Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
La femme de l’inconnu, restée relativement passive jusque là, prit la main de mon épouse pour la faire sortir de ce cinéma où il ne faisait plus bon traîner. N’ayant pas d’autre choix que de la suivre, je partis à leur poursuite. L’inconnu semblait se désintéresser de nous, tout occupé à se rhabiller. Elles partirent en courant vers le quartier rouge. Cela n’était pas pour m’étonner ,compte tenu de ce qui s’était passé au cinéma ,ni pour me déplaire car j’avais vraiment été excité au cinéma sans pouvoir jouir. Deux femmes rien que pour moi, si toutefois elles m’acceptaient dans leurs jeux.
Elles rentrèrent dans une de ces maisons avec vitrine, et le temps que j’arrive, le rideau était déjà tiré. Je frappai à la porte. Enfin, elle s’ouvrit et une femme en vinyle et cuissardes apparut sur le seuil et me demanda :
« Que veux-tu ?
- Ma femme vient de rentrer avec une inconnue, puis-je entrer ?
- Entre, mais tu vas peut être le regretter. »
J’entrai sans réfléchir, sans avoir vraiment entendu la fin de la phrase, inquiet d’avoir perdu ma femme dans une des capitales du vice.
Elle referma la porte à clef, enleva la clef de la serrure, tira le rideau.
« Suis-moi, désormais tu m’appartiens, toi aussi. Je vais vous apprendre les règles de cette maison. »
Sans réfléchir à la portée de ses paroles, je la suivis avec pour seul objectif de retrouver ma femme que je ne voyais, ni n’entendais.
Le couloir était long et sombre. Elle me fit rentrer dans une pièce, et avant que je ne me rende compte de quoi que ce soit, elle ferma la porte. Je me trouvais plongé dans l’obscurité sans savoir où j’étais, sans savoir où ma femme était, un comble !!!
Je commençais vraiment à m’inquiéter. Je regrettais presqu’être allé dans ce cinéma et d’avoir rencontré ce couple d’inconnus qui nous avaient embarqué dans une aventure que je maitrisais pas du tout. J’essayais de tendre l’oreille pour entendre ma femme. Pas un bruit. J’étais plongé dans l’obscurité et je ne voyais absolument rien dans cette pièce. Je me mis à faire le tour à tâtons… La pièce était petite, de forme carré, trois pas de chaque côté et pas un seul meuble.
Elle me faisait penser à un cachot, à une chambre de mitard même si je n’en avais jamais visité. Il n’y avait pas d’odeur désagréable non plus. Après un temps qui me parut interminable, 30 minutes au minimum, j’entendis une clé dans la serrure. La porte s’ouvrit, la lumière me faisait presque mal aux yeux après avoir été plongé dans cette obscurité.
« Veux-tu rejoindre ta femme ?
- Oui, naturellement !
- Mets-toi à genoux, et les mains dans le dos. »
Tel un prisonnier en garde à vue, je m’exécutai sans douter de ce qui allait m’arriver. Elle passa derrière moi et m’attacha les mains avec des menottes. J’étais de plus en plus inquiet
« Que faites-vous ? lui demandais-je
- Tais-toi. Je vais te donner quelques règles de vie si tu veux revoir ta chère et tendre. »
Je ne la voyais pas car nous étions dans la pénombre, je devinai juste ses cuissardes de cuir noir avec des talons aiguille d’une dizaine de centimètre. Cette odeur de cuir ciré était vraiment très agréable.
« Première règle : m’appeler Madame K.
Deuxième règle : ne jamais me tutoyer.
Troisième règle : ne parler que si je te donne la permission de le faire.
Quatrième règle : écouter scrupuleusement mes instructions.
Cinquième règle : ne jamais me désobéir sinon c’est ta femme qui sera punie.
Elle égrenait les règles du jeu, et j’étais vraiment inquiet car je n’avais pas l’impression de participer à un jeu entre amis. Pourtant, nous avions l’habitude de pratiquer certaines mise en scène en France, entre libertins consentants dans des clubs que nous fréquentons depuis des années avec des amis.
