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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

En ce jour de Saint Valentin, je vous raconte l’une des mes plus belles expériences, le plus beau cadeau reçu, les plus grandes émotions ressenties ce jour-là…

 

 

Pierre, je le connaissais depuis que j’avais trois ans. Il avait un an de plus que moi. Nous étions des amis de vacances, de plage.

 

Cette année-là, pour mieux nous connaitre, nous sommes partis ensemble en stage aux Antilles, pour parfaire notre formation dans le tourisme.

Nous avions une journée de congé  par semaine, dont nous profitions pour aller à la plage ou faire du catamaran.

 

Lors d’une de ces journées, je lui racontai le début de ma vie très débridée sur le plan sexuel, que vous connaissez déjà (cf. « les premières de Sophie »)

 

J’avais besoin d’en parler à quelqu’un. Dans un premier temps, il eu l’air vraiment scandalisé.

« Comment as-tu pu te laisser faire ? Tu n’as pas été élevée comme ça ! 

- Je sais, mais c’était trop bon. Tu as déjà fait l’amour à une fille ? » lui demandai-je en réponse à son indignation.

Il rougit, et j’eu ma réponse. Bien sur que non. Il était puceau…

 

Cette nouvelle amena immédiatement une chaleur intense dans le bas de mon ventre. J’eu envie de tout lui apprendre, là, maintenant… Je ne l’avais jamais regardé comme un amant potentiel, mais là, lui faire l’amour me paraissait d’une totale évidence.

 

Nous étions le 14 février, jour des Amoureux. Et même si nous n’étions pas un couple, je décidait immédiatement de lui faire un joli cadeau de Saint Valentin.

 

L’endroit n’était pas le mieux choisi… Un catamaran n’a rien de confortable, et la mer est assez fréquentée en cette pleine saison haute en Guadeloupe.. D’autorité, je pris la barre, et menait l’embarcation jusqu’à une petite crique, prés de Grande Anse, accessible uniquement par la mer. Pierre me demandait où nous allions, mais je restais muette. Nous avons accosté, j’ai sorti les serviettes du bateau, et les posait sur le sable. 

« Viens ici, lui dis-je, tu vas comprendre pourquoi je me suis laissée faire ! »

 

Pierre rougit à nouveau, et en baissant les yeux, je vis qu’une jolie barre déformait son maillot de bain. Il bandait !

Sans attendre, je m’allongeais sur le sable, en tirant le jeune homme par les mains. Il chuta près de moi.

« On ne peut pas faire ça, nous ne sommes même pas fiancés !

 

Bon sang, il en était encore là !

- Pierre, tu ne vas pas rester puceau toute ta vie ! Comment feras-tu bien l’amour à ta femme le jour J ? Tu as 21 ans ! Il est plus que temps que tu connaisses les plaisirs de la chair… »

 

Il ne répondit rien, mais je voyais bien que, maintenant, son sexe avait de plus en plus de mal à rester dans le maillot. Le gland commençait à pointer hors du vêtement... Cette vision accentua mon excitation. Je n’avais jamais couché avec un puceau !

 

Il me fallait lui laisser un souvenir impérissable, qui hanterait sa mémoire pour toujours.

 

Nous étions donc allongés, seuls sur cette petite plage, le soleil commençait à baisser sur l’horizon, le décor idéal pour une « première fois. »

Je me tournais vers Pierre, lui saisissait le visage entre mes mains, pour lui poser un baiser très léger sur les lèvres… Nous nous sommes cherchés un long moment, jouant avec nos bouches, pointant une langue cuiseuse contre celle de l’autre… Notre long baiser se fit de plus en plus passionné. Le gourgandin apprenait vite ! Comme magnétisés, nos corps s’attiraient irrémédiablement, jusqu’à être comme soudés l’un à l’autre. Je sentais son sexe dur contre mon ventre. Ses mains passaient dans mon dos, de plus en plus tremblantes. Mes seins pointaient contre sa poitrine lisse. Je pris sa main, m’écartais un peu de lui, et la posais sur mon sein. Il l’enveloppa, le regarda comme un bien précieux. Ses yeux brillaient de mille feux. Il hésita un peu, effleura mon aréole, qui se durcit encore plus sous la douceur de la caresse. Sa main se fit plus ferme, comme j’aime. Il eut à nouveau une hésitation, et se pencha enfin pour mordiller ce sein bandé. Je poussais un soupir de contentement…

« Mhum, que c’est bon, n’arrête pas, prends-le entre tes lèvres, aspire, mordille, j’aime tellement ça… » 

 

En élève docile, il obéit aussitôt. Sa main me caresse, se fait plus ferme, plus rude. Il apprend vite !

En fait, pour moi aussi, ca va être une première. Je me suis décidée à lui faire une fellation. J’ai toujours refusé, ca me dégoutait plus ou moins. Mais pour lui, dont le sexe est « pur », j’en ai envie. Très envie, même.

 

J’entame une longue descente de tout son corps, en l’embrassant de centaines de petits bisous, doux et rapides. Je le picore… ses seins sont sensibles, ma langue les agace, il sursaute. Du coin de l’œil, je vois que son mandrin a pris des libertés, et a jailli de son maillot. Il est beau, de bonne taille, de fines veines le parcourent tout du long. Le gland est brillant, luisant de son désir. Il est rouge-rosé, plus foncé que le reste du sexe.

J’accélère ma descente, maintenant, j’ai envie d’y poser ma langue.

Pierre semble comprendre ce que je prépare.

