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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Après un long silence, revoici les aventures torrides de Chris, et sa jeune femme Sandy.

 

 

Il y a quelques semaines, Sandy a assisté  une vente de lingerie à domicile. Comme le principe lui a plu, elle a demandé çà la vendeuse d’organiser une telle soirée chez nous. Bien sur, elle a accepté. Et bien évidemment, moi aussi, j’étais d’accord ! Le samedi suivant, la soirée eut donc lieu.
Sandy avait rassemblé chez nous une vingtaine de femmes, dont ma belle-sœur. Ma belle-mère Janine avait aussi invité une de ses amies. Lorsque la vendeuse est arrivée, nous l’avons aidée à sortir toutes ses affaires. Les premiers invités arrivèrent à dix-neuf heures. C’était Séverine, une fille très excitante, avec Philippe, un de mes potes, qui est aussi son mec.  A vingt heures, tout le monde était là. L’ambiance n’était pas top, et pour faire marcher un peu l’ambiance, je servais de la bière, et Sandy alla passer une guêpière.

 

Elle fit son effet en rentrant. Il faut dire qu’elle était très excitante. Comme d’habitude, je bandais comme un fou en la voyant dans cette tenue. La vieille a du le remarquer, car elle me regardait tout le temps en souriant.

Puis ma femme a emmené Séverine se changer aussi. Elles sont revenues toujours aussi bandantes dans leur guêpière sexy. Pourtant, les invitées commençaient à se lasser de tous ces sous-vêtements féminins, et la vendeuse s’en est aperçue. Elle nous dit alors :

« Vous savez, je fais aussi des sous-vêtements pour homme… Je suis sure que Chris se fera un plaisir de nous les présenter ! »

 

Impossible de dire non, et je vis que Sandy était d’accord…

 

Je suivis donc la vendeuse dans la chambre, pour passer un débardeur et un boxer. Ce fut le début d’un long défilé, où je jouais le mannequin sans façon. Les femmes riaient beaucoup, elles étaient un peu saoules. Enfin, Séverine me rejoignit dans la chambre, pour me demander :

« Chris vas-tu vraiment porter CA ?

- Quoi ? Oui bien sur… Euh... Qu’est-ce que c’est ???

- Un string, voyons ! Nos copines vont toutes te sauter dessus, si tu le portes ! 

- Tu crois ?

- Oh oui ! Surtout la belle-mère qui te regarde sans cesse avec les yeux brillants… »

Sans plus réfléchir, j’ai ôté mon boxer, en oubliant que Séverine me regardait… Elle me souffla :

« Tu es beau, tout nu… »

 

Illico, j’ai caché ma queue avec ma main.

« Beau morceau, on en mangerait ! »

 

Je ne savais plus quoi dire, aussi, je suis sorti avec le string, et un top transparent.

J’ai fait un tabac. Dans l’excitation générale, la vendeuse me donna à essayer un string avec une gaine pour le pénis. Incroyable ! Pourtant, avec l’accord de Sandy, je l’enfilais. Elle me complimenta sur ma bite mise ainsi en valeur.

Mais j’ignorais encore ce qu’allait faire la vendeuse…

 

Quand je suis entré dans le salon, les femmes éraient bouche bée, et ma queue était pourtant au repos. Sandy s’écria :

« Eh les filles, pas touche, c’est mon homme à moi !

 

Soudain, la vendeuse passa derrière moi, et m’enserra la taille avec ses bras. Elle se saisit de la gaine, et la fit bouger, pour faire apparaitre mon gland…

Interloqué, je me laissais faire… Je savais que si la vendeuse le faisait, c’est que ma femme était d’accord…

 

De façon plutôt vicieuse, la vendeuse expliquait que c’était pour uriner. Mais en disant cela, elle pressait ma bite de plus en plus fermement. J’étais quand même un peu gêné, surtout quand elle ajouta :« Mesdames, pour une baise express, c’est l’idéal, ca n’empêche pas de bander, comme vous le voyez ! »

 

C’en était trop pour moi, et je bandais franchement, prêt à exploser ! Du coup, mon gland sortit franchement de la gaine. Visiblement, ce n’était pas prévu… Impossible de le faire rentrer dans la gaine, malgré les efforts de la vendeuse ! Finalement, ma femme et Séverine se sont levées pour m’applaudir, et toutes ont suivi. Je suis rentré dans la chambre, tout gêné, pour me changer.

 

Les invitées ont passé leur commande, et sont enfin parties  avec la commerciale.

