Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Ça a commencé la nuit, dans notre voiture, sur une aire de repos d'autoroute. J'étais complètement nue et mon mari me léchait avidement la chatte quand j'ai surpris un voyeur le nez collé au pare brise. J'ai eu une montée d’adrénaline et n'ai rien dit à Paul qui continuait à me gramahucher. Nous avons fait l'amour et je me positionnais pour que mon voyeur ne perde rien de mon anatomie. Plus tard sur la route Paul me dit :
« T'étais chaude ce soir, je t'ai rarement vu jouir aussi fort ! »
Avec le temps, l'idée a fait son chemin et Paul a accepté que je fasse l'amour avec un autre homme devant lu i: il se cocufierai volontairement. Il a commencé par publier des photos de moi sur Internet afin de chauffer les hommes susceptible de le cocufier ensuite. On s'est pris au jeu jusqu'à dévoiler mon visage sur les photos. Je n’avais plus de secret pour les futurs cocufieurs qui nous inondaient de mails bien graveleux, j'ai même vu une photo de ma croupe inondée de semence.
Puis nous sommes tombés sur un forum de « candaulistes » c'est à dire un forum de cocus volontaires ! Paul était de plus en plus excité par l'idée d'être cocu.
À 43 ans, je me suis choisi un petit jeune de 21 ans dont la photo promettait un étalon expert. Il m'a tuée. Un sexe magnifique en érection permanente qui m'a labouré les entrailles comme jamais on ne me l'avait fait. Cela s’est passé, devant Paul, nu sur sa chaise dans un coin de la chambre, qui se masturbait lentement, mais qui a joui avant le jeunot, qui m'a gardé au bout de sa queue un bon quart d'heure après.
Épuisée, un peu dégoutée d'avoir joui comme une chienne, on a été forcé de le mettre à la porte pour s'en débarrasser, estimant que pour un premier cocufiage, c'était suffisant. Paul était un peu gêné aussi, et nous en avons débattu toute la soirée avant de faire l'amour. Il pensait que j'avais pris trop de plaisir avec mon amant, et il voulait me punir de l'avoir cocufié. Il me sodomisa, chose qu'il pratiquait rarement. Son petit sexe ne me fit pas mal ; mais malgré tout je criais de douleur simulée.
Il n'était pas dupe, mais satisfait, il me retourna et jouit dans ma bouche, me forçant à avaler son sperme
sachant que je n'aimais vraiment pas ça.
On a réfléchi, et certains de notre amour, on a décidé de continuer l'aventure, Paul ayant ressenti cette humiliation très jouissive. Nous sommes devenus des accros du forum mais limitions nos rencontres à une par mois, afin de faire monter la pression. Je rencontrais le deuxième homme sans la présence de Paul qui me téléphona pendant que je faisais l'amour avec mon amant :
« Il est en train de te faire l'amour ?
- Ouiiii…
- Il a un gros sexe ?
- Oh oui !!!
- Tu as joui ?
- Oui, plus que d’habitude !
- Il te prend encore ?
- Oh que oui, et comment !!!
-Tu vas rejouir alors ?
- Oui, Oui, Ouiiiiiiii…. »
Ça a déclenché en moi une excitation telle que je suis mise à gémir que c'était bon, que j'en voulais encore… Mon amant jouant le jeu me répondait ;
« Tu vas jouir salope, elle est bonne ma queue ! C'est pas ton cocu de mari qui te donnerais du plaisir comme ça ! »
A chaque orgasme qui me secouait, je perdais la tête et me réveillais quelques secondes plus tard, vide, honteuse de m'être laissée aller.
De son coté, Paul avait du jouir aussi, et avait raccroché le téléphone.
À mon retour, nos retrouvailles étaient réglées comme du papier à musique.
C'était baisers amoureux, caresses, récit détaillé de ma rencontre, puis ensuite punition gentille avec sodomie quelques fois agrémentée d'une fessée qui me laissait le cul bien rouge. Suivait bien sur gobage de sperme d'une petite éjaculation, celle ci venant après sa masturbation.
