. »

 

Elle sortit nue de la cabane et me vit. 

« Tiens, fais-moi des plans supers ! J’aimerais bien tout revoir en rentrant chez moi. Je vais chercher mes deux copines. »

 

J’ai pris son gsm et attendit. Elle revint vite, accompagnée de deux superbes mecs. Musclés, grands, un sourire carnassier, bref, deux apollons.

« Je te présente Marc et Pol. Hommes ou femmes, même combat pour eux. N’est-ce pas mes petites salopes ? »

 

Je ne sais pas ce qu’elle leur avait fait, mais ils firent oui de la tête. D’ailleurs, je ne les jamais entendu parler. Bref, ils rentrèrent dans la cabane et Catherine alla se blottir contre l’autre con. Les deux mecs se dévêtirent, et mazette ! Ils étaient montés comme deux étalons. Catherine se mit devant la victime et entreprit de le sucer. Le poppers avait rendu à son microbe une taille plus ou moins respectable. Mais toujours pas question de faire gorge profonde ! Il demanda si les copines étaient là.

« Oui, elles sont complètement nues. Elles s’embrassent juste devant toi. Elles aiment la bite. Tu ne vas pas être déçu. Je vais aussi te bâillonner car tu vas tellement jouir que je ne veux pas que tu réveilles tout le quartier.

 

Il se laissa bâillonner et Catherine reprit sa pipe. Pendant ce temps, un des deux mecs faisait de même avec son copain. Je mouillais comme une fontaine et posa le gsm sur la position film. Ainsi, je me mis à poil et je me branlai. Rien qu’à y penser, j’en ai envie.

 

Caroline glissa une main entre ses jambes et sans retenue imprima un léger va-et-vient.

Après quelques temps ils changèrent de position et ce fut deux beaux braquemarts fiers et arrogants qui se présentèrent devant Catherine.

« Et maintenant, dit Catherine, mes deux petites salopes vont te faire connaître des sensations que tu n’as jamais connues.

 

Elle le détacha, le coucha sur une table et attacha les mains.

« C’est pour mieux profiter de toi. T’aimes ?

 

Il fit oui de la tête.

« Et maintenant, je vais te présenter mes deux bonnes copines.

 

Les deux apollons se mirent juste en face de lui. Catherine enleva le bandeau et là, je vis le regard de ce petit mec s’ouvrirent en grand. Il s’affola mais le bâillon l’empêcha de parler.

« On fait moins le fier ! Comme cela, tu insultes mes copines en les traitant presque de putes ? Mes deux bonnes copines sont des amies très proches de Florence. Elle t’a dit que des amis gays à elle aimeraient t’initier ? Ben voilà, ils sont là devant toi. Tu aimerais qu’ils t’apprennent deux ou trois trucs ? »

 

Il fit non de la tête et pour le punir, elle lui mit le poppers de nouveau sous le nez. Il bandait toujours.

« Pourtant, je vois que tu bandes encore ma petite fiote. Je crois que tu adorerais cela. Tu veux essayer ? Montrez-lui ce que vous lui feriez ! »

 

Un des deux apollons se baissa et l’autre, sans ménagement, s’engouffra dans le cul offert. Je n’avais jamais réellement vu deux mecs s’enculer, mais je te jure que cela m’a excitée à mort. T’en as déjà vu ?

éNon !

Tu devrais, » dit-elle en se caressant le sexe.

 

Jean avait le visage en sueur, essayant de se libérer de ses liens, mais Catherine experte en nœuds de toute sorte, l’avait solidement attaché. Elle siffla un coup et sans rien dire, les deux mecs changèrent de rôle. Au bout d’un moment, Catherine prit la pine de la victime et comme une vache elle l’a trait.

« Je suis sûre que tu voudrais que je te fasse jouir ?

- Oui, dit-il simplement.

- A une seule condition ! Soit tu deviens le jouet de ces deux mecs pendant le reste de la soirée, soit je te fais un cadeau, et tu devras le porter tout le temps sur toi tout le reste de la nuit. »

 

Elle lui enleva le bâillon.

« Quel cadeau ? demanda-t-il ?

- Je te le dirai après ! Choisis ? Ces deux belles queues pour toi tout seul, ou mon petit cadeau ? »

 

Le choix fut vite fait ! Il prit le cadeau.

