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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

  1. Gang bang chez Maitresse Olivia

 

Ce week-end promet d’être chargé et riche en  nouvelles sensations.

Prétextant un séminaire, j’ai pu m’organiser pour dormir chez ma Maitresse Vendredi et Samedi soir.

Vendredi soir, ma Maitresse accueille chez elle un gang-bang organisé par Maitre J pour sa soumise F. La soumise sera offerte, les yeux bandés, à plusieurs hommes.

 

Samedi, Maitre Caïman organise son propre mariage BDSM à Paris, et je suis invité, dans la journée pour aider aux préparatifs et faire le service, et le soir pour jouer.

Je n’aurai jamais autant pratiqué sur un laps de temps aussi court, et mon cerveau bouillonne en imaginant ce que je vais vivre pendant ces deux jours. Il est pourtant loin de la réalité.

 

 

Vendredi soir, je réussi à ne pas quitter le boulot trop tard. Je m’arrête chez le fleuriste acheter une demi-douzaine de roses rouges, afin de me faire pardonner de ma goujaterie de la Saint- Valentin.

Deux types de roses sont présentées, et je demande à la jeune vendeuse si elles ont des épines toutes les deux. Sur la réponse négative de celle-ci, je choisis évidemment les roses avec épines, qui sait, cela pourrait servir !

 

La circulation est infernale le vendredi soir, et j’arrive moins tôt que je l’aurais espéré.

A peine arrivé, je consulte les instructions que ma Maitresse m’a données. En fait, elle a plutôt bien anticipé. Il me reste seulement à nettoyer la table, passer l’aspirateur, mettre les fleurs dans un vase et ranger quelques CD. Ensuite, je devrais attendre les premiers invités et leur offrir à boire.

 

Avant de me mettre au ménage, je me dépêche de mettre mes sous-vêtements rouges, avant de me rhabiller par dessus. Quand ma Maitresse le décidera, je n’aurai plus qu’à retirer mes habits de ville.

 

Le temps me parait long, à attendre ainsi la suite des évènements, et les coups qui frappent à la porte me sortent d’une certaine torpeur. C’est en tremblant que je vais l’ouvrir, ne sachant pas qui seront les premiers invités.

 

Heureusement, je les connais un peu, les ayant croisé rapidement au 69 bis en décembre. Il s’agit de Lorenzo et de Sophie sa soumise.

Malheureusement, je les connais un peu, de réputation, Lorenzo étant connu pour son intransigeance et sa dureté.

 

Après les avoir débarrassé de leurs manteaux, je leur propose à boire selon les instructions de ma Maitresse. Ils ont immédiatement ressenti mon stress, lié à mon envie de bien faire. Sophie très conviviale, tente de détendre l’atmosphère en bavardant aimablement. Lorenzo quant à lui est à la fois chaleureux et froid. J’avoue qu’il m’impressionne. Il est venu à cette soirée spéciale pour en garantir le bon déroulement et s’assurer qu’il n’y ait pas de dérapage.

 

C’est avec stupeur qu’il m’apprend que la soirée est annulée, la soumise ayant eu un problème de dernière minute. Le couple est tout de même sur la route, et quelques étalons risquent d’arriver, n’ayant pu être prévenus à temps. La soirée s’annonce différente de ce qui était prévu, mais elle s’avérera fort sympathique.

 

Ma Maitresse ne tarde heureusement pas à arriver. Je me précipite à ses pieds, mais elle est un peu distante. Elle est en représentation, et m’a prévenu qu’elle ne me passerait rien ce soir. Elle veut montrer qu’elle sait m’éduquer !

Ce soir, je suis là pour faire le service, obéir et faire honneur à ma Maitresse, un point c’est tout.

 

J’étais resté habillé pour aller chercher la soumise, qui devait arriver nue, les yeux bandés, au bas de l’immeuble, mais dans la mesure où le cérémonial est également annulé, je suis enjoint à me mettre en tenue de salope.

 

Les invités arrivent au compte goutte. Le couple organisateur vient du nord, et arrive les bras chargés de champagne. Ils ont l’air très sympathique.

Trois étalons arrivent également, et me regardent d’un air dédaigneux quand je leur ouvre la porte.

 

Je vais passer la soirée à servir, à faire la vaisselle, toujours à l’écoute de ma Maitresse qui enchaine les ordres. Pendant l’apéritif, et alors que je ressers un verre à Lorenzo, celui-ci constate que je fais le service avec une cigarette au bec. Cette faute évidente de gout me vaut deux coups de cravache bien sentis, devant toute l’assistance médusée.

