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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Séduction

 

Le Comte posa sa main sur l’avant-bras de ma femme qui, tournée vers lui, plongeait son regard en ses yeux…la chose était bien engagée…allaient-ils donc s’aimer ? Moi, j’aimerais sa femme, cela je le savais – je n’ai jamais su résister à un regard de femme, à un  trouble discret, à un parfum, à un décolleté, à un soupir, à deux joues qui rosissent…alors, à la pression d’une cuisse…encore moins ! – car c’était le cas, à présent la Comtesse poussait le vice jusqu’à ma frôler bellement de sa cuisse, dont je percevais la chaleur…elle soupira…je soupirai…je pris une gorgée de vin et lui souris…

 

Son regard se posa sur mes lèvres, puis poignarda à nouveau le mien, fiché en un long instant à l’érotique effet… Je bandais, Chers Ami(e)s, je bandais… Le regard de Françoise croisa le mien,  elle était bien en main et semblait si troublée…puis elle revint à la conversation du Comte qui, vraiment, la charmait…

 

De son coude, la Comtesse frôla le mien, nous restâmes ainsi, les entrelacs de dentelle ajourée de sa robe, bruirent un instant contre la manche de mon habit… Sa belle peau rousse de russe aux rousseurs fines disséminées sur son avant-bras me séduit…j’aurais baisé sans fin ce bras, suivi sa ligne de mes lèvres, posé un baiser en la paume de sa main… Le trouble me gagnait et de plus en plus fort cognait à mes sens exacerbés par cette présence on ne pouvait plus féminine, raffinée, parfumée de désir… Je n’espérais point sa main, mais elle vint se poser un instant sur ma cuisse…

 

Constaterait-elle les dégâts qu’elle causait ? Irait-elle jusqu’à cette prison où ma chair martyrisée se dressait sans fin, sans pouvoir en sortir ? Je vous le dis, mes Chers Amis, je croyais mourir d’émotion, de plaisir, de désir, cette femme ayant sur mes sens une telle emprise que je ne savais plus si j’allais pouvoir contrôler ce trouble immense qui peu à peu me gagnait, irrépressible, fatal, inévitable ! Elle le savait et poursuivait sa conversation, détachée mais attentive, jouant avec mon émoi…

 

Le souper prit fin avec pâtisseries, friandises, tout cela accompagné de vodka et champagne.

L’esprit était de moins en moins lucide et les sens de plus en plus aiguisés par tant de générosités de toute sorte…

 

 

Plaisirs

 

Nous quittâmes la table en compagnie de la Comtesse et du Comte et d’un autre couple d’Aristocrates intimes. Le feu aux joues et des bourdonnements aux oreilles, nous gagnâmes le fumoir où des fauteuils confortables nous attendaient, ainsi que des liqueurs et champagne. Ce petit souper très intime avait marqué en quelque sorte les débuts de tendres autant qu’amicales relations et surtout amoureuses perspectives. La Comtesse vint s’asseoir à mes côtés, me prit la main, tandis que dans un autre fauteuil, le Comte prenant ma femme sur ses genoux, lui faisait une cour plus qu’ardente, un verre à la main et l’autre main sur un de ses genoux…

 

La Comtesse mit sa tête contre la mienne, m’attira et me baisa en bouche longuement, y ajoutant une petite langue traîtresse autant que perverse qui tournoya, inventoriant mon palais, y dansant joyeusement, petit serpent tiède et humide d’une salive parfumée que je savourai avidement… La Comtesse retroussa peu à peu sa longue robe, dont je perçus les bruissements ; elle découvrit un peu de ses cuisses sur lesquelles courait une fine culotte de soie blanche avec de petits rubans ceints au-dessus des genoux ; des bas de soie  blancs moulaient ses jambes qu’elle avait parfaites, genoux et chevilles fins et délicats…

 

A nos côtés, le Comte avait libéré les petits seins hauts et droits de mon épouse, ayant déboutonné la  fine rangée de petits boutons fermant le décolleté ; libérés de leur bustier, les petits tétons se laissaient lutiner par une langue et des lèvres empressées…Mon épouse, en arrière renversée, la tête posée sur le dossier du fauteuil, gémissait doucement, paupières closes, laissant le Comte jouer avec les aréoles roses-brunes de ses seins…

 

