Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Caroline était, devant la famille, redevenue ma patronne mais lorsque nous étions seules, ce n’était envers moi qu’effleurements, caresses oubliées, regards appuyés, provocations outrancières. D’ailleurs, seules, nous avions pris l’habitude de nous embrasser sur la bouche pour se souhaiter le bonjour. Juste un baiser chaste juste accompagnés parfois par une main sur mon sein ou sur mes fesses. J’adorais cette situation assez érotique.
D’ailleurs un jeudi après-midi, je décidai au lieu d’aller faire mon shopping habituel de me prélasser sur le bord de la piscine qui avait été remise en fonction en cette période de chaleur. J’étais couchée sur mon ventre, la tête sur le côté gauche. J’étais juste vêtue d’un chapeau de paille qui me protégeait du soleil et comme j’étais seins nus, de n’avoir aucune partie blanche sur la peau. La piscine bordée par de très hautes haies permettait d’être dans le plus simple appareil.
Je m’étais assoupie et ce fut la voix de Caroline qui me réveilla. Je ne bougeai pas car j’étais habituée à me promener nue devant elle lorsque nous étions seules. Et inversement. Mais ce fut la voix d’un homme qui me fit tressaillir légèrement.
« Putain ! Quel cul ! Regarde petit !
- Avez raison patron, elle est canon. C’est votre fille ?
- J’aimerais, répondit Caroline. Ce n’est juste que ma femme de ménage.
- Et elle astique bien ? fit la voix du patron.
- Ne sois pas vulgaire ! Venez, je vais vous montrer ce que vous devrez faire la semaine prochaine.
Ils firent le tour de la piscine et allèrent derrière le bar. Je restai immobile. Ils ne pouvaient pas avec le soleil et surtout le chapeau voir mes yeux ouverts. Ils revinrent cinq minutes plus tard.
« Un verre ?
- Pas de refus, patronne.
- Vodka ?
- Avec des glaçons, oui !
- Moi aussi », répondit le petit.
Caroline servit trois verres.
« Alors ton apprenti, il est novice dans quel domaine ?
- Comme jardinier il ne se débrouille pas très bien mais il commence. Par contre, question bourre, il paraît qu’il est un as !
- Ah, sourit Caroline, déjà émoustillée.
- La secrétaire est parait-il ravie de sa pine !
- Salope ! Elle raconte tout !
- Monte pas sur tes grands chevaux. Tous les mecs de la boîte ont visité son cul. Il n’y a que le patron, son mari, qui n’est pas au courant et surtout qui n’a pas droit à l’entrée de service. Elle est bonne, non ? Pas très belle mais chaude. Chaque nouvel employé passe par l’obligation d’enfoncer son dard en elle.
- Cela faisait à peine cinq minutes que j’étais arrivé, qu’elle m’a mis la main au panier. Et plus je suis crade, mieux elle aime.
Caroline, tout en les écoutant, prit un transat et vint le placer juste en face de mon regard. Elle défit les rares boutons de sa robe et prestement la fit glisser.
« Bon maintenant les gars, venez voir si vous prenez autant votre pied qu’avec elle. J’ai la chatte et le cul en chaleur.
- Et elle, fit le jeunot ?
- Pas de problème pour elle, avec le bruit que nous avons déjà fait, elle se serait réveillée. Tachez d’être un peu discret.
- Putain ! Rien qu’à savoir qu’elle pourrait me voir te baiser, cela me fait avoir une de ces triques !
- Qu’est-ce que tu attends pour la sortir respirer ? »
Les deux hommes furent nus en un rien de temps.
« Toujours à poil sous la salopette, n’est-ce pas petit ?
- Oui, patron.
- Ton petit a une belle queue bien large.
- Ouais mais la mienne est aussi grosse mais bien plus longue.
- Alors, venez me les faire goûter ! »
Les deux hommes s’approchèrent d’elle, le sexe déjà dur et lui présentèrent juste en face de sa bouche. Caroline les prit chacune dans une main et commença le lent va-et-vient. Ce fut celle du patron qu’elle mit en bouche. Je ne sais pas comment elle fait mais, malgré sa longueur, celle-ci disparut entièrement.
Elle quitta la queue luisante du patron et attaque derechef celle du petit.
« Oh putain que c’est bon, soupira-t-il !
- Je te l’avais dit qu’elle était une suceuse de première. »
Caroline se concentra sur la queue du dernier. Les deux mains rejoignirent les bourses bien pleines. Elle les tritura, les caressa, les cajola. L’apprenti était aux anges. Je voyais le chibre luisant de salive ressortir quelques fois et aussitôt être enfourné.
