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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Arrivées, Caroline décréta qu’un bon restaurant nous ferait oublier nos fatigues.

« Mais avant, j’ai envie de toi ! La selle du vélo m’a échauffé le clito comme jamais. Un ancien copain, Xav qu’on le surnommait, vantait le pouvoir érotique de cet engin. Maintenant, je vois qu’il a raison.

- Il n’y a pas que toi que cela a chauffé.

- Alors viens me montrer ta petite chatte toute luisante que je la lèche complètement, pendant que j’utiliserai ton cadeau… »

 

Je me déshabillai. Caroline fit de même. Adossée à un fauteuil, je la vis prendre le double vibro acheté hier et le présenter devant sa chatte.

Elle devait être bien excitée car le vibro entra facilement. Je la voyais fermer les yeux et être remplie. Puis, elle plia le vibro et le dirigea vers l’entrée de derrière. Elle s’accroupit et tout en me regardant, elle s’empala.

 

A quatre pattes, telle une féline se jetant sur sa proie, elle vint vers moi. Juste par le spectacle offert, je me branlai énergiquement.

« Tiens ! me dit-elle en me donnant la télécommande. Fais de moi ta chose et permets-moi lorsque tu en as envie de jouir. »

 

Je souris et actionnai directement les vibrations.

« Salope ! Tu triches ! »

 

Elle tortillait du derrière. Le vibro lentement s’ôtait de son œillet.

« Mets-toi contre le fauteuil et recule. Il ne partira plus ! »

 

Elle m’obéit, et se positionna contre le bas du siège. Pour ma part, je me couchai sur le carrelage froid et, en écartant les jambes, je présentai ma vulve luisante et avide de plaisirs. Caroline ancra un doigt dans mon sexe. Elle le ressortit et le lécha lentement. Je diminuai les vibrations.

 

Un peu plus à l’aise, elle remit son doigt au chaud et le fit ressortir mais au lieu de le lécher, elle vint caresser mon petit œillet brun. J’aimais que l’on me caresse les fesses mais jamais on ne m’avait prise par là. Elle remit ma cyprine sur l’entrée de service et massa encore et encore. Je gémissais. Mon œillet assez dilaté, elle posa le bout du doigt et me dit :

« Maintenant, empale-toi sur mon doigt. »

 

Je dus lâcher la télécommande et avec l’aide de mes mains, j’avançai mes fesses vers le doigt inquisiteur. L’entrée se fit doucement. Je n’eus pas mal comme je le craignis. Je repris la télécommande et augmenta les pulsations. Elle se cambra un peu mais ne quitta pas ma grotte. Le doigt tourna et en forçant un peu à chaque mouvement elle agrandi mon trou tout en relâchant les muscles anaux. N’y tenant plus, je commençai à me branler.

Elle ôta ma main.

« Tu vas jouir avec ton cul ! Laisse ta petite chatte bien chaude tranquille. »

 

  Sans que je m’en aperçoive, un deuxième intrus entra dans mon fondement. Une petite douleur arriva mais le plaisir prenait furtivement le dessus.

« Encore, murmurai-je.

- Tu aimes, ma chérie ?

- Oui ! Encore ! »

 

Pour toute réponse, elle tourna encore ses doigts délicatement mais fermement. Je sentis ses doigts buter contre mes parois internes. Mon sexe devait dégouliner car je sentis un filet couler sur ma peau. Ce qui devait arriver, arriva. Un troisième entra en moi. Puis elle ne bougea plus, me laissant apprécier l’heureux invité et à m’y faire.

« Tu apprécies ?

- Oui, râlai-je. Je sens que cela vient.

 

Etant prise par les sensations nouvelles, j’oubliai la télécommande et la laissa choir. Caroline la prit et arrêta les vibrations. Ses doigts imprimèrent un lent va-et-vient et à chaque intromission, je gémis un peu plus. Mon œillet était bien dilaté et la jouissance arrivait lentement. Puis, subitement, elle retira ses doigts.

« Oh Non ! Laisse-les.