 

Sauf Séverine, Philippe et ma belle-mère. Comme nous étions tous un peu bourrés, je leur ai proposé de dormir chez nous. Ils ont accepté, à condition de pouvoir se doucher. Les plaisanteries ont fusé sur le sujet.

Nous avons donc continué à trinquer, et les filles sont allées passer les sous-vêtements laissés par la vendeuse.

 

Quand elles sont revenues, nous avons stoppé net notre petite discussion. Elles étaient splendides ! Séverine avait un string blanc et un porte-jarretelles ultra sensuel, ainsi qu’un redresse-seins. Sandy portait une guêpière noire très sexy, avec des petits lacets. Phil et moi étions ébahis. Phil me dit alors :

« Putain ! Sandy a un beau minou ! »

 

Moi, j’avais à peine vu qu’elle ne portait pas de culotte ! Elles se sont rapprochées de nous, et Sandy prit la parole :

« Alors, on vous fait de l’effet, les coquins ? »

 

Pas besoin de réponse pour moi, ma sortie de bain était bien bosselée. Phil n’arrêtait pas de fixer la chatte de ma femme. Elle lui parla à nouveau :

« Phil, viens avec moi, que je te montre la salle de bains. »

 

Comme un automate et sans un mot, il la suivit. Séverine s’est assise près de moi et m’a sourit :

« On vous a bien eus, tous les deux ! Dis-moi, je te plais ?

- Oh oui, ca se voit, non ?

- En effet, tu bandes pas mal… »

 

Et là, elle posa sa main sur ma bosse, puis sous le peignoir. Je n’arrivais pas à articuler un mot. Ce fut donc elle qui rompit le silence :

« C’est cool... Sandy et moi, nous avons mis ce plan au point. J’ai trop envie de voir ta queue. De toute façon, ta femme va s’occuper de Phil… »

 

Sur ces mots, elle dénoua ma ceinture, et retira mon peignoir. Je bandais encore plus, si c’était possible. Séverine commença à me branler doucement, comme si elle savourait ma hampe dure. C’était trop bon ! Je lui dis doucement :

« Si tu veux, tu peux la sucer… 

- Oui, mais doucement, on a le temps… »

 

Je me suis rapprochée d’elle, et de sa bouche pulpeuse. J’ai voulu l’embrasser, mais elle m’a repoussée :

« Non, pas ça ! »

 

J’étais un peu étonné, mais par bonheur, elle changea d’idée, et m’enfonça presque brutalement sa langue dans ma bouche.

 

De l’une de mes mains, je caressais sa cuisse. De l’autre, je lui masse les fesses avec douceur. Elle saisit la main qui était sur sa cuisse, pour la poser avec autorité sur sa chatte. J’ai poussé sur le coté le string qui me gênait. Ainsi, je pus la pénétrer avec mes doigts. Elle gémissait sans cesse :

« Oh Chris, que c’est bon, c’est bon…. »

$Sa grotte était humide, et moi, je ne tenais plus… je lui ôtais son string, et me mis devant elle.

« Qu’est-ce que tu veux, mon grand ?

- C’était pas prévu comme ça, mais tu me fais trop envie ! »

 

Je lui écartais grands les jambes, et plongeais ma langue dans sa chatte si appétissante. Je fourrageais à fond dans son vagin, sa mouille me coulait sur le visage. Je voulais la faire jouir à tout prix !

 

A côté, j’entendais Phil qui prenait du plaisir avec ma femme. C’est à ce moment que Séverine me dit :

« Viens, Chris, j’ai envie de toi, pénètre-moi à fond !

- Oui, si tu veux. Mais on va dans la chambre, on sera plus à l’aise.

- Oh oui, tout de suite ! »

 

Nous sommes allés dans la chambre d’amis, mais elle était déjà occupée par Phil et Sandy. Ils étaient en 69. Nous avons donc pris l’autre chambre. Moi, je serais bien resté avec ma femme, mais Séverine semblait ne pas être d’accord. Elle tenait le bout de ma queue comme une laisse, et elle me tira pour aller plus loin.

Là, elle s’est jetée sur le lit :

« Allez viens, me sauter, enfonce-moi ta queue dans ma chatte !

- Oui, mais parle moins fort, ca va réveiller la vieille.

- T’occupes, viens me baiser à fond ! »

 

Comment résister à une telle demande ???

