Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
C’est au détour d’un couloir gris que je suis entré dans ce petit bureau. Une chaise vide était là, à un bureau. Dans la pièce flottait un doux parfum de cannelle et de chocolat. La douceur était la maîtresse des lieux. Plutôt que de continuer à errer dans les couloirs froids de ces services des douanes, je décidai d’attendre ici. Je m’y sentais bien, à mon aise. Mon uniforme bien repassé, m’interdisait de m’asseoir sous peine de créer des plis disgracieux. J’entendis des pas à l’extérieur, et tu entras, toute gaie et souriante, soulevas le plan de travail, et vint t’asseoir sans me voir sur ce fauteuil qui t’attendait lui aussi. Je te regardais, ton sourire angélique laissait entrevoir que tu étais rêveuse. Mais quelle rencontre venais-tu de faire ?
C’est au moment où je me rapprochai du comptoir que tu me remarquas. Sans bouger la tête, tu levais les yeux vers moi, à travers de fines lunettes. Sous cet angle, tu avais un air coquin, un regard qui m’invita aux pensées les plus obscènes. Je fis alors le tour de ce rempart dressé entre nous par l’administration. Ce jour là, tu portais une jolie robe noire boutonnée sur le devant, et un pull sombre couvrait tes épaules, mais rien de tout ça ne dissimulait la générosité de tes formes. Tu suivais chacun de mes mouvements sans bouger. Je me figeai derrière toi, posais mes mains sur tes épaules, et te caressai la nuque.
Comme hypnotisée, tu penchas la tête et posas ta joue sur ma main, comme une invitation à d’autres caresses. Mes mains glissèrent sous ton pull et découvrirent à travers ta robe, une poitrine généreuse et opulente, douce et tiède, j’en profitai pour poser un baiser sur ton cou, ta nuque puis ton oreille. Mes mains cachées au chaud sous tes seins, je me mis à te mordiller le lobe de ton oreille, tu haussas les épaules en souriant et laissant échapper un gloussement de plaisir.
J’écartai la chaise de ton bureau, me mis à genoux entre ton poste de travail et toi, relevai le bas de ta robe, tout en te caressant les cuisses, que tu écartais innocemment. Tu inclinas tout ton corps en arrière pour mieux me présenter ton antre secret. Du bout de mon nez, je me mis à caresser ton minou fraichement rasé, ton corps se mit à trembler. Que je présentai ma langue contre ton clitoris humide et rougis, tu ne pus retenir un gémissement de soulagement « enfin ! » semblait dire tout ton corps.
Maintenant que je suçais chaque recoin de ta cathédrale du bonheur, tu serrais les cuisses et me pris la tête entre tes mains, me pressant plus encore contre ton sexe à la recherche de la moindre seconde de plaisir, de la moindre sensation inavouée. Puis tu te raidis, en apnée immobile, paralysée par le grand spasme de l’orgasme, les ongles plantés dans le tissu de mes épaulettes. Puis tu te décrispas, lâchant un râle de soulagement qui laissa échapper toute la chaleur du désir qui était en toi.
Tu regardais le plafond avec un sourire béat, ton esprit était encore à mille lieues de là, parmi les anges et les démons de la luxure. C’est en me relevant que je remarquai que la caméra de ton pc était allumée et dans une petite fenêtre je reconnu ton renard qui lui aussi avait profité du spectacle, le sourire sur son visage affichait lui aussi la satisfaction
J’ôtai la poussière de mon uniforme et repris ma route à travers les couloirs du bâtiment ne sachant plus le motif de ma visite en ces lieux, mais heureux d’avoir fait planer une sémillante femme, généreuse et douce…
Signé : Maxx
Et encore, on ne sait pas tout !!!
Il faut que l'auteur réponde !
Il faut le demander à Fritz !
En effet,.. et le problème est que trop souvent, on n'ose pas...
Merci Nico, mais j'apprecie qu'on me demande de publier un lien AVANT de le faire dans un commentaire...