Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
... Voici le genre de soirée que cela peut donner !!
À l'invitation de mon chéri, je trinque avec eux avant de filer prendre une douche. Après quelques minutes, mon chéri entre dans la
salle d'eau, entrouvre la cabine et me dit :
« Fais-toi belle, Alain nous invite au restau ! »
Moi qui pensais passer une soirée calme après cette semaine de boulot éprouvante, j'en suis pour mes frais ! Enfin, je ne tiens pas à jouer les rabat-joie. Je me prépare donc, me maquille très
légèrement et m'habille. Nous somme en plein mois d'août et mon choix se porte sur une robe légère avec, en-dessous, une parure claire elle aussi très légère.
De retour au salon, Alain lance un regard perçant dans ma direction tout en s'exclamant :
« Chère Catherine, vous êtes magnifique ! »
je ne peux m'empêcher de trouver sa façon de me regarder troublante. J'ai l'impression d'être littéralement déshabillée et cela me met
quelque peu mal à l'aise. Je ne laisse rien transparaitre, ne voulant pas gâcher le plaisir de ces retrouvailles à mon mari.
Alain, après s'être assuré que nous aimions la nourriture asiatique, nous amène dans un établissement dans lequel il semble avoir ses
habitudes.
Le repas se passe très agréablement et, peu à peu, mon malaise se dissipe, Alain se révélant un convive fort agréable, plein d'humour
et très cultivé.
Nous quittons le restaurant et Alain propose de poursuivre la soirée dans un endroit « tranquille et discret » qu'il connaît
bien. Bien qu'un peu fatiguée, et toujours pour faire plaisir à Pierre, j'accepte et, après une dizaine de minutes, nous sommes installés dans ce qui semble être un petit salon privé, dans une
espèce de pub, il est vrai très discret. Nos dégustons un café puis, pour remercier son ami, Pierre offre le digestif.
Ce nouveau verre, après un apéritif et les trois verres de vin en mangeant, me met dans un état presque second, doucement euphorique.
Aussi, quand mon chéri pose une main sur ma cuisse et qu'il remonte doucement le tissu de ma robe, dévoilant ma chair, je ne proteste pour ainsi dire pas, me contentant d'un « Mais que
fais-tu ? » qui l'encourage plus à poursuivre qu'il ne l'en dissuade !
Alain a bien entendu les yeux rivés sur moi et cette sensation d'être déshabillée du regard revient, plus forte encore que tout à
l'heure.
Étrangement pourtant, cela ne me met plus mal à l'aise mais me procure plutôt une certaine excitation.
Quand Pierre, profitant qu'Alain se soit absenté, me propose de l'inviter à terminer la soirée chez nous, avec une bouteille de
Champagne, je lui souris largement, toute fatigue envolée.
Nous voici donc chez nous, Pierre et moi dans le canapé, notre invité face à nous dans le fauteuil. Bien sûr, à peine assis, mon mari a
reposé sa main sur moi et repris ses caresses, parvenant à remonter très haut ma robe, dévoilant mon sous-vêtement, sans que je lui oppose une quelconque résistance. Notre conversation est
entrecoupée de longs blancs, comme si chacun de nous trois attendait que la situation évolue sans vouloir en prendre l'initiative. Pierre se lève pour aller aux toilettes et à peine a t-il quitté
la pièce qu'Alain me dit, m'ordonne devrais-je même dire :
« Écarte un peu plus les jambes que je vois ton slip ! »
Il y a trois heures, cette phrase lui aurait valu une vigoureuse paire de baffes ! Pourtant, maintenant, je le regarde, souris et
lentement, écarte les cuisses, lui dévoilant mon léger slip blanc. Cette vision semble lui plaire si j'en juge la bosse qui déforme son pantalon.
« Mon ami en a de la chance d'avoir une coquine comme toi. Je suis sûr que ça t'excite de te montrer ainsi, je me trompe
?
- Non.
- Viens ici ! »
Comme un automate, je le rejoins. Il me prend le bras, me fait asseoir, sans douceur, sur ses genoux et sa main remplace celle de
Pierre sur ma cuisse. Mon chéri revient et nous découvre ainsi, moi la robe largement retroussée, la main de son ami presque sur mon sexe. Il nous regarde, un sourire aux lèvres, puis s'installe
dans le canapé et dit :
« Je vois que le courant passe entre vous deux !
- Ne m'en veux pas mon chéri... je ne sais pas ce qui m'a pris... j'ai du boire un peu trop... »
Je tente de me relever mais Alain me maintient fermement.
« Ne bouge pas ! Ton mari et moi allons te donner tout le plaisir que mérite une jolie femme comme toi. »
Serait-ce un piège ? Mon mari en serait-il complice ? Un instant, le doute s'insinue en moi. Je me rappelle quelques discussions
pendant lesquelles Pierre évoquait ce genre de rapport à trois. Mais non ! Il n'aurait pas osé ? Sans m'en parler auparavant ?
Pendant que je me faisais des nœuds au cerveau, Alain n'a pas perdu de temps et ses doigts flattent maintenant ma fente dont je dois
bien reconnaitre l'état d'humidité avancé. Et après tout ? Puisque mon mari est consentant, pourquoi de pas en profiter ?
J'écarte donc largement les jambes, offrant sans retenue ma chatte aux doigts curieux de son ami qui, sentant toutes les barrières
levées, se faufile sous mon sous-vêtement pour me caresser à même la peau, d'une façon fort agréable d'ailleurs. Mon chéri ne nous quitte pas des yeux et son pantalon présente la même déformation
que celui d'Alain. D'un signe, je l'invite à s'approcher et fais rapidement glisser vêtement et caleçon, dévoilant son sexe fièrement dressé. Je le caresse un peu puis, me penchant, embrasse le
gland, flatte la hampe, tirant de légers soupirs d'aise à mon chéri.
« Oh, elle a l'air d'aimer ça, pomper un dard ! Une vraie bouffeuse de queues ! »
D'ordinaire, ce genre de langage m'insupporte. Ce soir, pourtant, entendre un quasi inconnu parler de moi comme ça m'excite. Alain
semble s'en rendre compte d'ailleurs car ses doigts s'enfoncent un peu plus loin encore en moi.
« Putain, elle est trempée ! T'aimes ça qu'on te traite comme une pute, pas vrai ?
- Hum... parviens-je à murmurer.
- Lâche ton homme et dis-moi qu't'aimes ça !
- Oui j'aime... comme j'aime que tu me fouilles la chatte ! »
Je ne me reconnais plus ! Moi, l'épouse si sage, pas oie blanche, certes, mais plutôt réservée, peu expansive quand je fais l'amour
avec mon mari. Me voici me conduisant comme une fille des rues, employant des mots que je n'ai jamais osé prononcer !
Je reprends la queue de Pierre entre les lèvres mais Alain après quelques minutes, m'oblige à la lâcher une nouvelle fois. Il me fait
mettre debout et me débarrasse rapidement de mes vêtements. Pour la première fois depuis mon mariage, je suis nue, offerte aux yeux plus que gourmands d'un autre que mon époux.
Ses mains parcourent mon corps, soupèsent mes seins, caressent mon ventre.
« T'es vraiment canon toi ! Tourne-toi que j'admire ton popotin ! »
Docile, je m'exécute. Ses mains se posent sur mes fesses, les caressent, les malaxent sans ménagement.
« Super ton cul ! On en mangerait ! Penche-toi ! »
Il dépose deux baisers bien sonores puis d'un doigt, parcourt ma raie, s'attarde sur mon petit œillet, en teste la résistance en
appuyant légèrement.
« T'aime te faire enculer ?
- Non pas trop...
- Tu ne sais pas ce qui est bon... je suis sûr que tu vas adorer ! »
Ben tiens donc ! Monsieur a l'intention de me prendre le cul sans que j'y consente ! Je devrais me fâcher, me rebeller, pourtant, rien
de tout ça et, sous les yeux de mon mari, je laisse Alain poursuivre son exploration de mon intimité la plus secrète. Pire encore ! Quand son doigt force la passage et s'enfonce en moi, je ne
retiens pas un gémissement, léger certes mais suffisant pour lui indiquer que je ne déteste pas cette initiative. Ce macho ne laisse pas passer cette occasion !