La Comtesse, après un nouveau long baiser, posa sa fine main blanche sertie de petites taches rousses sur mon sexe, qu’elle s’employa aussitôt à libérer de mon habit de ses longs doigts fiévreux et impatients… Je bandais ferme et ma chair, aussitôt qu’elle fut libérée, jaillit, dressée, périscope enfiévré, palpitante,  décalottée, d’un rouge vif…enfin, elle respirait et attendait les caresses d’une Comtesse fort excitée et dont le souffle s’accélérait, sur mes joues, dans mon cou, sur mes lèvres…

 

Elle était tiède à souhait, poitrine tressautante, petits seins d’un blanc de neige couronnés de magnifiques atolls bruns-rosés qui se dilataient merveilleusement, attestant d’une excitation venant à son comble… Elle s’employa à lentement caresser ce phallus, prépuce emprisonné dans sa paume tiède, ses longs doigts faisant comme un fourreau à ce vit charnu et dodu, toutes veines gonflées et qui s’abandonnait à la caresse subtile et continue qu’elle lui donnait… Tête en arrière, je m’abandonnai, yeux fermés à cette divine caresse qui faisait courir un troupeau de frissons tout au long de mon vit, depuis les bourses jusqu’au sommet du prépuce…

 

Elle me baisa, me languant langoureusement, faisant passer sa chaleur buccale en ma propre bouche, mêlant sa salive à la mienne, nous nous prenions pour ne plus nous lâcher, quittant la terre pour une Cythère où Eros régnait…

Irina me branla doucement, se pencha et s’en fut me feller sur mon vit courbée, telle une roturière à la noble engoulée. Je passai ma main dans ses cheveux, son chignon se défit et des grappes de mèches rousses et blondes emmêlées retombèrent sur ma chair et sa main qui lentement poursuivait sa délicieuse branle… Je soupirai, mourus plusieurs fois, m’abandonnant aux doigts de cette princière Maîtresse qu’Eros m’adressait.

 

Le Comte baisait les épaules dénudées de mon épouse, revenait à ses seins, petites coupoles de Sainte-Sophie aux délicates aréoles épanouies. Ma femme avait libéré de la culotte, un haut sexe, mince, nerveux, parcouru de veines gonflées, sexe qu’elle s’employait elle aussi à bien masturber, maintenue fermement dans sa paume… Elle était retroussée, ses bas noirs captaient les reflets des chandelles aux lueurs en éclats courant là sur la soie de ses bas jarretés… La main du Comte en l’abri de ses cuisses, recherchait le calice prisonnier d’une petite culotte en dentelle, là où le « Y » bien dessiné promet la volupté…

Je jouis entre les doigts de la Comtesse qui les licha, puis les mit dans ma bouche, le regard fiché au fond du mien, elle me fit bander…

 

 

 

Violons d’Eros

 

Un autre couple d’Aristocrates russes, un homme d’une quarantaine d’années, distingué, blond, élégamment vêtu entra dans le salon privé réservé aux ébats de nos trois couples. La femme, d’un blond roux, élégante, racée, mince, devait avoir la trentaine environ. Nous leur fûmes présentés, ils parlaient le français ; nous échangeâmes quelques mots, puis nous nous assîmes, ce couple était de Moscou et connaissait bien nos hôtes, ayant très probablement eu déjà des échanges entre eux d’ordre galant…

 

Le Comte poursuivit sa cour auprès de ma femme qu’il enlaçait bellement à présent, la baisant longuement en bouche, tout en taquinant ses seins ; la Comtesse me laissait investir d’un doigt sa petite fendette par l’ouverture brodée de sa culotte en dentelle…Mon médius progressa en ses tissus intimes, se fraya un passage, s’agita, frottina les satins doux et chauds…elle gémit, se tendit et me prit par le cou et nous nous étendîmes sur la bergère…

 

Le couple se dévêtit et se joignit à nous sur la bergère voisine réunie à la nôtre; du champagne en des hautes flûtes de cristal, laissait courir ses bulles à la surface du liquide blond à peine troublé… Je pris une rose rouge dans un vase posé sur un guéridon à proximité de la bergère et la déposai entre les seins d’Irina qui la pinça entre ses tétons, l’embrassa amoureusement, prit quelques gouttes de champagne dont elle gratifia légèrement les pétales et la replaça entre ses seins…

 

