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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Chapitre IV

 

Olivier finit par décharger sur le ventre de Sophie. Son sperme se mélangea à un reste de confiture de fraise.

Contemplant le tableau, Sophie pensa que cela ressemblait un peu à son yaourt matinal.

Elle trempa son doigt dans la mixture, le porta à ses lèvres et gouta le mets improvisé par dame nature et le vice de son initiateur.

« Ma foi, pensa-t-elle, ce n’est pas si mauvais, je vais en reprendre un peu. »

 

Une fois avalé son en-cas, elle se leva et s’en fut prendre une douche. Elle était « pégueuse » et avait besoin de se refaire une beauté.

 

Ne connaissant point la demeure, elle inspecta toutes les pièces du rez-de-chaussée. Ne trouvant pas l’objet de sa recherche, elle s’aventura dans l’escalier monumental qui menait à l’étage.

 

Trois portes se présentaient à elle.

Elle prit le parti d’ouvrir celle qui était en face d’elle, et se retrouva nez-à-nez avec le beau brun inconnu.

Surprise, elle eut un petit sursaut, et bafouillant, lui dit « bonjour euhhhhhh, enfin euhhhhh, rebonjour, je cherche une douche. »

- Tou cherché oune douché, ma il n’y a pas dé problèmé. Jé m’appellé Marco et toi ? 

- Moi c’est Sophie.

- Viens, souis moi, jé vé t’accompagner à la douché et si tou veux jé té savonnerais lé dos. »

 

Elle pensa, à juste titre, qu’il devait être italien.

 

Marco la fit entrer dans une chambre et de la dans une salle de bain. Rien de bien luxueux, mais un carré de douche fonctionnel et propre. L’eau chaude mit un certain temps à arriver. Dans les grandes demeures la chaudière est souvent éloignée des bains.

Ils en profitèrent pour faire connaissance.

« Tu es italien ?

- Oui, jé souis de Roma  et toi, tou es parisiené ?

- Non, moi je suis des Charentes, mais cela fait dix ans que je vis ici. »

- Céla fait longtemps qué tou ez avec Olivier ?

- Disons que je ne suis pas vraiment avec lui, c’est un ami, enfin, tu vois ce que je veux dire...?

-Si, jé comprends. Bon l’eau mé parait chaude mainténant. »

 

Ensemble, ils se placèrent sous le jet. Sophie était impressionnée par le corps svelte et puissant de son beau courtisan. Des regards et des sourires s’échangeaient pendant qu’ils se savonnaient mutuellement. Peu à peu, le sexe de Marco gonflait, preuve de l’intérêt qu’il portait à notre héroïne.

Elle s’en rendit compte et lui dit :

« Ben dis donc tu es increvable toi ! »

 

Dans un grand éclat de rire il lui répondit :

« Dé la ou jé viens, il vaut mieux être incrévable ! »

 

Il la saisit avec vigueur par la taille, la souleva, tel un fétu de paille, l’embrassa à pleine bouche fougueusement et plaqua contre son sexe son membre turgescent. Sophie avait bien le souvenir d’une queue de bon calibre, mais elle se rendit compte que l’engin avec lequel elle était en contact était nettement plus gros que ce qu’elle avait perçu.

Le gland de Marco limait doucement ses lèvres, et elle le sentait peu à peu s’introduire en elle.

 

Elle était subjuguée par son bel étalon, mais en un éclair, elle lui dit :

« Non, pas comme ça, pas sans capote » !

 

Il la reposa au sol et répondit :

« Ma jé n’ai pas de capoté moi.

- Alors ce n’est pas possible »

- Ecouté tou aimes les soirées romainés ?

- Oui, c’est amusant, mais sans préserv... »*

 

Marco lui mit l’index sur la bouche avant qu’elle n’ait fini sa phrase.

« Si tou aimé les soirées commé cellé la, fais moi confiancé, viens souis moi. »

 

Il la prit par main, ferma le robinet et l’entraina ruisselante dans la chambre. Elle lui dit : « Marco, il faut se sécher, on ne peut pas sortir comme ça. 

- Questo non è un problema, souis moi. »

 

Ils sortirent de la chambre, et une fois dans le couloir, il dit :

« On court et quand jé té lé dis, on sauté en fermant les yeux. ».

 

Sophie pensa qu’elle avait encore rencontré un olibrius. Cela lui était déjà arrivé plusieurs fois. Elle se disait même qu’elle avait le don de les attirer. Le dernier en date avait été un australien fondu d’aquariophilie. Il avait fait construire un grand bassin dans sa maison et l’avait entrainé pour des étreintes amoureuses dans l’eau. Le comble de l’horreur fut atteint lorsqu’en pleine fellation, elle s’aperçut que des bébêtes à la nageoire dorsale teintée de noir tournaient autour du matelas gonflable sur lequel monsieur était étiré.