- Chut ! Laisse-toi faire… »

 

A peine, eurent-ils quitté l’ardent fourreau qu’ils réinvestirent le lieu. Je criai. Le plaisir et la douleur se mélangeaient, se confondaient. J’adorais. Lorsqu’une énième fois, elle les ôta, ils ne furent pas remis à leur place mais je sentis le bout rond d’un objet.

 

Caroline avait enlevé de sa jolie chatte, le morceau du vibro et présentait le chibre devant ma grotte interdite. 

« C’est trop gros !

- Tu te répètes ! Laisse-moi en juger… »

 

Je ne pus résister et je sentis inexorablement le pieu de jelly m’envahir. Qu’il était gros mais qu’est-ce qu’il me faisait du bien. Au bout d’un moment, Caroline s’arrêta.

« Tu sais que tu as le cul rempli entièrement ? Le vibro est complètement dans ton joli derrière. Et maintenant, tu vas en jouir. »

 

Elle activa la télécommande au maximum. Une onde de choc s’introduisit dans mon corps. Je planai littéralement. Caroline, le chibre toujours en elle, se mit à gémir. Elle se coucha sur moi mais j’eus le temps de poser ma main sur son petit bouton, et je le branlai comme jamais.

Furieuse, elle fit de même mais planta deux doigts dans mon petit corail aussi humide que lorsqu’il est dans les mers chaudes. La jouissance arriva vite mais différentes des autres fois. Celle-ci était plus profonde, plus lente mais plus puissante.

On atteint le plaisir ultime presque en même temps. Caroline réussit à se retenir plus longtemps afin de me contenter en première. On s’endormit, fauchées par la fatigue.

 

Vers huit heures, elle me réveilla et me dit :

« Il est temps d’aller manger ma chérie. Tiens, voici ta tenue. »

 

J’ouvris les yeux et en émergeant je vis la tenue proposée. Je déglutis. 

« Mais c’est…

-   Sexy ? Oui ! Très. Va prendre une douche et mets-la.

 

La robe en soie très fine était presque transparente et lorsque je la mis j’étais carrément nue à la vue de n’importe qui. Mes seins étaient comprimés et menaçaient de sortir à chaque instant. Mes fesses n’étaient recouvertes qu’à moitié. La seule chose qui cachait un peu ma pudeur fut un mini string qu’elle accepta de me donner. J’étais une vraie prédatrice.

« La soirée va être chaude », me dit-elle.

 

Caroline portait une robe blanche fleurie. Les volants s’arrêtaient très haut sur les cuisses, mais contrairement à moi, elle ne portait rien en dessous.

Nous partîmes. On arriva au restaurant. Le maître d’hôtel eut les yeux exorbités en me voyant.

On s’assit sur la terrasse. Nous commandâmes du champagne.

« Tu es sublime, ma chérie.

-   Merci.

-   Comment te sens-tu dans cette robe ?

-   Pour être franche, je me sens un peu gênée. Par contre, le fait de voir les regards que l’on pose sur moi, me rend fière de moi.

-   Modeste, en plus ! » dit-elle en me taquinant.

 

Nous primes l’apéritif. Je restai silencieuse. Caroline interrompit mes rêveries. 

« Tu penses à Natacha ?

-   Oui, excuse-moi.

-   Ce n’est rien. Je dois dire que son histoire m’a un peu bouleversée. Et puis, elle avait l’air de t’apprécier.

-   Comment ?

-   Lorsque tu l’as consolée, elle avait l’air d’aimer cela un peu plus que la normale. D’ailleurs, n’a-t-elle pas dit que chacun était en droit d’aimer qui il le voulait.

-   Oui mais cela ne veut rien dire.

-   T’aimerais ?

-   Quoi ?

-   Qu’elle succombe à tes charmes !

-   Je mentirai en disant non mais ce soir je suis avec toi.

-   Profites-en bien, car dès mardi, ce ne sera plus le cas.

-   Quoi ? fis-je remplie de craintes.

-   Du calme ! Mardi, je pars une semaine à Paris en séminaire.

-   Une semaine !

-   Oui, d’ailleurs il faudra demain soir que je te montre certaines choses et que durant cette semaine, tu sois présente à la maison tout le temps. Cela ira ?

-   Oui, pas de problème.