« Hé hé... je savais que t'apprécierais un doigt dans le cul ! »
Il le fait aller et venir quelques instants puis cesse toute caresse, se lève et je devine, au bruit, qu'il se met à son tour nu. Il se
rassied et dit :
« À mon tour de goûter tes talents de suceuse ! »
Je m'agenouille entre ses cuisses et caresse son sexe. Il ressemble à celui de Pierre ; peut-être juste un peu plus long. Je donne de
petits coups de langue sur le gland, la hampe, descend embrasser les couilles puis remonte en le léchant comme s'il s'agissait d'un bâtonnet de glace. Enfin, j'ouvre les lèvres et, le plus
lentement possible, le fait coulisser, me faisant un devoir de le prendre le plus loin possible, ce qu'il semble apprécier.
« Oh la vache ! Qu'est-ce que t'es bonne ! Vas-y ma belle ! Avale-la bien ! Ouiii... comme ça ! »
Je m'emploie à lui offrir la plus gourmande des fellations, je veux qu'il se souvienne de moi longtemps, qu'il bande rien qu'en y
repensant !
Mais qu'est-ce qui me prend d'avoir de telles pensées ? Faut-il que je sois ivre... ou excitée !! Peu importe ! Pour l'instant, seul
compte le plaisir que je prends à déguster cette barre de chair et il est loin d'être négligeable ! D'autant plus fort quand mon petit mari chéri se met en tête de caresser mon petit coquillage.
Il me fait écarter les jambes, et me doigte allègrement, s'enfonçant entre mes chairs, agaçant mon bouton. Jamais encore je n'ai été dans un tel état d'excitation !
Je le suce ainsi que longues minutes puis ose une caresse en direction de ses fesses. Il ne se dérobe pas, bien au contraire, et
avertit mon mari de mon initiative :
« Oh la garce, elle me doigte le cul ! Vas-y ma cochonne ! »
Il relève les cuisses, m'offrant son cul puis me lance :
« Allez ! Goûte mon cul ! Lèche mon trou de balle ! «
Jamais je ne me serais crue capable de ça et pourtant ! Je lâche sa bite et pose ma bouche sur son œillet que j'embrasse sans dégoût.
J'en force même l'entrée avec le bout de ma langue, lui tirant des gémissements qui m'indiquent combien il apprécie la chose !
« Petite cochonne, comme c'est bon ! Hum... Oui... enfonce bien ta langue... »
Tout en lui bouffant le cul, je le branle et lui masse les couilles. Je sens, aux frémissements de sa tige, qu'il n'est pas loin de
rendre les armes. Ce qu'il me confirme dans son langage toujours aussi poétique :
« Ah, oui ! Oh salope ! Tu vas me faire juter ! Reprends ma bitte que je t'arrose les amygdales ! Hum... putain ! T'es trop bonne
! Tu vas voir la rincée que je vais t'offrir ! Ah ! Oui ! Ça vient ! »
Effectivement, contre mon palais, sa queue est agitée de soubresauts annonciateurs de son plaisir imminent. Un premier jet jaillit,
puissant, suivi de quelques autres. Son éjaculation est importante et je dois faire un effort pour tout avaler. Moi qui, d'ordinaire, n'apprécie que fort peu de recevoir le plaisir de Pierre dans
ma bouche, je me surprends à apprécier ce foutre qui tapisse ma bouche et, tant par bravade que par plaisir, je me fais fort de ne pas en laisser échapper la moindre goutte.
La source se tarit et le membre, lentement, perd de sa raideur. je le relâche et, avec une moue coquine, vient offrir un baiser à mon
amant.
« Il y a des lustres qu'on ne m'avait pas sucé ainsi ! Tu es la reine des suceuses !!
- Avec un chibre comme le tien, je n'ai pas eu à forcer mon talent, tu sais !
- Pendant que je reprends des forces, occupe-toi donc de Pierre ! Je suis sûr que tu as encore soif de jute ! »
Comme s'il n'attendait que cela, mon chéri se présente face à moi et je m'empresse de l'avaler pour lui donner sa dose de
plaisir.
« Caresse-lui le cul aussi ! Pierre, mon cher, ta femme t'as déjà bouffé le petit trou ?
- Non... je m'en souviendrais !
