Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

C’est au détour d’un couloir gris que je suis entré dans ce petit bureau. Une chaise vide était là, à un bureau. Dans la pièce flottait un doux parfum de cannelle et de chocolat. La douceur était la maîtresse des lieux. Plutôt que de continuer à errer dans les couloirs froids de ces services des douanes, je décidai d’attendre ici. Je m’y sentais bien, à mon aise. Mon uniforme bien repassé, m’interdisait de m’asseoir sous peine de créer des plis disgracieux. J’entendis des pas à l’extérieur, et tu entras, toute gaie et souriante, soulevas le plan de travail, et vint t’asseoir sans me voir sur ce fauteuil qui t’attendait lui aussi. Je te regardais, ton sourire angélique laissait entrevoir que tu étais rêveuse. Mais quelle rencontre venais-tu de faire ?


C’est au moment où je me rapprochai du comptoir que tu me remarquas. Sans bouger la tête, tu levais les yeux vers moi, à travers de fines lunettes. Sous cet angle, tu avais un air coquin, un regard qui m’invita aux pensées les plus obscènes. Je fis alors le tour de ce rempart dressé entre nous par l’administration. Ce jour là, tu portais une jolie robe noire boutonnée sur le devant, et un pull sombre couvrait tes épaules, mais rien de tout ça ne dissimulait la générosité de tes formes. Tu suivais chacun de mes mouvements sans bouger. Je me figeai derrière toi, posais mes mains sur tes épaules, et te caressai la nuque.


Comme hypnotisée, tu penchas la tête et posas ta joue sur ma main, comme une invitation à d’autres caresses. Mes mains glissèrent sous ton pull et découvrirent à travers ta robe, une poitrine généreuse et opulente, douce et tiède, j’en profitai pour poser un baiser sur ton cou, ta nuque puis ton oreille. Mes mains cachées au chaud sous tes seins, je me mis à te mordiller le lobe de ton oreille, tu haussas les épaules en souriant et laissant échapper un gloussement de plaisir.


J’écartai la chaise de ton bureau, me mis à genoux entre ton poste de travail et toi, relevai le bas de ta robe, tout en te caressant les cuisses, que tu écartais innocemment. Tu inclinas tout ton corps en arrière pour mieux me présenter ton antre secret. Du bout de mon nez, je me mis à caresser ton minou fraichement rasé, ton corps se mit à trembler. Que je présentai ma langue contre ton clitoris humide et rougis, tu ne pus retenir un gémissement de soulagement «  enfin ! » semblait dire tout ton corps.


Maintenant que je suçais chaque recoin de ta cathédrale du bonheur, tu serrais les cuisses et me pris la tête entre tes mains, me pressant plus encore contre ton sexe à la recherche de la moindre seconde de plaisir, de la moindre sensation inavouée. Puis tu te raidis, en apnée immobile, paralysée par le grand spasme de l’orgasme, les ongles plantés dans le tissu de mes épaulettes. Puis tu te décrispas, lâchant un râle de soulagement qui laissa échapper toute la chaleur du désir qui était en toi. 


Tu regardais le plafond avec un sourire béat, ton esprit était encore à mille lieues de là, parmi les anges et les démons de la luxure. C’est en me relevant que je remarquai que la caméra de ton pc était allumée et dans une petite fenêtre je reconnu ton renard qui lui aussi avait profité du spectacle, le sourire sur son visage affichait lui aussi la satisfaction

J’ôtai la poussière de mon uniforme et repris ma route à travers les couloirs du bâtiment ne sachant plus le motif de ma visite en ces lieux, mais heureux d’avoir fait planer une sémillante femme, généreuse et douce…


Signé : Maxx

Par Maxx - Publié dans : Vos contributions - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
Donnez votre avis... - Lisez les 5 messages
Retour à l'accueil

Commentaires

il s en passe des choses au douane
commentaire n° :1 posté par : romain57 le: 05/12/2011 à 10h02

Et encore, on ne sait pas tout !!!

réponse de : Sophie de R. le: 20/12/2011 à 19h46
Mhummm ca donne envie d'etre douanière ! histoire vraie.. ou pas ??
commentaire n° :2 posté par : Alicia le: 05/12/2011 à 20h21

Il faut que l'auteur réponde !

réponse de : Sophie de R. le: 20/12/2011 à 19h46
Mhummm.. Ca existe vriament, un truc comme ça ? j'en reve !
commentaire n° :3 posté par : Fatima le: 06/12/2011 à 17h33

Il faut le demander à Fritz !

réponse de : Sophie de R. le: 20/12/2011 à 19h47
Moi, j'aurais jamais osé ! chapeau, le mec...
commentaire n° :4 posté par : Daniel le: 06/12/2011 à 19h54

En effet,.. et le problème est que trop souvent, on n'ose pas...

réponse de : Sophie de R. le: 20/12/2011 à 19h47
bravo, bien écrit et suggestif, cela fait rêver et reste soft.. BONNE CONTINUATION; Nico, auteur de Divines et Libertines et Divines et Innocentes, http://nicogarner.unblog.fr/
commentaire n° :5 posté par : Garner le: 06/12/2011 à 20h28

Merci Nico, mais j'apprecie qu'on me demande de publier un lien AVANT de le faire dans un commentaire...

réponse de : Sophie de R. le: 08/12/2011 à 01h23
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés