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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Pour changer un peu, quelques textes de chansons plus que coquines…

 Ta touffe m’étouffe

 

Je suis sorti avec une meuf
Bien décidé à faire la teuf
Je suis rentré avec une pouf
Et beaucoup d'projets pour sa touffe
...Quand dans mon lit on s'est couché
J'ai entendu ses poils mouiller
Je l'ai léchée oh tête bêche
J'adore quand je leur bouffe la mèche
Ma langue câline pleine de salive
La caressait jusqu'aux gencives
Sur ses parois au goût suave
Je me suis dit putain j'en bave
Bien enfoncé dans son minou
Je lui ai pas cherché des poux

La tête coincée façon James Bond
Je la lapais la paix dans l'monde
Je titillais ses lèvres en feu
Oh pendant qu'elle faisait la queue
J'avais mal lu sur l'éclito
Pelouse mouillée pelouse pleine d'eau
Je pouvais plus me retenir
C'est souvent ça quand j'vais jouir
Et j'ai senti sa petite chatte
Qui m'explosait dans la patate
Ta touffe
M'étouffe
Ta touffe
J'la bouffe
 

 

 

 

Les Trois Orfèvres

Refrain :
Relevez, la belle, votre blanc jupon
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie les fesses
Relevez, la belle, votre blanc jupon
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie le con

Trois orfèvres à la St-Eloi
S'en allèrent diner chez un autre orfèvre
Trois orfèvres à la St-Eloi
S'en allèrent diner chez un autr' bourgeois
Ils ont baisé toute la famille
La mère au nichon
Le père au cul
La fille au con.

Refrain

La servante qui avait tout vu
Leur dit : "Foutez-moi votre pine aux fesses"
La servante qui avait tout vu
Leur dit : "Foutez-moi votre pine dans l'cul"
Tous trois l'ont baisée assis sur une chaise
La chaise a cassé
Ils sont tombés sans débander.

Refrain


 

Les orfèvres non contents de ca
Montèrent sur le toit pour baiser minette
Les orfèvres non contents de ca
Montèrent sur le toit pour baiser le chat
Chat, petit chat, chat, tu m'égratignes
Petit polisson, tu m'égratignes
Les roustons.


Refrain

Les orfèvres chez le pâtissier
Entrèrent pour manger quelques friandises
Les orfèvres chez le pâtissier
Par les marmitons se firent enculer
Puis voyant leur vit plein de merde
Ils ont bouffé ca
En guise d'éclair au chocolat.

Refrain

Les orfèvres au son du canon
Se retrouveront tous à la frontière
Les orfèvres au son du canon
En guis' de boulets lanceront des étrons
En bandant tous comme des carmes
A grands coups de vits
Repousseront les ennemis.

 


La complainte de la Marie-Salope

 

Marie était si salope, si salope, si salope,
Que pour se faire enfiler,
Que pour se faire enculer,
Elle faisait du porte à porte, porte à porte, porte à porte,
Pour frais de r'présentation,
El-le palpait vos couillons.

Aussitôt la porte ouverte,
Cette pute sans vergogne,
Attrapait par la braguette
Votre verge à pleine pogne.
Et d'une main fort experte,
Arrachait tous les boutons,
En se chatouillant le con.
Elle bavait rouge et lubrique,
En vous tiraillant la trique,
Et s'introduisait l'engin,
Jusque z'au fond du vagin.

Mais cette Marie-salope, si salope, si salope,
Avait de la distinction,
Avait de l'éducation.
Et son cul était si propre, tait si propre, tait si propre,
Qu'on lui prêtait ses couillons,
Sans la moindre hésitation.


Elle savait si bien y faire,
Son cul battant la cadence,
Que tous les baiseurs de France
Raffolaient de son derrière.
Et bientôt sa clientèle,
A son con restait fidèle,
Accourait foutre chez elle.
Arrachant leur pantalon,
Par ses appâts affolés,
Les plus bandeurs s'enculaient
Jusque dessus son balcon.

La pauvre Marie-salope, si salope, si salope,
A force de baisouiller
Eut la matrice entamée.
Son vagin comme une porte, une porte, une porte,
Laissait entrer sans façon,
Trois verges et six couillons.

Comme elle voulait toujours plaire,
Elle alla chez le médecin,
Qui recousit ses arrières
Et son malheureux vagin.
Mais le morticole féroce,
L'ayant refaite pucelle,
Re-défonça la donzelle.
Ce fut une chose atroce,
Il l'avait rendu si vierge,
Qu'ayant enfilé sa verge,
Il dut rester dans la belle.

Si bien que Marie-salope, si salope, si salope,
Qui voulait toujours baiser,
Qui aimait tant faire bander.
D'épuisement tomba morte, tomba morte, tomba morte,
Ayant gardé dans le con,
Trop longtemps un gros couillon.

 

 




 

Par Anonymes - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Candaule et libertine
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