« Tu ne peux pas faire ça, c’est sale ! 

 

Il a la même réaction que la mienne, un an plus tôt.

- Laisse-toi faire, pour moi aussi, c’est la première fois. Mais je sais que tu vas aimer ! »

 

Je reprends ma progression, et me saisis du membre, qui se dresse de façon insolente, dans la lumière du soleil. Il est ferme, et tressaute sous mes doigts. Je les fais coulisser de bas en haut, doucement, tendrement, comme si je caressais un objet précieux. Sa peau est douce, et presque sans m’en rendre compte, je pose me lèvres sur le coté de sa hampe raide. Elles l’effleurent, le taquine, l’agace.. Puis je sors ma langue, et la pointe sur ce membre de plus en plus appétissant. Je le lèche comme un chiot laperait du lait. C’est bon, salé,  avec un goût d’eau de mer et d’algues. J’aime beaucoup… Alors, je m’enhardis, et avale tout le gland. Il m’emplit la bouche, je suffoque un peu. Pierre gémit doucement, prononce des mots inaudibles. Son ventre se contracte sous l’effet du désir, du plaisir.

 

Moi aussi, je suis de plus en plus excitée. Je pivote, de façon à mettre mes jambes vers sa tête. Nous sommes tête-bêche.

« Caresse-moi, lui dis-je, passe tes doigts dans ma petite chatte. Elle a faim de toi… »

 

Il obtempère aussitôt, et ses doigts maladroits commencent à explorer mon intimité. Il est curieux, je le regarde un moment, il semble hypnotisé… Il examine de près ma chatte trempée. Depuis ce jour-là, j’aime énormément qu’on me regarde de très près, très en détail… Il continue son exploration, caresse mon clito, n’oublie aucun endroit de mon conin mouillé.

 

« Pourquoi es-tu mouillée comme ça ? Ca fait pourtant un moment que nous sommes sortis de l’eau ! 

Sa naïveté m’amuse : il ne sait donc rien du tout !

- C’est parce que tu m’excites, j’ai envie de toi. Quand une femme a très envie de son homme, son sexe s’humidifie, se lubrifie, pour mieux accueillir le sexe de son amant. Le nom savant est la cyprine. On parle aussi de mouille. 

Il est très attentif à mes paroles, mais replonge les doigts et les yeux au fond de ma chatte.

- Si tu veux, tu peux faire comme l’homme de la plage, l’an dernier… passe ta langue sur mes lèvres… »

 

Une fois de plus, il hésite. Il me dira plus tard que c’était appétissant, et qu’il a eu envie de me lécher pour connaitre mon goût.

Cette fois-ci, il plonge sa langue, et la passe partout. Je reprends ma fellation, le suce de plus en plus fort. De sentir sa sève monter, et sa langue active dans ma chatte me provoque un premier orgasme, doux et puissant à al fois. C’est une sensation étrange…

Pour sa première fois, je ne veux pas qu’il jouisse dans ma bouche. Je serre très fort la basse de sa queue, pour ralentir son plaisir.

 

Je me dégage doucement de son étreinte, et viens me mettre sur le dos.

«  Viens, c’est le moment... Prends-moi, viens me faire l’amour… »

 

Il s’allonge sur moi, en appui sur ses bras, J’attrape son sexe, et le guide vers ma chatte. Son gland cherche un peu l’entrée, mais la trouve, et d’un coup de rein, me pénètre profondément. Je suis tellement mouillée qu’il entre comme dans du beurre. Il s’affale sur moi, reprend son souffle, et commence à me limer doucement. Mais très vite, il accélère la cadence. Au bout de quelques trop courtes minutes, je sens son corps de raidir, il a comme un hoquet. Son sexe est secoué de saccades.. Il jouit ! Aucun son ne sort de sa bouche, puis vient un long râle de plaisir.. Je jouis presqu’en même temps que lui, son sexe bien planté au fond de moi. Il tombe sur moi, épuisé.

« C’est trop bon, ma puce… Comment ai-je pu me passer de cela tout ce temps ??? »

 

Il débande, sa queue sort toute seule de ma chatte. Il roule sur le côté, pour me laisser respirer. Avec ma main, j’attrape un peu de sa crème blanche.

« Tiens, goûte… après tout, c’est à toi ... »

 

Il fait une grimace de refus, mais je pose d’autorité son sperme sur ses lèvres. Il ne peut que l’avaler ! Je le goute aussi, la saveur est douce-amère, un peu âcre. La prochaine fois, je boirais tout !

La prochaine fois ne se fait pas attendre. Moins de cinq minutes près, il bandait à nouveau comme un turc.

 

Pendant des heures, bien après que la nuit soit tombée, nous avons fait l’amour, encore et encore. Nous n’étions pas rassasiés. C’était bon, doux, tendre, magique. Un bonheur comme je ne pensais pas en connaitre un jour…

Nous fûmes rappelés à la réalité par le phare puissant du bateau des secouristes. Ne nous voyant pas revenir, nos employeurs les avaient alertés. En bafouillant, nous avons invoqué une avarie de dérive. Le sauveteur, nous regardait d’un œil goguenard, il n’en croyait pas un mot.

« C’est bon, nous sommes heureux de vous retrouver sains et saufs. Mais ne recommencez pas, ca mobilise beaucoup de monde pour une partie de jambes en l’air ! »

 

Cette Saint Valentin était magique, au-delà de tout ce que j’avais imaginé. Jamais, ensuite, je n’ai retrouvé une telle émotion…

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Récits Erotiques X
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