Dans le même temps, je ne voyais pas comment j’allais refuser de prendre part à ce que j’avais de la peine à définir. Jeu sm sans danger, ou piège tendu par cette femme inconnue avec la complicité d’une prostituée parlant parfaitement la langue de Molière ?
Dans tous les cas de figure, nous étions à sa merci….
Madame K se plaça derrière moi, puis me passa un collier de chien. Pendant qu'elle accrochait ma laisse, elle me dit :
« Dorénavant, tu ne marcheras plus qu’à quatre pattes.
- Euh… oui, Madame K.
- Toi, c'est la première fois que tu viens ici ?
- Oui Madame, répondis-je aussitôt d'une voix timide.
- Pas Madame, Madame K. me fit-elle avec un sourire.
- Bien, alors on y va le chien, ta Maitresse et femme t'attend ! Contente-toi de bien obéir, et tu verras, tout se passera bien. »
Je suivis la jeune femme jusqu'à la porte. Une fois ouverte, la musique arriva jusqu'à mes oreilles. On changeait de décor. Je fus assez heureux pour mes genoux de découvrir de la moquette assez
épaisse. On arriva bientôt dans un grand hall, où plusieurs personnes conversaient, visiblement en m'attendant. On fit le tour d'un petit comptoir, et je reconnus immédiatement les
chaussures de ma femme. J'étais d'un coup plus rassuré. Elle était bien là.
J'avais soudainement une envie folle de me jeter à ses pieds, d'embrasser et de frotter ma joue contre ses
chaussures pour lui montrer mon amour, comme un bon chien fait la fête à sa maîtresse quand il la retrouve. Néanmoins, je me rappelai vite les consignes. Je restais sage, et m'assis aux
pieds en gardant une position bien soumise. Madame K tendit la laisse à ma femme :
« Tenez, Mademoiselle.
- Merci, il a été sage au moins ?
- Un bon toutou ? Il a l'air un peu perdu, mais il est bien élevé.
- Oui, c'est la première fois que je l'amène, mais il est plein de bonne volonté, j’en suis sure. Je suis certaine qu'il va être parfait.
- Alors bonne soirée, Mademoiselle.
- Merci », fit ma femme, alors qu'elle prit la direction d'une double porte.
Je découvrais ma femme dans un rôle totalement inconnu pour moi. On dirait qu’elle avait très bien préparé son
coup !
Une autre Femme, habillée exactement comme celle qui m'avait reçu, nous ouvrit la porte. La musique se fit plus forte, mélangée à des voix qui s'amusaient. Mais bien entendu, il n'y avait
que des voix féminines, car j'entrais sans le savoir encore, dans le royaume des Femmes. Je suivais donc ma femme devenue ma Maitresse, en faisant bien attention de rester bien à la hauteur
de ses pieds. Il ne fallait pas que je la gène d'aucune manière. Je l’avais vite compris ! Je me pris au jeu que je découvrais…
J'étais donc très attentif à la vitesse de son pas. Je marchais à sa droite, et le plus délicat était justement les virages à droite. Je devais anticiper, sentir ce changement de direction.
Je découvrais ce royaume, et il y avait plein de choses à observer. Pourtant, je restais concentré uniquement sur ma tâche. Un virage à droite sans que j'y fasse attention, et c’est
ma maitresse qui me rentre dedans et perd l'équilibre.. Ca aurait été une catastrophe !
Et justement, nous allions vers la droite, vers un bar tout en longueur. Ma femme s'installa sur un haut tabouret. Je m'assis donc à ses pieds, les fesses sur les talons, les mains dans le dos, la tête légèrement baissée. Elle commanda une coupe de champagne, et moi je pouvais tranquillement observer cet endroit idyllique. Ce monde merveilleux où la Femme est reine, enfin à sa place, respectée, aimée, libre d'être enfin heureuse. Je sentais ma Maitresse et femme complètement épanouie, nageant dans le plus grand bonheur. Elle me caressait la tête, me gratouillait la nuque avec ses ongles, comme on le fait avec son chien assis à ses cotés.