-   Et puis, jeudi, si tu as envie de passer du bon temps, le jardinier sera là.

-   Arrête ! je ne suis pas en manque à ce point !

-   Bah, il n’y a pas de mal à se faire du bien ! Surtout s’il sait manier ses outils !

-   T’es toujours en chasse ?

-   Non mais je profite des occasions qui se présentent. Cela ne durera pas éternellement. Et puis, j’ai des besoins.

-   C’est vrai.

-   Tu me conduiras à la gare ? Au fait, tu as ton permis de conduire ?

-   Oui, mais pas de voiture !

-   Tu profiteras de la mienne durant la semaine alors, mais fais-y attention !

-   Promis, t’es chou. Séminaire veut dire rencontres !

-   Et comment ! Le dernier fut très instructif question droit mais question baise, ce fut aussi très jouissif. Je me rappelle d’une superbe Italienne. Elle parlait beaucoup avec ses mains mais elle savait manier aussi bien la langue.

-   Juste une Italienne ?

-   Non ! Pour qui me prends-tu ! Il faut toujours agrandir le cercle intime à ses invités… Juan, l’Espagnol ! Il en avait une sublime et si endurante. Une nuit entière, juste lui, mon italienne, une Allemande et moi. Il nous a comblées par tout ce qui peut s’appeler un orifice, toutes les trois, sans faiblir une seule fois !

-   Il devait être dopé au viagra ?

-  Je ne sais pas mais lorsqu’il a lâché la tension qu’il avait en lui, toutes les trois nous fûmes gavée par le précieux liquide.

-   Et qui encore ?

-  Peter, puis Marta, puis Solange. Celle-là avait un piercing sur le clitoris. Elle me disait qu’elle était toujours chaude avec cela et que je devais m’en mettre un.

-   Il parait oui !

-   J’ai hésité mais quand tu sais qu’il faut plusieurs semaines pour cicatriser.

-   Cela fait beaucoup d’abstinence, fis-je en riant.

-   Tout juste.

-   Et c’est tout ?

-   Mais tu crois que je suis une salope qui baise à tout va !

-   Ben, pas jusque là, mais cela s’en rapproche parfois !

-   Mmm. Je crois que tu as raison.

-   Et tu vas seule ?

-   Non, je vais avec Florence.

-   Florence ? dis-je surprise.

-   Ben oui, Florence. Tu ne serais pas jalouse ?

-   De qui ?

-   Je n’en sais rien d’elle ou de moi en sachant ce que je fais aux séminaires à part écouter l’orateur.

-   Non, je ne suis pas jalouse. Surprise, c’est tout ! Et tu crois que…

-   Si l’occasion se présente Florence en profitera. Bien sûr ! Et sans vouloir t’offenser, j’espère profiter aussi d’elle. Enfin, si tu me donnes ta bénédiction.

-   Je ne crois pas que tu as besoin de mon accord. T’es assez grande pour savoir ce que tu fais de tes fesses. Mais rassure-toi, je ne suis pas jalouse du tout. Je t’aime énormément et j’aime aussi Florence. Mais je ne suis amoureuse ni de toi, ni d’elle. Alors, si vous vous gamahuchez tous les jours, faites-le.

-   C’est comme cela que je vois aussi la vie. Mais merci quand même. »

 

 

Le repas arriva et le silence se fit.

« Fais semblant de rien, mais je crois que tu as une touche avec le mec là-bas, me dit Caroline discrètement. Il ne cesse de te regarder.

-   Où ?

-   A ma droite. »


 

Je jetai un œil discret.

« Pas mal ! Dommage qu’il soit accompagné.

- Si tu veux, je m’occupe d’elle !

-  Tu ferais cela ?

-  Pas de problème, elle mignonne tout plein.

-   Oui mais si elle ne veut pas ? répliquai-je.

-- Si je n’arrive pas à la séduire, et surtout à lui faire grimper les rideaux ce soir, je ne  m’appelle plus Caroline.

- -  Vantarde.

-- On verra. Par contre toi, c’est déjà dans la poche. Il en bave presque. »

 

 

A suivre....

 

Par Un Mari Heureux - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Au royaume des salopes
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