Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Après un long silence, revoici les aventures torrides de Chris, et sa jeune femme Sandy.
Il y a quelques semaines, Sandy a assisté une vente de lingerie à domicile. Comme le principe lui a
plu, elle a demandé çà la vendeuse d’organiser une telle soirée chez nous. Bien sur, elle a accepté. Et bien évidemment, moi aussi, j’étais d’accord ! Le samedi suivant, la soirée eut donc
lieu.
Sandy avait rassemblé chez nous une vingtaine de femmes, dont ma belle-sœur. Ma belle-mère Janine avait aussi invité une de ses amies. Lorsque la vendeuse est arrivée, nous l’avons aidée à sortir
toutes ses affaires. Les premiers invités arrivèrent à dix-neuf heures. C’était Séverine, une fille très excitante, avec Philippe, un de mes potes, qui est aussi son mec. A vingt heures,
tout le monde était là. L’ambiance n’était pas top, et pour faire marcher un peu l’ambiance, je servais de la bière, et Sandy alla passer une guêpière.
Elle fit son effet en rentrant. Il faut dire qu’elle était très excitante. Comme d’habitude, je bandais comme un fou en la voyant dans cette tenue. La vieille a du le remarquer, car elle me regardait tout le temps en souriant.
Puis ma femme a emmené Séverine se changer aussi. Elles sont revenues toujours aussi bandantes dans leur guêpière sexy. Pourtant, les invitées commençaient à se lasser de tous ces sous-vêtements féminins, et la vendeuse s’en est aperçue. Elle nous dit alors :
« Vous savez, je fais aussi des sous-vêtements pour homme… Je suis sure que Chris se fera un plaisir de nous les présenter ! »
Impossible de dire non, et je vis que Sandy était d’accord…
Je suivis donc la vendeuse dans la chambre, pour passer un débardeur et un boxer. Ce fut le début d’un long défilé, où je jouais le mannequin sans façon. Les femmes riaient beaucoup, elles étaient un peu saoules. Enfin, Séverine me rejoignit dans la chambre, pour me demander :
« Chris vas-tu vraiment porter CA ?
- Quoi ? Oui bien sur… Euh... Qu’est-ce que c’est ???
- Un string, voyons ! Nos copines vont toutes te sauter dessus, si tu le portes !
- Tu crois ?
- Oh oui ! Surtout la belle-mère qui te regarde sans cesse avec les yeux brillants… »
Sans plus réfléchir, j’ai ôté mon boxer, en oubliant que Séverine me regardait… Elle me souffla :
« Tu es beau, tout nu… »
Illico, j’ai caché ma queue avec ma main.
« Beau morceau, on en mangerait ! »
Je ne savais plus quoi dire, aussi, je suis sorti avec le string, et un top transparent.
J’ai fait un tabac. Dans l’excitation générale, la vendeuse me donna à essayer un string avec une gaine pour le pénis. Incroyable ! Pourtant, avec l’accord de Sandy, je l’enfilais. Elle me complimenta sur ma bite mise ainsi en valeur.
Mais j’ignorais encore ce qu’allait faire la vendeuse…
Quand je suis entré dans le salon, les femmes éraient bouche bée, et ma queue était pourtant au repos. Sandy s’écria :
« Eh les filles, pas touche, c’est mon homme à moi !
Soudain, la vendeuse passa derrière moi, et m’enserra la taille avec ses bras. Elle se saisit de la gaine, et la fit bouger, pour faire apparaitre mon gland…
Interloqué, je me laissais faire… Je savais que si la vendeuse le faisait, c’est que ma femme était d’accord…
De façon plutôt vicieuse, la vendeuse expliquait que c’était pour uriner. Mais en disant cela, elle pressait ma bite de plus en plus fermement. J’étais quand même un peu gêné, surtout quand elle ajouta :« Mesdames, pour une baise express, c’est l’idéal, ca n’empêche pas de bander, comme vous le voyez ! »
C’en était trop pour moi, et je bandais franchement, prêt à exploser ! Du coup, mon gland sortit franchement de la gaine. Visiblement, ce n’était pas prévu… Impossible de le faire rentrer dans la gaine, malgré les efforts de la vendeuse ! Finalement, ma femme et Séverine se sont levées pour m’applaudir, et toutes ont suivi. Je suis rentré dans la chambre, tout gêné, pour me changer.
Les invitées ont passé leur commande, et sont enfin parties avec la commerciale.
Sauf Séverine, Philippe et ma belle-mère. Comme nous étions tous un peu bourrés, je leur ai proposé de dormir chez nous. Ils ont accepté, à condition de pouvoir se doucher. Les plaisanteries ont fusé sur le sujet.
Nous avons donc continué à trinquer, et les filles sont allées passer les sous-vêtements laissés par la vendeuse.
Quand elles sont revenues, nous avons stoppé net notre petite discussion. Elles étaient splendides ! Séverine avait un string blanc et un porte-jarretelles ultra sensuel, ainsi qu’un redresse-seins. Sandy portait une guêpière noire très sexy, avec des petits lacets. Phil et moi étions ébahis. Phil me dit alors :
« Putain ! Sandy a un beau minou ! »
Moi, j’avais à peine vu qu’elle ne portait pas de culotte ! Elles se sont rapprochées de nous, et Sandy prit la parole :
« Alors, on vous fait de l’effet, les coquins ? »
Pas besoin de réponse pour moi, ma sortie de bain était bien bosselée. Phil n’arrêtait pas de fixer la chatte de ma femme. Elle lui parla à nouveau :
« Phil, viens avec moi, que je te montre la salle de bains. »
Comme un automate et sans un mot, il la suivit. Séverine s’est assise près de moi et m’a sourit :
« On vous a bien eus, tous les deux ! Dis-moi, je te plais ?
- Oh oui, ca se voit, non ?
- En effet, tu bandes pas mal… »
Et là, elle posa sa main sur ma bosse, puis sous le peignoir. Je n’arrivais pas à articuler un mot. Ce fut donc elle qui rompit le silence :
« C’est cool... Sandy et moi, nous avons mis ce plan au point. J’ai trop envie de voir ta queue. De toute façon, ta femme va s’occuper de Phil… »
Sur ces mots, elle dénoua ma ceinture, et retira mon peignoir. Je bandais encore plus, si c’était possible. Séverine commença à me branler doucement, comme si elle savourait ma hampe dure. C’était trop bon ! Je lui dis doucement :
« Si tu veux, tu peux la sucer…
- Oui, mais doucement, on a le temps… »
Je me suis rapprochée d’elle, et de sa bouche pulpeuse. J’ai voulu l’embrasser, mais elle m’a repoussée :
« Non, pas ça ! »
J’étais un peu étonné, mais par bonheur, elle changea d’idée, et m’enfonça presque brutalement sa langue dans ma bouche.
De l’une de mes mains, je caressais sa cuisse. De l’autre, je lui masse les fesses avec douceur. Elle saisit la main qui était sur sa cuisse, pour la poser avec autorité sur sa chatte. J’ai poussé sur le coté le string qui me gênait. Ainsi, je pus la pénétrer avec mes doigts. Elle gémissait sans cesse :
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