Le vrai bonheur de toutes ces Femmes, était qu'ici, il n'y avait pas d'homme.
Ces Femmes avaient compris où était leur bonheur. Ici, il n'y avait que des mâles soumis, des petits chiens, des esclaves. La nudité était de rigueur. Il fallait ramener l'homme dans son
plus simple appareil, dans son état le plus primaire, à sa place. Les habits et toutes les jolies choses, étaient exclusivement réservés aux Femmes. Même si mon champ de vision était assez
bas, j'avais pu lire à l'entrée, sur une jolie petite plaque, que les mâles devaient obligatoirement être tenus en laisse. Aucune exception n'était tolérée. Ici, un mâle en liberté était
inconcevable.
C'était une grande salle avec des petits salons entourés de fleurs, une piste de danse, et tout au fond, une large scène éteinte. Sur la gauche, à quelques mètres d'où nous étions arrivés,
il y avait un autre vestiaire. Quand les maîtresses voulaient être tranquilles pour s'amuser, danser, où discuter entre amies, elles pouvaient alors ranger leurs mâles dans ce vestiaire, adapté
pour la circonstance. Une jeune Femme, habillée toujours de la même façon que celle qui m'a accueilli, se chargeait de nous récupérer dans la salle pour nous ranger ensuite, tant que
la Maitresse n'avait pas besoin de nous. On m'expliqua qu'au départ, tous les mâles étaient dans une même pièce. Libres. La générosité et la bonté des Femmes nous avaient autorisé un
peu de liberté.
Il y avait beaucoup de monde de soir là. Les Femmes étaient toutes très belles. Les mâles tous aux pieds. La jeune Femme qui m'accueillit avait raison. Chaque Maitresse avait ses habitudes, ses préférences. Je pouvais voir des petits chiens comme moi marcher à quatre pattes. D'autres marchaient debout derrière elle, les mains menottés dans le dos, la tête basse. Ils s'agenouillaient alors dès que leurs Maitresses s'arrêtaient.
Chaque soumis avait une identité différente. Je pus voir passer devant moi un très joli chien. A quatre pattes
bien sûr. Il avait une muselière. Il n'avait plus de main, mais de vraies pattes. Une sorte de gant passé à chaque main, mais au bout, c'était de vraies pattes rembourrées avec leurs petites
griffes. Il avait aussi une magnifique queue en panache. C'était une fausse bien sûr, fixé sur un gode qui était correctement planté dans l'anus du soumis. J'avoue qu'il était très beau.
Il y avait ceux qui portaient des chaînes, reliant leurs chevilles entre elles, ou leurs mains, parfois relié au collier du cou. Certains étaient tatoués, percés. D'autres avaient des baillons boules, des mors, des rosebub très jolis.
Pour le sexe, il y avait deux conceptions qui parfois étaient sujet de discordes parmi les Maitresses. Il y avait celles qui préféraient que leurs mâles aient un sexe en érection, bien droit, fier, afin de montrer à tous le monde le désir qu'il éprouve pour leur Maitresse.
Et puis il y avait celles qui trouvaient cela vulgaire. Certaines s'étaient plaintes, mais la direction voulait laisser le libre choix aux Maitresses d'exhiber leurs mâles comme elles le souhaitaient. Par contre, il était demandé que chaque mâle soit rasé, symbole de soumission. Pour les mâles velus, une belle toison sur le torse était tolérée à condition qu'elle soit correctement entretenue.
Ce lieu offrait aux Femmes tout ce qui était possible pour leur confort.
Les rapports sexuels n'étaient pas autorisés dans la salle. Il y avait néanmoins une petite tolérance. En étant discret, dans certains petits salons où la lumière était plus tamisée, les
Maitresses pouvaient faire venir les mâles entre leurs jambes pour se faire prodiguer un petit cunnilingus.
Pour les Maitresses qui voulaient davantage, il y avait à l'étage des petites chambres spécialement étudiées pour que
chacune puisse jouer avec leurs soumis, selon ses désirs. Avant de gagner les chambres, il y avait une petite pièce où une Madame K K travaillant dans l'établissement fournissait tous
les instruments pouvant agrémenter le jeu des Femmes.