« Je crois que je vais juter rapidement si vous n’arrêtez pas tout de suite…
- Alors, laisse-toi aller. Tu n’en seras plus qu’endurant lorsque tu me limeras. »
Elle prit la queue entre ses deux mains et accéléra le mouvement. Je voyais son visage se crisper sous l’effet du plaisir. Il éjacula abondamment. Caroline dirigea les jets dans la piscine.
« Bordel ! Ca fait du bien ! J’aurais préféré dans votre bouche, mais ce fut le pied !
- Si tu es sage, tu le feras la prochaine fois, mais comme je ne te connais pas ! Maintenant, tâche de garder ta queue bien raide, car lorsque j’en aurai besoin, t’as intérêt à être prêt.
- Avec les deux culs que j’ai en face de moi, je ne crois pas que j’arriverai à débander.
- Tant mieux ! Maintenant à toi, mon mignon. J’ai faim ! »
Le patron écarta l’apprenti et sans ménagement envahit la bouche grande ouverte de Caroline. Il lui prit la tête et la lima comme si il était dans son sexe. C’était impressionnant. Caroline se laissait faire sans broncher. Elle écarta le patron au bout d’un moment, et dit :
« Au lieu de mater mon cul, viens plutôt me lécher.
- A vos ordres madame ! »
Caroline se coucha sur le transat, les jambes écartées. L’apprenti vint plaquer sa bouche sur le sexe luisant et béant de cyprine. Le patron, lui, s’agenouilla au-dessus de Caroline, remonta le dossier, si bien que la bouche de celle-ci fut juste en face de sa queue. Il s’agrippa à la tête et recommença à la prendre violemment.
Je ne sais pas si ce sont les coups de butoir ou les caresses linguales, mais elle se mit à gémir. Le patron, tout rouge et frôlant sûrement l’apoplexie, se mit à grogner.
« Je viens ! Putain, je viens ! »
Il éjacula dans un râle étouffé. Caroline imperturbable engloutissait tout le sperme sans sembler avoir quelques difficultés. Il se retira de la bouche. Caroline écarta l’apprenti.
« Toi, petit, tu auras droit à mon con. Mon cul est réservé aux habitués. T’as les capotes ?
- Oui. Tiens petit ! Enfile-le. »
L’apprenti enfila le préservatif, se coucha sur le transat et Caroline s’empala carrément sur ce sexe fier et arrogant. C’est elle qui imprima la cadence. Son bassin se balançait sur cette queue complètement disparue. L’apprenti respirait profondément. Je ne sais pas quel traitement elle lui infligeait mais il avait beaucoup de mal à résister.
« Je vais jouir.
- Retiens-toi, ordonna-t-elle. Lorsque je jouirai, tu pourras te laisser aller ! »
Le jeunot eut toutes les peines du monde à résister. Caroline se pinçait les seins. Le patron rapprocha sa queue de la bouche de celle-ci et lui dit :
« Tiens ! Avale ! Tu ne feras pas de bruit comme cela. La petite a l’air de bien dormir !
- Bonne idée ! répondit-elle entre deux râles. »
C’est donc une queue dans la bouche et une autre dans le sexe qu’elle jouit. Son corps s’arqua et se tenant aux fesses du patron, elle prit un pied d’enfer. Le petit n’en pouvant plus put enfin se libérer et juter dans sa couverture de latex. Et plus il se libérait, plus elle semblait prendre son pied.
Caroline revint à elle. Le patron, le sexe bien droit et dur, se branlait tout doucement afin de ne pas ramollir. L’apprenti, encore aux anges, eut un retour à la réalité assez brutal.
« Hé gamin, c’est pas encore fini ! T’as eu droit à l’essayage tout seul, maintenant, on se met à deux dans la cabine d’essayage.
- Quoi ? interrogea l’apprenti, surpris.
- Ton patron veut te dire que pendant qu’il me prendra le cul, tu viendras m’envahir encore une fois. Mais essaie de tenir plus longuement, sinon ce sera la dernière fois que tu auras l’honneur de ma chatte !
- Bien, madame. »
Le patron se coucha à son tour et Caroline s’agenouilla en lui tournant le dos. Sans préparation, elle écarta ses fesses pendant que l’homme dirigeait son sexe vers l’œillet brun et s’empala lentement. Je vis le sexe s’enfouir lentement comme si c’était des sables mouvants.