 

Marco la tenait fermement par la main et elle ne pouvait s’en défaire. Entre réticence, crainte et curiosité, elle se laissait aller toute entière sous la domination de son amant.

Il commença à trottiner, puis à courir et dit :

« Fermé les yeux et sauté ! »

 

L’instant d’après, elle les ouvrit et se découvrit vêtue d’une « stolla ». Une fibule ornée

d’un rubis de la taille d’un ongle de pouce maintenait le tissus. Ses campagus (chaussures) étaient de fils d’or et d’argent entremêlés. Une chaine faite de corail et de nacre enserrait sa taille et donnait un relief sans pareil à sa taille de guêpe. Son index droit portait une bague extravagante. Toute d’or, elle avait la forme d’un boa enserrant une proie.

 

Marcus était à ses cotés. Une toge bordée de deux bandes larges de pourpre montraient sa qualité de sénateur. Sa ceinture était d’or et  une tète de lion avec deux yeux en lapis-lazuli servaient de boucle. Sur son torse pendait un collier représentant un soleil à tète d’humain.

Ils étaient dans un long couloir et elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait.

« Marco, c’est quoi ça » ?

- Tu voulais une fête romaine, tu vas en avoir une, une vraie, car ici tu es à Rome  en l’an 58 après JC. Ici on me prénomme Marcus. Toi, tu seras Poppée. Viens je vais te présenter mes amis. »

 

Il l’entraina tout le long d’un immense couloir et la fit entrer dans un salon gigantesque.

« AVE CESAR » ! dit-il en entrant.

 - AVE MARCUS » ! répondit Néron. Je croyais que je ne te verrais pas ce soir !

- Tu sais bien, César que j’aime voyager. J’ai ramené de Gaulle une nouvelle conquête,

Poppée qui m’accompagne. Elle voulait connaitre les plaisirs de Rome et la grandeur de notre dieu vivant oh mon maître !

- Tu as bien fait Marcus, la chair fraiche nous plait toujours et quand elle est exotique encore plus. Montre-nous donc ta gauloise, que l’on voit si elle a la cuisse ferme et les seins pleins. »

 

Marcus, puisque c’était son nom, dit à Sophie en chuchotant :

« Avance, présente-toi devant César, évite les commentaires et fais ce que l’on t’ordonne. »

 

Interloquée, elle obéit.

« Sacrée belle femme que tu nous amène Marcus. Elle me plait et j’en ferai bien un festin si tu ne la considères comme ton épouse ».

- Néron, Poppée ne m’appartient pas. Elle sera ce que tu voudras en faire ! »

 

Sophie frémit, autour d’elle, tout n’était que fornication. De plus, on ne la prénommait plus par son prénom.

 

Sur une estrade, enfermés dans une cage de fer, un immense noir sodomisait une petite femme d’origine asiatique. Il devait mesurer plus de deux mètres de haut et son membre au moins trente centimètres de long. La pauvre fille hurlait de douleur, car, toute menue, son postérieur ne pouvait recevoir avec plaisir cet énorme morceau de chair.

 

Tout à coté, Lucius, qui tenait plus de l’hippopotame que de l’être humain, se faisait sucer par deux jeunes berbères, esclaves elle-aussi. Elles l’avalaient jusqu’à la bourse à tour de rôle. Elles paraissaient heureuses et devaient l’être puisque sorties d’une vie de travail certainement plus pénible que leur emploi du moment.

 

Burrus, pilonnait sans précautions la maitresse officielle de Lucius. Celle-ci grognait au moins autant que son amant. A quatre pattes, elle offrait son sexe et paraissait insatiable.

 

Plus loin, le vénérable sénateur Pripius se faisait chevaucher par ce qui semblait être une courtisane. Telle une walkyrie, elle sautait sur son membre en gémissant « ouinnnnn, ouinnnnnn, ouinnnnnn ».

Il lui pressait les mamelles comme le paysan trait la vache, mais visiblement, au contraire de la déranger, cela lui plaisait.

 

A coté d’eux s’agitait Fabricius, il avait pour compagnon de jeu Amplicius. Celui-là avait bien trouvé son prénom, car Fabricius était richement doté et l’enfournait par derrière sans ménagement. Son dard entrait et sortait de son fondement comme le boulanger enfourne la pâte dans le four pour faire le pain.

Le cul d’Amplicius ressemblait à une auberge de mauvaise vie : toujours ouvert et avec des couleurs mordorées tirant sur le Bordeaux. Il en tirait grand plaisir car au-delà des hurlements de la petite asiatique on l’entendait grogner à gorge déployée. Plusieurs eunuques les entouraient et profitaient de chacune de leurs pauses pour leur sucer ardemment la bite.

 

Au fond de la salle, Anglicus se faisait fouetter par des compagnons de plaisir. Visiblement, il appréciait son traitement car il demandait :

« Par Jupiter, mais tapez plus fort, tapez plus fort ! »

 

Angelicus, lui aussi s’agitait. Il possédait sans retenue aucune Caprizzia.