Elle avait retiré sa culotte en dentelle et présentait maintenant un bel as de pique blond-roux, tout bouclé de soies fines dans lequel se dessinait une bissectrice formée des deux lèvres du sexe ourlées de corail rose brillant et sans doute humide… Mon intrépide médius repris ses investigations, tandis que mon pouce taquinait en même temps un petit clitoris affichant son front haut carminé qui émergeait des poils…

 

La main longue et douce de la Comtesse commença à me masturber tout en me baisant en bouche très amoureusement, sa langue poursuivant la mienne, la piquetant, l’enlaçant, la tourlinant en une danse sans fin… Sa main fermée sur mon sexe, le maintenait fermement, le branlant bellement, mon prépuce en sa paume planté comme une flèche ; je mimai un lent va et vient entre ses doigts, tantôt elle me serrait ferme, tantôt elle libérait un peu ma bite, puis la reprenait en main, se jouant d’elle…

 

Je gémis de plaisir…elle me mordit l’oreille, soufflant son haleine chaude sur son pavillon…je frissonnai…elle me licha…mordilla, croquina, je me crispai et bandai un peu plus en sa paume…mon doigt la prenait et donnait de la pulpe contre ses satins, mon pouce agaçait son petit clitorin que je sentais se raidir un peu plus à chaque pression…elle fit aller et venir son ventre blanc et plat, allant au-devant de mon médius inquisiteur et se branla ainsi tout en poursuivant sa branle sur mon vit…

 

Le couple à nos côtés n’était point inactif ; la femme en arrière renversée, ouvrait ses cuisses qu’elle avait magnifiques, gainées de hauts bas noirs, maintenus par un porte-jarretelles rouge aux délices de dentelle…

 

L’homme était accroupi et donnait de la langue à son sexe entrouvert, comme une bouche rose entourée de poils blonds boucletés…Je ne quittai pas d’un oeil ce beau couple aux érotiques formes qui ondulaient près de nous, deux corps abandonnés sans retenue à leurs désirs les plus fous ; la femme geignait faiblement houlant doucement son fin ventre plat aux mousses ardentes qui se consumaient sous les lèvres brûlantes de l’homme qui la goûtait avec délice,  sa bouche bien intimement unie au superbe calice dans lequel il étanchait présentement sa soif… Les fines soies crissaient et l’homme buvait tout son soûl, oeuvrant avec ivresse, nez et bouche bellement accolés aux lèvres intimes de ce sexe ouvert à ses plus profondes caresses…

 

La voix de la Comtesse me parvint :

« La dualité entrrre Voltairrre et Rrrrousseau… l’homme naît-il bon ou bien est-ce la société qui le corrrrompt ? Qu’en pensez-vous, mon Cherrr ? » tout cela ponctué de son plus bel accent « rrrusse…

 

Elle avait sa flûte de champagne à la main et me souriait en attendant visiblement une réponse, un avis… J’émergeai de ma léthargie, ayant rêvé quelques instants à des choses insensées… A nos côtés, ma femme et le Comte devisaient paisiblement et l’autre couple suivait notre conversation, décent, réservé…

 

Plus de culotte blanche en dentelle, ni de bas, ni de jambes exposées, point de baisers ni d’œillades, plus de complicité… Les jambes croisées, la Comtesse me regardait, elle ajouta :

« Je pense que Voltairrre avait rrraison, Rrrrousseau me semble trop indulgent vis-à-vis du monde, ne trrrouvez-vous pas ? »

 

Je hochai la tête et dis mon opinion qui se trouvait être la même que celle de la Comtesse…Elle sourit et dit :

« J’ai fait mes études en Frrrance, à la Sorrrbonne, où j’ai obtenu mon Doctorrrat, mon Cherrr, c’est là d’ailleurrrs que j’ai apprrris le frrrançais… »

 

Je m’empressai de souligner que son français était parfait…

« Oh, j’ai encorrre un peu d’accent pour cerrrtains mots ou tourrrnurrres de phrrrases…

-Non, rétorquai-je, tout est parfait assurément, et votre léger accent russe s’avère des plus charmants !»

 

Un merci de courtoisie s’ensuivit, accompagné d’un ravissant sourire…

 

 

A suivre...

Par Le Marquis de Chair - Publié dans : Le Boudoir du Marquis - Communauté : Histoire érotique
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