Je me suis mis à la besogner à fond, coulissant à merveille dans ca vagin trempé. Je lui donnais des coups de rein plutôt fort, et elle couinait de plaisir. Une vraie chienne en chaleur ! Et comme une chienne, elle s’est mise en levrette, pour que je la baise encore plus à fond, et fort. Je donnais des coups de queue si fort que j’ai presque eu peur qu’elle ait mal… Mais elle me disait toujours :

« Encore, encore, vas-y à fond ! »

 

Sa mouille coulait et éclaboussait nos cuisses. Je sentis que j’allais venir, tout comme mon amante du soir.

« Chris, non, ne jouis pas encore !

- Si tu veux, mais je peux aussi jouir une seconde fois très vite après. Allez, viens me sucer ! »

 

Je sortis ma queue de sa chatte, et la lui présentais. Sans hésiter, elle la goba d’un coup.

Elle me pompait le dard à merveille. Quand elle réalisa que j’allais jouir, elle aspira mon glaive encore plus fort. Je n’en pouvais plus, et je finis par lâcher toute ma purée dans sa gorge.

Elle recula un peu, et reçu la fin de mon foutre sur sa bouche et ses lèvres rouges. Avec sa main, elle attrapa les dernières gouttes de mon jus et le savoura avec délice.

« Mhumm, Chris, Tu donnes vraiment beaucoup de sperme... Sandy me l’avait dit, mais je ne la croyais pas… »


Sur ces mots, elle planta sa langue pleine de ma crème dans ma bouche. Ce genre de chose m’a toujours beaucoup excité, gouter ma crème dans la bouche d’une femme…

 

A tel point que je rebandais aussitôt…. Séverine le sentit, et prit ma queue dans sa main. D’un geste sur, elle la guida dans sa chatte… Elle émit un long gémissement de plaisir…

« Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiii, c’est bon, baise-moi encore à fond ! »

 

Elle était sur le dos, en missionnaire. Elle croisa ses jambes sur mon dos, de façon à rendre la pénétration plus profonde. Elle me serrait le plus possible, et je ne pouvais plus aller aussi fort. Mais ces va et viens plus lents semblaient la satisfaire aussi.

 

Ensuite, j’arrivais à sortir ma bite presqu’en entier, pour mieux m’enfoncer en elle tout doucement. J’en profitais pour lui exciter les seins.

Je la limais ainsi pendant près de vingt minutes. Elle ne semblait jamais en avoir assez !

Et moi, j’entendais ma femme en train de se faire baiser par mon copain. Ca m’excitait de les savoir dans cette position. Je finis par regretter de ne pas être resté avec eux. On se serait bien amusés à quatre ! A cette pensée j’eus très envie de jouir.

« Séverine, je vais jour !

- Oh oui, remplis-moi de ta sauce ! »

 

Je ne me le fis pas dire deux fois, et j’éjaculais un gros jet au fond de sa matrice. Je me retirai un peu, et projetai u autre jet sur ses lèvres intimes. Elle se tordait de plaisir…

Les dernières gouttes tombaient sur son minou épilé.

A ce moment-là, je m’aperçus d’une présence…

Sandy nous regardait, la bite de Phil dans sa main,

 

Elle s’approcha, et posa sa bouche sur la chatte de Séverine. Cette dernière eut un sursaut. Jamais une femme ne l’avait touchée. Ma femme lécha avec soin toute ma crème, allongeant même la langue pour pénétrer le vagin de son amie. Séverine s’ouvrit sans problème à cette caresse inédite.

Putain, je ne m’attendais pas à ça ! Je savais bien que ma femme st une salpe, qu’elle a déjà sucé la chatte de sa mère devant moi, et réciproquement, mais je ne pensais pas la voir faire ça maintenant…

Elle s’allongea sur le lit, tête-bêche avec son maie. Séverine, hésitante, tripotait la fleur bien ouverte de ma femme.

 

Phil et moi nous sommes un peu reculés, pour mieux voir le spectacle. Et soudain, comme si c’était le signal, elles nous regardèrent, et se mirent à se dévorer la chatte l’une de l’autre ! Quelle surprise magistrale ! Nous n’y tenions plus, et Phil et moi, nous nous branlions comme des fous. Je jetai un œil vars le beau pieu de Phil. Il était aussi bien doté que moi….

 

Et soudain, sans crier gare, Phil saisit ma bite, et entreprit une bonne masturbation…

J’eus un geste de recul ! Jamais un mec ne m’a touché ! Mais il se débrouillait bien, le salaud… Alors, je me le laissais faire…

Il ne manquait plus que la présence de ma belle-mère !

 

 

La suite, si vous la voulez vraiment….

 

Par Chris et Sophie de R. - Publié dans : Chris et sa belle-mère - Communauté : Au royaume des salopes
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