Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Une année, lors d'un voyage en Hollande avec ma femme, nous étions allés un soir faire une sortie coquine à Amsterdam. C’est un lieu
incontournable quand on se trouve dans ce pays et qu'on est un tant soit peu ouvert aux plaisirs du sexe.
Nous faisions la tournée des sex-shops dans le quartier rouge et mon attention a été arrêtée par un panneau invitant à rentrer dans un
cinéma projetant des films avec des animaux. Ma chérie, voyant que je marquais un temps d'arrêt devant ce panneau, me demanda si je voulais entrer, je lui répondis que c'était un vieux fantasme
et que je serais ravi de rentrer voir ça !
Nous voilà donc dans une salle obscure, où tournait en boucle un film dans lequel une jeune femme, plutôt bien de sa personne, profitait
des attributs virils de son chien, et même, à un moment, d'un poney.
Nous étions assis dans la même rangée qu'un couple que nous ne vîmes qu'une fois que nos yeux se furent habitués à la
lumière.
Une place vide se trouvait entre ma femme et l'homme du couple voisin.
Rapidement, je fus excité par les images de la femme qui, à quatre pattes sur le sol, se faisait vigoureusement baiser par un gros
chien. On voyait la grosse bite rouge entrer et sortir de sa chatte toute dégoulinante de sperme canin. Je bandais ferme, et ma femme, dont la main était posée sur ma braguette, me regarda avec
un petit sourire. Elle me dit à l'oreille de l'aider à sortir ma queue discrètement pour qu'elle puisse me branler.
Je lui fis remarquer que l'homme non loin d'elle était dans le même état que moi et ne se cachait pas. En effet, il était pantalon
défait, la queue bien visible malgré la pénombre, le gland brillant et décalotté, et la main de la femme à côté de lui qui lui caressait les couilles.
Nous vîmes aussi qu'il regardait de notre côté, et particulièrement, qu'il détaillait ma femme avec appétit.
C'est donc sans nous cacher que je me suis mis à l'aise, et que je me suis fait prendre en main par la petite mimine de ma chérie. Dans
le même temps, j’envoyais la mienne en reconnaissance sous sa jupe longue, que je fis remonter pour avoir accès plus facilement à sa chatte.
C'est une chatte bien coulante que je découvrai entre ses cuisses et je lui fis remarquer que mon fantasme avait l'air de bien l'exciter
elle aussi. Elle prétendit que c'était la situation avec le couple à côté de nous en train de se caresser et de nous mater qui l'excitait. Je découvrais donc ses cuisses largement, lui fis
écarter les jambes pour que son voisin puisse admirer ses trésors humides… Ce qu'il ne se priva pas de faire. La femme située à côté de lui, elle aussi se pencha au dessus de lui pour nous
regarder nous exhiber devant eux.
Ils nous souriaient et avaient l'air fort avenant. Nous mations et nous exhibions tous les quatre. Mais nous continuons de regarder
l'écran, où la femme maintenant était en train de se faire défoncer par un poney. Elle était allongée sur le ventre sur un banc prévu à cet effet, et à la bonne hauteur. Ainsi, elle dirigeait
vers son con grand ouvert, la queue monstrueuse, terminée par une sorte de champignon d'où s'écoulait un sperme abondant. De sa chatte sortait aussi un trop plein de sperme animal et dégorgeait
jusque sur ses cuisses. L'animal poussait violemment son vit démesuré dans le ventre inondé de la femme dont les quelques gros plans sur le visage laissaient à penser qu'elle y prenait un plaisir
intense.
Il était incroyable de voir cette grosseur entrer si facilement dans cette fente humaine ! Il faut dire que la bête
coulait abondamment et qu'elle poussait si fort qu'il fallait bien que les chairs s'écartent pour laisser passer son ardeur bestiale ! D’ailleurs, celle-ci était bien dirigée par la main même de
la femme.
Cette scène accapara tellement notre attention que nous ne vîmes par nos voisins se rapprocher de nous. C’est seulement quand la main de l'homme vint se joindre à la mienne pour caresser le con
gluant de ma petite salope, que nous en prîmes conscience.
Ma femme me regarda, au moment où elle sentit les doigts de l'inconnu la toucher, avec un regard tout chaviré. Je l'embrassais pour l'encourager à se laisser aller à son plaisir. Elle se pencha
sur moi pour me prendre dans sa bouche, et se faisant offrir sa croupe dénudée aux mains exploratrices.
Les doigts de l'homme entraient maintenant dans la petite chatte de ma femme adorée lui faisant un bien fou. Elle adore se faire fouiller de la sorte.
Puis je vis l'homme se lever et se positionner pour embrocher ma petite pute, je le vis avec soulagement enfiler une capote sur son vit congestionné, je saisis alors cette bite tendue dans mes
doigts, en appréciant la rigidité et la longueur et la fis glisser contre les lèvres vaginales de mon épouse, la faisant attendre pour qu'elle le souhaite en elle le plus fort possible. Jugeant
enfin qu'elle avait droit à sa récompense, je le positionnais bien entre ses lèvres juteuses et le poussais à l'intérieur de son ventre.
Je lui murmurais en même temps qu'elle était une chienne, qu'elle se faisait prendre comme une chienne, que je l'aimais quand elle était bien salope comme ça et que je voulais qu'elle prenne bien
son plaisir avec la queue qui la labourait maintenant.
Elle serrait ma main avec force me faisant ainsi participer à l'orgasme dévastateur qui montait en elle. De l'autre main, je sentais la bite de l'homme entrer et sortir de ses entrailles, poussée
aussi par la main de sa compagne que je sentais par moment se joindre à la mienne.
Puis l'inconnu se jeta contre elle, le ventre collé à son cul relevé. Dans des spasmes fulgurants, il se vida de son jus épais dans le ventre de ma chérie qui hurlait son plaisir. Heureusement le
film faisait plus de bruit que nous ! Pourtant, nous avions fini, malgré le fait que nous soyons placés au fond de la salle, par attirer l'attention des autres spectateurs. Aussi, nous dûmes nous
sauver rapidement, car un attroupement d'hommes en rut, commençait à se faire autour de nous.
A suivre...
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