- Allez Catherine ! Mange-lui le fion ! »
Mon mari se tourne, prend appui sur le canapé et se penche, m'offrant sa raie que je lèche à grands coups de langue avant de m'attarder
sur son petit œillet sombre. Comme son ami tout à l'heure, il reçoit cette caresse avec un plaisir non feint et, dans les mêmes termes qu'Alain, me le fait savoir :
« Oui ma chérie... continue ! J'adore quand tu me fouilles le trou ! Vas-y salope ! Baise-moi bien ! »
Ils font un concours de poésie ce soir !!
Après quelques minutes, mon amour me dit de reprendre son sexe en bouche afin, déclare t-il "de me rincer la gueule !". Il est temps
car ma mâchoire commence à me faire souffrir ! je n'ai que le temps de le faire coulisser entre mes lèvres que, dans une longue plainte, il m'abreuve de ses jets. Je le garde en moi jusqu'à ce
qu'il soit débandé, avalant sans rechigner le sperme conjugal.
Après cette petite séance, Pierre sert une tournée et nous dégustons une nouvelle coupe de Champagne. Je regarde mes deux hommes,
visiblement ravis de la soirée et leur dis :
« Ce n’est pas tout ça mais j'aimerais bien avoir ma dose de plaisir moi aussi !
- Allonge-toi sur le canapé, je vais te manger la chatte ! »
Je m'installe donc et Alain se penche pour me rouler une pelle tout en caressant mes seins et mon ventre, ce qui suffit à me faire
gémir.
« Putain ! T’es chaude comme la braise ! »
Il lèche ensuite mes deux nibards, passe de l'un à l'autre, caresse celui que sa bouche a lâché. Mes tétons sont durs comme jamais et
mon ventre se noue sous ses caresses. Il poursuit en embrassant mon ventre, stoppant juste à l'orée de ma courte toison. Délaissant ma chatoune, il poursuit ses baisers et ses caresses sur mes
cuisses.
« Viens me bouffer la moule ! Allez ! Vite ! J'ai envie de ta bouche sur ma fente ! »
Il relève la tête, me regarde en souriant tout en enfonçant deux doigts dans ma chatte trempée. Il les fait aller et venir avant de les
ressortir, trempés, et les présenter à ma bouche :
« Goûte ton jus petite cochonne ! »
J'ouvre les lèvres et lèches ses doigts couverts de ma mouille sans le quitter des yeux. Il plonge alors le visage vers mon entrejambe
et, dans un long gémissement, j'accueille sa langue sur ma fente. Il me lèche la fente avec passion, aspire mes lèvres, mon bouton. Je gémis sans discontinuer sous ces caresses et quand il
enfonce sa langue dans ma grotte, je ne retiens pas un long râle de plaisir. Il me déguste ainsi de longues minutes, ralentissant quand il me sent sur le point de succomber avant de reprendre de
plus belle. Mon cul n'est pas oublié et deux doigts y vont et viennent aussi régulièrement que profondément. Mon chéri, nous regarde, tout en caressant, en pétrissant même parfois, mes
seins.
« C'est bon, hein ? Tu aimes te faire bouffer la chatte par Alain, pas vrai ?
- Oh oui... mon chéri... je vais jouir... c'est trop ... ahhhh !!! »
Dans un long cri, je me lâche et succombe à un orgasme d'une rare intensité. J'ai l'impression que mon sexe s'est transformé en
fontaine tant je coule, pour le plus grand plaisir de mon partenaire qui, la bouche rivée à ma fente, s'abreuve de mon jus intime. Je le repousse quand il veut embrasser mon bouton, tant celui-ci
est sensible, à la limite de la douleur. Il se relève, le menton luisant du fruit de mon plaisir et, me regarde en souriant, me dit :
« Jamais je n'avais dégusté un aussi délicieux coquillage.
Mon cœur bat la chamade. Il y a bien longtemps que je n'avais joui aussi intensément. Le fait de la faire avec un autre que mon chéri
et devant lui n'est pas étranger, j'en suis sûre à ce plaisir démultiplié.
Je ferme les yeux et savoure cet orgasme. Le premier d'une longue série, je n'en ai aucun doute !
Signé : Chris
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