Elle en appelait aux dieux sous les coups de queue de son amant :

« Par Janus, je m’en vais vers Saturne », criait-elle.

 

Sophie était angoissée. Elle venait de quitter une soirée bien chaude pour un monde irréel, bien qu’il exista.

Néron l’appela.

« Poppée, viens ici. »

 

Comme hypnotisée, elle obéit et se planta devant lui.

Le César était étendu sur sa couche et, entouré de Claudia, sa maitresse et d’une esclave libyenne ou numide, se laissait caresser langoureusement.

Elle s’avança, sans réticence.

« On m’a dit, belle gauloise, que vous êtes rebelles et il ne se passe pas une calende sans que l’on ne me rapporte une révolte de ton peuple contre mon autorité»

- Oh Néron, j’en suis confuse. Mon peuple est certainement revêche, mais il est inculte. Ne crois pas que nous soyons tous ainsi.

A tes pieds je m’assieds,

À tes désirs, je me plie

Et jamais, non jamais

Ne refuserai ton ambroisie. »

 

A ces mots, le >César prit les deux femelles qui l’entouraient par les cheveux. Les soulevant de sa couche il les en projeta disant :

« Voyez, femmes comme j’aime que l’on me parle ! Poppée, viens me rejoindre sur mon sigma, je sais que les gaulois, vous avez grande bouche et que vos langues répandent des serpents que mes légions ne savent ni contenir. Viens me montrer ce que tu sais faire avec la tienne puisque de l’empire il semble que vous soyez les plus douées. »

 

Sur cet ordre, Poppée avança et s’agenouilla devant la couche de Néron.

Elle prit l’empereur en bouche et s’affaira de manière à lui procurer le maximum de jouissance.

 

Marcus, légèrement en retrait, ne tarda pas à les rejoindre.

Il s’assit au coté du dieu vivant et commenta :

« Elle suce bien ?

- Par Janus, elle est divine !

- Pourquoi n’en fais tu pas ta femme ?

- Elle n’est que de passage divin Néron, je ne saurai l’attacher puisqu’elle n’est de notre monde.

- Comment cela ? répliqua-t-il.

- Je l’ai ramenée d’un long voyage, et ce n’est qu’une conquête, elle est éphémère comme la rosée du printemps et ne durera, comme les belles fleurs, qu’une saison. »

 

Sans crier gare, il avait prit place sur le triclinium de César, il lui caressait doucement les hanches et promenait son membre sur ses fesses pendant que Propée s’occupait de la queue du rex imperator. Peu à peu il s’introduisit. Néron appréciait ce genre de pénétrations.

 

Les vas et viens de Marcus associés à la douce langue de Poppée et aux caresses de Claudia sur ses testicules étaient pour lui pur délice. Il jouit dans la bouche de la gauloise sans la prévenir.

« Mon frère, tu es revenu me faire du bien, et en me prêtant ton amie, tu me donnes plus que personne ne m’a jamais donné, dit Néron. Je t’octroie une rente de 100 000 sesterces à prélever sur mes terres de tarraco et quant à toi, belle Poppée, il suffit de me dire ce que tu souhaites pour l’obtenir. ».

 

Sophie se creusa la cervelle. Que pouvait-elle bien demander.

« César, j’aimerai que tu m’offres cet esclave noir », dit-elle en montrant l’homme d’ébène enfermé dans la cage.

 

Néron partit d’un grand éclat de rire.

« Tu veux ça ? Hahahahahahahahahahaaha !!! Mais ça ne vaut rien ! Dis moi Marcus, quel genre de personne est cette femme qui me demande de lui donner un esclave promit aux lions de demain ?

- Néron, mon roi, Poppée est fille de prince Pictave et si son caprice est cet esclave... 

- Bien, qu’il en soit ainsi Marcus Aemilius. »

 

Et il claqua des mains pour donner l’ordre que l’on libère l’africain.

« Je suis las, dit Néron. Que l’on me laisse maintenant, nous nous verrons demain ! »

 

Sur cet ordre, les hôtes se revêtirent et après avoir tiré une révérence au dieu vivant se retirèrent.

Sophie demanda à Marcus :

« Et la petite chinoise, qu’est ce qu’il va lui arriver ?

- Bahhh, demain elle servira d’apéritif aux lions.  Ton grand noir, tu penses en faire quoi ?

- Je pense qu’il va me servir pour pas mal de choses », répondit-elle malicieusement.

 

Main dans la main, les complices s’en allaient dormir, suivi de Boubakar, esclave de Sophie, au palais de Marcus. Le lendemain, il était convenu qu’ils assisteraient à la 2123ème session des jeux du cirque.

 

Le César avait ordonné et il n’y avait aucune échappatoire.

 

 

Thierry  

Par Thierry - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Au royaume des salopes
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