« Et c’était quoi ?

Un beau et gros plug ! »

 

Catherine le détacha et lui ordonna de se le mettre dans le cul. Il refusa d’abord, mais les deux impressionnants braquemarts juste en face de lui eurent raison de son manque d’élasticité. Le plug mit, Catherine lui mit un collier et l’attacha à une laisse.

« En fait mon cadeau est en plusieurs parties. Il y a le plug que tu devras garder dans ton cul, ce collier, et cette laisse de chienne. Et tu vas me suivre dans un club très privé. Je peux juste te rassurer que personne ne te touchera. Et si tu me désobéis ou si tu émets le moindre son sans que je ne te l’aie demandé, ces belles bêtes viendront remplacer le latex que tu as en toi ! Compris ? »

 

Il opina du chef.

 

« Et elle partie où avec lui ?

Dans un club de SM. J’ai reçu un sms juste avant que tu n’arrives déjeuner. Elle me disait qu’elle aimait cela, car rien qu’à voir les autres soumis, il s’est mis à bander comme un âne.

Et les deux mâles sont aussi allés avec elle ?

Oui mais juste les déposer ! Ils sont revenus ici et j’ai pu assouvir quelques fantasmes que je te raconterai peut-être une autre fois ! Mon Dieu, quel pied ! Bon, je vais aller m’habiller dignement car les parents de ce cher Rodrigue nous invitent à dîner. Je vais me raser toute la journée mais je crois que mes deux orifices ont besoin d’un peu de repos ! »

 

Elle se leva et m’embrassa sur la bouche. Je restai là seule à siroter mon café froid.

 

Les deux semaines qui suivirent furent routinières. Emma disparut avec son fiancé de façade pour un voyage exotique, cadeau de fiançailles. Steve, toujours fidèle à lui-même, se branlait gentiment dans les strings que je laissais volontairement dans la buanderie. Il me touchait un petit peu car je le sentais très mal dans sa peau. Jacques partit les deux semaines à Paris pour son boulot. Le gros point noir était Florence dont je n’avais pas eu de nouvelles. Juste un sms me disant qu’elle avait beaucoup de boulot et n’avait pas le temps de me voir.

 

 

Chapitre 7 à suivre...

Signé : Un mari Heureux, sur Dotissimo.fr

Par Un Mari Heureux - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : sexblog
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Commentaires

Je la trouve de plus en plus passionnante cette histoire dans cette famille bourgeoise
commentaire n° :1 posté par : brunobi le: 19/08/2010 à 21h40

Et tu n'es pas au bout de tes surprises, mon cher Bruno...

réponse de : Sophie de R. le: 22/08/2010 à 00h20
Histoire qui me prend tout entier. j'adore lire ces turpitudes bourgeoises !
commentaire n° :2 posté par : Patricio le: 20/08/2010 à 14h43

Et moi donc, moi qui ai toujours entendu dire pis que pendre sur les "bourgeois", groupe social honni par l'aristocratie...  ;-)

réponse de : Sophie de R. le: 22/08/2010 à 00h26
Super excitant, je bande sur, et je me branle en lisant cette putain d'histoire. Trop cool mec.
commentaire n° :3 posté par : Steeven le: 21/08/2010 à 22h19
Beau recit, bonnes idées, hisoire super bandante. Il existe quand meme de belles salopes !
commentaire n° :4 posté par : Stan le: 25/08/2010 à 14h22

Eh oui, et encore heureuex, sinon, vous les mecs, cvous seriez trop tristes !

réponse de : Sophie de R. le: 27/08/2010 à 15h07
Merci pour tous vos commentaires positifs sur mon histoire. Sur Doctissimo, j'arrive à la fin de cette histoire mais rassurez-vous, vous aurez encore beaucoup de chapitres àlire sur le site de Sophie.

Merci à toi chère Sophie de me publier.

Bises

Un mari heureux

De temps en temps, je viendrai vous lire.
commentaire n° :5 posté par : unmariheureux le: 16/09/2010 à 16h49

Ils sont plus que mérités, et je te remercie encore de m'avoir autorisé la publication de ton histoire si excitante !

réponse de : Sophie de R. le: 17/09/2010 à 20h41
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