On pouvait y retirer des martinets, cravaches, pinces, gode ceinture, chaînes de longueur diverses.
Dans chaque chambre, il y avait un lit, des anneaux au plafond et aux murs. Il y avait aussi une grande chambre
commune, ou plusieurs Madame K Ks pouvaient s'amuser ensemble en accouplant leurs mâles entre eux, afin de les humilier davantage.
Au sous sol, Il y avait cinq Maitresses, spécialisées dans le dressage des mâles soumis. Pour diverses raisons, les Femmes pouvaient donc inscrire leurs soumis pour une ou plusieurs séances,
ou alors pour un dressage complet.
J'entendis la Femme qui discutait avec ma nouvelle Maitresse au bar, lui expliquer qu'elle avait préféré confier son
mari à des mains expertes. Ainsi, chaque vendredi soir, elle amenait son mari au dressage. Elle confiait à ma Maitresse que les résultats étaient surprenants. Son mari était un ancien
directeur de banque, macho à souhait. Et depuis un mois qu'il avait commencé à être dressé, ses progrès étaient saisissants et prometteurs. La transformation de mari en mâle soumis ravissait
la Femme. Ma Maitresse ne fit que l'encourager à poursuivre, lui vantant avec bonheur la joie de posséder un bon chien obéissant et docile.
Il y avait parfois des ventes de soumis pour les Femmes seules désirant acquérir un mâle. Le prix était raisonnable. Ce n'était pas pour gagner de l'argent. Ici, le bonheur des Femmes était
prioritaire. Mais le prix servait à couvrir les frais de recrutements et de dressage. Et le cercle garantissait une soumission la plus totale, sélectionnant avec soin les mâles les plus
soumis.
On pouvait assister à une séance de punitions collectives, ou d'humiliation publique.
Mais le cercle offrait encore davantage. Il possédait deux immenses propriétés, toujours pour le bonheur des Femmes.
Une, dans le sud de la France, était spécialement conçue pour recevoir les Maitresses pendant des séjours de vacances.
Là aussi, tout était prévu pour qu'elles puissent venir librement avec leurs mâles soumis.
L'autre propriété se situait au sud de la Hollande. C'est là notamment que le cercle transformait les hommes en bons petits chiens.
Je fut tiré de mes observations quand ma Maitresse me présenta à deux nouvelles connaissances qui venaient
d'arriver.
« Marco, je te présente de très bonnes amies à moi. Maitresse Carole et Maitresse Sandrine.
- Tu le gardes avec toi ?
- Oui, il est sage. Et pour la première fois je préfère le garder avec moi. Il se couchera aux pieds. »
Je suis resté une bonne heure couché aux pieds de ma Maitresse pendant qu'elle s'amusait avec ses amies. Elle avait retiré une de ses chaussures afin que je puisse m'occuper avec ma langue. Je
lui léchais amoureusement, tétant l'un après l'autre chaque doigt de pied. Nous sommes restés encore une petite demi-heure, les mâles couchés aux pieds de leurs Maitresses respectives. Puis nous
sommes partis.
Je refis le chemin inverse de mon arrivée. Je repassai donc avec Madame K qui m'avait accueilli. Je pus me rhabiller et sortir.
Quelques minutes plus tard, ma femme et nouvelle Maitresse, sortit à son tour par la grande porte, heureuse, épanouie. Elle avait enfin trouvé le monde qui lui convenait. De retour à l’hôtel, elle m'ordonna immédiatement de prendre une douche, et de l'attendre sur le lit, couché sur le dos. Ma femme arriva peu après, vint sur moi, et se fit l'amour sur mon sexe plein de désirs.
Quand elle eut crié son plaisir, vaincu par la fatigue de toute cette merveilleuse journée, elle m'ordonna de gagner ma nouvelle place aux pieds du lit….
Si j’avais su à quoi je m’exposais quand j’ai suivi ma femme dans cette « vitrine »… Je ne sais pas si je serai entré ou pas ! J’ai découvert un nouvel univers qui me plait et me fascine…
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