 

L’apéritif se passe sans autre anicroche, et je sers le diner aux invités qui sont restés. Pour moi, le diner se passera évidemment par terre, dans ma gamelle, et après avoir servi à manger aux uns et aux autres. J’ai encore de la chance de pouvoir manger aux pieds de ma Maitresse, elle aurait pu me laisser à la cuisine !

 

Ce service est assez éprouvant, car je suis à l’affut du moindre besoin non exprimé des invités, et bien sur, je suis régulièrement rabroué par ma Maitresse, qui voit tout.

Dieu merci, ma Maitresse a prévu des assiettes et couverts en plastique, ce qui m’épargnera une partie de la vaisselle.

 

Avant le dessert, pour me punir d’une faute dont j’ai oublié le motif, mais surtout pour montrer aux convives ce que peut faire une dominatrice, ma Maitresse décide de me poser des pinces sur les seins, les pinces que je redoute tant car elles sont acérées. Elles sont reliées par une courte chaine, que Maitresse Olivia ma met dans la bouche. Assis à ses pieds, ma Maitresse m’ordonne de relever la tête, tirant ainsi sur la chaine et augmentant de fait la douleur sur mes tétons. Je grimace et tente de faire bonne figure, mais je ne peux m’empêcher de baisser la tête à plusieurs reprises.

 

Ma Maitresse se décide alors à glisser sa cravache à la verticale sous mon menton, m’interdisant dès lors de relâcher la pression sur les pinces. Alors que tout le monde discute de choses et d’autres, je souffre la martyre en silence, motivé à montrer aux convives que Maitresse Olivia m’a bien dressé. Je ne vous cache pas que, après de longues minutes dans cette position, ma Maitresse retire les pinces, je ne peux retenir à petit cri de douleur, et d’autant plus alors qu’elle torture mes tétons douloureux.

 

Après diner, les conversations tournent beaucoup autours des aventures BDSM des uns et des autres, et plus particulièrement des appareils de tortures dont les uns et les autres sont en possession.

 

En fin de soirée, Maitre J décide de jouer avec sa soumise. Il lui bondage les seins et lui ligote les mains dans le dos. Il lui accroche ensuite des pinces à seins. Elle va rester immobilisée ainsi un bon bout de temps.

Cela donne des idées à ma Maitresse, qui décide de me ligoter également, ou du moins d’effectuer un bondage, selon le terme consacré. J’adore tant être immobilisé ainsi à sa merci.

 

Maitre J envisage également de tester des bougies sur sa soumise, et entreprend de lui faire des dessins dans le dos, mais également sur les seins, ce qu’elle n’apprécie guère.

Ma Maitresse en profite alors pour montrer ma résistance et mon gout pour la cire. Elle me demande de prendre la position couchée de chienne qu’elle m’a apprise, et utilise une de ses nouvelles bougies pour orner mon dos. Merci Maitresse.

 

C’est sur ce petit moment bien agréable que nous finissons la soirée. Il est déjà fort tard, Maitresse Olivia doit se lever de bonne heure, et une nouvelle soirée nous attend demain.

 

Je finis de ranger un peu, de finir la vaisselle, et me couche enfin auprès de ma Maitresse.

Après cette longue soirée à faire la bonniche, je commence à être épuisé, mais ma Maitresse me tend les bras, et je m’y précipite. Je la sers bien fort dans mes bras, et cela me récompense de tous les efforts que j’ai accomplis ce soir.

Ainsi conforté dans ses bras, j’ai envie de m’abandonner à son emprise. Ma Maitresse ressens la plaisir qu’elle me procure, et rapidement, elle se charge de ma queue encore molle.

 

Ses caresses me font rapidement de l’effet, malgré la fatigue, et elle commence à durcir. C’est encore nouveau pour moi, mais ses caresses me mettent dans un état second. Mon corps se jette à la rencontre de sa main, de ses doigts, mon plaisir se traduit par des gémissements et des halètements que j’ai de plus de plus de mal à contenir.

Je pense qu’il ne faudrait plus très longtemps pour que je jouisse, et ma Maitresse arrête brusquement cette torture. Elle me fait un gros bisou, me souhaite une bonne nuit, ma queue toujours emprisonnée dans sa main, et s’endore.

 

Quelle soirée !

 

Merci Maitresse Olivia.

 

A suivre...

 

Signé : Titou

Par Titou - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : plaisirs SM
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