Mon sexe palpitait de plaisirs tellement que ce spectacle m’excitait. Je devais tacher le tissus du transat comme jamais. J’imaginais que cela faisait une source qui remplissait la piscine comme une rivière coule dans un lac. J’avais envie que quelqu’un assouvisse mon envie mais je tenais à voir cette double pénétration. J’en avais déjà vue dans un film porno mais en réalité, jamais.
Le sexe entier était dans le fondement de Caroline.
« Viens ! je vais rendre une taille honorable à ta pine, » intima-t-elle au jeunot.
Elle prit le sexe en main et le branla. Assez vite, il durcit. Elle lui mit une capote.
« C’est beau la jeunesse, trois fois rien et cela repart. Mets-la moi bien profond, » mumura-t-elle avec une voix rauque.
L’apprenti approcha le bout de sa queue contre le sexe poisseux de cyprine et sans s’en rendre compte, arriva à enfourner l’entièreté de son sexe. Caroline était remplie des deux côtés. Elle imprima à son bassin un léger mouvement. Chaque queue ressortait presque entièrement chacune à leur tour. C’était dément. Comment pouvait-on être remplie comme cela.
En même temps, je m’imaginai bourrée par ces deux braquemarts. Il ne fallait juste que je touche mon clito pour jouir mais je voulais voir la fin. Mes seins durs comme jamais me faisaient mal.
Caroline ahanait de plus en plus. Si fort que le patron plaqua sa main contre sa bouche. Elle prit les mains de l’apprenti et les plaqua contre ses seins.
« Pince-les ! Fais-moi mal ! »
Puis, elle serra entre deux doigts frénétiquement son clito gorgé de plaisirs et se branla.
Cela eut l’effet escompté. La jouissance la submergea. Un tsunami intérieur la terrassa si fort que ses yeux se révulsèrent, que sa bouche grande ouverte ne put émettre le moindre son, que son bassin réclamant encore et encore son dû se balançait furieusement. Ce fut long, très long avant qu’elle ne reprenne un peu ses esprits.
Les deux hommes n’avaient pas joui.
« Pour vous remercier, venez vous branler sur moi à l’endroit que vous voulez ! »
Les deux hommes se retirèrent. Le patron se branla au-dessus des seins de Caroline.
« Tiens ! Prends cela », fit-il en imitant un mauvais porno !
Caroline, pas dupe, le suivit.
« Oui ! C’est bon fit-elle lorsqu’il se répandit sur elle. A toi gamin !
- Je peux sur vos fesses ?
- J’ai dit où tu voulais ! »
Caroline lui présenta sa croupe à quatre pattes, et le jeunot se présenta. Mais ce qu’elle ne s’attendait pas, c’est que le jeunot toujours protégé, envahit ardemment le cul de Caroline. Celle surprise voulut le faire enlever mais, reprise par des vagues de plaisirs, le laissa faire.
L’apprenti me regardait. Ou plutôt regardait mon cul. Il en salivait, et c’est en faisant jouir Caroline pour une troisième fois, qu’il s’épancha dans son bout de latex.
« Heureusement que tu m’as fait jouir ! C’est vrai que tu sais t’en servir. C’est bon, je te pardonne.
- Merde, fit le patron. Tu m’as refait bander !
- Démerde-toi, répondit Caroline mais moi, j’ai donné. Maintenant foutez-moi le camp.
- Allez viens petiot, dit-il en se rhabillant J’ai idée que notre secrétaire ne serait pas contre par un sandwich. Je suis sûr qu’elle crève la dalle. Salut patronne.
- Au revoir madame ! »
Ils refirent le tour de la piscine en me reluquant. Caroline se releva un peu péniblement, remit sa robe et vint vers moi.
« Ne fais plus semblant de dormir ! Je suis certaine que cela t’a plu ? Tu dégoulines ! Tu veux que je te délivre de cette tension ? »
J’opinai du chef. Elle glissa deux doigts le long de ma raie culière. Je frissonnai. Cela faisait tellement longtemps que j’avais envie qu’elle me fasse jouir. Mais super excitée, elle toucha à peine mon petit bouton que je jouis silencieusement.
Caroline récupéra mon plaisir sur ses doigts et les goûta.
« Tu es sucrée. J’adore. Merci pour ce petit cadeau. Mais ce n’est encore ce que je veux. C’est toi tout entière que je veux ! Pour te remercier de cet apéritif, ce soir, je t’invite au restaurant. Fais-toi belle ! Rendez-vous à vingt heures ! »
Elle me laissa seule. Je regardai l’heure. Il me restait deux heures.
« Un bon bain me fera le plus grand bien », soupirai-je en me levant péniblement.
Derniers Commentaires