Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Samedi, dix-sept heures.
Comme me l’a demandé Olivier je l’attends sur le trottoir, entièrement nue sous mon manteau, il m’avait prévenue que n’aurai pas besoin de vêtement. En route, il me demanda d’ouvrir mon manteau afin de m’exhiber pendant le trajet auprès des camionneurs. Il me dit que cela me stimulerai, je lui répondis que déjà, seule l’idée de la soirée que nous allons passer m’excite.
De temps à autre, à hauteur d’un camion, il ralentissait. Si je voyais le conducteur me regarder, je me laissais aller à quelques caresses suggestives. Quand nous repartions, nous avions droit à un coup de klaxon ou un appel de phares.
Après une petite heure de route, il me demanda de refermer mon manteau, car nous allions arriver à destination. Il prit une petite allée, passa devant un lac et un grand parc, avant de s’immobiliser devant un petit château.
Un homme bien bâti, vêtu à peine d’une petite tunique autour de la taille, m’ouvrit la porte de la voiture et m’aida à en descendre. Olivier me prit la main en montant le perron, et arrivés devant l’entrée, nous fûmes accueillis par « L’Empereur » des lieux. Il nous pria d’entrer dans le grand hall et d’y attendre les derniers arrivants, le début de la soirée commençant à dix-huit heures trente. Je remarquais dans le magnifique hall, que toutes les femmes étaient en manteau, sûrement nues comme moi. Il y avait du très beau monde, et j’étais excitée à l’idée de ce qui allait se passer.
Dix-huit heures trente.
Les portes se ferment et L’Empereur s’adresse à nous en disant :
« Les femmes passent dans la pièce de gauche, et les hommes dans celle de droite. Quand vous serez prêts, revenez ici. »
Je me demandais bien ce qui allait se passer. Je regarde Olivier qui me rassure. Arrivée dans la pièce, il avait une immense penderie avec des tuniques romaines de diverses couleurs. Je pris une dorée, j’ôtais mon manteau me retrouvant ainsi nue comme toutes les autres femmes d’ailleurs, également en train de se vêtir de ces tuniques. Nous sommes ensuite retournées dans le hall où nous avons attendu nos compagnons. Ils sont arrivés quelques minutes plus tard, élégamment habillés en romains.
L’Empereur nous invita ensuite à passer dans la grande salle afin de nous restaurer.
Olivier me dit que je suis superbe dans cette seule tunique, et il m’embrasse. Tout en mettant sa main sur mes fesses, nous avançons et rejoignons les autres dans la salle. Nous nous installons, nos voisins, deux beaux couples, la trentaine, nous saluent. Il me semble connaître l’un des hommes, il est grand, blond, bien bâti. Mais oui !!! C’est l’homme de la salle de sport ! On dirait qu’il ne m’a pas reconnue, ou alors ne le veut-il pas ?
Soit.
Les mets arrivent les uns après les autres, et nous mangeons. Les conversations sont diverses, et au fil du repas, dévient de plus en plus sur le sexe.
« Et vous ma chère, me dit mon voisin en me posant sa main sur ma jambe, c’est votre première orgie romaine ?
- Oui lui répondis-je.
- Vous verrez, vous allez bien vous amuser », me sourit-il.
Je remarque que petit à petit, le comportement des certains gens change. Ils commencent à se laisser aller. Olivier qui avait fait connaissance avec sa voisin, lui propose des raisins tenus entre ses dents, et l’invite à venir les prendre.
Elle ne se fait pas prier, et à chaque raisin, s’en suit un baiser profond. Mon voisin me voyant intriguée, me propose de d’essayer, ce que j’accepte. Arès tout, je suis là pour me dévergonder dans la luxure et tous ces plaisirs. Je prends du bout des lèvres les raisins de mon voisin dans sa bouche, et nous nous embrassons. Il en profite pour laisser trainer ses mains sur mes cuisses. L’une d’elle remonte tout doucement vers ma chatte.
Olivier caresse la généreuse poitrine de sa voisine, tout en continuant de l’embrasser, en ayant oublié les raisins à présent. Mon voisin me demande si j’apprécierai de jouer à autre chose, et que je n’aurai rien à faire. J’accepte avec une légère crainte.
« Déshabille-toi », m’ordonne t-il.
J’obéis, et pendant ce temps, il débarrasse grossièrement la table et m’invite à m’y allonger. Il m’aide à monter sur celle-ci et je m’y installe. Tout le monde autour de nous me regarde, puis l’homme commence à déposer des fruits qu’il écrase et me verse du vin sur tout le corps. J’ai bien compris que j’allais servir d’assiette humaine…. Des mains se perdirent, Olivier vint m’embrasser, des langues me passaient sur les seins, d’autres me léchaient le ventre et le nombril.
Il y avait des femmes et des hommes tout autour de moi, venant chercher leur pitance sur mon corps sans cesse ravitaillé. D’un coup, je frissonne : une langue me lèche le clitoris et deux mains que j’imagine puissantes, me serrent les fesses. La langue me fouille l’intérieur de la chatte, puis descend vers mon anus s’y attardant quelque peu.
Je suis toute excitée.
« Est-ce que cela te plait ? me demande Olivier.
- Oui, bien sur, mais je veux te sucer, » lui répondis-je en l’embrassant.
Tout à coup, la langue s’est retirée. Je redresse la tête, et m’aperçois qu’il s’agit du gars de la salle de sport. Il relève sa toge, et sans que je puisse l’apercevoir, il introduit son sexe sans délicatesse dans ma chatte. Il commença de puissant va et vient en me soulevant la taille.
Olivier se mit à genoux devant moi sur la table afin que je puisse le sucer. Je voyais pendant ce temps qu’il s’occupait toujours de sa belle voisine, des mains se perdaient sur mes seins, le grand blond ne cessait de me pilonner avec son sexe relativement gros, je me sentais prête de la jouissance lorsque…
Soumise Célia
www.soumise.celia.erog.fr
Derniers Commentaires