Paul restait le maitre de mes plaisirs, et comme j'avais des amants plus jeunes que moi, un jour, il me choisit un homme âgé de 65 ans, un peu bedonnant qui avoua avoir pris du viagra avant de venir à notre rendez vous.
Nu, il était effectivement décrépi avec des seins comme une femme, des poignées d'amour et la fesse flasque. Mais le principal était gaillardement dressé d'une taille plus que honnête, et surtout volumineux ce qui pour moi est le plus jouissif. Un gros diamètre, ça fait fantasmer toutes les femmes plus qu'une longue bite qui peut faire mal en touchant le fond du vagin.
Sans aucun poil sur le corps, le sexe épilé avec soin, le crane rasé, il faisait un peu extra terrestre. Il s'est agenouillé entre mes cuisses, et je sentais sa langue explorer mes lèvres, sucer mon clito, pour aller se perdre dans les profondeurs de mon anus qui n'attendait que ça....
Mais seulement la langue, mon petit trou est exclusivement réservé à mon cocu. Quand il s'est relevé ; et m'a présenté sa grosse bite ; j'ai été encore plus étonnée par ses couilles qui paraissaient se détacher et pendaient dix centimètres en dessous. Je n'avais jamais pris autant de plaisir à gober des testicules, les étirant chacune leur tour avec une envie de croquer dedans.
La fellation fut difficile, vue la grosseur du membre, et je m’efforçais de masquer mes dents au maximum. Il n’était pas du genre préliminaires interminables et il frotta son gros gland sur ma chatte, m’écartant laborieusement avant de me pénétrer.
Alors là, j'ai grimpé aux rideaux. Je jouissais à répétition, juste le temps de reprendre ma respiration entre deux orgasmes. Il ne s’arrêtait pas comme un marteau piqueur, il me labourait la chatte, accélérant ses mouvements quand il sentait ma jouissance arriver. A chaque coup, ses testicules venaient me claquer l'anus ce qui m'excitait encore plus.
Paul, qui avait voulu assister et auquel j'avais interdit toute masturbation, me regardait fasciné devant l'exploit. Quand mon amant voulu me jouir dessus en ôtant sa capote, je lui proposais mes seins. Je n'ai jamais pu faire une cravate de notaire à Paul, qui a une petite bite, mais avec lui je pouvais réaliser un vieux fantasme.
Il me cracha un jus épais et jaunâtre à forte odeur, et je pensais qu'heureusement le sperme de Paul est plus agréable, car pour avaler une pâte pareille, je ne pourrai jamais !
On l'a invité à manger le soir, et après le repas, on a remis ça. On lui a offert un de ses fantasmes : Paul m'a fait l'amour et a éjaculé en moi, ensuite mon amant est venu « souper », c'est à dire me lécher la chatte et se régaler du mélange de mes secrétions et du sperme de Paul, qu'il a trouvé « gouteux ».
Il nous a raconté que dans sa jeunesse, il pouvait « souper » plus facilement car on utilisait rarement les capotes. Tous les samedis soirs au bois de Boulogne, il payait les prostituées pour leurs lécher la chatte après un rapport avec un client. Vraiment dégueulasse, mais pour lui s’était un bon souvenir et il en avait la larme à l’œil.
Depuis cinq ans que nous « candaulismons » notre couple est aux anges. Nous avons sélectionné les amants à notre convenance en éliminant surtout les éjaculateurs précoces, car rien n'est plus frustrant que de voir un homme jouir alors que je n'ai encore rien ressenti.
Certains sont des amis et d'autres ont été cocufiés par Paul qui a pris sa revanche. Jamais de gang-bang ou autres parties fines, ni d'échangisme en boite, quelque fois deux amants en même temps (alors là c'est apothéose mais j'ai trop peur de devenir addicte).
Notre album photos s'étoffe, car nous gardons un souvenir de toutes mes rencontres et même quand je vais seule à un rendez vous je prends des photos du sexe de mes amants très heureux de se faire photographier leurs partie génitales (tout sauf le visage les coquins).
En fin de compte c'est bien Paul que j'aime et sa petite queue me donne aussi beaucoup de plaisir.
http://experiences.centerblog.net/6166284-cocu-volontaire#c10353419
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